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Les commentaires de rastapopulo



  • 1 vote
    rastapopulo rastapopulo 3 avril 2013 15:16

    Michel Colon me semble bien plus difficile à remettre en cause. Ses opinions personnelles apparaissent mais il reste circonstancié et ne fricote avec personne.

    Mais évidement si c’est rappeler nous avons soutenu Moubarach et Ben Ali (plus bas niveau de vie du moyen orient) avant sous-traiter aux frêres mu comme lors de l’élimination de Nasser pour mieux attaquer Kaddafhy (plus haut niveau de vie d’Afrique) le problème...



  • 2 votes
    rastapopulo rastapopulo 3 avril 2013 15:08

    Aborder le sujet sans évoquer Cheminade et les remboursements automatiques (dans les faits...) des présidentielles voulus par de Gaulle ! C’est comme devoir réinventer la roue à chaque fois.



  • 5 votes
    rastapopulo rastapopulo 3 avril 2013 15:04

    J’ai l’impression que l’Iran se positionne contre Isra uniquement à cause du soutien anglosaxon au sunnisme. Vu le déferlement d’extrémisme sunnite (contre eux donc), ils ont un boulevard pour se la jouer meilleurs muslims en se positionnant contre Isra. Je ne vois d’ailleurs pas pourquoi ils se priveraient de mettre les extrémistes sunnites devant leur contradiction de base en pleine guerre latente.



  • 3 votes
    rastapopulo rastapopulo 3 avril 2013 14:54

    Soral a en tout cas très peu de vertu pédagogique. Il y a une élection que de Gaulle voulait ouverte aux idées en remboursant automatiquement les frais de campagnes, imposant un temps de paroles égal,... : la présidentielle. Cheminade l’a à la fois rappelé ET a en plus prouvé que c’était bafoué (seul candidat dont les emprunts pour ses campagnes sont refusé par les banques, des militants vont lui prêté des sommes sans intérêts ce qui "fondera" le refus de la cours des comptes politisé par Dumas en 95, le journal Le Monde ne lui donna pas la parole, il a été continuellement insulté pendant les campagnes,...).
     
    La politique est au final financièrement inaccessible sans s’allier à une oligarchie. Rappelons que l’on parle de 300 000 € non-remboursé (comme la loi le prévoit) pour Cheminade alors que Soral parle de 3 millions de dépenses ! Ça semble presque trop d’ailleurs, c’est au niveau de FO mais pour toute la France au élections présidentielle il me semble.



  • 2 votes
    rastapopulo rastapopulo 1er avril 2013 13:58

    C’est dingue que vous donniez autant raison à SolidaritéetProgrès, et en plus, en pensant argumenter ! Votre programme est malthusien et déjà utilisé depuis 2 siècle par l’empire britannique pour empêcher l’indépendance de ses colonies et justifier l’oligarchie qui limité à un petit groupe le progrès et ses bénéfices. Niveau formatage écolo à la sauce anglosaxonne, bravo !
     
    Dire que je pensais que SolidaritéetProgrès en faisait trop... Si je cherche un peu, je vous retrouve une mission "caritative" anglaise qui stérilisait les femmes sans les prévenir en Inde et dont la presse anglaise (bien plus libre que chez nous) n’a pas manqué de faire état.
     
    La vérité, c’est que les ressources ne sont pas fini à notre niveau de compréhension actuelle et que vous prétendez avoir la science infuse. Rien que les cristaux de méthane (le glace qui brûle) dont les japonais commence l’extraction est bon pour 5X toutes les réserves de pétroles consommé et connu !!! Avec les nano-tubes, le thorium,..., c’est tout un nouveau monde qui s’ouvre à nous dans maximum 100 ans. 
     
