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Les commentaires de Ægidius REX



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    Ægidius REX 10 novembre 2009 11:27

    Gardez votre tutoiement qui sent bon la racaille pour vous.

    Vous n’avez manifestement pas compris mon texte pour réagir de la sorte.

    Bien à vous.



  • 0 vote
    Ægidius REX 10 novembre 2009 07:22

    Parmi tous ceux qui sont enfermés arbitrairement, seul celui qui est en relation avec un peuple de 16 millions d’habitants sur Terre, et dont on se contrefout royalement, a le droit de cité.

    Car toute la ficelle consiste toujours à ramener la couverture à eux : un mur à Berlin, un autre ailleurs (et comme, par hasard, au bon endroit), et ainsi de suite.

    Impossible d’échapper à une connotation.

    Impossible de péter sans qu’il soit fait allusion à ce peuple, tout devra être ramené à eux, c’en devient effectivement insupportable.

    Et la bobosphère, comme à l’accoutumée, de s’extasier.

    Bien à vous.



  • 1 vote
    Ægidius REX 8 novembre 2009 21:11

    Notre « chance pour la France » a du mal à concevoir qu’on puisse « être fier d’être français », l’adjectif « fier » le dérange.

    Il ajoute « moi, je n’y suis pour rien, je suis né ici, c’est parce que mes parents, ils étaient là, ils m’ont conçus ici ».

    Ce qu’il oublie de dire, c’est qu’il n’est français qu’à la faveur d’une loi arbitraire qui n’est pas forcément valide dans tous les pays.

    Est-on Zouzou parce qu’on naît à Zouzouland ?

    Ce n’est pas gagné d’avance, si Zouzouland ne pratique pas le droit du sol, on ne sera pas forcément Zouzou si on y naît.

    « Mes parents, ils étaient là », dit-il : facile !

    Seulement « être là » sans avoir changé de place c’est-à-dire être là parce qu’on est là, et « être là » parce qu’on a fui sa patrie, et ce, parce que sa patrie, c’est tout pourri, ce n’est pas tout à fait la même chose.

    Comment pourrait-il être fier d’être français puisqu’il ne l’est qu’à la faveur de la fuite de ses géniteurs ?

    S’il était fier, cela signifierait « je suis fier que mes géniteurs aient fui leur patrie, parce que leur patrie est toute pourrie, pour me faire naître ici en France », phrase évidemment impossible.

    Il est évident que la fierté d’être français vient de ce qu’il est naturel pour les autochtones d’avoir une lignée réelle, c’est-à-dire une continuité.

    Mais ces « chances pour la France » sont en réalité des déracinés, et c’est très douloureux de l’être, on ne peut pas dire qu’ils sont nés en France (comme voudrait le faire croire la chanson qui dit « c’est là que je suis né »), la vérité c’est qu’on les a fait naître en France, ce qui n’a rien à voir.

    Ces « chances pour la France » ne peuvent jamais être fiers d’être français parce qu’on ne peut pas être fiers de parents traitres qui ont fui leur patrie parce que l’herbe est plus verte ailleurs.

    Car en fuyant leur patrie, ils ont peut-être résolu le problème pour eux-mêmes mais pas pour leur peuple qu’ils ont abandonné.

    La fierté d’être français ne concerne donc que ceux qui y sont nés sans qu’il y ait fuite d’un continent vers un autre considéré comme meilleur c’est-à-dire ne concerne que les autochtones.

    Bien à vous.



  • 1 vote
    Ægidius REX 1er novembre 2009 21:30

    Si les Français étaient si cons, on se demande pourquoi tant d’immigrés préfèrent la mort au retour au bercail.

    Encore des arguments stupides pour faire oublier que vous avez fui votre patrie ou que vos géniteurs l’ont fuie parce que votre patrie, c’est de la merde, sinon vous y seriez avec fierté.

    À partir du moment où vous avez immigré, vous avez perdu tout prestige, même si ce sont vos parents, quelle fierté de soi-même d’avoir de tels parents !

    L’immigration étant un piège à cons, il est logique que vous évoquiez spontanément la connerie en vertu du proverbe inusable "c’est celui qui dit qui y est".

