Thierry Gobet à propos de la crise économique en Bretagne

Thierry Gobet est l'auteur de l'excellent livre France : les véritables enjeux (éd. Jean Picollec), et il a accepté notre invitation de revenir, une fois par mois, sur l'actualité du mois. Pour cette première, il revient sur la crise économique en Bretagne, ce qu'elle révèle de notre pays, les causes de la crise, et comment en sortir. Car ce n'est pas la Bretagne qui ferme, c'est la France qui ferme.

1ère partie :

2ème partie :

3ème partie :

Tags : Economie Bretagne

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Enquête&Débat 22 novembre 2013 14:48

merci aux modérateurs d’avoir finalement accepté cette vidéo.

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  Pyrathome 22 novembre 2013 22:50
  
  merci aux modérateurs d’avoir finalement accepté cette vidéo.
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  C’est la tache du jour...
  Ce mec propose carrément le retour du Far West en France, autrement dit, la loi du plus fort..
  Plus de police, plus d’armée, plus de justice, plus d’enseignement, plus d’impôt, plus de députés, plus de gouvernement....etc..
  Prise en main par les gros saigneurs cow-boy, le retour du féodalisme, quoi !
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  Pour résumer, j’ai fait l’effort d’écouter un peu pour rire ( trop...), il propose simplement d’abandonner un système complètement pourri, corrompu, totalitaire pour un autre encore mille fois plus vermoulu, corrompu, dictatorial à la puissance 1000....
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  Ce mec est un fou furieux, hautain sectaire et totalement déjanté, un Taliban en quelque sorte !
  Il croit que les pauvres couillons vont "gobet" sa prose au châtelain, là ?
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  Allez, on lui décerne le du jour....et pas de jaloux, un autre pour Robinou ...ah ah ah !!.
  
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    News 23 novembre 2013 09:12
    
    En tout cas j ai regarde la première partie et son constat sur la situation de la France est pertinent, son décryptage macroéconomique est judicieux. Ses données officielles sur la degradation du niveau de vie en France font froid dans le dos.
    
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    Shanowsky 23 novembre 2013 22:31
    
    Je partage le sentiment de Pyrathome. Celui de ne pas vouloir retourner en arrière.
    
    Je suppose la tendance de l’évolution de la politique occidentale comme une translation progressive des pouvoirs (ceux de Montesquieu) de la volonté individuelle de quelque uns, d’abords des rois, puis des représentants, vers une volonté de plus en plus globale (vulgairement : le peuple). Je pense qu’on est à un point où on recule, les pouvoirs retournant à quelques hommes, de riches commerçants et donc moins vers la masse.
    
    Je ne vois en effet pas, dans le libéralisme économique, une source de progrès puisqu’elle va automatiquement aboutir à rendre plus de pouvoir à quelques hommes en col blanc et moins aux peuples abrutis.
    Ce qu’il faut libérer, c’est la volonté (raisonnée) des gens.
    Encore puissent-ils en être pourvus.
    
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