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Les commentaires de poetiste



  • 2 votes
    poetiste 30 mai 2011 08:00

    Au dernier :"on n’est pas couchés",Zemmour et Nolleau ont donné toute la mesure de leur jugement dernier sur Nicolas Bedos.
    Un assassinat verbal en règle pour détruire cette proie facile. Nolleau a été d’une brutalité sans faille pour un jugement sans appel.
    Verdict : Nicolas Bedos est faible et moi, je suis très fort ! Il y a de la paranoïa mal soignée chez le sujet Nolleau.
    Zemmour, lui, a fait plus subtil dans le bas de soie, il a joué les psychologues, tribunal qui fait passer l’accusé pour irresponsable.
    Bref, les deux se sont payé le bouquet final après le feu d’artifices, car ce sont bien là des artifices de jugement en un procès virtuel pour ces deux intellectuels dévoyés.
    Je commençais à subir la mauvaise séduction de leur méchanceté. Il était temps qu’ils partent. Ah, me voilà libéré de cette addiction malsaine !



  • 2 votes
    poetiste 29 mai 2011 12:36

    Conseilleurs et payeurs.

     

    Quand le feu est mis, il brûle tout sur son passage et advienne que pourra. Ca, ce n’est pas la révolution, c’est la guerre civile en laquelle les pires instincts des hommes se libèrent.

    Cette révolution là est aveugle, elle brûle où c’est le plus inflammable et sur ses décombres, il naît généralement un régime autoritaire, une tyrannie sans concessions, un empire.

    La vraie révolution sauve la République : elle consiste à discerner tous les paramètres qui plombent cette démocratie et à prendre des mesures pour y remédier.

    Première révolution : à faire sur soi-même ! Tout ce que l’on fait n’est-il pas dans le sens de la course vers l’abîme ? En quoi nous différencions-nous dans la marche du troupeau des moutons de Panurge ?

    Il ne suffit pas de dire et de critiquer : il y a beaucoup de petits « dis-je » et très peu de « fais-je », comme on dit dans le Nord.

    Qui résiste ? Qui devient moins con, moins sot, moins mateur, moins consommateur ? Les cris violents contre le pouvoir devant un écran d’ordinateur, ce sont des coups d’épée dans l’eau.

    Ne parlez pas de l’âge d’or, décrivez-le dans le détail et donnez-en les recettes. Râler pour râler, c’est pédaler dans la choucroute. (Ou dans le yaourt, comme vous voudrez).

    Il faut que le peuple soit descendu très bas pour se révolter et que sa révolte soit ensuite récupérée par de nouveaux riches tôt ou tard.

    Défendre la démocratie de manière citoyenne, c’est certainement plus constructif que de prêcher la révolution violente. La France n’a pas attendu l’avènement de l’ordinateur et ses velléités virtuelles pour faire la révolution.

    Si notre démocratie n’est pas satisfaisante, que ceux qui la critiquent aient au moins la délicatesse de reconnaître ce qu’elle apporte et de savoir d’où ils viennent.

    La France, c’est toute une histoire, chacun est responsable de la faire plus belle qu’elle n’a été mais pas en crachant dans la soupe, c’est trop facile.

    Les policiers seront plus pacifiques quand chacun voudra réhabiliter la démocratie par des actes concrets et non pas  en râlant et en l’entraînant à la déprime.

    Entre dire et ne pas faire et faire et ne pas dire, on a toujours le choix mais on ne distinguera jamais qui est d’un contexte ou de l’autre.



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    poetiste 29 mai 2011 11:19

    Eh bien voilà, NICERATOS !
    Quand tu t’en prends à de vrais problèmes et non à ceux qui écrivent sur ce forum, tu deviens plus crédible, plus justement révolutionnaire.
    Continue comme ça, tu es sur la bonne voie. Ne te trompe pas d’amis ou d’ennemis.
    Et il n’est pas besoin d’injures, il y a des mots plus percutants.
     



  • vote
    poetiste 29 mai 2011 09:48

    (pensé), (semé) ???
    Si le verbe structure la pensée, ta pensée structure mal le verbe.
    Quand l’analphabète se mêle de linguistique, il faut s’attendre à toutes les absurdités, autant sur le verbe que sur la rhétorique.
    Quand les critiques sont de ce niveau, on peut craindre le pire aussi pour la langue française.
    Bah ! Prenons-en le côté comique, voire pathétique même si c’est désespérant.



  • 1 vote
    poetiste 28 mai 2011 13:40

    Flamm et Niceratos, même combat

    Deux neurones + deux neurones ça ne fait guère que 4 neurones et ce n’est pas assez pour dire des choses sensées.

    Allez dire ça aux WC et tirez vite la chasse d’eau !!



  • 1 vote
    poetiste 28 mai 2011 13:30

    Ce qui sort de ta bouche devrai sortir d’un orifice un peu plus bas.