    Bien à vous.



  • 10 votes
    Ægidius REX 1er novembre 2009 18:00

    C’est de la provocation pure et simple, il existe des mosquées dans les parages mais ils veulent simplement se montrer, montrer leur force et leur nombre.

    La France est indifférente à tout cela, le jour où elle en aura marre, elle interdira cette prière dans la rue, point à la ligne.

    C’est d’ailleurs ce qu’ils attendent, ce sont des fauteurs de troubles, et rien d’autre.

    Quelle gloire de se mettre publiquement dans une position qui signifie « parle à mon cul, ma tête est malade ».

    S’ils étaient sincères, ils prieraient chez eux sans déranger personne, il est donc clair que ce ‘nest que provocation, et rien d’autre.

    Car le vrai croyant n’a pas besoin de publicité, il n’a pas besoin de s’afficher.

    Bien à vous.



  • 1 vote
    Ægidius REX 9 octobre 2009 10:45

    Alors les mauviettes ?

    Obligés d’être d’accord avec Marine Le Pen et ça vous fout le honte !

    Car on vous connaît, si Le Pen dit qu’il pleut, vous sortez sans votre parapluie !

    Faudra vous y faire, deux et deux restent faire quatre et les tautologies resteront des tautologies.

    Bien à vous.



  • 0 vote
    Ægidius REX 11 septembre 2009 10:28

    Où est le mal à dire l’évidence ?

    Tout est un problème de nombre.

    Trois rats dans votre jardin, vous les trouvez mignons et leur apportez des petits bouts de fromage.

    Dix mille rats, vous dératisez : est-ce si mal de le dire ?

    D’ailleurs, c’est bien le nombre qui a, par exemple, apporté la burka, ils se montent le bourrichon et nous imposent de plus en plus leurs coutumes, la pression est bien liée au nombre.

    Ce ne sont pas des dérapages, ce sont des assertions vraies qui seront de plus en plus prononcées.

    Et la vérité, soit dit en passant, n’a rien à voir avec le fait être de gauche ou de droite, deux et deux restent faire quatre, quelle que soit votre appartenance politique.

    Bien à vous.



  • 0 vote
    Ægidius REX 1er juin 2009 09:50

    Sa définition de l’artiste est fausse, il ne fait que décrire l’artiste engagé et rien d’autre.

    Mais on oublie qu’en mêlant la politique à l’art, on prend en otage son public qui était venu pour bien autre chose que de se faire empapaouter par les discours de « Monsieur j’ai de toute façon raison ».

    C’est l’inverse qui est vrai, l’artiste ne prend pas son public en otage pour lui imposer son idéologie politiquement correcte.

    D’ailleurs, un artiste n’interrompt pas, à partir du moment où il a été incapable d’écouter sans interrompre une critique le concernant, il s’est signé comme n’étant pas un artiste.

    Ce sont des signes qui ne trompent pas.

    Et d’ailleurs, un artiste n’a pas besoin de démonter qu’il est un artiste.

    C’est comme ceux qui passent le plus clair de leur temps à démontrer qu’ils sont français, ils savent très bien qu’ils ne le sont pas, c’est pour cela qu’ils veulent convaincre.

    Car le vrai français ne démontre jamais qu’il est français.

    Il en va de même pour l’artiste qui n’a aucune démonstration à faire.

    Bien à vous



  • vote
    Ægidius REX 20 mai 2009 08:56

    La France est un véritable piège à cons avec son idée qu’elle est une idée et qu’elle inclut toute les races et autres ethnies, voulant éradiquer ses autochtones et leur légitimité.

    Leur faciès, ils se le gardent, c’est pourquoi ils passent leur temps à complexer sur icelui tout simplement parce qu’il révèle leur identité non européenne.

    Rien de plus risible qu’un non-Européen qui se dit français.

    Ce qui fait pitié dans ces revendications, c’est l’absence totale de prestige, ce sont les jérémiades sous-entendues, ils revendiquent sans cesse ce qui leur a été donné arbitrairement et qui peut leur être supprimé du jour au lendemain.

