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Les commentaires de bebol



  • 7 votes
    bebol bebol 3 janvier 2012 18:08

    Je ne suis pas sûr qu’on puisse appeler cet humour "corrosif". Certes, quelques mots fugaces qui amènent le sourire aux lèvres, mais rien de plus.
     
    Si cette jeune femme semble avoir de quoi produire quelque chose de bon, il serait bien que, en se bonifiant, cela se singularise aussi.



  • 12 votes
    bebol bebol 28 décembre 2011 18:49

    Voilà des semaines que je n’avais pas écouté les vidéos auto-promotionnelles de cette femme. J’aurais probablement dû m’abstenir pour celle-ci aussi : entre jeux de mots foireux et grossièretés idéologiques, entre écriture prétentieuse et -bien évidemment- jeu maniéré, il n’est à trouver que la vacuité... encore.



  • 1 vote
    bebol bebol 23 décembre 2011 16:30

    Que de beauté, que de transport dans cette musique !
     
    Les 4 Saisons, je m’y égare très souvent. Toujours avec ce même plaisir, intense et subtil. Et cet Hiver, s’il brille comme les glaces de la saison, il n’en reste pas moins, entre les mélodies et envols des violons, un souffle brûlant, bienheureux et envoûtant.



  • 2 votes
    bebol bebol 22 décembre 2011 22:06

    Le mépris d’Abed à l’égard de Djellil est proprement gerbatoire. Que cet homme soit convaincu de son combat, soit. Qu’il défende ses idées avec force conviction, soit. Moi, je ne vois pas en quoi cela lui permet pour autant l’impolitesse, l’insulte et le mépris.
     
    Deux petites questions :
     
    - Abed tient un papier dont il se sert beaucoup pour s’exprimer. Il semble même avoir appris de nombreuses phrases par coeur ? Pourquoi ?
    - Mon souvenir de l’interview qu’il a faite de Soral il y a quelques mois me le fait voir sous un tout autre angle, aujourd’hui : face à un Soral autrement plus virulent et sûr de sa culture, sa pensée et ses connaissances, et en attaque frontale vis-à-vis des connaissances et convictions d’Abed, ce dernier ne s’est pourtant aucunement montré brutal comme il le fait avec Djellil. Pourquoi ?



  • 5 votes
    bebol bebol 21 décembre 2011 18:59

    Je me suis arrêté à quelques secondes après la quatrième minute. A la question du pourquoi du refus de Le Pen à une table de discussion programmatique concernant les problèmes de la France, Joly -mue par un automatisme terrifiant- vide en quelques mots le peu de valeur que pouvait avoir sa candidature :
     
    "Non, pas pour parler de l’Europe", répond-elle.
     
    Mais la France est-elle l’Europe ? La France n’existe-t-elle pas sans l’Europe ? La France n’est-elle qu’un paillasson à l’entrée de l’Europe ? A croire Joly : oui. A mon sens : certainement pas !



  • 5 votes
    bebol bebol 19 décembre 2011 18:58

    What could define you, BHL ?
     
    "A big pile of shit that leaves a horrid and everlasting stench wherever I go. No need for books, philosophy and litterature. Let’s just hope I’ll die soon so that that smell can finally vanish and let people breathe again".
     
    Je crois que c’est ce que, moi, je viens d’entendre.



  • 17 votes
    bebol bebol 17 décembre 2011 07:54

    Je n’ai pas la télévision et je découvre donc parfois sur Agoravox quelques-unes des cochonneries qu’on y trouve... Comme celle-ci.
     
    Et par-delà cette stupide discussion sur la viande halal vendue par un membre du Front National, c’est le champ lexical dans lequel se trimballe Wizman (question de paradigme, très certainement...) pour parler de ce parti qui est intéressant. Intéressant parce que, par les mots qu’il emploie, il instille encore et encore dans l’esprit mou et passif de beaucoup de spectateurs une image du Front National tout faite, aussi caricaturale que stupide ("amateur de rangers à lacets blancs", "n’aime pas les Noirs, les Arabes, un peu les Juifs...") qui suffira néanmoins à beaucoup pour se faire une idée arrêtée de ce parti (ou à simplement la conforter) et ne pas chercher par eux-mêmes à savoir de quoi il retourne exactement.
     
    Et lorsqu’on le voit ce qu’il est capable de projeter comme image en seulement deux minutes... on se demande comment cela se passe tout au long de la journée, dans toutes ces émissions populaires, sans intelligence et sans fond.
     
    Mais, bien sûr, rien n’est tronquée à la télévision, rien n’est propagande et parti-pris...



