Cette ancienne vidéo est tout-à-fait emblématique de ce site : un argumentaire "has-been" pout justifier l’injustifiable.
Ces propos fort anciens de Friedmann sont totalement décalés dans un XXI° siècle qui a permis de mettre à jour le vrai visage du capitalisme financier et ses conséquences sociales et militaires.
Ceci prouve qu’on peut avoir eu le prix Nobel de l’Economie sans aucune capacité d’analyse et de prévision. Seulement quelques "bons mots" d’une platitude et vulgarité confondantes.
Mais il a un digne successeur : le Nobel de la Paix OBAMA.
"La Libye vivote et végète", "Kadhafi affame son peuple"
Le journaliste a soit du culot, soit une ignorance totale d’un pays qu’il affirme "bien connaître". La Libye avant l’intervention armée était au premier rang pour le développement humain en Afrique.
Par ailleurs, il faut écouter les plaidoiries de Vergez lors du Procès Barbie : Vergez n’est pas un monstre mais un avocat qui force le respect par l’intelligence de son argumentation et la dimension morale qu’il confère à la défense dans ce procès.
Je suis sûre que c’est le même "pratiquement" qui a justifié l’occupation des terres indiennes par les colons anglo-saxons et la création d’un état religieux en Palestine.
Pour votre information les colons Boers n’ont pas atterri sur une terre sans peuple :
"Les Bochimans sont les plus anciens habitants de l’Afrique australe où ils vivent depuis au moins 44 000 ans. Leur habitat actuel est réduit au désert du Kalahari.
Ce peuple nomade de chasseurs-cueilleurs occupait jadis toute l’Afrique australe. L’arrivée successive des Hottentots vivant d’élevage et parlant une langue de la même famille, puis des Bantous, agriculteurs sédentaires, a décimé cette population et l’a repoussée vers des terres de plus en plus ingrates. L’arrivée des Hollandais (Boers) et huguenots au XVIIe siècle puis des Britanniques acheva de les réduire à la misère en les chassant de leurs terres ancestrales. Au XVIIIe siècle, les fermiers se regroupaient en milices (kommando) qui lancèrent des expéditions punitives contre les Bochimans2."
@ Wesson
Enfin un peu d’air frais et de raison dans ce tas de boue.
Quand je lis ces forum, j’ai vraiment honte de mes con génères (l’espace dans ce mot était fortuit, mais je le conserve). A croire qu’ils ont enfin trouvé le lieu où plus on sort de sottises, plus on est applaudi !
Les Boers ce sont bien ces ultra racistes qui n’ont eu de cesse de décimer les populations autochtones et qui ont institué la forme la plus sophistiquée de ségrégation, l’apartheid !
Si je n’ai aucune sympathie pour les colonisateurs britanniques, j’en ai encore moins pour ces colonisateurs sanguinaires et sadiques.
Le plus scandaleux dans la politique de Valls est excellemment résumé dans la conclusion de cet article :
"Le rejet de l’étranger est une construction politique, un mode ou régime toujours plus accentué du gouvernement de la population : à défaut de pouvoir gouverner à l’espérance, aux réformes utiles (celles qui améliorent les conditions de vie de la majorité, de l’élément populaire), au renforcement des éléments de cohésion (les dispositifs égalitaires), on gouvernera toujours davantage à la mobilisation des affects négatifs, à la peur et au ressentiment, à la méfiance et au rejet – c’est-à-dire à la fabrication de mauvais objets, mauvais corps, ceux par lesquels le mal est supposé advenir – l’étranger pauvre en moyens et en droits, le dernier arrivant. L’ironie de la situation présente est que ce soit ce même pouvoir qui, volontiers, adopte face au racisme et à la xénophobie la posture de l’Etat instructeur gardien des normes de tolérance et de civilité contre une partie du corps social que l’on dira rongée par les fièvres du communautarisme, de l’ethnicisme, etc. Ce même pouvoir magicien qui officie sans état d’âme sous le signe de l’heureuse coexistence entre le Clemenceau de la lutte contre l’étranger ingouvernable et les fondateurs de SOS Racisme montés aux affaires…"
Jean-Marie Durand, le 17 juillet 2013 à 06h21
Pas vraiment de quoi se gondoler. Et ce sketch montre déjà que la télé visait très bas. Elle a d’ailleurs continué.
Oh que oui on peut faire encore des sketches de ce niveau.
Un exemple parmi bien d’autres :http://www.youtube.com/watch?v=L1UeinGeO44
Comme
quoi les piètres humoristes ont toujours existé et existent
toujours !
Que peut apporter à la réflexion politique ce mondain "logorrhéïque" ?
Je n’ai pas pu arriver au bout d’un propos plus nourri de références germanopratines anecdotiques que d’un effort intellectuel d’analyse.