    La France adore proposer un mensonge aux extracontinentaux d’origine : au départ, c’est sans doute un acte de générosité, mais c’est un cadeau empoisonné que toute personne digne, c’est-à-dire qui accède au respect d’elle-même, devrait refuser.

    Si les Chinois viennent me dire que je suis chinois, je ne me vois pas m’installer en Chine et dire aux vrais Chinois : « je suis chinois » sous-entendu « je suis autant chinois que vous ».

    Ils ne s’en sortiront jamais avec ce principe, même s’il a été politiquement imposé sur le dos du peuple, puisqu’il est faux.

    Bien à vous



  • 0 vote
    Ægidius REX 19 mai 2009 19:52

    Excellente remarque !

    Eh oui ! comme ils savent qu’ils se sont français qu’à la faveur d’une loi arbitraire, ils savent dans la foulée qu’ils ne sont pas français, il suffirait d’une loi qui supprime le droit du sol avec effet rétroactif, et tout d’un coup, ils ne sont plus français.

    Il faut être fou furieux pour utiliser le verbe être en étant accrochés à une loi arbitraire qui peut être annulée demain avec effet rétroactif.

    Le Gaulois de base doit bien rigoler en écoutant ça.

    Si encore il disait qu’il est un « français colonial », ça passerait, mais « je suis français » fait évidemment sourire puisque c’est impossible.

    Cela dit, ils se font plus de mal à eux-mêmes qu’autres autres car le mensonge à soi-même est très douloureux et la méthode Coué a ses limites.

    Aujourd’hui il en est ainsi, tout le monde voit un cercle mais au nom du politiquement audible, tout le monde accepte de s’entendre dire avec applaudissements nourris que c’est un carré.

    Bien à vous.



  • 0 vote
    Ægidius REX 19 mai 2009 13:04

    « Je suis français » dit-il.

    Sauf qu’il n’est pas français, il a sa carte d’identité française mais il n’est pas français.

    Si l’on donne un diplôme de violon a une personne qui n’a jamais joué de violon, cette personne peut utiliser le verbe avoir mais pas le verbe être, elle peut dire « j’ai un diplôme de violon » mais elle ne peut pas dire « je suis violoniste »

    Terrible cette volonté de se dire français quand le faciès vous prouve que c’est impossible.

    Terrible de nier sa véritable identité.

    D’ailleurs, s’il était français, il ne passerait pas son temps à chercher à le démontrer, je n’ai jamais vu un Français de souche dire qu’il était français, ni chercher à le démontrer.

    Et pour raison toute simple : c’est qu’étant français de toute évidence, il n’a pas besoin de le dire.

    Mais ceux qui ne sont pas français en tant qu’il ont leurs papiers (éternelle confusion entre avoir et être), eux, passent leur temps à démontrer qu’ils sont français.

    Pitoyable quand même !

    Mais il est vrai que la vérité est blessante : avouer avoir fui sa patrie ou avoir des géniteurs qui l’ont fuie, ce n’est pas très glorieux, on préfère de loin l’utilisation du verbe être.

    Le public applaudit mais ça ne trompe personne.

    Dans certains murs de banlieue, il est écrit « enc... de Français, on va tous vous niquer ». Si cette prophétie se réalisait, tout d’un coup notre beau parleur ne serait plus français. Et d’ailleurs ne serait pas reconnu tel.

    En gros, il est français quand ça l’arrange.

    Si d’ailleurs il était français, il aurait cherché à mieux convaincre en vouvoyant. Mais en utilisant spontanément le tutoiement qui sent bon la racaille, il sabordait sa propre démonstration.

    Continuez à nous faire rire.

    Bien à vous.



  • 0 vote
    Ægidius REX 7 mai 2009 13:33

    Où est le problème.

    Imaginons que tous les juifs du monde retournent « chez eux », en Israël.

    Ne serait-ce pas merveilleux ?

    Hélas !

    Bien à vous.



  • 9 votes
    Ægidius REX 7 mai 2009 10:43

    Pourquoi faudrait-il bannir la violence ?

    Tout simplement parce que ça n’arrange pas les prévaricateurs qui veulent continuer à se goberger sur le dos des laissés-pour-compte et autres exclus définitifs.

