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Les commentaires de bebol



  • 3 votes
    bebol bebol 3 mars 2012 19:46

    @Hijack
     
    Merci pour cette vidéo.
     
    Deux choses m’étonnent : -
     
    - Péan qui a pourtant écrit sur des sujets durs, difficiles et risqués me semble extrêmement fragilisé par Schneidermann dans cette interview : une âme plus faible qu’elle y parait ou une peur intense de la stigmatisation ad vitam d’antisémitisme, crime parmi les crimes ?
     
    - Schneidermann expose une drôle de contradiction : "vous êtes écrivain, vous devez faire attention aux mots que vous choisissez", dit-il en substance... N’est-ce pas justement parce qu’il est écrivain et qu’il écrit ce qu’il écrit qu’il n’a pas à se défendre de choisir tel ou tel mot ? Dans cette drôle de contradiction (choix infini de mots / pas le choix quand le mot risque de devoir s’en défendre...), Schneidermann n’en est-il pas arrivé à nous rappeler que la liberté de parole n’existe pas en France ?



  • 9 votes
    bebol bebol 27 février 2012 18:25

    @Isga
     
    Comment définissez-vous l’expression que vous employez : "ça me fout la gerbe" ? Amorale ? Cette expression est suffisamment connue pour son intensité pour être la métaphore parfaite et donc si souvent usitée de ce qui nous insupporte moralement au plus haut point, me semble-t-il pourtant...
     
    Vous semblez vous présenter comme un homme (?) antifasciste, antinazi prêt à tous les combats. Vos manières verbales, l’usage du gras à tout bout de champ, l’usage de l’écriture SMS me font pourtant penser à un adolescent à l’esprit tout électrisé par une jubilation proprement juvénile du héros au grand courage, la couche pas encore pleine quand la tête l’est pourtant déjà depuis un bon bout de temps.
     
    Quant à Le Pen père : entre amusement et mépris me situe-je toujours lorsque je l’écoute. Il y a une fausseté dans son propos, une tortueuse linéarité dans ses argumentaires qui le fait souvent dévier dès qu’il en sent la nécessité, tout en paraissant constamment droit dans ses bottes (à la manière de son gratteux favori, le cher Soral). Une grande intelligence, oui. Mais le port d’une morale bien ridicule, pour ne pas dire honteux.
     
    La fille ne valant pas plus, il n’est guère à dire encore... Une Sarkozy bis dans la méthode électoraliste. Une Jen-Marie Le Pen bis dans la pensée faussement populaire, faussement populiste
     
    (Car c’est bien cela seul qui m’importe : quid du peuple ? Quoi pour le peuple ? Vraiment ? Réellement ? Tous ces délires sur l’antisémitisme, sur le racisme ne m’important, par ailleurs, aucunement.)



  • 2 votes
    bebol bebol 25 février 2012 23:51

    @Madoff m’a voler
     
    "A la télévision, on ne peut pas dire la vérité, y’a trop de monde qui regarde !" En voilà une sublime de... vérité :)
     
    Je me disais bien que je ne venais pas vers cette insipide vidéo pour rien...



  • 15 votes
    bebol bebol 24 février 2012 07:22

    Je suis assez d’accord avec vous, Alsace.
     
    Le Pen semble hésitante, quelque peu apeurée face à Mélenchon. Ses évitements de regard, sa soif inextinguible, son débit quasi-automatique me font penser qu’elle craignait Mélenchon. Pour quelles raisons ? Ca, je ne saurais trop dire.
     
    Il faut cependant ajouter quelque chose sur ce dit Mélenchon : il est effectivement vulgaire, agressif, et, par-dessus tout, fourbe : écoutez ses explications sur son ralliement au PS pour le second tour ! Fourbe car il prétend faire cela pour un sublime idéal moral qui le ferait nécessairement rallier le PS s’il ne parvenait au second tour. Alors que, bien évidemment (comme je le pense depuis longtemps et là, je suis tout à fait d’accord avec Le Pen), tout son travail, depuis des mois et des mois, n’a jamais été que de d’amener dans son giron des citoyens hésitants face à la "pensée PS" en radicalisant fortement son propos et en se démarquant par là de ce dit PS, pour, au second tour, les exhorter à voter Hollande et les amener donc à se faire, pour un nouveau quinquennat, se faire sodomiser par le double de Sarkozy...
     