    Au moins je reconnais votre logique de provoquez le pire en refusant d’améliorer le nucléaire, de découvrir l’espace,... Vous n’aimez pas l’homme et vous voulez stoppez la bicyclette de la connaissance. L’oligarchie qui cherche le statu quo vous dit merci, la terre par contre n’apprécie que modérément d’empêcher la créativité intellectuelle du plus grand nombre.



  • 1 vote
    rastapopulo rastapopulo 13 mars 2013 13:37

    L’antinuk est contre l’amélioration du nucléaire. Son slip en plomb, il y tient. La filière thorium empêche les emballements et recycle les déchets radioactifs. Quelle horreur d’améliorer le nucléaire effectivement. 
     



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    rastapopulo rastapopulo 13 mars 2013 13:30

    Donc, si je comprend bien, les intelligents ne défendent pas une énergie plus économe en surface, énergie et matières/Kwh qui va recycler les déchets radioactifs actuelles en énergie tout en réduisant drastiquement leur nuisance...
     
    Je suppose que les mêmes intelligent doivent imposer à leur pseudorenouvelable le label "fabriquer par du charbon ne contenant pas de radioactivité, ni de suie et encore moins de mercure et ne provenant pas de mines à ciel ouvert". Vous êtes intelligent ou pas ?



  • 1 vote
    rastapopulo rastapopulo 6 mars 2013 00:34

    Très franchement, ne pas connaître les péripéties de celui qui exploite les moindres failles du système politique français contre la finance folle depuis 30 ans... Cours de rattrapage et mention spécial aux inrocks :
     

    http://www.lesinrocks.com/2012/02/23/actualite/campagnes-de-chirac-et-de-balladur-en-1995-souvenirs-dune-arnaque-112177/
    Dix-sept ans après, Jacques Robert se repasse encore le film de ces longues journées d’octobre 1995 autour de la table du Conseil constitutionnel. Trois jours qui ont fait basculer la Ve République dans une autre dimension, celle d’une République bananière qui viole les règles qui la fondent et auxquelles chaque citoyen est censé obéir sous peine d’emprisonnement. Le crâne est dégarni, le regard aigu sous les lunettes. Cet éminent juriste de 84 ans, agrégé de droit public, ne digère toujours pas la façon dont lui et ses collègues ont validé les comptes de campagne d’Edouard Balladur et de Jacques Chirac au lendemain de la présidentielle du 7 mai 1995 alors qu’ils étaient illégaux.
     

    "Une belle entourloupe"

    La première fois que Jacques Robert est sorti de son silence, c’était dans Le Parisien du 1er décembre 2011 :

    "Nous n’étions pas très fier, expliquait-il. La raison d’Etat l’avait emporté sur le droit. Nous avons servi de caution à une belle entourloupe."

    Aujourd’hui, il nous reçoit chez lui, assis dans le fauteuil de son bureau de style bourgeois empli de livres et d’archives bien rangées. Il en dit plus sur le profond malaise que cette "entourloupe" lui a laissé.

    "Pour moi, commence-t-il, cela a été un déchirement intérieur. J’ai eu l’impression qu’on me prenait en otage dans une affaire politique. Nous avons présenté devant la nation des comptes réguliers alors que nous savions tous qu’ils étaient irréguliers : une tache sur l’indépendance du Conseil constitutionnel. L’institution s’est fait manoeuvrer. S’il n’y avait eu que des professeurs de droit autour de la table, ils auraient tous annulé l’élection."

    Replongeons-nous dans la "prise d’otage". Elle s’est déroulée le 11 octobre 1995 à Paris, dans une aile du Palais-Royal où siègent la vieille institution et ses neuf membres, nommés par le chef de l’Etat et les présidents des chambres parlementaires. Le rôle de ces neuf Sages, comme la tradition les appelle, est de veiller au respect de la Constitution et à la régularité des élections. Ils valident les dépenses de chaque candidat.

