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Les commentaires de poetiste



  • 1 vote
    poetiste 8 mai 2011 10:40

    Bluff.

    Un Ben Laden chasse l’autre. Il y aura toujours une réaction dite « terroriste » au terrorisme de l’empire américain.

    Il y a une réalité du monde, des réalités de civilisations différentes mais aussi la réalité d’un empire déconnecté humainement du monde, virtuel, qui voudrait régenter les autres formes de civilisations : La fameuse « American way of life », chemin dans les nuages de l’empire dollar avec le mythe de superman pour renforcer sa virtualité.

    A l’extérieur, une stratégie sans états d’âme, une politique de pillage de ressources, une ingérence militaire comme les pions qu’on avance pour une partie d’échecs.

    Et cette polarisation sur Ben Laden pour distraire les braves gens, faire porter tous les péchés du monde à cet opposant qui ne serait rien sans le terrorisme qui frappe l’opinion.

    Et jamais une remise en question côté US ; toujours ce triomphalisme de pacotille plus la stratégie du mensonge comme pour l’Irak, un temps où la CNN parlait de l’ingratitude de la vieille Europe qui n’entrait pas dans cette guerre, et la France qui ne méritait pas l’aide apportée au débarquement de 44. Drôle de mots dans les Bush des USA.

    Ils nous prennent vraiment pour des pommes les obsédés du business outre Atlantique ! Au bas mot, Obama se fait le digne héritier de Bush. On nous mène en bateau jusqu’à une statue de la liberté qui n’éclaire plus bien le monde.



  • 1 vote
    poetiste 6 mai 2011 13:48

    Oh parasite ! Si je veux me présenter aux prochaines élections municipales, il va falloir que je planque ma Xantia 2,1 turbo D.
    Avec les références politiques que l’on observe dans ce forum, au ras des pâquerettes, je vais faire des jaloux.
    Et il n’est pas étonnant que ce soit l’ex ministre des "Auvergnats" qui nous mette de l’huile sur l’Hortefeux pour attiser ce genre de conneries. C’est quand il y a plusieurs gus comme lui que la gabegie arrive et que le roi ne fait plus que 20% dans les sondages.
    A parler de la Porsche tranquille, avec un tel jeu de mots, il fait chauffer ses trois neurones et on comprends qu’il ne soit pas roux naturellement.
    De grâce,ne descendez pas au niveau des arguments politiques de ce gus ou vous faites son affaire ; il n’attend que ça de ravaler par le bas : abêtir pour mieux régner.
    Ne glissons pas dans l’abîme du sarkosisme !
    Faudra-t-il dorénavant mettre la marque de sa bagnole sur l’affiche électorale ? Eh ! La politique, ce n’est pas se polariser la dessus, c’est un peu plus compliqué,ça demande un peu de réflexion.



  • 4 votes
    poetiste 4 mai 2011 14:34

    Nostalgie.

    Jospin le revenant. N’ayant pas marqué l’histoire, il revient la visiter. Il donne son avis, il est encore écouté au parti socialiste, il est toujours accroc de la télé pour se faire mousser dans notre monde en représentation.

    L’homme des bourdes et des échecs, le « pion », comme l’appelait Miterrand, est bien pathétique.

    Cependant, son appel à ne pas laisser tomber les démocraties naissantes en Afrique et au Moyen Orient, ça met du baume sur ses échecs du passé.

    Quant-à Canteloup, je ne prise pas les singeries de dessous les préaux d’écoles primaires dans la complicité d’un enfumage médiatique propre à baisser le niveau culturel des Français.

    Qui dit baisser le niveau culturel dit baisser l’esprit révolutionnaire car se sont les esprits éclairés qui font la révolution, la remise en question des dysfonctionnements, la lutte contre les tendances tyranniques.

    Ces prestations dites humoristiques n’engagent absolument pas leurs auteurs qui contribuent à la distraction, à l’enfumage dont certains se réjouissent, placés un peu plus haut dans l’échelle de « riche terre », responsables des tremblements, des centrales nucléaires vulnérables, des crises financières et des guerres.

    La guerre financière est une guerre portée par des avions furtifs ; on ne les voit pas arriver. Les drones en sont les drôles et ces mauvais clowns se clonent à l’infini.

    Distraire pour mieux traire (la vache à lait, le peuple !), ça fonctionne.

     



  • 3 votes
    poetiste 4 mai 2011 11:01

    @davideduardo

    Rions, petit loup !

     

    L’humour, ça rime avec l’amour, il en résulte que ça ne rime pas avec l’insulte. L’humour sans élégance, c’est l’abus de la boue toute honte bue.

