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Les commentaires de poetiste



  • 9 votes
    poetiste 19 mai 2011 08:04

    L’humanité est en crise. On entend beaucoup parler d’une histoire de cul dans le monde entier. Une petite goutte d’eau aurait fait déborder le vase.

    Les trafics, l’argent sale, les mensonges pour envahir l’Irak, tout ça, c’est oublié. Oubliée aussi la violence des propos contre la « vieille Europe » lâche et ingrate sans reconnaissance du débarquement de 1944 parce qu’elle ne voulait pas s’engager dans cette guerre.

    L’Amérique puritaine va focaliser toute sa prétendue justice sur le cas de DSK pour y déverser ce qu’elle a de plus hypocrite, de plus honteux. Le réceptacle, le bouc émissaire est trouvé.

    Des tyrans sont renversés dans le monde arabe que l’on croyait définitivement acquis à la dictature du fait de sa culture.

    Un tsunami au Japon nous dit l’inconséquence de la recherche de profit au détriment de la vie des hommes et de femmes de ce pays.

    Il souffle dans le monde un vent dont on aurait tort de penser qu’il n’a pas de sens. Les signes sont là comme l’annonce d’un grand chambardement.

    Les mêmes qui vilipendaient l’Empire Américain hier se rallient aujourd’hui à son jugement : pas de pitié pour l’accusé non présumé innocent !

    Chez les politologues, sociologues, psychologues et tout ce qui finit en discours, on tergiverse, on ratiocine, on est très inquiet : une justice qui ne pardonne pas semble nous atteindre tous dans notre vie privée.

    Et l’on se dit que notre vie privée est peut-être à remettre en question, qu’il nous manque globalement une conscience et qu’elle devra s’exprimer.

    Peut-être découvre-t-on en ce moment que le laxisme ne rend pas intelligent, qu’il nous enfume subrepticement chaque jour.

    Le cas DSK serait-il le début d’un commencement d’une introspection en notre démocratie ? Un gros pavé dans la mare en tous cas et ce pavé semble peser bien lourd sur les épaule de DSK.

    Que celui qui n’a jamais péché…vous connaissez la suite. Il n’y a pas que chez les talibans qu’on lapide. Aux US, c’est plus subtil mais guère mieux.

     



  • 2 votes
    poetiste 18 mai 2011 10:07

    Croire en la justice et qui plus est en la justice américaine, c’est en effet prendre le relatif pour l’absolu. OK Machiavel !
    En remontant plus dans le passé : Kennedy élu avec l’aide de la mafia. Peut-être n’aurait-il pas dû la laisser tomber à Chicago.
    La Mafia New-New-yorkaise a toujours gangréné la police, la collusion est indéfectible.
    Une femme policier s’est déguisée en prostituée pour piéger un gus et l’emprisonner, pas dans l’État de New-York mais cela montre bien la phobie américaine de la sexualité qui serait coupable à leurs yeux. La traque et le love trap !
    Cette femme de l’Hôtel Sofitel était-elle un appât, une "chèvre", comme on dit et pas du tout ce qu’en dit la version officielle ; il faudra aussi le prouver.
    Aux US, après plainte pour "attouchements", il y a toujours présomption de culpabilité et on juge après avec beaucoup d’argent en jeu. On détermine même les points du corps, frontières entre la caresse et le viol. A dix centimètres près vous devenez violeur.
    Vive la loi Guigou et la présomption d’innocence !!



  • 1 vote
    poetiste 17 mai 2011 21:40

    Le conte d’un fait serait peut-être bien le règlement de compte d’une mauvaise fée. Elle aurait pour nom la fée nation américaine et DSK aurait mal entendu. Du coup, je réclame la relaxe de DSK votre honneur.

    Ce pauvre DSK qui a été confronté à une autre fée, celle du puritanisme américain qu’on appelle la fée Rosse. C’est encore une histoire de cul bidon, on adore ça aux US.

    Bravo pour le journal de personne !



