Wimbledon - Serena Williams : "Encore plus compétitrice qu’avant"

@Mao-Tsé-Toung
"ça va être dur pour les autres, avec un tableau décapité des meilleures du moment !" 

Dur pour toi tortue géniale 

@Mao-Tsé-Toung
"j’ai initiée une jeune fille très douée"

Oula... 

"en vue d’un test... et plus "

Oulalala...

"l’âge a fait que j’ai du renoncer... !"

Seuls les éleveurs de ptites pouliches de compètes peuvent comprendre l’ampleur de ton désarroi Moa. Les bonnes occaz de palper un peu de pognon en en foutant le moins possible tout en tripotant des ptits culs fermes ne doivent jamais être gâchées, hein vieux cochon   !

On l’oublie souvent mais au fond, le proxénète donne aussi dans la raquette. 

@Qirotatif

Je suis déçu par cette réaction...alors que c’est touchant de voir un senior, un homme sans âge, tendre la main (dont le milieu naturel est le Sopalin) vers une jeune personne dans laquelle il a détecté certaines compétences...

Je m’injecte une dose de MoaSaitToutite et te livre cette confidence sur ma vie personnelle...c’était avant que je m’occupe du motel, j’ai rencontré une jouvencelle qui m’a bluffé par ses innombrables talents...une fibre artistique qui m’a conduit à lui louer ma modeste chambrette, mais la fatalité me murmurait que cette scène serait trop étriquée pour une telle virtuose...à mon corps défendant je devais partager la gestion de ses intérêts, mission aussitôt confiée à Jacquot-le-rapace, un imprésario qui avait pignon sur rut...en route vers la gloire, les Sofitel, les Carlton, sauf que ma "pouliche" en a profité pour changer d’écurie et s’exiler à l’étranger...un tour de passe-passe qui l’a amenée à Djibouti, Marrakech, Bangkok, l’ingrate n’avait plus d’yeux pour son humble mentor...

Il doit y avoir une justice immanente puisque j’ai récemment appris qu’elle était enceinte et syphilitique..."syphilis m’était conté" peut-elle fredonner entre deux tours de piste devant son miroir aux sordides reflets coupables...

Comme Moa je rêvais de gloire par procuration, d’une fontaine de louanges dont le ruissellement pouvait irriguer mon ego défaillant, sec comme le cœur d’un soldat du Christ ou de Tsahal, me nourrir d’applaudissements reçus en écho...au final je n’en retiens qu’une chose, le meilleur ami d’un garçon c’est sa mère...

https://www.youtube.com/watch?v=JjUwjIil4Rw

@Norman Bates
Merci pour ces touchantes et intimes confessions mais on ne peut confondre une amourette de jeunesse dans laquelle on a un peu trop investi et une obsession encore persistante au bout de huit décennies. On ne peut confondre le cas clinique épineux d’un adulescent perturbé et une sorte de dodo-la-saumure raté et qui en guise de palliatif se tire sur le manche de raquette en faisant des gros plans sur l’arrière-train de "ses petites pouliches". Il y a en outre une dimension essentielle dans son cas et qui donne une coloration toute particulière à son exhibitionnisme : l’argent. Voilà toute la différence entre une aventure à l’extérieur, ponctuelle, une infidélité, certes, mais non tarifée et la relation extra-conjugale cette fois-ci concrétisée par l’achat de prestations (buccales bien souvent... là aussi cela s’explique) chez une professionnelle. L’argent, monnaie d’échange, tient ici un rôle essentiel sur le plan moral, symbolique et sa présence dans l’équation est indispensable : ce n’est pas simplement le narcissisme qui pousse notre sémillant camarade à donner ses résultats, loin de là... Pour lui il permet de simuler un rapport d’égalité, rétablir l’équilibre intérieur dont tout système a besoin, le deal étant "tu me fais de bons coups droits, un bon service et moi, je t’accorde ma précieuse contribution et au passage je parie sur ton cul ! Attends, fais voir un peu, laisse le pro tâter... c’est scientifique, ne t’inquiète pas !". 

L’auteur a probablement une conception des rapports humains assez proche de celle d’un Pierre Bergé : "Louer ses bras ou louer son cul à des octogénaires pour qu’ils puissent continuer de jouir sans entrave, quelle différence ?"