    Ce jour-là, dans la salle du Conseil, se déroule un rituel courtois. Trois rapporteurs, membres du Conseil d’Etat, présentent aux Sages le résultat de leur enquête sur les comptes de Balladur, Chirac, Jospin, Le Pen, Hue, Laguiller, de Villiers, Voynet et Cheminade : les neuf candidats à l’élection présidentielle. Problème : les comptes de campagne d’Edouard Balladur dépassent le plafond légal et ont été maquillés pour masquer de grosses sommes d’argent à l’origine douteuse. Quant aux comptes de Jacques Chirac, élu six mois plus tôt président de la République, ils sont eux aussi hors la loi. Jacques Robert se souvient : "Les membres du Conseil étaient affreusement gênés."

    D’un coup, au centre de la table, le président de l’institution, Roland Dumas, rompt le silence.

    "Il a immédiatement dit que si les comptes de Balladur et Chirac étaient irréguliers, il fallait les modifier, raconte Jacques Robert. L’idée qui s’est imposée, c’est que l’on ne pouvait pas provoquer une crise de régime pour une affaire financière."

    Contacté par Les Inrocks, Roland Dumas, revenu aujourd’hui au métier d’avocat, ne souhaite plus aborder publiquement le fond de cette affaire. Pour lui, les délibérations du Conseil constitutionnel auraient dû rester secrètes. "Jacques Robert a tort de parler ainsi. Nous sommes tous tenus par un serment de respect du secret." Il ajoute, sibyllin :

    "Ce que dit Jacques Robert n’est pas exact. – Pas exact ? Mais comment ? – Vous le saurez à l’ouverture des archives du Conseil constitutionnel, dans quelques années…" Puis il met poliment fin à la conversation.

    ...

    Les rapporteurs interrogent les responsables de l’équipe Balladur. Ces derniers répondent que ces 10 millions en liquide proviennent de "ventes diverses de gadgets et de T-shirts" et de "collectes au drapeau" lors des meetings de campagne. Des T-shirts et des pins achetés avec des grosses coupures ? Les rapporteurs ne sont guère convaincus. Ils l’expliquent aux membres du Conseil constitutionnel. Eux aussi sont perplexes.

    "Personne n’y a cru !, se souvient Jacques Robert. On a tous rigolé. Balladur nous a pris pour des imbéciles !"

    ....

    Après le maquillage demandé par Roland Dumas, le Conseil passe au vote. La volonté de Dumas l’emporte : les neuf Sages votent majoritairement la validation des comptes de Chirac et de Balladur. Mais, parmi eux, plusieurs ont voté contre. Dans Le Monde du 26 novembre 2010, les journalistes Raphaëlle Bacqué et Pascale Robert-Diard lèvent le mystère sur l’identité de ces résistants : il s’agirait des quatre conseillers nommés par la gauche.

    L’un d’eux était une femme. C’est l’avocate Noëlle Lenoir, nommée en 1992 au Conseil constitutionnel par le président de l’Assemblée nationale, le socialiste Henri Emmanuelli. Considèrant qu’elle est soumise au devoir de réserve, elle ne veut pas répondre à nos questions mais lâche un indice : "Je ne vous dis pas ce que j’ai voté mais je suis en paix avec ma conscience." Quant à ceux qui auraient voté pour la validation, il s’agirait des quatre conseillers nommés par la droite. Si cela se révèle exact, la voix de Roland Dumas aurait donc fait la différence, Seules les archives permettront de trancher cette question avec certitude.

    ...

    Jacques Cheminade, parfait bouc émissaire

    La farce démocratique trouve alors son dindon. Il s’appelle Jacques Cheminade. L’ennemi de la finance, le candidat du groupuscule Nouvelle solidarité qui rêve de concilier le socialisme jaurésien, le christianisme social et le gaullisme de rupture. 0,27 % des voix. Les Sages trouvent dans ses comptes de campagne une petite anomalie. Ils estiment que 1,7 million de francs de prêts sans intérêts, offerts par des particuliers, sont des dons déguisés qui "constituent pour le candidat un avantage".