  • 1 vote
    poetiste 17 mai 2011 21:35

    Le conte d’un fait serait peut-être bien le règlement de compte d’une mauvaise fée. Elle aurait pour nom la fée nation américaine et DSK aurait mal entendu. Du coup, je réclame la relaxe de DSK votre honneur.

    Ce pauvre DSK qui a été confronté à une autre fée, celle du puritanisme américain qu’on appelle la fée Rosse. C’est encore une histoire de cul bidon, on adore ça aux US.

    Bravo pour le journal de personne !



  • 1 vote
    poetiste 17 mai 2011 19:34

    @ fwed
    Chneidermann ne fait pas du journalisme couché mais dans le journalisme d’alcôve, il semble exceller. Il parle de couche peut-être parce qu’il ne couche pas, puritain comme un Américain.
    Permettez-moi de ne pas aimer ce genre de personnage et d’aimer être à côté de cette plaque quand elle ne me plaît pas. Je me souviens d’un temps où une délation pouvait engendrer une mise à mort, étant né avant la deuxième guerre mondiale.
    Ceci dit : bien cordialement, je respecte votre opinion. Vous avez le droit absolu de ne pas être d’accord avec moi, évidemment.
    Mais où est donc la plaque ?? C’est là la question. Endroit réel ou appréciation subjective ??Je ne prendrai pas le risque de croire que je suis le seul à connaître l’endroit, ça me ferait gonfler les chevilles.



  • 6 votes
    poetiste 17 mai 2011 16:08

    L’inquisiteur n’est pas un personnage très plaisant, je n’en ferai pas un ami. Il se délecte de la faute comme s’il était blanc comme neige. Ce genre d’hypocrisie est courant. Voir : "le bouc émissaire" de Réné Girard. Je n’aime pas Schneidermann.
    Le cinéaste, en revanche, parle de pulsion au dessus de l’ambition, ce qui a été le cas pour Zidane et qui semble avoir été le cas pour DSK . Il a aussi mentionné que la discussion à chaud à ce sujet pouvait avoir quelque chose d’indécent. Je n’ai pas vu le nom de cet homme de bon sens.
    Le corps a parfois des raisons que la raison ignore. Il est difficile de déterminer la frontière entre la drague et le viol. Mais qu’une femme de ménage entre dans une chambre au Sofitel quand le client prend sa douche, ça me semble bien suspect !!
    De plus, aller fouiller dans le passé pour la mise à mort du présumé innocent, je trouve cela d’une lâcheté qui n’honore pas ceux qui pratiquent ce genre de délation.
    Non ! Je n’aime pas Schneidermann. Ce genre de gus aurait jeté la première pierre sur la femme adultère. Je n’aime pas les Javert ou l’obsession de l’accusation, les Savonarole de la morale non plus, et il est les deux.
    Un peu de pudeur ! Le cinéaste en avait : merci à lui.



  • 2 votes
    poetiste 17 mai 2011 08:55

    Il ne faut pas oublier non-plus la frustration des internautes sur les forums qui se manifeste par la haine et des propos infantiles.
    C’est si facile d’enfoncer le clou anonymement pour ne pas dire que c’est lâche.
    Je ne défends pas DSK, je défends agoravox ; je défends l’interactivité qui nous est offerte.
    On a le droit de réfléchir avant d’écrire et de céder à l’invective.
    La liberté d’expression , ça se mérite.
    Les médias unilatéraux (sans interactivité) ont beau jeu de dire que nous sommes : "la poubelle du NET" après les analyses dont je viens de prendre connaissance sur ce forum.
    La sagesse voudrait que l’on reste dans l’expectative et qu’on attende le verdict de la justice américaine quand bien même celle-ci serait basée sur le fric et serait puritaine sans mesure.
    Je ne défends pas BHL non plus, je le fustige à l’occasion, mais ce qu’il a dit sur France Inter pour défendre un ami était correct. Je souhaite à chacun d’être défendu comme ça dans l’adversité.
    Le le répète : la liberté d’expression, ça se mérite, on a risqué sa vie pour ça de l’autre côté de la Méditerranée.