    La seule différence que je vois entre eux est que Le Pen joue cette élection uniquement pour son parti quand l’autre le fait pour celui qu’il prétend avoir quitté. Tout le reste les font se ressembler : des paroles venteuses, des manières prétendument populistes, et un besoin malsain de faire appel à une base ouvrière (dont je suis) dont il ne connaisse pourtant que les chiffres statistiques sans en connaître pour autant les véritables aspirations.



  • 5 votes
    bebol bebol 18 février 2012 18:16

    @machiavel1983
     
    Vous émouvoir ? Voilà qui me surprend ! Je n’ai fait que dire mon sentiment face à toute cette bêtise malsaine, vous savez. Peut-être n’avons-nous pas la même perception des choses sur différents plans, mais il semble que nous pouvons au moins nous donner la main sur ce sujet qui, il faut le dire, est de tout premier ordre. Et c’est une bien bonne chose, non ?
     
    L’Europe est la rêverie de cette engeance idéologue qui s’éprend de délires internationalistes purement irréalistes. Cette Europe est notre cauchemar d’un réel de fer, malheureusement. Puissions-nous nous réveiller et leur arracher les yeux pour leur montre notre réalité.



  • 21 votes
    bebol bebol 18 février 2012 08:30

    "Une préoccupante franchouillardise", dit-il. Le second terme, évidemment péjoratif, ne signifie pourtant pour nous autres qu’un attachement à l’histoire, la terre et la vie de notre patrie (en-dehors de tout délire européiste, mondialiste, dont nous n’avons rien à faire), n’est-ce pas ? Et cet attachement lui serait préoccupant ? Mais en quoi ? Il ne le développe pas : simples mots, donc, pour moquer, nous moquer.
     
    "Modèle républicain introuvable depuis 30 ans." Est-ce la faute du peuple ? Est-ce notre faute à nous si notre parole, si notre choix (anti-Europe 2005, par exemple) sont bafoués et méprisés ? La chose du peuple ne l’est que dans cette illusion de liberté dont laquelle nous baignons ; la France est la chose réelle des élites qui s’en amusent.
     
    "Prêchi-prêcha mondialisé", ose-t-il asséner. Le premier terme, péjoratif évidemment, prétend à des paroles maniérées sans fond, sans intérêt. Mais qui, pourtant, nous vend ce monde idéologico-économique uni et unique tout au long de la journée, sans que nous autres, les gens du peuple (et je pense que cela se vaut dans beaucoup de pays), n’en ayons pourtant l’envie ? Qui nous vend de l’Europe (hors la France, on touche déjà le monde, non ?) à longueur de temps, de cette Europe qui détruit les peuples, qui détruit les terres, qui détruit les cultures pour des raisons économico-idéologiques totalement mortifères ?
     
    "Délégations de souveraineté successives", jette-t-il à la face des auditeurs. Mais qu’est-ce à dire ? N’avons-nous plus droit à un gouvernement supposé travailler pour et par le peuple français ? N’avons-nous plus droit de penser que nos frontières désignent une terre, une langue, une culture qui, bien loin d’être songe, sont jusque nos pensées et nos chairs ? Oui, les élites nationales sont perverties, malades et leur travail est bien loin de leur assignation. Cela est-il notre faute ?
     
    Cet homme prétend que nous devrions faire famille avec l’Europe entière comme une seule et même chair, une seule et même langue, une seule et même culture ? Je ne me vois pas entrer dans l’appartement voisin et prétendre que c’est chez moi, voyez-vous. Et je doute que mon voisin soit dans le désir d’agir ainsi aussi.
     
    Voilà encore un homme pour lequel France n’est que brume sale. Espérons que cette brume s’en aille bientôt pour laisser enfin briller le tranchant d’un couperet dont il serait peut-être sage de faire à nouveau usage...



  • 3 votes
    bebol bebol 17 février 2012 07:35

    Ecoutez Soral ici : http://www.youtube.com/watch?v=AYCIbS2QftA&feature=player_embedded

     

    Pour la partie rigolote :

     

    L’ homme dit : "... ne pas péter plus haut que son cul." Ecoutez ce qu’il dit au sujet de son livre sur la mode et sur ses autres livres d’ailleurs.

