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Les commentaires de fraerk



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    fraerk fraerk 20 janvier 2010 14:16

    merci Yacine, effectivement, je n’ai pas compris de qui est cette affirmation, je pensais que c’était de quelqu’un de connu et que j’étais censé le savoir.
    Par ailleurs, il a le droit d’être énervé par un message à un temps T.
    D’autant que pour des raisons techniques, seule la stratégie m’intéresse, c’est à dire les idées stratégiques. Les humeurs n’en font pas partie et constituent rarement des phénomènes intéressant.
    Ici, cependant, elle trahit le propos, puisque le surnom "ducon" donne une indication indication qui permet de comprendre que cela ne veut pas dire qu’il n’y a rien à faire, mais que la seule chose à faire est de lutter contre tout accord supra national. Que ce n’est donc pas un constat mais une estimation.
    Et c’est cette estimation contre laquelle j’ai un gros doute, stratégiquement parlant.
    Car on ne peut pas empêche des structures supra nationale de se former, ni d’agir contre les états qui refusent leurs dérégulations.
    C’est pourquoi globalement, je crois qu’il vaut mieux se donner des instances de même échelle pour les empêcher de nuire, comme on peut le faire à l’échelle nationale avec les mafias.



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    fraerk fraerk 20 janvier 2010 08:46

    merci de me faire remarquer ainsi que je ne suis pas doué pour l’ironie...



  • 7 votes
    fraerk fraerk 19 janvier 2010 13:44

    et quelle est la nature de cette affirmation ?

    un regret ?
    un constat ?
    une résignation ?
    une divination prospective ?
    un bien-accommodant défaitisme ?
    un mensonge par opportunisme électoral ?
    une estimation basée sur la mystique du changement d’échelle ?



  • 2 votes
    fraerk fraerk 19 janvier 2010 12:57

    Pathétique QUIPROQUO !
    Un moment de tension pitoyable, lorsque Eric Laurent parle des outils nationaux en retard d’un siècle sur la finance.
    sur une radio dont l’idéologie est précisemment de s’arc-bouter sur ces outils et qui refusera de toute façon d’en discuter, il fut plus courtois de changer de sujet et de continuer de s’offusquer en évitant d’envisager des outils efficaces contre l’oligarchie financière, c’est à dire l’altermondialisme.
    Ils préfèrent finir sur une critique de l’Europe, à dicter ce contre quoi il faut indéfiniment continuer de s’offusquer, et Eric Laurent et complètement largué, car il considère que l’Europe est une trop faible échelle pour se battre contre le la finance mondiale.

    Plus loin, Eric Laurent : "le système est plus fort que les hommes" (il pense à la corruption), et dans son paradigme archaïque l’animateur prend un air effaré et lui parle de "dictature digitale" (? !) Puis, on parle de la grippe....

    Ouf, l’oligarchie a eu chaud !!!



  • 3 votes
    fraerk fraerk 19 janvier 2010 11:56

    oh, échelle miraculeuse de la nation, bénie des Dieux
    Et évidemment seule l’échelle de la NATION, comme par miracle serait (sera ?, fut ?) épargnée par les agissements de l’oligarchie mondiale. Le mal de cette oligarchie ne vient pas vraiment d’eux, mais des échelles auxquelles elle agit : le Monde, l’Europe... mais pas les nations (?).
    Inutile de chercher à changer les lois mondiales donc, la politique est inutile, Chavez en étendant son influence démontre qu’il fait partie de l’oligarchie...
    Soyons souverainiste et aucune nation ne pensera à s’allier avec d’autres pour nous écraser parce que tout le monde deviendra gentil, comme par magie, tout le monde laissera les autres gérer leur échelle nationale avec courtoisie.
    Nous construirons des boucliers en bois contre leurs flèches et nous serons bien tranquilles.
    oh, échelle miraculeuse de la nation, bénie des Dieux



  • 1 vote
    fraerk fraerk 19 janvier 2010 11:34

    tu as raison, et ça fait longtemps que ça dure.
    le plus grave c’est que Ruquier défend les mauvais arguments de Zemmour, lorsque celui ci est en difficulté (sauf que Zemmour lui-même ne s’en rend pas compte), c’est à dire tout le temps, en détournant le sujet.
    Mais ce qui est plus grave encore, c’est que Ruquier accepte de se préter à cette propagande xénophobe et à l’ambiance malsaine du plateau où il y a de plus en plus d’identitaires qui viennent faire des bruits d’approbations et de désapprobations, ce qui fait ressembler cette émission à une messe religieuse, avec une grille de lecture unique des évènements imposée par la présence de Zemmour.
    Cela dit, c’est riche d’enseignement sur la nature humaine.