  • 5 votes
    poetiste 17 mai 2011 08:19

    Allez, Monsieur Bender, prenez un bâton, et tapez très fort sur celui qui tombe, achevez-le alors qu’il n’a pas encore été légalement jugé. Allez-y de vos injures ; pas de pardon pour l’homme seul au prises avec une justice hypocrite et puritaine.
    Ah ! Monsieur Bender, vous ne pouvez pas vous servir de ce bâton pour rouer de coups un menteur criminel américain du nom de Bush. Ah ! Vous seriez anachronique, n’est-ce pas ?
    Et celui-là, il est indéboulonnable : l’Irak, c’est autre chose qu’une histoire de cul, autrement plus meurtrier.
    Vous voulez répondre "en temps réel", selon vos réactions du moment dont l’objectivité est plus que relative.
    Vous entrez de plain pied dans la dramatisation médiatique sans mesure réelle du problème.
    Est-ce la presse unilatérale qui crie haro sur le bouc émissaire qui vous inspire ?
    Sur un site interactif, on a le droit de se comporter différemment, de ne pas entrer dans le délire spectacle médiatique habituel.
    Attendons le verdict, il faut savoir raison garder.
    Cordialement !



  • 1 vote
    poetiste 16 mai 2011 13:11

    Un chaud show qui me plaît, à faire avec fair play. Oh, je vais m’étrangler avec mon franglais.
    Des puns sans peine, acrobaties verbales. Et voici les corporelles :
    Chapeau les artistes ! Quel travail ! Amazing and Amusing !



  • 1 vote
    poetiste 16 mai 2011 09:54

    Ben si c’est vrai, mon colon, le président Sarkosy aura une bourde de plus à son actif : avoir posté un violeur au FMI . Le BCBG : DSK aurait disjoncté ?
    Mais attendons que la justice ait donné son verdict. Toute précipitation dans le jugement serait hasardeuse. Il a peut-être des ennemis très malins, DSK.
    La présomption d’innocence doit être la règle en un tel cas et je ne hurlerai pas avec la meute.



  • 1 vote
    poetiste 14 mai 2011 17:58

    Voyons donc la "christianophobie" au Pakistan .

    Sauver Asia Bibi.

    Vu à la télé : Au Pakistan, des musulmans ont des verres pour le cas où des chrétiens viendraient boire chez eux et des verres pour les musulmans. On ne prend pas les mêmes verres.
    Je dirais à ces musulmans obscurantistes du Pakistan entraînés à l’absurdité par les mollahs que les vers qui les fréquenteront dans la tombe se délecteront autant d’un musulman que d’un chrétien.
    On peut proposer un pas qui s’tend ou une main qui s’tend vers des personnes qui se servent de leur cerveau mais là, le logiciel religieux de la haine a tellement abruti ces pauvres gens que c’est peine perdue.
    C’est consternant comme on peut manipuler des esprits pauvres, comme on peut les exploiter matériellement et moralement. On voyait aussi des gens cracher sur l’effigie du pape. Toute une meute de gens qui vocifèrent contre ce qui n’est pas de leur culture.

    Le sort des musulmans de France, c’est le nirvana à côté de celui des chrétiens au Pakistan.

    Et le Pakistan possède la bombe atomique, convoitée par les talibans !

    Tout un pan extrémiste de ce pays contre Asia Bibi, une chrétienne. Une foule remontée, chargée à bloc de violence contre une  femme, mère de famille.

    Qui dira que l’islamisme n’est pas une aberration, un danger pour l’humanité ?

    Comment distinguer la lettre et l’esprit quand il n’y a pas d’esprit et qu’en plus on n’est pas lettré mais analphabète ?

    Et la stratégie des pays riches continue à attiser cette violence, à coloniser les pays pauvres par sa technologie. La relation de cause à effet, cet extrémisme, est imputable au néocolonialisme dont le label de violence est le profit sans considération humaine et sans état d’âme.

    D’un côté, des âmes marquées au fer rouge, tatouées à vie par des croyances moyenâgeuses et de l’autre un impérialisme sans conscience, sans vergogne et sans honneur.

    Les ingrédients de la catastrophe finale sont en place. Les protections des riches ne sont pas inexpugnables.