  • 1 vote
    poetiste 27 mai 2011 16:35

    Et le prochain à abattre, c’est Ruquier. On commence par ses deux agents et on passe à la tête.
    Le roi a dit, à l’instar de la reine Victoria : "we are not amused".
    Ce qui veut dire, en bon Français : virez-moi ces deux lascars impertinents.
    Dans la démocratie des mots crasseux : Les uns, en certains cas valsent et d’autres en des cas dansent.
    Quand les mots engendrent de tels maux, c’est qu’il y a un régime régalien qui se régale de sanctionner la liberté selon son bon vouloir.
    L’Etat , c’est moi, dit le roi. Oui, mais les tas, c’est nous. Et on nous prend pour des tas de quoi, à la fin ?
    La censure est une sangsue, n’oublions pas cet en saignement !



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    poetiste 27 mai 2011 12:47

    @ Niceratos

    Je me "ridiculise et je dois fermer ma "gueule".
    Voilà un langage qu’il est bien ! Toi parler toujours cette langue minimaliste ? Toi génial !
    Merci Niceratos pour le bain de boue, c’est bon pour la peau.



  • 3 votes
    poetiste 27 mai 2011 09:24

    @ Flamm

    Bien Monsieur le juge, Oui Monsieur le juge Flamm

    Vous avez choisi vos agresseurs et vos victimes, votre scénario est au point. J’admire votre subjectivité.

    Et si nous laissions le tribunal donner son verdict plutôt que de nous mettre au dessus des institutions ? Un peu de patience, il arrive.

    Réservez Israël pour un autre débat, c’est à côté du sujet.

    Bien cordialement.



  • 2 votes
    poetiste 27 mai 2011 08:41

    Tout à fait d’accord, journal de personne.
    La guerre des sexes n’aura pas lieu et nous dirons que c’est l’atteinte à l’intégrité de la personne qui doit être considérée dans sa globalité.
    Les esclaves salariés sont tous les jours violés dans leurs droits et le sens du partage n’est pas encore assez entré dans les esprits pour que l’on puisse les plaindre.
    Il est vrai que le sentiment d’être "objet" de désir peut être plus traumatisant que d’être objet d’exploitation pure et simple.
    Cependant, les viols ne sont pas jugés à leur juste obscénité dans la "struggle for life" américaine.
    La presse américaine se déchaine sur DSK, sur la France, une presse paranoïaque et violente. Un peu comme du temps de Bush et de sa guerre mensonge en Irak, un temps ou la CNN parlait des lâches de la vieille Europe qui ne s’impliquaient pas dans cette guerre.
    Tellement sûrs de leur raison, ils nous disaient que nous n’avions même pas la reconnaissance du débarquement de 44.
    Et si vous demandez à un habitant des states : où est la France ? Il vous répondra : c’est quoi la "France" ?
    Le bulldozer impérialiste à la stratégie sans états d’âme ne doit pas écraser ce qu’il reste de roseau pensant en notre douce France. Résistons !



  • 1 vote
    poetiste 24 mai 2011 10:28

    @tchoo

    Voilà qui est bien parlé sur ce que peut ressentir la victime présumée : mise au point nécessaire .
    Vous exposez objectivement le problème. On aimerait qu’il y ait plus de réactions comme la vôtre sur ce forum et non des prises de position partisanes ou des injures qui n’honorent pas ceux qui les écrivent.
    La vérité ne nous est pas donnée et il n’est pas dit que l’issue du procès nous l’apportera.
    Qui ne voit pas l’aléatoire dans la justice des hommes est soit naïf, soit de mauvaise foi.
    S’approcher d’une justice quand le pouvoir ou l’argent ne s’en mêle pas, on peut toujours tenter.
    Le bon La Fontaine a bien résumé le problème dans "L’huître et les plaideurs". On ne s’en souvient jamais assez.
    Et l’injustice n’est-elle pas institutionnalisée en notre "démocratie" quand on voit une telle disparité de moyens et de condition, un non partage de plus en plus flagrant ?
    Beaucoup se font juges en se focalisant sur le cas DSK mais que font-ils pour la justice de chaque jour en notre douce France ?
    Il y a une joie malsaine à lancer la première pierre sans honte et sans vergogne, comme si la société n’était pas constituée de nous tous et que certains seraient blancs comme neige.
    Si l’affaire DSK nous fait réfléchir en ce sens, elle aura au moins cet effet secondaire positif.