    Mais c’est surtout facile, donc quelque peu imbécile. Il y a la manière de dire pour favoriser une bonne manière de rire. Rien de ce qui est hâtif n’est exhaustif.

    L’humour est une science, pas la violence.

    Ceci dit : Je défendrai le droit de rire bêtement afin que l’on puisse prendre la mesure du rire intelligent. Pour le rire, il est interdit d’interdire.

    Quand Déprosges disait : je suis un nanti, un nanti juif, l’élégance de son humour montrait bien le deuxième degré, l’antiphrase.

    Et il s’adressait aux juifs de la salle ; c’était de l’humour interactif, pas du guignol avec singerie sans droit de réponse.

    Il faut dédramatiser l’humour pour en libérer toutes les tensions. Passons à l’humour « bio » qui fait le rire édifiant, bon pour la santé, pas le rire hystérique qui ravale par le bas car c’est bien là que le bât blesse.

    La démocratie compte trop de bouffons improvisés pour un peuple plus complaisant qu’un roi. Rappeler aux bouffons d’aujourd’hui qu’à vaincre sans péril, on triomphe sans gloire. Les imitations singeries, ce n’est ni de Voltaire ni de Molière, trois fois hélas !

     

     



  • 26 votes
    poetiste 4 mai 2011 10:07

    in vino veritas : Véronique n’est pas restée sans son et sa réflexion sur l’ADN a provoqué une certaine gêne.
    Le grand journal de canal plus s’est transformé d’un coup en petit journal de canal moins, ce qui n’est pas inhabituel.
    L’éthylisme d’un côté et l’élitisme people de l’autre, deux accoutumances graves, solutions de facilité qui conduisent à l’aliénation.
    Ah ! Décadence ! Quand tu nous tiens !



  • 4 votes
    poetiste 4 mai 2011 09:46

    Ce sont surtout les soixante huitards qui tardent.

    La révolution est consécutive à une faculté d’indignation devant l’injustice sociale, les collusions entre les religieux, censés donner un ordre moral, et les tyrans qui n’ont d’autre tropisme que celui du pouvoir, cette illusion paranoïaque endémique chez l’homme.

    Jusqu’à quel point faut-il souffrir pour en arriver à réclamer justice et partage ? Jusqu’à quel point un homme doit-il souffrir pour comprendre qu’il n’est pas dans cette conscience révolutionnaire ?

    On ne refait pas le monde ; on ne refait pas un homme, on se refait seul si on a un peu d’exigence en soi de respect des autres et de partage avec eux.

    Qu’on ne me dise pas que les gens « qui ne font de mal à personne » ne font pas de mal. Rester insensibles à la révolution des plus pauvres, ne pas entendre leurs plaintes, c’est être complice de la tyrannie.

    Alliot Marie avait tout faux en voulant défendre Ben Ali ? C’est maintenant qu’il est urgent d’apporter un soutien à la Tunisie et aux pays où l’on ose risquer sa vie pour la démocratie.

    Une solidarité qui doit être profitable à tous autour de la Méditerranée.



  • 1 vote
    poetiste 4 mai 2011 09:18

    Fair play

    L’écho des quotas n’a pas fini de résonner et de faire raisonner de travers dans les vallées françaises.

    Un beau match avec uniquement des personnes à la peau noire défendant les couleurs françaises, ça peut montrer qu’on n’est pas regardant à des détails qui n’ont rien à voir avec le sport.

    Le stéréotype du dribbleur blanc malin et de la brute noire pour passer les rangs de l’adversaire, si ce n’est pas du racisme, qu’on m’explique.

    Quand va-t-on arrêter de se polariser sur des différences ? Bon ! Vous me direz : ça donne du travail à Zemmour, ça l’occupe.

    Qu’en termes élégants ces choses là sont dites. Ah ! Ça lui va bien à notre Zemmour médiatique unilatéral national de citer le misanthrope.

    Voilà une citation qui résonne bien dans son raisonnement. Il essaie de justifier les quotas tout en simulant son opposition à ceux-ci.

    La racine du racisme, il en reste toujours des radicelles. Et ça fait des discussions mises en trop pour misanthropes, xénophobes et dribbleurs malins de tous poils qui pensent avoir des idées faute d’avoir le talent.



  • 2 votes
    poetiste 3 mai 2011 14:19

    Tous les tyrans sont repoussants.

     

    Journal de personne : Tu as raison de mettre Ben Laden au Ban de l’Eden aux 70 vierges ? Qu’il aille au paradis des violents et des machos ? Il faut prévenir ses copains, leur dire que l’illumination spirituelle n’est pas le clinquant des armes de guerre et l’asservissement des femmes.