    D’ailleurs, on se garde bien de préciser de quelle violence il s‘agit, violence individuelle ou violence collective ?

    Tout est fait pour que ceux qui n’ont rien continuent de ne rien avoir.

    Prendre l’argent non pas là où il est, comme on le dit par erreur, mais là où il est prenable : chez les pauvres, non seulement parce qu’on lui inculque l’honnêteté pendant que les profiteurs savent tricher et tirer les ficelles, mais aussi parce qu’ils n’ont aucun moyen de défense.

    Par exemple, le moindre petit découvert sur le compte bancaire d’un érémiste se traduit par un incident bancaire facturé 8 euros ! Et il paie non pas parce qu’il a de l’argent mais parce que son argent est prenable.

    Mais ce petit jeu là n’a qu’un temps, seule la violence collective permet de remettre les billes au centre.

    C’est entre autres le sens du ????? ??????? inscrit sur le fronton du temple de Delphes : connaissez-vous vous-même.

    Car le paradoxe de la vie est qu’on ne peut jamais se venger.

    Sinon aucune offense ne serait possible.

    La violence collective est la seule réponse pour écraser les prévaricateurs qui asphyxient la population.

    Il ne s’agit pas de faire l’apologie de ceci ou de cela, mais de regarder en face la nature humaine. Comme la vengeance individuelle est à peu près impossible, elle est remplacée par la violence collective cyclique qui remet les pendules à l’heure.

    Tout porte à croire qu’elle est pour bientôt dans nos régions, non seulement parce que la paupérisation a atteint ses limites mais aussi parce que trop de décisions politiques ont été prises sur le dos des citoyens, qui n’ont jamais été consultés, et qui, quand ils le sont, sont floués de l’opinion exprimée.

    Bien à vous.



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    Ægidius REX 28 avril 2009 10:40

    Je me demande si cette lutte est utile au sens où l’algorithme juif est parlez-moi de moi, il n’y a que cela qui m’intéresse.

    Ce qui signifie que cela revient à leur faire de la publicité.

    Ce qui doit les faire jubiler.

    Les Juifs ont parfaitement compris, et ce depuis toujours, que pour exister, il fallait des ennemis ouvertement déclarés, qu’ils soient réels ou virtuels ou idéologiques, en vertu du principe d’existence pas d’antisémitisme, pas de juif, c’est aussi simple que cela.

    Il est vrai qu’on ne prononce plus ces mots mais force est de conclure qu’il s’agit à peu près de la même chose.

    D’un autre côté, il semble qu’il y ait une légitimité de fond dans cette tentative, le politiquement correct a muselé la société, plus personne n’ose dire appeler un chat un chat, et l’on sait ou l’on pressent pertinemment d’où vient cette censure.

    Les même causes produiront les mêmes effets.

    Bien à vous.



  • 1 vote
    Ægidius REX 27 avril 2009 15:23

    Que la critique soit bonne ou mauvaise n’a aucune importance, il fallait l’écouter.

    Que peut-ce faire ? Ce ne sont que des opinions exprimées avec plus ou moins de virulence.

    Le critique a fait l’effort d’être lecteur et de donner son avis, où est le problème ?

    Quant aux nerveux de ce forum qui voudraient mettre des baffes ou envoyer un verre en plein figure, ce sont des primates, et rien d’autre.

    Que peut-on valoir quand on ne sait pas écouter, et qu’on n’a que la violence physique comme réponse ?

    D’autres se sont fait critiquer sur le même plateau, et sont restés très souriants, ils ont essayé de répondre avec courtoisie.

    Notez que le tutoiement y est pour quelque chose.

    Le tutoiement appartient à la racaille, il est déjà l’antichambre de l’insulte.

    Vous n’avez qu’à comparer le ton des fils de ce site où le vouvoiement aristocratique est de rigueur avec ceux empestés de racailles au tutoiement intempestif.

    Bien à vous.



  • 0 vote
    Ægidius REX 27 avril 2009 12:45

    Le premier qui interrompt a déjà perdu dans ce genre de confrontation, c’est vrai de tout entretien important.

