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Un universitaire donne une leçon de démocratie à Claude Bartolone

 

Bandeau de La Chaine Parlementaire : "Réunion du groupe de travail sur l’avenir des institutions à la demande du président de l’assemblée (Claude Bartolone). Thême du jour : le citoyen au cour des institutions.
Objectif : rétablir le lien entre les électeurs et les élus, remettre le citoyen au cour des institutions et redonner aux français le sentiment qu’ils sont maîtres de leur destin.
L’abstention, la contestation et le rejet de la classe politique résultent en partie du sentiment d’impuissance des pouvoirs publics à changer le recours des choses, les citoyens ne croient plus en leur capacité d’action."
Extrait avec Denis Giraux sur les Référendums d’Initiative Citoyenne de la vidéo de "TRAVAUX ASSEMBLEE 14E LEGISLATURE : Audition sur le référendum de Laurence Morel et Denis Giraux par le groupe de travail sur l’avenir des institutions"




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12 réactions à cet article    


  • 3 votes
    michel-charles 3 février 2015 08:57
    Mandats en cours...

    • 2 votes
      Avlula 3 février 2015 09:21

      OPA de E&D sur une vidéo des Gentils Virus ! Merci de l’avoir postée, c’est sûrement la première et la dernière fois qu’on entendra parler de cette commission ? L’intérêt de cette vidéo est pour ceux qui se croient encore en démocratie.


      • 6 votes
        Éric Guéguen Éric Guéguen 3 février 2015 09:40

        Un pavé dans la mare, courageux de sa part.
        En revanche, je ne trouve pas trace de ses ouvrages parus aux PUF.


        • 1 vote
          Qaspard Delanuit Qaspard Delanuit 3 février 2015 11:29
          TitreLes Procédés de la démocratie semi-directe dans l’administration locale en Suisse / Stéphane Duroy, Denis Giraux, Roger Boizel et Evanthie-Evangélie Spiliotopoulou ; préf. du professeur R. DragoEditeurParis : Presses universitaires de France, cop. 1987
          Description382 p : ill ; 24 cm

        • 3 votes
          Éric Guéguen Éric Guéguen 3 février 2015 11:54

          Merci Gaspard.
          C’est marrant comme un nom d’auteur grec donne de suite plus de cachet à une œuvre sur la démocratie. Je vais me faire appeler Guéguénou tiens.


        • 3 votes
          Qaspard Delanuit Qaspard Delanuit 3 février 2015 12:04

           ?rákleios Guéguénoupoulos... Ne faisons pas les choses à moitié, par Zeus ! 


        • 13 votes
          Le décodeur 3 février 2015 12:16

          LE LIVRE NOIR DE JEAN ROBIN (ou ROBINOSCOPIE)


          12ème épisode :

           - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -
          Le questionnaire de Proust, mais surtout de Jean Robin
           - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -


          (suite du 11ème épisode de la Robinoscopie : L’interview-vérité de Jean Robin)


          Le journaliste intelligent est sous l’emprise du penthotal, sérum de vérité.

          - Bien. Cher Jean Robin, pour conclure cette interview-vérité, nous vous soumettons ce "questionnaire de Proust" :


          Si vous étiez une fleur ? La narcisse.

          Si vous étiez une réforme courageuse ? Le passage des 35h aux 75h.
          Si vous étiez une loi ? La loi de la jungle.
          Votre force principale ? Être imperméable au doute.
          Si vous étiez un journaliste ? [Jean se renfrogne, ses yeux jettent des éclairs] Euh... je veux dire à part vous ? Jean-Marc Sylvestre.
          Si vous étiez un vêtement ? Une veste. Réversible.
          Vos trois mousquetaires contemporains ? Bernard Madoff, Bernard Tapie, Jérome Cahuzac.
          Votre citation favorite ? Parasitez, parasitez, il en restera toujours quelque chose.

          À quoi reconnaît-on un véritable ami ?

          Au montant de sa souscription annuelle à Enquête & Débat.

          Votre état d’esprit actuel ? Satisfait. Perpétuellement.

          Si vous étiez un groupe ? Un Boys Band : les Chicago Boys.
          Si vous étiez un sport collectif ? Un sport quoi ?...
          Ce que vous ne souhaiteriez même pas à votre pire ennemi ? Devenir fonctionnaire.

          Si vous étiez un fruit ? Ma pomme, toujours ma pomme.
          Votre dernière bonne action ? Avoir relancé la carrière d’Hyperion.

          [ndlr : l’auteur de Sunflower, le générique entraînant du JT Intelligent]
          Le don de la nature que vous rêveriez de posséder ? L’humour.
          Votre couleur préférée ? Le noir. Comme les livres du même nom.
          Si vous étiez un loisir ? La délation.
          Si vous étiez un jeu à la télévision ? Le Maillon Faible.
          Quel serait votre plus grand malheur ? La disparition d’Alain Soral.
          Si vous étiez un bruit ? Le son du tiroir-caisse le soir au fond des bois.
          Si vous étiez un oiseau ? Le paon (pas le cégétiste, hein !)