    Conséquence : Cheminade doit rembourser l’avance d’un million de francs accordée par l’Etat pour ses frais de campagne ! Pour lui, pas de négociation. En août 1996, l’Etat saisit ses biens. Seize ans plus tard, il lui réclame encore 170 000 euros alors qu’il est à nouveau candidat à la présidentielle de 2012.

    Jacques Cheminade juge la procédure abusive, puisque même la jurisprudence de la Commission des comptes de campagne recommande qu’en matière politique, les taux d’intérêts peuvent être nuls… Nos deux anciens du Conseil constitutionnel, Jacques Robert et Maurice Faure, ne sont pas fiers du traitement infligé à ce petit candidat. Ils reconnaissent que, honteux du cadeau fait à Chirac et Balladur, ils se sont refait une virginité sur son dos.

    Jacques Robert : "Pour montrer que nous étions indépendants, nous avons invalidé Jacques Cheminade, alors qu’il n’avait commis que de légères erreurs. Pour lui, nous n’avons eu aucun problème de conscience : il a eu tous ses biens hypothéqués."

    Un appartement de 60 mètres carrés à Paris et une vieille maison de famille en Auvergne. "Bien sûr qu’il y a eu inégalité de traitement !", reconnaît aussi Maurice Faure. Quant à Roland Dumas, il s’en défaussera sur un plateau de télévision en mai 2011, avec cette phrase cruelle mais tellement révélatrice du fonctionnement réel de l’institution : "Jacques Cheminade était plutôt maladroit. Les autres étaient adroits…" Au téléphone, nous lui demandons le sens de cette remarque, ce qu’elle implique dans la conception qu’on peut avoir du droit appliqué aux puissants. Il nous répond ceci : "J’ai voulu dire ce que j’ai dit." Rien de plus.

    En 1995, ces longues journées de débats et le sacrifice d’un "maladroit" ont blessé la conscience du Conseil constitutionnel. Le dernier jour des délibérations, un déjeuner est organisé avec les neuf membres du Conseil et les trois rapporteurs qui demandaient l’invalidation des comptes. Ces derniers refusent l’invitation. Comment s’est déroulé ce déjeuner ? Jacques Robert le résume en souriant : "Nous avons parlé d’autre chose…"



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    rastapopulo rastapopulo 22 février 2013 18:08

    L’un n’exclue pas l’autre mais c’est fondamentalement différent non ? Car en fait, il n’y avait nulle part de référence à Solidarité&Progrès (relisez là si vous voulez, j’en suis certain). Il n’y avait donc rien à cacher et, à y repenser, c’était ça l’inquiétude justifiable de gégé.



  • 2 votes
    rastapopulo rastapopulo 22 février 2013 03:27

    C’est comme même marrant d’encore taper sur SolidaritéetProgrès ou Cheminade. Une veuve retrouve le discours de son mari, avocat d’affaire, sur kissinger et lègue 10% de sa fortune au POE de Cheminade ? Les héritiers, déboutés au 1° procès sur la démence de leur mère car elle s’occupait très bien seule de sa gestion, auront gain de cause au 2° après une note du FBI sur les très très très très dangereux lien entre Cheminade et Larouche. Cheminade se présente au présidentielle en 95 (avec exactement le même discours que maintenant !) ? Il sera traité de tous les noms et finalement ses comptes de campagnes refusés pour... prêts sans intérêts requalifié en don interdit (véridique !!) à l’écœurement des 2 juges professionnelles qui sont sorti récemment de le devoir de réserves avant les 20 ans prévus.
      