     

     L’homme dit : "C’est de la littérature..." en traitant la question de son oeuvre écrite. Ne disait-il pas ne pas faire de littérature dans l’interview de mois précédent ?

     

    Pour la partie sérieuse :

     

    L’homme dit : "... je commence à travailler en secret pour le Front National." Mais quand a-t-il fini ? Oui, il prétend être sorti officiellement du Front National en 2007/2008 (si j’ai bonne mémoire), mais ce travail en secret n’a-t-il pas continué pour autant ?

     

    La question se pose légitimement quand on voit son soutien sans faille à une seule candidate alors même qu’il lui arrive de dériver vers une certaine honnêteté lui faisant dire que Dupont-Aignan ou Asselineau lui seraient idéologiquement plus proches. S’il était réellement honnête, comme il prétend si souvent, il ferait montre de respect envers son auditoire et ses lecteurs en disant le véritable pourquoi de son soutien à Le Pen.

     

    Pour ceux qui prétendent que Le Pen est le seul choix valable selon Soral (et donc selon ses thuriféraires nombreux), parce que dans la possibilité de gagner les élections : il vous est donc préférable de voter pour un personnage dont les convictions sont plus éloignées des vôtres que celles d’autres, uniquement parce qu’il a la possibilité de gagner les élections ? C’est cela, pour vous, avoir des convictions ?

     

    Et pour réagir rapidement sur Le Pen : elle finit enfin par dévoiler sa Sarkozy-manie : celle de dire tout et n’importe quoi à tous et n’importe qui jusqu’au seul point à ne pas franchir, celui de déplaire aux véritables maîtres de France, les anti-humains européens. Tout, chez cette candidate n’est que vent...



  • 2 votes
    bebol bebol 11 février 2012 15:59

    Je ne me sens pas la force de répondre à l’un ou l’autre d’entre vous. L’ennui risque de le gagner sur l’amusement. Défendez votre opinion. Moi, j’ai exprimé la mienne.



  • 6 votes
    bebol bebol 11 février 2012 14:15

    C’est comme pour vendre une voiture, un maillot de bain ou un téléphone portable : pour attirer et séduire la clientèle, rien de mieux qu’une jolie femme. La seule différence se faisant sur les propos tenus : ici, celle-ci ne s’exprime que pour proférer -avec tous les excès de l’illuminée que cela implique- des insanités terribles qui font pourtant sourire d’émoi ses thuriféraires les plus absolus ; qui ne le seraient pas si cette même femme était un laideron de première... (ah non, ce n’est pas ça du tout, hein).



  • 1 vote
    bebol bebol 28 janvier 2012 21:38

    @Marc Anciel
     
    Ce qui est étrange chez Soral est son mépris affiché pour une littérature dont il semble pourtant en connaître un sacré pan (voir les différentes vidéos produites suite à cette même interview) :
     
    http://www.dailymotion.com/video/xfn1gb_les-ecrivains-a-l-epreuve-du-temps-interview-alain-soral_webcam#rel-page-3
     
    Evidemment, ses thuriféraires les plus fanatisés viendront ici nous justifier, d’une manière ou d’une autre, son immense connaissance d’un monde artistique sur lequel il ne cesse pourtant de cracher. C’est ainsi : comme leur maître à penser Soral qui toujours sait, eux toujours savent. Pas les autres.



  • 2 votes
    bebol bebol 22 janvier 2012 13:17

    Bon, je réponds une dernière fois :
     
    Je l’ai lu, Soral. Et je l’ai écouté souvent, très souvent. Et mes remarques, plus haut, n’ont rien à voir avec la forme. Je me fous bien de sa pseudo-vulgarité. Je suis issu du milieu populaire et y vis ; il n’y a donc rien qui puisse me froisser, même un tant soit peu, dans les manières de Soral.
     
    Lorsqu’il parle d’Untermensch (je suppose que vous comprenez le sens de ce mot) en désignant les salariés, je parle de la façon dont il finance sa vie. Ne suis-je pas précisément en train de discuter le fond de son propos ? Il y va d’une considération morale de grande importance pour quelqu’un qui prétend parler au nom des petites gens (qui, il est vrai, ne sont pas tous des troncheurs de friquées libidineuses) en les qualifiant pourtant de sous-Hommes.
     