    Tant qu’à inventer un dieu, autant qu’il soit sympathique, qu’il aime ce qu’il fait, sa création. Ben Laden avait inventé un dieu exterminateur à son image mais le pire est qu’il ait trouvé des adeptes, qu’il ait entraîné de jeunes musulmans dans de folles croisades.

    Quand de tels énergumènes deviennent des références religieuses, c’est que les « contrevérités » qui émaillent les vérités, prennent trop de place dans l’imaginaire des croyances, toujours arbitraires.

    En religion, à vouloir trop en faire, on finit en enfer, c’est là la question (celle de l’inquisition).

    Mais côté finances, côté pétrole et pétrodollars, il y a des âmes noires qui le valent bien qui même le dépassent et on ne focalise pas sur ces anonymes. Ils se cachent derrière les buissons (Bush, en Anglais). Combien de Ben Laden anonymes de chaque côté de la traque ?

    Le pire des hommes ne sera jamais qu’un faux bouc émissaire.

    Notre culture prétend que c’est au meilleur des hommes que l’on fait porter tous les péchés du monde.

    Regardons donc plutôt du côté des hommes de bonne volonté que l’on assassine.

     

     



  • 1 vote
    poetiste 3 mai 2011 13:29

    C’était un homme qui forçait l’admiration de tous, y compris dans le camp politique adverse. Un homme dont la mort nous touche, forcément car le mot qui convient pour un tel homme est :"probité" !
    Que ses proches reçoivent ce message de respect et des condoléances sincères. Et souhaitons que d’autres suivent sa trace en notre douce France.



  • 3 votes
    poetiste 2 mai 2011 15:08

    "Hou ! ça m’a" l’air d’être une entourloupette. On n’a pas jeté cet homme dans une housse ou à la benne ni dans une machine à laver dont je tairai la marque.
    C.I.A, Ça y est, il est mort, glorifié par la déesse au sang Bush, (La renommée américaine).
    Attendons la suite du feuilleton. Si c’est vrai, il va y avoir le syndrome du martyre chez certains croyants bien que logiquement, le gus en question serait plutôt promu vers l’enfer.
    Si lui n’est pas élu au paradis des 70 vierges, il y en aura un autre qui sera élu outre Atlantique, effet des vases communicants.
    Quel mauvais film avec une mauvaise pièce à conviction ! Encore un feuilleton américain pour nous faire oublier notre culture. (Enfin, ce qu’il en reste ).



  • 1 vote
    poetiste 29 avril 2011 23:36

    Zemmour le misanthrope , forcément, devient le "mis en trop" à force d’exaspérer les gens. Il se prononce sur tout, même s’il est sec sur le sujet, voilà un cas de brutalité obscurantiste et péremptoire qui caractérise bien le personnage.
    Zemmour déborde ; il s’installe à une place qui ne lui est pas réservée. C’est le cheveux sur la soupe, le clown de l’intervention intempestive et inappropriée, mais un clown plus navrant que drôle.
    C’est un archiviste de la connaissance historique qu’il voit au travers d’un prisme bien subjectif.
    Qu’il ne vienne pas manipuler les évènements graves du présent , comme l’exploitation des schistes avec ses raisonnements du passé.
    Passons à autre chose. Cet homme n’est pas habilité à parler de ce sujet. Je crois qu’il a fait l’unanimité contre lui sur ce site interactif. Si ça pouvait lui faire comprendre que l’on n’est pas dupe de sa propagande de presse unilatérale anesthésiante, mais ne rêvons-pas !



  • 2 votes
    poetiste 28 avril 2011 11:49

     C’est Jospin qui a vendu la communication, ce bien public et aussitôt les gens spoliés de ce bien public ont acheté des actions.
    Imaginez qu’on vous prenne votre montre sans que vous vous en aperceviez et qu’on vienne vous dire que vous pouvez la racheter en actions.(Vous ne récupérez pas la montre, vous payez : montre+ actions).
    Imaginez que ces actions baissent.
    Vous avez perdu la montre + la dévalorisation des actions achetées.
    Et ce sont des "socialistes" qui ont joué à ça !!
    Il y a du mou dans l’indignation au royaume démocratique de France.
    Le bien public est dilapidé pour cause de communauté européenne intégrée à la mondialisation sans régulation.
    Et les "gros pleins de sous" de rigoler dans leur résidences de rêve.



  • 11 votes
    poetiste 27 avril 2011 10:34

    Encore un suicide de plus et de trop dans le désert humain du travail chez Télécom. Le vingt neuvième !