  • 1 vote
    poetiste 23 mai 2011 23:08

    OK pour être dur avec BHL Bender
    Mais à partir du moment où on le traite d’imbécile et de raclure, on ne le critique pas sur un point précis.OK, il est m’as-tu-vu, médiatique, trop présent partout comme si son avis était indispensable alors qu’on ne l’a pas élu.
    Savoir montrer le personnage sans injures, vous ne me contredirez pas si je dis que c’est plus efficace pour la bonne compréhension d’icelui.
    Pour moi, celui qui touche sa cible sans injurier, c’est classe ! Je dis ; respect ! Et du coup, il est plus crédible.
    Ceci dit, je vous respecte également et votre avis m’intéresse sur ce forum.



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    poetiste 21 mai 2011 10:58

    Branle bas de combat.

     

    Reprenons depuis le début :

    Le pouvoir, c’est instinctif, c’est animal. (Principe du mâle dominant).

    La sexualité, c’est instinctif, c’est animal. (Droit de cuissage)

    Les copains et les coquins, c’est instinctif. (Instinct grégaire)

    La peur de manquer, l’accumulation des biens, c’est instinctif. (Instinct de conservation).

     

    Passons à l’instinct de (conversation), non pas pour gagner du fric, exploiter le dysfonctionnement et l’exacerber à la manière des médias, mais pour nous indigner avec suites en une révolution positive.

     

    « Introspection » générale : tout le monde en rang. Je ne veux voir qu’une seule tête mais pas celle de DSK. Le problème est plus général mon colonel, plus profond que ça ! Procureurs, accusateurs et inquisiteurs, sortez des rangs ! Garde à vous ! Vous êtes en garde à vue.

     

    Dis ! Papa, c’est loin l’Amérique ? Tais-toi et nage !



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    poetiste 20 mai 2011 23:22

    Tout à fait d’accord philadelphia !

    Les médias déclarent DSK coupable parce que c’est leur gagne pain de le suggérer hypocritement, il faut toucher les esprits faibles pour vendre,remplir, remplir et ça nivelle automatiquement vers le bas.
    Mais plus bas encore les propos et injures de certains sur ce forum qui devancent les médias.
    On leur donnerait un job dans cette presse unilatérale, ils feraient plus péremptoire et bien plus nul, à plusieurs degrés en dessous, bien en dessous.
    Que des personnes puissent imiter cette presse ,en plus abject et gratuitement sur des forums, ça montre bien que leur expression consiste juste à se laisser aller à la violence.C’est un jeu qu’ils affectionnent.
    Ils ne critiquent que ce qui leur ressemble en moins mauvais, en moins nul.
    Des textes lapidaires, juste pour lapider, amusement d’esprits simples et violents.
    La liberté de parole, ça se cultive, ça se mérite mais ils ne le savent pas.



  • 1 vote
    poetiste 20 mai 2011 08:08

    Allez Bender ! Allez Bender ! Allez ! Tape encore plus fort à l’abri devant ton ordi !
    Je peux te suggérer des injures encore plus violentes. Allez ! Enfonce le clou !
    Casse-le ce miroir que tu diabolises et qui te renvoie ton image !
    BHL ne répond pas sur ce site, alors va ! tu ne risques rien. Tu te fais plaisir, tu satisfais ton penchant sans nuances.
    As-tu remarqué qu’il n’y a jamais une injure dans mes textes et tu n’auras même pas cet honneur que je t’en envoie une.
    Par contre, vas-y ! lâche-toi ! Injurie-moi, je suis maso : j’adore ça. Dis-moi que je suis sioniste, que je suis idiot. Allez ! Vide la boue qui te noircit l’âme et qui va finir par te rendre malade si tu la gardes en toi.
    T’es à côté de la plaque mon bonhomme, toujours prêt à courir avec la meute pour la curée. Je ne kif pas la violence verbale facile.
    Ceci dit ; bien cordialement car il vaut mieux un bon ennemi qu’un mauvais ami.



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    poetiste 19 mai 2011 19:24

    Comme ils défendent bien leur privilège de subjectivité médiatique ces deux là ! Mais voilà, la subjectivité n’est pas ce que l’on attend d’eux car ça ressemble comme deux gouttes d’eau à prêcher pour sa chapelle.
    Évidemment, si je prêche pour une démocratisation de l’information, pour l’ interactivité, ils vont avoir peur dans leur cuisine.
    Pour vendre ou être écouté, il convient de plaire dans une polémique spectacle, de se donner une importance, question de notoriété.
    Mais on s’en fout, on a le NET et tant pis si Denizot parle de la "poubelle du NET", approuvé par Apathie, la caravane avance, l’information unilatérale n’a pas su garder son objectivité, son indépendance par rapport aux magnats de la presse.
    Quand par hasard je tombe sur leur débats, je me demande s’ils ne font pas le spectacle et s’ils ne sont pas en voie d’extinction.
    La vente des journaux a chuté mais ils ont encore le temps de se reconvertir, ces tenants du débat spectacle.
    Ils sont acculés à s’améliorer, se transformer car je trouve de très bonnes choses dans ce qu’ils appellent notre "poubelle". La libre expression pour tous. A nous d’en donner la meilleure qualité.