    Il n’y a aucune raison d’être islamophobe en France mais il y a des raison de l’être au vu de lois tyranniques comme la fatwa ou la peine de mort contre le blasphème exercées au Pakistan.

    Que le particularisme vestimentaire ne dérive pas vers une superposition à nos lois de ces lois religieuses inadmissibles en France, incompatibles avec les nôtres.

    Il faut sauver Asia Bibi qui ne doit pas être soumise à une loi coranique, pas plus que les musulmans qui ont été condamnés comme elle au Pakistan.

    La laïcité a plus de deux mille ans : "Il faut rendre à César ce qui est à César et à Dieu, ce qui est à Dieu". Premier principe de séparation de la religion et de la politique.

     



  • 2 votes
    poetiste 12 mai 2011 23:37

    Une idole

     

    La religion socialiste ressort ses idoles. Certes, Miterrand n’était pas un quelconque président, il en avait l’étoffe et le machiavélisme qui convient à la fonction dans un monde politique qui ne fait jamais sa légitime place à la vérité. (Dixit : De Gaulle).

    Miterrand était un homme cultivé, on peut regretter ça, en avoir la nostalgie dans le contexte actuel. Cependant, le culte qu’on lui voue a quelque chose de « gaullien » qui ne va pas bien avec une politique de gauche, censée être révolutionnaire.

    Le petit Jospin est le premier à faire son panégyrique, pourtant Miterrand ne l’appréciait pas bien mais en politique, il faut rester dans le rang ; c’est l’électeur qui décide et lui aussi a besoin d’une idole, il ne faut pas le contrarier.

    Nous avons une gauche très conventionnelle, une gauche molle, électoraliste mais certainement pas une gauche révolutionnaire. Le pouvoir est à l’argent et cette gauche ne saura le lui ravir.

    Ce personnalisme socialiste est une espèce de bouée de sauvetage à laquelle on se raccroche quand le bateau a sombré. Ce n’est pas une idole qui vient à manquer mais une idéologie plus en faveur des plus démunis en notre douce France et le parti socialiste n’a pas l’énergie et la conviction suffisante pour nous la proposer.

    La confusion est semée depuis longtemps du fait que le parti socialiste s’est laissé atteindre par mimétisme à une idéologie de droite, libéralisme économique qui en arrange bien quelques uns, disons : une minorité.

    Rien ne ressemble plus à une élite de droite qu’une élite de gauche et des gars comme Mélenchon tentent de sortir de cette glu, gênés qu’ils sont aux entournures.

    On peut attendre longtemps un « printemps révolutionnaire de gauche ». La démocratie n’est pas une aspiration dans un pays de consommateurs et d’enfumage médiatique.

    Il y a des non-dits et une aboulie qui ne peuvent que désespérer ceux qui ont soif de vrai socialisme dans le parti socialiste et des luttes intestines comme cerise sur le mauvais gâteau.

    Ah ! Le pouvoir ! Ah ! L’argent ! Ah ! Le non partage et la sourde oreille ! Ah ! Socialiste ! Le culte de la personnalité ne te donne pas l’identité à laquelle on s’attend d’un parti du peuple.

    Et le pire, la sanction, c’est que le populisme d’extrême droite vient détourner les aspirations de ce peuple en manque de vérité.

    De profundis, parti socialiste ou printemps comme de l’autre côté de la Méditerranée ? Il n’est plus le temps d’usurper le mot « socialiste », le peuple souffre de relégation, de votre impuissance dont il hérite.

    Toutefois,Mélenchon a des accents de vérité et nous ferait croire que rien n’est perdu, que le socialiste partageur existe encore. Un bravo pour le discours.