    Les sociétés qui ont le privilège d’instaurer des péages sur la communication entre les gens, sont très dures en affaires.

    Quand on fait des marges incroyables dans la communication, on peut avoir un peut plus d’attention pour ses employés.

    L’exploitation est sans merci dans des domaines à forte connotation de gratuité : l’eau et la communication, deux sujets à spéculation sans vergogne.

    La guerre économique fait des ravages et chacun sait que l’ambiance au travail s’est dégradée partout.

    Mon dernier boulot : six ans auprès des SDF. J’ai compté les morts aussi : 47 en tout, tous au dessous de cinquante ans.

    Quand est-ce qu’on la fait cette révolution ? Pas pour renverser un tyranneau comme en Tunisie mais un système tyrannique qui se prétend encore démocratique ?

    La dictature du profit n’a rien à envier à d’autres dictatures plus au grand jour.

    Combien de temps allons-nous encore crier dans le désert ?

    On continue de croire à l’intelligence et au cœur des Français ou on arrête tout de suite ?



  • 1 vote
    poetiste 27 avril 2011 09:58

    OUI Ariane, il ne faut pas perdre le fil. Rien à voir avec le vague à l’âme que l’on ressent quand des êtres qui ont peur de leur ombre manquent de courage anonymement en surfant sur les forum du net pour y déverser leur bile.
    J’ai bourlingué et subi des gros temps, des creux de 15 mètres, ça fait déjà des grands murs d’eau qui avancent contre le rafiot. Dans ce cas, on navigue contre la vague et l’étrave plonge sous l’eau quand les hélices en sortent. Ça tangue sec et il y a le roulis avec, on a l’impression que c’est le ciel qui veut faire le tour du bateau, c’est grandiose.
    Pas question de rester sur le pont, on se fait balayer,on finit à la baille. J’étais à Agadir au printemps 1960, le earthquake, j’ai connu aussi. Quand la terre bouge sous les pieds, c’est une autre sorte de surf avec impression de fin du monde.
    Mais ceux qui insultent sur les forum se font de l’adrénaline médiocre, insipide. Je ne les prends pas au sérieux.



  • 1 vote
    poetiste 26 avril 2011 22:22

    A bien y regarder, l’étau se resserre sur les produits de base pour une exploitation plus radicale des pauvres par les plus riches.

    La démographie galopante va accentuer le processus.

    Il s’agit vraiment d’un néocolonialisme parce que les pays émergents sont dans la course mais la forme du colonialisme reste la même : on investit le sol, on embarque la production et on paye les esclaves autochtones qui y travaillent au lance pierres.

    Les produits de base les plus vitaux sont accaparés et les plus pauvres sont pris en otages, réduits à la condition d’esclaves.

    Ça se passe dans tous les pays. En France, avec l’eau, la communication, etc.… On en revient aux péages d’antan, d’une région à une autre. Le néocolonialisme est aussi chez nous et il s’exporte.

    Les nouveaux « colons » exacerbent les luttes « intestines » pour mieux asservir les pays pauvres, ils achètent d’abord les dirigeants de ces pays, en font leurs complices. Avec les Chinois en Éthiopie, c’est flagrant.

    Ah ! Qu’il est beau le « libéralisme » économique ! Qu’elle est belle la mondialisation ! C’est l’âge d’or des tyranneaux sans foi ni loi.

    La délinquance et la piraterie ont de l’avenir, c’est le tout à l’ego démago des magouilles.

    Y a –t-il un pilote dans l’avion qui sache le conduire avec des données autres que boursières ? Il nous manque de ces écoles de pilotage où l’on est compétent, humain et conscient du danger. Il nous manque cette régulation.

     

     



  • vote
    poetiste 26 avril 2011 21:26

    Ne pas confondre vague et lame de fond. Une plaque qui glisse sous une autre et finit par se rompre vous emmène à la surface une onde de choc qui crée une oscillation inattendue.

    La houle du surfeur, si haute soit-elle, est une oscillation entretenue qui ne touche que la surface de l’eau, une sorte de gros ressac, ça s’en va et ça revient, comme dans la chanson.

    La vague du tsunami n’est pas l’ondulation d’une houle mais une impulsion (ou émission) unique à forte puissance de crête.

    Cette onde finit par s’amortir quand elle a parcouru une longue distance.

    La vague de Fukushima était une ondulation intempestive et décalée qui a tenté de s’étendre dans la mer, tous azimuts, et elle était près de la côte Nord Est du Japon, d’où le drame.