  • 1 vote
    fraerk fraerk 19 janvier 2010 11:28

    bravo, tu répètes bien ta leçon...
    et tu en déduis une théorie à la hauteur de ce qu’il y en avait à comprendre : " critiquer un chanteur c’est sortir du mensonge "
    C’est peut-être un début, mais c’est peut-être un leurre aussi.
    Quand on critique sur le même ton les causes et les conséquences, est-ce qu’on ne noie pas un peu le poisson ?



  • 2 votes
    fraerk fraerk 19 janvier 2010 11:22

    Heureusement que les cultures empêchent leurs adeptes respectifs d’établir des analogies avec les autres cultures, sinon, on se rendrait tout de suite compte que nous sommes tous pris dans des enjeux aussi arbitraires, irrationnels et peut-être ridicules que nos voisins.
    Et peut-être que l’on trouverait les autres cultures moins divertissantes...
    Et peut-être que l’on se trouverait soi-même trop "bien-accommodant" avec sa propre culture.



  • 2 votes
    fraerk fraerk 19 janvier 2010 10:02


    Une fois de plus Zemmour a démontré la faiblesse de son analyse politique, une fois de plus ses arguments ont été balayés par son interlocuteur, mais une fois de plus il a fait semblant d’avoir raison et son message subliminal est passé dans son public conquis d’avance, à la grande joie de ses patrons.



  • 2 votes
    fraerk fraerk 19 janvier 2010 09:39

    "europe ecologie, plus grand défenseur des règles à l’origine du mal logement" (oui, je paraphrase, car il me faut deviner ta pensée derrière ta phrase désordonnée, mais après tout à quoi bon l’ordonner, puisque c’est un régurgité suffisamment identifiable)
    ... Ah bon ! ?!?
    Et dire, que moi, bêtement, je croyais que les lois étaient votés par les gouvernements sous la pression des lobbyes du libéralisme économique.
    Ben non, ce ne sont pas les lois, ni les lobbies, mais l’Europe la responsable, faudrait peut-être la couler, ça doit être une île.



  • 2 votes
    fraerk fraerk 19 janvier 2010 09:08

    1 - il parle bien des mal logés en France
    2 - Cohn Bendit n’a rien a voir avec ce qu’il dit sur les mal logé, tous les membres d’un parti ne sont pas des clônes (et dans un pays où il faut montrer un sourire de faux cul pour se faire élire, les têtes de listes sont souvent des têtes de ... liste)

    Je ne sais pas si Augustin devrait se renseigner, mais toi tu devrais peut-être t’interroger sur 1 - les raisons qui te pousse à critiquer le parti de Bové (mais j’imagine que ses actions depuis 20 ans à travers le monde te restent inconnues)
    2 - les raisons qui te poussent à accuser de collaboration avec l’oligarchie quiconque n’a pas la même vision stratégique que toi pour renverser cette oligarchie.



  • vote
    fraerk fraerk 18 janvier 2010 11:42

    Je signale que Johan Livernette m’a répondu et s’est défendu de mes précédentes attaques.



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    fraerk fraerk 17 janvier 2010 12:42

    à quoi bon débattre avec quelqu’un qui a définitivement choisi sa stratégie, et qui confond les causes et les conséquences ?
    "l’empire se sert des droits de l’homme comme marche pied" ?
    ta conclusion : "les droits de l’homme c’est mauvais" !
    Dans ce cas, quoi dire d’autre : bravo l’empire d’avoir trouvé le moyen de salir tout ce qui peut s’y opposer.
    Mais alors pourquoi ne pas aller plus loin :
    L’empire se sert aussi des nations (ça c’est un fait, puisqu’il existe grâce à la compétition entre les nations et l’absence de démocratie mondiale).
    Autre sophisme : "métissage = communautarisme" !!!!!
    Où situes-tu le néo-aparthédisme Israélien ?
    Bref, tu as l’air, mais pas la chanson.
    Comment peux-tu remercier Diva qui te compare à de vrais humanistes, et à un UFOlogue quémandeur ?