     

     

     



  • 3 votes
    poetiste 12 mai 2011 15:21

    BHL vient encore de dire une ânerie, il n’y a pas de quoi se formaliser, c’est sorti tout seul de ses neurones surchauffés et des embouteillages de ses synapses.
    Il ne repose pas assez sa langue ce gus qui se mêle de tout, qui donne son avis sur tout ce qui bouge. Pas un seul sujet qui ne le pousse à donner son avis, avis dont on se passerait bien au demeurant.
    Boycotter la Corse ! Il veut foutre la zizanie en France ou quoi ? Il veut provoquer une guerre civile. Il se prend pour Bonaparte et fatigue Lætitia , la maman du susdit qui doit se dire dans sa tombe : "pourvou qué ça né doure pas".
    Il a encore perdu une occasion de se taire, ce phénomène en représentation !
    Boycotter la Corse, c’est fort de café corsé, ça finit par être énervant d’entendre de telles inepties. Lætitia m’a confié cela :
    "Bernard Henri, mon garçon, tu as les moyens ; il existe d’excellentes stations de repos, ne les boycotte pas. Ensuite, tu auras le droit de revenir te faire voir à la télé et tu essaieras de ne pas en dire de si grosses, OK ? Et ne te prends pas pour mon fils adoptif, j’en ai déjà plein dans les institutions spécialisées"
    Au point où on en est, autant raconter n’importe quoi, n’est-ce pas ?



  • 1 vote
    poetiste 12 mai 2011 09:17

    Les "sommets de l’insolence" sont des flagorneries déguisées. Il manie bien l’antiphrase le Bedos. C’est peut-être drôle mais pas de l’humour sérieux, je veux dire édifiant.
    Il en fait son spectacle mais ne s’engage pas et sans péril, pas de triomphalisme et pas de gloire, SVP.
    Il ne va déranger personne ce comique, on ne lui fera pas de procès. C’est un amuseur public efficace mais ne soyons pas dupe de ses intentions, il ne va pas mettre son affaire en péril, il n’en a pas le panache.
    Son père prenait plus de risques que lui. Le fils à papa est un fils à papa qui ne gère pas l’affaire avec autant d’opiniâtreté.
    Il vend un produit pour consommateurs dans la tendance du moment, selon laquelle tout s’achète et tout se vend.
    Ne pas prendre de risques, ça n’a pas le goût de l’aventure, c’est de la pichenette. Un bouffon de plus pour une République de plus en plus "bananière".
    Il est dans le vent de la distraction qui est la nouvelle formule pour régner. Distraire pour diviser, il est dans cette mouvance avec les médias habituels, complices des gros pleins de sous.
    Et du coup, il ne pointe pas au pôle emploi : CQFD.



  • 5 votes
    poetiste 12 mai 2011 08:48

    Absolument vrai ! Les conneries politiques et médiatiques sont sans aucune pudeur, elles se montrent à nu dans leur plus profonde débilité. L’imbécile regarde le doigt quand le doigt montre la lune ; journaliste et politiques français ne se privent pas de ce simplisme à leur portée.
    On va devoir rappeler à ces gamins idiots qu’il existe des arguments intelligents et constructifs, respectueux de ceux qui les regardent et les écoutent, simple question d’éducation civique.
    Peut -on tomber plus bas dans la bêtise médiatique ? Voilà la question ! Et que des politiques jouent ce jeu idiot, c’est plus qu’impudique, c’est à vomir.
    On en est arrivé à descendre en flèche un politique pour un lapsus qu’on appellera une bourde ou pour un détail comme une verrue dans le contexte.
    C’est la politique du pire question débilité et le malheur est que ça rapporte ; il y a des clients pour ça !
    Un animateur télé ou un journaliste qui a suscité un "débat" pour une telle ânerie, va toucher son salaire sans vergogne à la fin du mois. Comment voulez-vous que l’on ait envie de travailler honnêtement après ça ?
    On peut encore espérer que le Français qui se respecte ne votera pas en fonction de la marque de voiture du candidat, autrement l’intoxication médiatique crétine aura encore gagné de quoi se faire du fric avec des insignifiances.
    On fait fric de tous bois dans les médias unilatéraux (sans interactivité), surtout si le bois est pourri.