    Au nom de quoi le futur critiqué ne veut-il pas écouter alors qu’avant la séquence proposée, il avait déjà parlé beaucoup ("ça fait une demi-heure que j’écoute") et que c’était légitimement au critique de parler et d’exposer son opinion ?

    Regardez le tout premier regard du futur critiqué, au moment où il boit une gorgée, l’incident est presque déjà prévisible, un regard extrêmement dur qui exprime à la fois crainte et colère, d’avance on devine que le critique n’aura pas droit à la parole.

    Le mot "tissus d’injures sans fondement" est manifestement inapproprié : le critique dit "il y a un moment où le délire atteint un tel point, le niveau des textes est au bord du délit culturel, ce sont des vers de mirliton non homologués, des niaiseries en stock".

    La réponse du critiqué est ne dis pas "délire, c’est méprisant de dire délire, je ne t’autorise pas à me juger, tu n’es pas mon juge".

    Tout le monde devrait voir que ça n’a aucun sens, le critique juge puisque c’est son métier.

    D’ailleurs, quand le critiqué est, par la suite, caressé dans le sens du poil et défendu par d’autres, tout d’un coup, l’autorisation semble être levée.

    Le critiqué ajoute : "moi, je viens discuter avec toi, pour qui tu te prends ? Tu fais l’inspecteur des travaux finis. Tu as le droit de dire que tu n’aimes pas mes vers mais tu n’as pas le droit de dire que c’est du délire ou que c’est de la merde".

    Quant à comparer l’entretien à une séance de thérapie, c’est véritablement délirant. Ce genre de rencontre n’a rien à voir avec une thérapie.

    Si le critiqué avait été un artiste, il aurait écouté la critique, quelle qu’elle soit, car il ne vient pas à l’esprit d’un artiste d’interrompre, il écoute, et dans sa réponse, il n’éprouvera nul besoin de renvoyer le jugement sur le critique.

    On sait très bien que très souvent le critique n’est pas créateur, il est donc inutile de le lui rappeler. Le public est-il créateur ? Le plus souvent non, et ça ne l’empêche pas de juger, de se forger une opinion, et de l’exprimer à sa manière.

    L’argument qui consiste à dire qu’il faudrait truffer ses propres jugements de "je pense que", "selon moi", "à mon avis", est tout à fait misérable, c’est une façon de botter en touche pour légitimer un refus d’écouter. L’interlocuteur n’a qu’à rajouter ces formules à intervalles réguliers pendant qu’il écoute.

    Même si le critique voulait nous infliger un jugement absolu, tout le monde sait qu’à la finale, ce jugement est relatif sans qu’il soit besoin de critiquer ce type de formulation qui n’est jamais qu’une manière de dire.

    Quand on se dit poète et qu’on ignore qu’après "après que", il n’y a jamais de subjonctif, cela signifie que sa connaissance de la langue est insuffisante, cela signifie qu’on n’a jamais lu ne serait-ce qu’une petite grammaire française ou un livre équivalent recensant les difficultés majeures de la langue, lesquels signalent automatiquement cette curiosité. Je sais bien qu’on n’est jamais à l’abri d’une faute de français ou d’une inadvertance mais ce sont des règles tout à fait élémentaires qu’un littérateur un peu sérieux ne peux pas ignorer. D’ailleurs, les grands écrivains classiques ne font pas la faute, tout simplement parce qu’ils étaient imprégnés de latin et de grec dans les siècles précédents. Cela signifie encore qu’on n’a pas assez lu les grands écrivains.

    Il faut écouter très silencieusement jusqu’au bout, sans interrompre, même une critique de très mauvaise foi, ce qui n’est d’aucune importance, non seulement parce que l’exagération desservira un critique trop sévère, mais aussi parce qu’elle contiendra toujours une parcelle de vérité que le critiqué s’enrichira à connaître. Car même une critique de très mauvaise foi est instructive.

    L’artiste nous a tout simplement prouvé qu’il n’était pas un artiste. C’est un simple marchand qui a eu du culot et de la chance, il n’omet d’ailleurs pas de nous vendre son livre et de nous inciter à l’acheter.

    Bien à vous.