  • 7 votes
    fraerk fraerk 16 janvier 2010 15:29

    Peillon dit lui-même :
    "Venir et dire l’indignation, faire un esclandre était une possibilité" mais ça aurait créé
    "une difficulté de comportement sur le plateau".
    Ben oui, "difficulté", OUI !, c’est ça l’opposition Mr Peillon.

    Les journaleux, corporatistes, lui reprochent quand à eux, évidemment, seulement de ne pas avoir annoncé plus tôt son absence.



  • 9 votes
    fraerk fraerk 15 janvier 2010 17:09

    LordVode, tu as une conviction sur ce fait, ok, moi aussi, mais le vrai problème c’est la dimension politique qui est donné à ce genre d’évènements.
    C’est cette importance qui encourage à la fois les actes de violences, les affabulations et les false flags.

    Autrement dit, que ce soit vrai ou ou faux, est-ce que ça change quelque chose à ce pays, à nos idéaux ou à nos estimations ?



  • 10 votes
    fraerk fraerk 15 janvier 2010 11:35

    En même temps, puisque son débat était tellement préparé, avec son contenu et son représentant d’une pensée déjà connue également, elle aurait très bien pu remplacer Peillon elle-même.
    C’est marrant ce besoin d’acteurs pour faire semblant d’ "apporter la contradiction", alors qu’on n’a jamais vu la moindre réflexion émerger de ce genre de débat spectacle.
    Elle aurait voulu un autre socialiste ! ! ! ! Aucune imagination !
    Elle aurait pu improviser un jeu, demander aux membres du public d’imiter un animal, ou un métier, ou d’applaudir... 



  • 2 votes
    fraerk fraerk 14 janvier 2010 22:13

    Si je ne voyais pas la tronche de Copé, je comprendrais aussi bien, sinon mieux ses réelles intentions qu’il tente de voiler derrières des grimaces hypocrites.
    Si Berlusconi était voilé, peut être que les italiens auraient voté pour des idées et non pour un dentier.
    On peut multiplier les exemples.



  • 3 votes
    fraerk fraerk 14 janvier 2010 07:50

    D’accord avec toi Bender sur le rôle de la mentalité réact décomplexée sur ce genre d’acte violent. Ces italiens auraient tout aussi bien pu inviter ces types, les aider, s’ils avaient pris une seconde de réflexion pour se rendre compte que ces conditions de vie ne sont pas un idéal africain. D’où l’importance de la guerre des idées humaines.
    Par contre, pas d’accord Bender avec ta dernière phrase. D’abord, ce ne sont vraisemblablement pas les mêmes qui sont partis et ceux qui sont restés, et puis, ce n’est pas une raison pour être ou non humains, fraternels. On peut aimer sa terre, n’avoir jamais bougé, être contre les mouvements humains, et pour autant être généreux avec ceux qui ont fait un autre choix.



  • 3 votes
    fraerk fraerk 14 janvier 2010 07:41

    Si des chinois, des africains, des italiens prennent des décisions de s’expatrier, et d’autres chinois, d’autres africains, d’autres italiens de les accepter ou de les agresser, il faut traiter ces phénomènes selon les possibilités et les besoins de chacun, c’est à dire par la réflexion, la morale, l’éthique, l’instruction, le dialogue, pas par rapport à une éventuelle réciprocité abstraite et très hypothétique.
    Bref, les chinois ne sont pas tous les mêmes, les noirs non plus, les français non plus et l’histoire ne renversera pas les situations dans une parfaite symétrie.
    L’histoire, ça peut être aussi un nivellement par le haut.



  • 1 vote
    fraerk fraerk 13 janvier 2010 13:01

    pas gentil, et surtout ce n’est pas en attendant la mort que l’on fait de la politique.
    Besson est très gentil puisque à côté de son lapsus de polichinelle, il en fait une sorte d’autre beaucoup plus intéressant (politiquement parlant) :
    il donne à ses détracteurs les armes argumentaires que ceux-ci sont incapables de trouver par eux mêmes :
    "l’identité républicaine ne pose pas de problème"
    "l’identité nationale pose un problème"
    c’est simple, certains d’entre nous peuvent ne pas du tout sentir en eux d’identité nationale, mais sentir des identités à d’autres échelles géographiques plus humaines, à des échelles philosophiques plus universelles, à des idéaux. (républicains...)
    Bref, je suis d’accord avec Besson, je ne me sens pas d’identité nationale du tout !!!