  • 5 votes
    poetiste 11 mai 2011 13:53

    @ Bender
    Je pense qu’il ne faut pas anéantir Zemmour car il est un thermomètre qui nous donne la température Figaro, UMP. Nous pouvons ainsi mesurer l’ampleur de la mauvaise foi et du cynisme, la collusion avec les gros pleins de sous.
    Ne cassons pas le thermomètre !
    Zemmour : un instrument de mesure dans la démesure, une caricature qui nous révèle le réel machiavélique du personnage et de son clan.
    Nous pouvons nous presser d’en rire sans être obligés d’en pleurer. C’est un figaro qui nous rase mais qui nous dit aussi le danger de son inconscience et celle des siens sur l’échelle de "riche terre".
    Laissons parler ce vibrion médiatique ! Il dit aussi la profondeur de l’abîme, c’est instructif.



  • 3 votes
    poetiste 10 mai 2011 22:51

    La connerie c’est l’inverse du bon sens : chacun est persuadé d’en être dépourvu, particulièrement ceux qui en ont une bonne dose.
    La connerie s’accommode bien de la violence, de la critique facile qui injurie plutôt qu’elle ne démontre quoi que ce soit.
    Plus t’es con, plus tu trouves l’autre con, c’est ça le syndrome de la connerie, le malade qui ne se reconnait pas malade et s’affiche en tant que référence d’une bonne santé mentale.
    Plus tu es intelligent, plus tu es un miroir pour le con qui se regarde dedans mais ne se reconnaît pas ; il critique le miroir.
    Il y a des degré dans la connerie et elle peut se surpasser dans la médiocrité, descendre dans les abimes et ne jamais remonter.
    Il est étonnant d’avoir une passion pour les cons, et même d’avoir de la compassion car ils sont toujours consternants.
    Moi, je la trouve bien cette vidéo, quitte à passer pour un con. Je suis con dans le sens de "cum" qui veut dire "avec", donc convivial. En ce sens ce terme me va bien. C’est le préfixe que je préfère.
    Et se moquer de sa propre connerie est une élégance qu’un con ne peut pas avoir. A bon entendeur, salut !



  • 8 votes
    poetiste 10 mai 2011 20:20

    Zemmour a encore frappé par son cynisme qu’il prétend réaliste mais il a la mentalité d’une petite frappe sans morale.

    Aucune place à l’utopie dans la toupie qui tourne dans sa tête. Zemmour a décidé que la stratégie des nations était sans état d’âme et devait le rester.

    Zemmour sans amour est petit mais grandement frustré. Sa rage d’imposer son point de vue n’a point de vue plus longue que son raisonnement borné.

    Il veut jouer les cyniques, les blasés, celui qui a tout vu, tout compris mais il n’a pas fait la guerre. S’il l’avait faite un jour, il aurait compris que le cynisme existe en l’homme mais aussi des qualités extraordinaires dont il n’a pas idée.

    Il n’a jamais mis les mains dans le cambouis, il est dans sa tour d’ivoire et forcément dans sa tour de ne rien y voir. Il ne donne aucune chance à l’humanité, c’est un grand désespéré.

    Vendre des armes pour créer de l’emploi, voilà une idée « qu’elle est pas bonne », comme aurait pu dire Coluche. Laisser des tyrans repoussants exterminer leur peuple et laisser faire, voilà bien ce que l’on appelle du mépris de la vie.

    Diminuer la fabrication d’armement de concert avec toutes les nations, c’est la solution. Quant à s’ingérer dans les dictatures qui ne respectent pas les droits de l’homme, on pourrait imaginer une force qui soit neutre et internationale non pilotée par les US.

    L’ONU ne semble pas avoir plus de crédit auprès de certains peuples que la vieille SDN d’avant la guerre. IL y a forcément une contradiction entre souveraineté et ingérence et le principe ne manque pas d’hypocrisie quand les nations qui interviennent n’ont justement pas d’état d’âme et une mentalité à la Zemmour.

    C’est le cynisme qui est à combattre, c’est lui qu’il faut éliminer. Sans cette utopie, compte tenu des moyens de destruction dont nous disposons, c’est la cata finale.

    Le principe d’ingérence dérange les dictateurs en place. On voit bien ceux qui s’y opposent, ne sont pas les plus démocrates.