Cet homme a certainement des "connaissances" à condition de définir ce mot par ses fréquentations et non sa culture !
De plus il est victime d’unze grande illusion : dénigrer tout le monde n’a jamais prouvé sa propre grandeur.
Ozon nous décrit un scénario de type les "envahisseurs", sauf qu’il s’agit d’une très médiocre affabulation et non d’un scénario de science-fiction, je n’ai pu l’entendre au-delà d’une quinzaine de minutes !
PS : aucune donnée scientifique actuelle ne permet de corréler la taille ou le poids du cerveau avec le degré d’intelligence.
Toute la partie de l’article sur les noirs et les bushmen est un tissu d’inepties.
@ tetedepioche
On peut très bien écrire un long article bourré de sottises et totalement néo galtonien .
Par ailleurs ce "chef d’oeuvre" nest assorti ni de son auteur ni d’aucune référence.
Autant dire la parole d’un courageux anonyme a peu de chance de convaincre quiconque d’un peu rationnel.
Je ne vous remercie pas de m’avoir fait ^perdre mon temps !
Ma remarque n’a également rien à voir avec l’article. C’est le lien sur votre blog qui m’a fait réagir. Votre article à propos de l’existence des races est un fieffé amas de sophismes.
Je n’en retiendrai que deux :
Prouver une réalité parce que sa désignation existe est aussi absurde qu’affirmer qu’une chimère existe sous prétexte que des poètes en ont parlé. De même, ce n’est pas parce qu’on brûlait les sorcières que celles-ci avaient objectivement les pouvoirs ou les particularités physiques qu’on leur prêtait.
Vous dites que même si scientifiquement
on ne peut prouver l’existence des races humaines, il faut les
accepter sous prétexte que le concept est partagé par tous.
Hé
bien pourquoi alors ne pas continuer à croire à la génération
spontanée, au géocentrisme qui ont si longtemps persisté après
Pasteur et Copernic. Mais je sais fort bien que la question pour vous
est avant tout de justifier par des arguments de nature les
hiérarchies issues de l’histoire.
Pourquoi
a-t-on besoin de telles "inégalités" naturelles ?
Pourquoi
faut-il transformer en conformisme coupable la reconnaissance d’une
égalité de droit sur fond de différences (naturelles ou acquises) ?
Je livre ces questions à la réflexion de chacun.
Remarque :
dans le règne animal, on parle d’espèces différentes (groupes
interféconds).
Le concept de races animales n’est pas un concept
de biologistes mais d’éleveur ou de sélectionneur. Ce sont
d’ailleurs les espèces domestiquées depuis longtemps qu’on observe
la multiplicité des races.
On
pourrait parler en toute rigueur de races humaines si on obtenait par
voie de sélection des génomes distincts, bref si il existait des
élevages d’humains !
Quelle perte de temps et d’énergie pour s’occuper des thèses d’un personnage qui croit exister à proportion des fantasmagories qu’il fabrique.
Vous ne croyez pas que ce qui se passe réellement dans le monde est infiniment plus intéressant que les artefacts de ce prétentieux manipulateur !
PS : J’illustrerai mon commentaire par la conclusion passionnante d’un entretien récent entre Frédéric Lordon et Emmanuel Todd
http://www.marianne.net/Lordon-Todd-Les-intellectuels-vont-devoir-parler-au-peuple_a229828.html
La fin de cet entretien donne peut-être la meilleure synthèse sur la cohérence entre la nation et l’ouverture.
"Ne craignez vous pas que ces projets de sortie de l’euro ne vous conduisent à être taxés de "repli national" ?
F.L. : Avez-vous lu l’Etat commercial fermé, de
Fichte ? Au début du XVIIIe siècle, ce philosophe invite les Allemands à
être autosuffisants économiquement : on ferme tout. Evidemment, la
chose ne serait plus ni possible ni souhaitable maintenant. Mais
l’intérêt de le lire, c’est de voir que sa position strictement
autarcique en économie ne s’accompagne pas moins du désir de la plus
grande ouverture internationale sous tous les autres rapports :
circulation des intellectuels, des artistes, des étudiants, des
voyageurs de toutes sortes.
Pour tout ça, oui, libre
circulation maximale ! C’est une lecture qui, en creux, en dit long sur
l’état présent de colonisation de nos esprits par l’économicisme. Autant
les internationalistes que les européistes n’envisagent plus « les
échanges » qu’à travers la circulation des conteneurs et des capitaux, et
ils sont incapables de penser un régime d’échanges internationaux qui
se déploie dans un autre plan. Si on arrête un conteneur aux frontières
ou qu’on met un contrôle des capitaux, c’est donc l’ abomination
obsidionale. Voilà leur unique critère pour juger de
l’internationalisme.