    Lorsqu’il parle d’être déjà inscrit dans les pages de l’Histoire, je demande en quoi il peut prétendre l’être. N’est-ce pas là parler du fond ? Ses livres, son dernier surtout (car, il ne faut pas se leurrer : seul Comprendre l’Empire a un lien réel avec toutes ses critiques sur le monde politique d’aujourd’hui... ce qui nous concerne le plus), tous ses discours sur internet ont-ils tant de valeur, d’intérêt, de grandeur, de puissance morale, intellectuelle, d’implication politique, d’application programmatique possible pour qu’on puisse supposer que ce qu’il fait vaudra d’entrer dans l’Histoire ?
     
    A mon sens, non. Je répète qu’il dit parfois des choses intéressantes et utiles pour percevoir certains événements "autrement". Mais cela ne suffit pas pour faire de lui un personnage de premier plan... Loin de là.
     
    Voilà ce que j’ai dit plus haut... Autrement plus courtement et sèchement, certes. Mais c’est exactement ce que j’ai dit plus haut.
     
    Si cela reste, pour vous, du pinaillage sur la forme, soit... Vous m’expliquerez alors ce qu’est le fond, le vrai, vous seul qui le voyez. Et vous me direz aussi ce que je dois écrire sur Soral pour que cela vous convienne au mieux.



  • 2 votes
    bebol bebol 22 janvier 2012 12:14

    @machiavel1983
     
    Je vois que, depuis quelque temps, toute remarque négative de la part de l’un ou l’autre intervenant à l’encontre de Soral se retrouve dénigrée par vous, ayant l’outrecuidance de prétendre que quoi que nous disions, cela ne relève en rien du "fond" des propos de Soral et n’est donc jamais que futile... pour ne pas dire plus.
     
    Vous qui êtes si fin analyste, vous aurez probablement relevé votre propre erreur : je n’ai pas dit que la vidéo est confondante de bêtise mais ceci : "Untermensch au sens audiaresque du terme." Voilà qui est confondant de... drôlerie ou de bêtise... ou des deux.
     
    Je crois qu’il y a une différence, n’est-ce pas ?
     
    Pour le reste de votre remarque, qu’en est-il à dire ? Vous semblez autrement plus fin que moi... Je vous laisse donc seul "bon" juge des propos de Soral. Mon jugement ne pouvant qu’être vain et faux. Apparemment...
     
    Et n’oubliez pas de surligner en gras... C’est vrai que ça en impose.



  • 5 votes
    bebol bebol 21 janvier 2012 20:16

    "Untermensch au sens audiaresque du terme." Voilà qui est confondant de... drôlerie ou de bêtise... ou des deux. Il aurait fallu pouvoir demander à Audiard, hein... Mais pas le fils homo qui semble faire gerber un Soral qui a pourtant bien "analysé" Un Prophète (combien de fois l’a-t-il cité), loin d’être le premier film d’Audiard.
     
    Ma petite question d’Untermensch : de quoi vit exactement Soral ? Comment finance-t-il sa vie, celle de sa famille ?
     
    Je pense ma question légitime car il prétend n’être pas salarié et décrit les salariés de bien sympathique manière. Ses seuls livres lui permettent-ils de vivre ? Réellement ?
     
    Que restera-t-il de Soral dans l’Histoire (lui qui est pourtant déjà sûr d’y avoir sa place) ? "Sociologie du Dragueur" ? "Comprendre l’Empire" (qui n’est qu’un fourre-tout prétentieux et sans fond utile et intéressant, sans structure fine et intelligente -ah oui, c’est son style) ?
     
    Ce personnage dit des choses parfois intéressantes (voilà pourquoi je l’écoute encore parfois : ses analyses de certains sujets peuvent parfois permettre un regard supplémentaire) et sa culture n’est pas à nier, c’est évident. Seulement je ne vois pas en quoi ce qu’il dit respire tant l’honnêteté dont il se vante pourtant si souvent : il n’est, à mes yeux, qu’un rabatteur du Front, rien d’autre. Et je ne vois pas non plus en quoi ses propos ont un fond réellement utile à notre société. Car moquer, insulter, critiquer, reprendre les idées d’autrui (combien de fois ai-je retrouvé du Hillard dans les mots de Soral... sans jamais entendre son nom pourtant), c’est bien sympa. Mais exposer des idées, proposer de nouvelles voies praticables pour notre société demain, cela est autrement plus difficile...