    Justement à cause de cette intransigeance (plus qu’extrême) à son égard, je trouve aussi que c’était une erreur de ne pas afficher leur drapeau lors de la signature. Leur réponse est que "c’est une pétition non partisane pour la faire signer à un maximum de gens" tout simplement. Les militants se battent avant tout pour des idées. Ils ont aucun budget depuis 30 ans et que de la mauvaise publicité sans fondement ! Il n’ont rien a gagner financièrement avec les signatures. Donc si il n’y avait pas une autre pétition pour le retour du GlassSteagall, ce qui semble être le cas, et que cela ne leur gênait pas de sa fatiguer pour ça, je vois pas en quoi c’était infondé de la proposer de manière non partisane. C’est eux les plus roosveltiens de la politique française depuis 30 ans et ils le prouvent encore une fois.
      
    Au final pour expliquer l’horreur chez certains de signer une pétition dont Cheminade est à l’origine, on revient toujours sur les accusations délirantes contre lui : extrême droite (Cheminade est proimmigration et Amelia Boyton Robinson des droits civiques soutient Larouche), antisem (Cheminade défend l’héritage de Mendelson, hein ou Einstein, bref de l’immense majorité de cette communauté mais il a eu le malheur de rappeler les périodes troubles qui ont vu certains anglosaxons s’enrichir... SCHOCKING !) , ami de saddam (? ?),...
     
    Si au moins cette critique sur la pétition pouvait venir d’un défenseur d’Adam Smith (comme moi vu qu’il n’était pas du tout pour la libéralisation du secteur bancaire et que je suis pour une économie mix) ou d’un adorateur de l’empire romain (que je suis un peu pour le Solidus et autres achèvements) outragé de la moindre possibilité de lien, même via le combat pour la GlassSteagall, entre eux et Cheminade... Je peux rêver de finesses ou non ?
     



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    rastapopulo rastapopulo 19 février 2013 15:05

    Il fait vraiment honneur à la Belgique. En plus de son séjour et de sa femme, il met en pratique le concept de nation qui sauva l’Europe après les carnages financiers des empires privatisés.



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    rastapopulo rastapopulo 16 février 2013 00:35

    Toi t’oserais dire lesquels au risque de tromper ? Merci pour cette acte héroïque sur ta crédibilité ! La médecine, comme toute science, marche sur des % de certitudes. C’est peut être bourrin mais c’est pas dénigrable en bloc. Big pharma n’explique jamais qu’une partie des erreurs inhérentes au processus de recherche, non ? Une explication exhaustive des pour et des contres est TOUJOURS nécessaire pour démonter des études. Je trouve malsain de laisser entendre le contraire sauf pour les génies que tu es à n’en pas douter.



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    rastapopulo rastapopulo 16 février 2013 00:21

    Yo bro yo,
     
    Choléstérole n’est pas graisse
     
    Peace
     
    NB pour les autres : la perfection n’existe pas mais la médecine n’est pas de la gaudriole non plus



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    rastapopulo rastapopulo 16 février 2013 00:18

    De sources sûres, il y a déjà beaucoup de statines en générique. Vous commencez à argumentez avec ça et vous êtes ridiculiser. 



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    rastapopulo rastapopulo 16 février 2013 00:14

    La vidéo ne parle pas de Smith. Donc bizarre comme présentation. J’estime d’ailleurs que Smith ("les banques doivent être spécialement contrôlées", le marché a une valeur objective,...) est tout aussi essentiel que Larouche (GlassSteagall Act, crédit publique, concept de nation non exclusive,...). Mais je me rend compte maintenant que Larouche a tout piqué à Lincoln, Rosa et Roosevelt ! En fait c’est sa qualité 1°. Un peu comme les libéraux qui ne crachent pas sur Smith parce que trop modéré.



  • 1 vote
    rastapopulo rastapopulo 13 février 2013 00:20

    Avant de pencher pour le culte de la rareté, il faut au moins connaître son historique non ? Comme par hasard, le malthusianisme est devenu le mantra britannique (plus grand empire encore en place au passage) juste quand la technique rendait possible d’élever les niveau de vie des pauvres ! So schoking effectivement...
     