     



  • 11 votes
    poetiste 26 avril 2011 20:10

    Rachida nous rappelle les jeux de mots de Prévert : Sodome et Gomorrhe, seaux d’eau, mégots morts, sceaux d’hommes égaux morts. Pas de doute il y a de la poésie dans ses lapsus.
    Ses lapsus linguae ne sont pas des calamités. Qui nous dévoilera ses lapsus calami ?
    Peut-être que ses doigts engagent le stylo aussi où il n’est pas convenable de le faire.
    Quel tempérament ! Quand on pense que ce sont là, d’après Freud, des actes manqués, on a du mal à refréner les fantasmes pour rester correct.
    Rachida, c’est Antinéa ou Circée, une sirène intrigante, émoustillante et mystérieuse. Une extraterrestre ou simplement une décalée ?
    Elle n’a pas fini de nous étonner l’ex garde des sceaux d’hommes.
    A suivre.



  • 1 vote
    poetiste 26 avril 2011 12:12

    Le scientiste inconditionnel Claude Allègre est pour l’exploitation des gaz de schistes, voilà une bonne raison de croire à la dangerosité du procédé.
    Cet homme qui traite d’obscurantistes, dans :"Le Point", tous ceux qui ne sont pas de son avis est un mammouth mal dégraissé.
    Sa religion scientiste est issue d’un schisme qui ne craint pas les schistes bitumeux .
    Il défend aussi le nucléaire et prend les tenants de la croissance zéro pour des débiles.
    This man is dangerous ! Il n’est pas "clair" parce qu’il n’arrête pas de "foncer" là où le danger est évident. Eh bien ! Même la science a ses extrémistes. Où est notre espoir ?
     



  • 1 vote
    poetiste 24 avril 2011 22:41

    Les ouvriers votent à 36 % pour la Marine, mais combien sont-ils ces ouvriers ?
    Reconnaissons qu’il faut en être arrivé à un sacré degré de désespérance pour en arriver là.
    Politique du pire : votez maso ! Là au moins, ces ouvriers pourront dire qu’ils ont vraiment choisi eux mêmes d’être victimes, qu’on ne s’est pas foutus d’eux.
    Voter pour la Marine, c’est se saborder quand on a perdu toute lutte, toute guerre et tout espoir.
    Marine Le Pen va ramasser les forces vives que n’ont pu capter les habituels politiciens dont l’incurie pour cause d’égoïsme et d’ambition personnelle n’est plus à démontrer, ni à gauche, ni à droite.
    S’il n’y avait que la passion de servir et le courage d’affronter les responsabilités, il n’y aurait pas autant de candidats à la présidence se détachant, à gauche comme à droite.
    Alors, qu’est-ce qui les attire dans la ruée ? L’argent, le pouvoir, la représentation, la vanité.
    A gauche comme à droite, ça va encore nous parler de "pouvoir d’achat" comme si consommer donnait du pouvoir. Ce n’est pas le consommateur qui fait le prix, s’il n’a d’autre pouvoir que celui qu’on lui laisse, il est tenu en laisse.
    Pour qui se prennent-ils ces personnes à qui l’on confie nos vies. Ces politiciens n’ont-ils pas honte de voir la différence se creuser entre riches et pauvres et de voir ces derniers opter pour une politique du pire ?
    On va voter pour le moindre mal : quel choix ! Il y a quelque chose de pourri dans le régime démocratique.
    Dans le pire, il y a aussi de croire que voter ou ne pas voter, c’est kif kif , autre désespérance.
    Mais au fait : ça veut dire quoi : "socialiste" ?



  • 10 votes
    poetiste 24 avril 2011 13:59

    Avec le rapporteur Nicolas Bedos, ils n’en prennent pas pour leur grade pour des blagues au deuxième degré. Tout est question d’unité de mesure. Manière de voir ça sous un certain angle.
    L’angle est aigu et parfois obtus mais toujours flagorneur. Dans la famille télé, on se passe la rhubarbe et le séné. On se demande pourquoi on a inventé les guignols.
    Ceci dit, c’est quand même d’un échelon supérieur aux singeries des imitateurs de tous poils qui n’ont de talent que celui du perroquet ou du mainate.
    Bof ! Ça passe le temps, disent ceux qui en ont à perdre à ne pas écouter des propos plus édifiants.
    L’humour spectacle, ça se consomme à petites doses quand il est là pour nous faire oublier les choses sérieuses, nous endormir. Il doit être interactif et se vivre entre amis. Tout le monde a de l’humour, il suffit d’essayer, mais tout le monde ne le vend pas.