  • 7 votes
    bebol bebol 21 janvier 2012 07:47

    Je suis assez d’accord avec vous. A la différence près, cependant, que le peuple s’y met tout seul dans ces cachots-là. Personne ne force personne à regarder la télévision, n’est-ce pas ? Si ces émissions existent, c’est bien qu’il y a du monde pour les regarder... Et donc du monde pour les apprécier... Et donc du monde apparemment suffisamment crétin pour supposer pouvoir s’y abreuver intellectuellement, culturellement, politiquement...
     
    Tous ces téléspectateurs payent pour pouvoir jouir du travail de toutes ces putes de télé... Alors ils les ont.
     
    Cela, en tout cas, nous ramène -nous autres qui cherchons à nous informer ailleurs (en nous efforçant, bien évidemment, de faire preuve de sens critique)- à une triste réalité : malgré internet, malgré la foison d’informations divergentes, dissidentes, malgré la possibilité de prendre connaissance de nombreux personnages politiques ou intellectuels rares à la télévision, ces téléspectateurs nous prouvent qu’ils préfèrent de loin rester devant leur téléviseur à se branler devant leurs putes plutôt que chercher à s’informer par eux-mêmes.
     
    Et ils sont nombreux... à voter.



  • 2 votes
    bebol bebol 17 janvier 2012 18:13

    @Arsene Icke
     
    Vous me disiez il y a 3 jours : "Pourquoi "pragmatisme" ?! Mais tout simplement pour contribuer à faire échouer le projet mondialiste ! On ne peut pas être plus pragmatique. Ça pourrait même pour un gauchiste (ou un vrai libéral) anti-mondialiste conduire à envisager un "pacte faustien", c’est-à-dire voter Marine. C’est ce que je m’apprête à faire."
     
    Avez-vous changé d’avis, vous le "biquettiste" qui n’êtes pas Mariniste ?



  • 13 votes
    bebol bebol 7 janvier 2012 12:35

    Pourriez-vous expliciter le rapport entre mon propos, les livres sacrés et cette vidéo, s’il vous plait ?



  • 26 votes
    bebol bebol 7 janvier 2012 08:33

    Honteux. Simplement honteux.
     
    "Soumettez-vous, qu’ils disaient. Soumettez-vous totalement aux exigences du monde du business et, ridicules ou non, achetez sans penser !"



  • 1 vote
    bebol bebol 6 janvier 2012 08:43

    Oui, probablement avez-vous raison. C’est simplement que, à en discuter avec l’un ou l’autre autour de soi, à voir un peu comment est vue la France par une bonne partie de la jeunesse, on finit par douter plus que violemment de l’attachement d’une grande partie de la population à leur pays.
     
    Je ne sais pas si c’est du pessimisme... peut-être plutôt de la lassitude, de la résignation.



  • 2 votes
    bebol bebol 5 janvier 2012 22:58

    Quelle horreur ! Pardonnez-moi ces fautes terribles : "renie et hait."
     
    C’est si triste de penser que notre grande nation a fini par enfanter uniquement des descendants qui la renient et la haïssent, qui ont fini par la rendre elle-même petite et laide...



  • 4 votes
    bebol bebol 5 janvier 2012 18:42

    Il y a quelques semaines, je disais à Bercav que les Japonais, contrairement à nous, n’avaient pas perdu toute attache à leur origine. Dans un email d’une correspondante japonaise de la même génération que moi (35 ans), et reçu aujourd’hui même, elle me signifie être très fière de ses traditions ; moi qui lui disais -comme vous ici, Alsace- que, sur nos terres, tout habit traditionnel seulement suggéré dans une conversation ne peut jamais qu’être objet de quolibet. Et cette Japonaise est, bien sûr, loin d’être la seule personne dans ce cas-là (je suis en contact avec d’autres qui pensent ainsi).
     
    Mais qui est fier de son pays ici ? Qui est fier de sa France ? De ses origines, de ses traditions, de ce qui fait la chair de son pays depuis des siècles ? Qui ose le clamer ? Qui ose seulement le penser ? C’est si triste de penser que notre grande nation a fini par enfanter uniquement des descendants qui la renie et la hait, qui ont fini par la rendre elle-même petite et laide...