E.T. : Le
véritable internationalisme aujourd’hui, ce serait d’accepter
l’existence de toutes les nations et d’assurer leur égalité dans un
système européen et mondial équilibré. Mais l’Europe a changé de nature.
C’était un beau projet : des nations libres et égales acceptant le
lepadership franco-allemand. La concurrence généralisée du libre-échange
en a fait le champ d’un affrontement silencieux mais féroce entre
nations. L’euro a fait muter le continent en un système de domination
hiérarchique, avec ses inférieurs grecs, portugais, espagnols ou
italiens, et un hegemon allemand.
Face à cette
mutation, la France, sans en être consciente, se déshonore. Les
européistes au pouvoir dénoncent la germanophobie de ceux qui décrivent
la réalité. Ils se présentent comme de bons universalistes en défendant
la fiction du couple franco-allemand. La vérité est que, sans la
complaisance de la France, dans sa posture de brillant second qui
cherche à passer à travers les gouttes, l’Allemagne ne pourrait pas
imposer aux pays faibles du Sud des politiques de destruction de l’Etat
social et de la démocratie. Le Parti socialiste au pouvoir devrait avoir
honte. "
Merci pour cet entretien que j’ai écouté attentivement de bout en bout.
Jacques Sapir nous parle de ce qu’il connaît vraiment et ses analyses très précises et très libres nous donnent véritablement à penser et non à nous gaver de certitudes émotionnelles pré digérées.
Que ce soit la réflexion sur l’Euro et la nécessité d’en sortir, que ce soit sur l’URSS et la Russie actuelle et sur le Moyen-Orient, il donne des éléments de compréhension qui nous sortent de l’alternative douteuse dans laquelle on voudrait trop souvent nous enfermer .
Non il existe un autre choix que les deux marécages qui sont si souvent opposés dans ce site :
la vision atlantiste et néoconservatrice d’une part, la vision identitaire et nationaliste d’autre part.
Son analyse géo stratégique nous permet en particulier de nous situer de façon plus rationnelle mais aussi plus radicale dans les conflits du Moyen-Orient.
Quel
numéro d’équilibriste !
Partir d’un éloge tout-à-fait pertinent
de Chavez pour aboutir à un plaidoyer d’Egalité et Réconciliation,
je suis persuadée que Chavez n’en demandait pas tant.
La défense de Soral est d’ailleurs particulièrement baroque : cet homme (Soral) qui passe son temps à pourfendre la gauche et le marxisme, qui répète sans cesse que le capitalisme et le communisme sont deux alliés historiques, qui fait l’éloge des survivalistes est plus près des tea-parties que de la révolution bolivarienne.
Le plus inquiétant c’est le nouveau manichéisme qui est imposé par les adeptes d’Egalité et Réconciliation et autres « Enquêtes et débats ».
Toute contestation de leurs amalgames douteux (valeurs de droite et économie de gauche, anticommunisme et révolution, libertarisme et émancipation) est assimilée à une connivence avec les maîtres du monde capitalistes . Comme si pour s’opposer au système dominant , il fallait en embrasser l’un de ses socles les plus radicalement libéraux et individualistes.
Autre imposture, ne pas être d’accord avec eux c’est être complice de la social-démocratie atlantiste et sioniste. Comme si il ne pouvait exister d’autres alternatives politique que l’opposition entre la droite et l’extrême droite (étant entendu que la social-démocratie est de droite).
Enfin n’oublions pas que malgré le discours dithyrambique sur l’éloge du nationalisme pour réhabiliter le FN, le fond de commerce de ce parti demeure la peur des étrangers et la haine des musulmans. On est loin du patriotisme ouvert et de l’internationalisme du message de Chavez , fervent ami de Fidel Castro !
@ Al West
"Dans les deux cas, la libre entreprise est remise en question, le droit à la propriété"
Etrange votre propos.
C’est bien au nom de la libre entreprise que se justifie le combat des instances internationales au service du système capitaliste financier : partout il faut combattre les services publics et les biens communs, tout doit être privatisé, de la santé jusqu’à l’air qu’on respire !
Les thèses libertariennes auxquelles vous faites peut-être référence ne sont que le moyens de faire croire que pour s’opposer néo conservatisme, il faut être ultra néo conservateurs !
PS : et faites-moi grâce des critiques apitoyées du type bisounours et autres joyeusetés qui remplacent en généra les arguments qu’on ne peut opposer.
@Pégase
Non je ne joue pas au troll mais je me méfie comme de la peste des gens qui prétendent combattre le capitalisme financier en affirmant qu’il y a une collusion historique entre le communisme et le capitalisme.
On ne me donnera jamais de bonnes raisons pour entrer dans le camp des amis de Soral, Robin et consort !
C’est bien le combat anticapitaliste pour le socialisme (à ne pas confondre avec la social démocratie) qui constitue la seule alternative au pouvoir de la finance internationale.
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