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Vivre sans électricité - une réalité quotidienne en Grèce

 La Compagnie publique d'électricité grecque coupe le courant chaque mois à près de 30.000 foyers et entreprises en raison de factures impayées. 

 

Tags : Précarité Grèce




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3 réactions à cet article    


  • 11 votes
    Romios Romios 11 mars 2013 10:23

    Il faut savoir que le recouvrement des nouvelles taxes foncieres ont été confiées à la compagnie d’electricité pour ne pas avoir à recruter de nouveaux fonctionnaires.


    Si bien que ceux qui ne parviennent pas à payer ces taxes sont privé d’electricité !

    On ne voit pas trop le rapport entre un prestation de service ’liberalisée’ selon les directive de l’UE et un impôt public...

    Sauf que comme il est prevu de vendre la companie d’electricité, au final, le recouvrement des impots sera lui aussi privatisé.

    Ben quoi ? Le but de l’UE c’est bien de lever les impots pour les reverser aux banques...

    Alors pourquoi ne pas privatiser directement le recouvrement ?

    Y’a pas de petit benefs...







    • 10 votes
      Romios Romios 11 mars 2013 10:30

      Au passage, il faut savoit que de très nombreux immeubles en ville ont renoncé à remplir leurs cuves de fioul de chauffage a cause de l’envolée incroyable du prix des hydrocarbures en Grèce.


      Les gens ont donc passé l’hiver avec des poêles ou sans chauffage avec juste de temps en temps un radiateurs d’appoint quand il faisait trop froid (il a neigé à Athènes)

      Pour la premiere fois depuis 10 ans (et la fermeture des raffiberies du Pirée) il y a eue de nouveau un nuage de pollution sur Athènes à cause du nombre de poeles à bois.

      Heureusement l’episode de froid a été relativement court cet année ce qui a limité le nombre de morts.

      • 10 votes
        Qaspard Delanuit Gaspard Delanuit 11 mars 2013 14:32

        Bah, s’il y a plus de morts au prochain hiver, ils pourront brûler les cadavres. Double économie : pas de frais d’obsèques et du combustible gratos à domicile. 


        On constate une fois de plus que le libéralisme financier est stimulateur de créativité et facteur de progrès. 


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