  • 2 votes
    poetiste 19 mai 2011 15:40

    Journal de personne, sans être entreprenante, tu me séduis par le niveau que tu relèves sur ce forum. Tu parles du for intérieur de l’homme qui n’est pas si fort que ça : tu le connais.
    Et le double. Évidemment qu’on a un double qui se planque quelque part dans le bulbe céphalorachidien, héritage de l’antique tyrannosaure.
    Ceux qui invectivent, ceux de la haine, occultent cette part d’ombre. Ils sont les inquisiteurs qui voudraient se parer de l’habit de lumière. Attention : danger ! Ils sont très loin de l’avoir gagné.
    Ce ne sont pas leurs paroles qui sont inquiétantes mais leur simplisme qui confine à la complexité qui est confusion , faute de pouvoir réfléchir comme on respire : profondément.
    Ceux qui injurient n’ont pas écrasé de leur talon la tête du serpent et sont restés à la surface des choses. Ils n’ont pas mis leur vie sur la table de la vie, ils se protègent.
    Toi, tu prends le risque de l’aventure, tu lui donnes ton écot. Tu sais que l’injure est comme l’écho, elle nous reviens toujours, elle nous identifie.
    Merci pour tes textes, c’est un ravissement.



  • 1 vote
    poetiste 19 mai 2011 14:56

    Mais non Jean Pierre ! DSK avait fait exactement ça avec l’affaire du MNEF, il avait démissionné pour pouvoir se défendre.



  • 3 votes
    poetiste 19 mai 2011 09:59

    Victimes.

     

    Revenir à la simplicité, à l’évidence. Tom a parlé juste. Si on tombait à la rue et que l’on pouvait en sortir aussi vite, ce serait trop simple.

    En fait le traquenard commence au moment ou on y tombe, c’est le point de non retour et un autre point de non retour vous y attend : l’alcoolisme ou la drogue, celui-là : définitif..

    L’exclusion vous entraîne dans un phénomène à caractère exponentiel : plus on s’enfonce, plus on s’enfonce. Il pourrait y avoir rémission si on n’entretenait pas cette exclusion par une assistance dans le plus mauvais sens de la « charité ».

    On passe devant le sdf ; on lui donne une pièce et mieux, on lui parle et on lui dit : « bon courage ! », sous entendu : « je ne peux rien pour vous ».

    On ne veut pas éradiquer l’exclusion, elle semble rassurer ceux qui ne sont pas encore tombés et les plus nantis, en particulier. La banalisation de l’exécrable s’est installée dans notre démocratie.

    Je peux en parler en connaissance de cause, ayant travaillé six ans auprès des personnes sans domicile, payé par la DDASS. J’ai pris un F4 pour les recevoir et « vivre avec ». Je vais vous dire une chose indécente : je partageais mon salaire avec eux.

    Tout cela m’a coûté ma place et je m’en réjouis. Non, je ne suis pas maso : pas d’angélisme ! Vouloir le partage est une lutte qui, si elle ne nous apporte que des satisfactions, n’est qu’une gestion du malaise, de la misère.

    Et mon travail a consisté pour beaucoup à de l’assistance aux mourants : sacré travail décapant, travail dans l’urgence.

    Tom a parlé juste, je ne peux mieux dire et il nous interpelle tous.

    Si vous saviez l’aventure d’aller vers ceux qui souffrent ! Ceux qui connaissent cette aventure en l’homme savent comme on y est forgé et comme la vie reprend sens.

    Respect à mes camarades morts à la rue, ils ont plus de place dans ma considération que les politiques. Pourtant le commissariat au plan a fait une analyse très pertinente de l’exclusion, mais sur le terrain : on laisse mourir.

    Je n’ai pas de conseil à donner ; je les aimais, c’est tout !

     

     



  • 3 votes
    poetiste 19 mai 2011 08:38

    Seul et à l’abri, le lâche se lâche.

     

    Il est vrai que, sachant le nombre d’ennemis inconditionnels et haineux qu’il a, BHL devrait éviter de s’exprimer tous azimuts car rien ne lui est pardonné.

    Chez les esprits étroits, il est le diable, le sioniste, cent pour cent mauvais. On ne lui reconnaîtra pas une seule qualité.

    Ce manque de nuances caractérise bien la violence anonyme et lâche qui peut se dévoiler sur un forum. Allez ! On liquide ! On lapide !

    Un forum agoravox plus intelligent, ça vous tente ? Car sans autocritique, nos propos ne sont que coups d’épée dans l’eau.

    L’animosité et la haine, ça se soigne quand c’est obsessionnel. Juste une question de maîtriser un peu ses instincts pour rester crédible.

    Paix sur terre aux hommes de bonne volonté !