          Si vous étiez un jeu de société ? Le Monopoly.
          Si vous étiez un des 7 péchés capitaux ? L’envie.
          Si vous étiez un moyen de transport ? Le covoiturage mais monoplace.
          Si vous étiez une rime riche ? Stupide et cupide.
          L’animal dans lequel vous aimeriez être réincarné ? Une sangsue.
          Comment aimeriez-vous mourir ? Riche.
          Dernière question : si Dieu existe, qu’aimeriez-vous, après votre mort, l’entendre vous dire ? C’est incroyable ce que j’en ai appris, avec tes JT intelligents !

          - C’est la fin de cette interview. Merci à vous, Jean Robin !
          - Aurevoiràtousjeanrobinpropagandisteetmanipulateur.


          On arrête le magnéto. Le journaliste intelligent nous raccompagne. Avant de nous quitter, inquiet, il interroge Mouloud :

          - Dis-moi, le suédois  : combien de temps le sérum va-t-il encore faire de l’effet ?
          - Euh... environ cinq-six heures, normalement.
          Il nous confie qu’il reçoit ce soir ses amis Erwanet, Oliderid, Christian Vanneste, Oskar Freysinger.

          - Ça va être grandiose, si je me mets vraiment à dire le fond de ma pensée, à cette bande de blaireaux... Votre sérum n’est qu’un foutu empêcheur de parasiter en rond !
          On le sent chauffé à blanc. On se sépare, avant qu’il n’ait eu le temps de nous botter les fesses (surtout la gauche) et de nous conseiller, en toute franchise et en toute amitié, d’aller nous faire voir chez les marxistes...



          Archives de la Robinoscopie :

          1er épisode : Jean et Akila
          2ème épisode : Le JT Intelligent
          3ème épisode : L’interview de Jean Robin à Imposteur-magazine.fr
          4ème épisode : Le dîner de cons
          5ème épisode : La vidéo noire de Jean Robin
          (Ou : accès direct à La vidéo noire de Jean Robin, sur Youtube)
          6ème épisode : Le test du QR (Quotient Robinien)
          7ème épisode : Le pouvoir socialo-cégéto-marxiste
          8ème épisode : Jean Robin et Erwanet au Medef
          9ème épisode : Les envahisseurs marxistes sont parmi nous
          10ème épisode : Le reportage chez Jean Robin
          11ème épisode : L’interview-vérité de Jean Robin




          • 7 votes
            ffi 3 février 2015 15:51

            La révolution française étant une mutinerie mené par les bureaucrates de l’administration royale, il est vraiment vain d’attendre de celle-ci une once de démocratie...
             
            Faut-il rappeler que la République a aboli la seule zone de France qui vivait sous le régime de la démocratie directe, régime que la royauté n’avait jamais remis en cause pendant 456 ans ? Voyez la république des Escartons.
             
            La "démocratie" libérale actuelle est modelée sur le modèle de l’économie libérale.
             
            On a des corporations (les partis) qui répondent à des appels d’offre (les suffrage) pour prendre des parts au marché des postes de décision politique. Ces corporations (partis) font de la publicité (propagande) afin que les clients (électeurs) achètent (élisent) leur produit (candidat) en glissant un billet (bulletin) dans la caisse (l’urne).
             
            C’est écrit dans la constitution (Art 4) : les partis concourent au suffrage.
            Ceci, comme les entreprises qui concourent au marché...
             
            Mais ce système ne peut permettre une production politique digne de ce nom, de même que le libéralisme ne peut permettre une production économique digne de ce nom : la vérité et la qualité n’en sont pas constitutifs.


            • vote
              Béo Ulaygues Béo Ulaygues 3 février 2015 20:57

              Curieux (ennuyeux) qu’il termine par : " Faites le, c’est sans risque ! " ...o_O... ???

               Sans risque pour qui ?

              Même si j’ai ma petite idée...O_o.


              • 1 vote
                Qaspard Delanuit Qaspard Delanuit 4 février 2015 00:31

                Il y a beaucoup d’ironie dans son propos. Il sait très bien que les politiciens professionnels sont en conflit d’intérêt sur cette question et qu’ils ne veulent pas donner le pouvoir à la population. 


              • vote
                Béo Ulaygues Béo Ulaygues 4 février 2015 09:15

                " Faites le, non pas parce que cela serait de la démocratie pure, mais seulement car c’est sans danger, tout en donnant l’illusion de la démocratie pure."
                ...O_o...
                C’est quand même ça qu’il dit, à la fin.

                Tu as sans doute raison, peut être veut il les leurrer pour qu’ils nous vendent la corde qui servirait à les pendre.

                Triste quand même de se rendre compte que ces cafards, Bartolone en tête, n’auront jamais ce qu’ils méritent.


              • vote
                kéké02360 4 février 2015 20:50

                Preuve qu’il y a quand même des personnes saines et compétentes dans les placards de notre sale pays !!!!!

                Nous n’avons pas d’autre solution que de virer cette crasse ump-ps et associés !!!!!!!!!!!



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