    Un peuple qui réclame une démocratie, qui veut se libérer de la dictature, comment une démocratie peut-elle proposer de venir en aide à ce dictateur ? Notre vieille démocratie fatiguée pourrait avoir un peu plus d’honneur, de moralité.

    Autrement dit : Zemmour, Alliot Marie, même combat ! Rien n’est simple, il y a beaucoup à clarifier pour tuer le cynisme mais on le vaincra.

    La révolution, c’est l’utopie qui fait avancer le monde et elle est l’aspiration du peuple. Vox populi, vox Dei ! Il n’y a pas de règles autre que l’engagement si on croit à des valeurs plus nobles que le pouvoir et l’argent.

    Et Zemmour ne voit pas dans l’histoire qu’il prétend connaître ce qui est du progrès, des valeurs humaines et ce qui est de la stratégie mortifère, sans morale, sans état d’âme.

    Zemmour est sec et veut rester sec, avec une optique vers ce qui est sec. Il faut le comprendre : sa guerre à lui, n’est que verbale, elle n’est pas d’expérience. C’est un jeunot à qui on a donné trop de voix au chapitre et qui ne s’est jamais confessé dans la salle du chapitre. Qu’il fasse un stage au couvent, il aura beaucoup de choses à y dire.



  • 3 votes
    poetiste 10 mai 2011 08:29

    Dans le vulgaire et la violence, Soral est orfèvre. Il a pris délibérément l’option populiste ; la politique du pire. Il n’est pas ma tasse de thé.
    Ce qu’il vomit sur Guillon, ça sent la haine à plein nez.. Il me rappelle des temps sombres de l’histoire où l’injure prévalait sur toute réflexion constructive et intelligente.
    Aucune considération de l’autre, de la démocratie : politique de la jungle, quelque chose de rétrograde à l’extrême, jusqu’à l’animalité.
    Éloignez de moi ce personnage malsain !!
    Soral : l’attraction de la mort et du vide qui se déguise en personnage social.
    Mais il reste vrai que la sanction d’un parti socialiste inconséquent, c’est que ça a engendré des gus comme lui.



  • 9 votes
    poetiste 9 mai 2011 20:58

    L’incroyable.

     

    Il ne manque pas de culot ce Wauquiez. Il n’a même pas dit son salaire !!!

    S’il avait déclaré publiquement ce qu’il gagnait, il n’aurait plus eu besoin de vouloir nous démontrer quoi que ce soit du « cancer social », on aurait compris tout de suite.

    Il y a des gens comme ça qui se rassurent autant d’un gros salaire que de savoir que d’autres galèrent comme ce n’est pas possible.

    Je suggère que tout ministre devrait faire un stage de vie à 500 euros par mois pendant six mois avant d’entrer effectivement au gouvernement. Il n’y aurait que cette méthode drastique pour leur déboucher la comprenette.

    Wauquiez est toujours le préposé aux déclarations casse pipe, piloté par le gouvernement Sarkosy. Il prend son comptant d’impopularité le gus, tout ça par servilité le pauvre martyr.

    Mais sil veut avoir toujours la même avance sur les gars au rsa, il doit se bouger dans les médias et tenter de convaincre que son idée n’est pas visqueuse.

    Demandons au pauvre Wauquiez de nous révéler ce qu’il récupère en un mois avec sa fonction, la discussion deviendra plus claire.

    Mais avons-nous vraiment mérité un tel gouvernement avec des solutions de bouts de chandelle et jamais de véritables solutions de partage des biens ?

    Il n’y a rien à attendre d’une politique élitiste en matière de fric. Ça s’appelle de la démocratie décadente à base de mauvaise foi.

    Allez, braves gens ! Travaillez gratos ! Et moi je m’en fous plein les fouilles. C’est gonflé comme proposition et ça manque vraiment d’imagination positive pour les plus démunis.

    Wauquiez, on ne le sent pas à l’aise, il ne fait pas le mec qui pourrait croire à ce qu’il dit. On sent la contradiction qui le ronge et la méthode Coué qu’il s’impose.

    Ah ! Il est dur le gouvernement de Sarkosy !