    C’est comme le culte de la tradition. Elle n’existe qu’à cause des mouvements précédents. Rien que le concept de nation est le fruit d’un partage internationale des connaissances. La mère d’Henry IV suivait les enseignement d’Erasme par exemple.
     
    Puis vient le relativisme sur la finance folle dans ce dénigrement de l’industrie. Une aberration mais un sacre cadeau au banques (de risque) universelles. 



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    rastapopulo rastapopulo 7 février 2013 07:00

    Rerectificatif, de Mohrenschild a tout dit en fait (il a rectifié le type de demande qu’avait fait Moore concernant Oswald) même si ce n’est pas devant les autorités. C’était juste un pion qui sera rétribué avec un contrat gouvernementale de 300 000 $ à Haiti qui l’écartera bien habilement de Dallas pendant les événements de 63. 



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    rastapopulo rastapopulo 7 février 2013 06:48

    Et tant que j’y suis, Oswald avait en katimini voulu tuer Edwin Walker, ce que c’était rendu compte de Mohrenschilds (comme il le dit à la commission Warren sans que ne pas avertir la police semble normal). Or, de Mohraneschild l’a certainement reporté à ses contacts à la CIA qui ont laisser Oswald jouer un ou deux rôles d’infiltrations prévu au départ avant cette découverte (cfr. New orleans et Mexico) tout en voulant certainement se débarraser de lui. Oswald, marxiste mais pas communistes selon ses dires, devait bien se rendre compte pour qui il travaillait avec ses visites à la fois chez les pro et les anticastristes. Il devait aussi se croire le plus intelligent pour avoir apporter une arme à Dallas ce jour là (ou le témoignage de celui qui l’a vu avec est de mêche). Un gentelman mafieux voulant épargner à mrs Kennedy un procès et la mort de de Morhenscild juste avant sont témoignage devant la HSCA nous empêchera toujours d’en savoir plus.



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    rastapopulo rastapopulo 7 février 2013 06:35

    Je rectifierais en disant que GH Bush est devenu directeur de la CIA en 1976, peu après la diffusion du Zfilm à la TV en 1975 qui fera un tollé. Ce sera le déclencheur de la HSCA cette même année 76. GHBush est officiellement perçu comme celui qui va remettre de l’ordre à la CIA... Laissons parler le président de la HSCA : 

    In 2003, Robert Blakey, staff director and chief counsel for the Committee, issued a statement on the Central Intelligence Agency :

    ...I no longer believe that we were able to conduct an appropriate investigation of the [Central Intelligence] Agency and its relationship to Oswald.... We now know that the Agency withheld from the Warren Commission the CIA-Mafia plots to kill Castro. Had the commission known of the plots, it would have followed a different path in its investigation. The Agency unilaterally deprived the commission of a chance to obtain the full truth, which will now never be known. Significantly, the Warren Commission’s conclusion that the agencies of the government co-operated with it is, in retrospect, not the truth. We also now know that the Agency set up a process that could only have been designed to frustrate the ability of the committee in 1976-79 to obtain any information that might adversely affect the Agency. Many have told me that the culture of the Agency is one of prevarication and dissimulation and that you cannot trust it or its people. Period. End of story. I am now in that camp.[11]



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    rastapopulo rastapopulo 7 février 2013 05:38

    Gerfaut a au moins le mérite de défendre le dogme anti-étatisme. Ceci étant, si vous vous basiez sur des exemples historiques comme moi, il apparaitrait qu’aujourd’hui les investisseurs sont tout autant assistés que les chômeurs et que le mix état-privé des 30 glorieuses avec crédit publique et moins de présence de l’état répond à toutes vos attentes sans que vous trouviez la peine de le défendre.
     
    Mais sur le coup de dissocier banques et BCE avec Draghi et l’interdiction de la CJE de dévoiler les montages de la dettes grecques (demandé par Bloomberg), c’est une blague je suppose ?