  • 5 votes
    bebol bebol 14 décembre 2011 19:44

    Un petit mot sur la télévision japonaise :
     
    Effectivement, elle est aussi insipide et stupide que la nôtre... Parfois même autrement plus vulgaire et à la limite du "malsain". Seulement, elle n’a pas encore retiré totalement aux Japonais un certain attachement à leur tradition, leur origine, leur culture, etc... Certes, les jeunes s’en défont grandement (une correspondante personnelle japonaise l’a déploré encore il y a peu), mais je crois que, à comparaison de nous autres Français, les Japonais savent tout de même encore un peu d’où ils viennent...
     
    Je suis néanmoins plus que d’accord avec vous sur l’abrutissement des masses par les médias, par la surconsommation totalement délirante. (Le téléphone portable est et restera, à mes yeux, l’archétype parfait de ce produit totalement inutile et malsain dont on a fait un besoin absolument nécessaire ; qui sait s’en passer encore ? Personnellement, j’ai abandonné le mien il y a presque 10 ans.) La religion contrecarrerait-elle ce fait ? Je le crois, oui. Bien qu’athée, j’ai fini -avec le temps, il est vrai...- par reconnaître en la religion une valeur et une force morales qu’aucune autre institution pourrait inculquer au peuple. Mais cela est-il seulement encore possible ?



  • 11 votes
    bebol bebol 13 décembre 2011 17:52

    Je trouve très étrange de vouloir la mort de personnes qui ne font qu’exprimer leur soutien à un personnage politique qu’ils voudraient voir élu.
     
    Je l’ai dit moult fois ici : Marine Le Pen ne m’intéresse aucunement (où en est-elle économiquement ? Car, mise à part des lignes "socialisantes" aussi générales que creuses, je ne vois rien de bien intéressant). Cela ne m’empêche cependant pas de penser qu’elle a droit à la parole et ses sympathisants aussi. Et user de violence physique à leur encontre, uniquement pour cela, est tout simplement honteux et sans aucune noblesse.
     
    Il est d’ailleurs bien probable que ceux qui condamnent vivement la peine de mort sont ceux-là mêmes qui applaudissent à ce type de violence, l’espérant même plus efficace encore...
     
    Pour finir : qui voudrait nous rappeler qui a été élu en 2007, quelle a été sa politique, son idéologie et la force réelle du pouvoir dont il est le représentant ? Qui voudrait nous rappeler les résultats de ces politique, idéologie et force sur la vie des peuples, sur nos vies ? Qui voudrait nous rappeler les noms de différents signataires des traités qui régissent de plus en plus brutalement nos vie ?
     
    Et vous voudriez nous faire croire que Le Pen aurait encore de quoi faire pire ? Le pire est déjà là...



  • 1 vote
    bebol bebol 12 décembre 2011 13:57

    Vous noterez l’échappatoire prise par Autain quand l’interviewer s’en vient à pousser l’analyse du féminisme vers des contrées plus intellectuelles. Vous noterez aussi la remarque première d’Autain concernant la pénalisation des clients de prostituées : "là aussi, il y a de l’inégalité... plus d’hommes clients que de femmes..." Pour finir : d’où vient le chiffre de 75000 femmes violées/ an en France si, comme le dit Autain, elles sont si peu nombreuses à porter plainte et à en parler ?
     



  • 2 votes
    bebol bebol 11 décembre 2011 19:44

    @bercav
     
    J’ai réagi aujourd’hui au mot de Requete car il m’a rappelé trop vivement l’échange que j’ai eu avec lui il y a quelques semaines et dont le contenu -pour ce qui concernait sa partie, évidemment- consistait à me faire passer pour un idiot à la jolie plume incapable de comprendre quoi que ce soit à ce bel objet auquel il tient tant : le paradigme.
     
    Mais, au fond, je suis un peu comme vous : il y a bien peu à tirer de tels propos, emberlificotés qu’ils sont dans ce salmigondis massif de concepts toujours bien étrangement utilisés ; et ce, dans un verbe qu’on peut aisément qualifier d’abscons, comme vous le soulignez bien. A moins que, évidemment, l’homme soit tant près du génie que l’exposition claire, précise et nette de quelque idée que ce soit, lui soit devenue inutile, presque insultante...
     
    En tous les cas, ce sera là mon dernier message à l’endroit de Requête. Poussé par le plaisir de la confrontation, la fois dernière, j’avais manqué de sagesse et je m’étais alors lancé bêtement dans une "conversation" bien vaine. Mais ici, je ferai preuve de sagesse.



  • 6 votes
    bebol bebol 11 décembre 2011 12:22

    Vous semblez persuadé de détenir une vérité que nul autre ici n’aurait, vous permettant de méjuger divers commentaires ("zêtes marrant à toujours réagir aux symptômes"), vous permettant de nous rappeler encore ce fameux paradigme qui encerclerait la pensée et les capacités d’expression des personnes publiques ("alors c’est qu’il y a un problème non ? des coutumes qui anéantissent la réflexion ?").
     
    Pourquoi n’allez-vous pas au bout de votre propre logique et ne jamais plus commenter les propos des commentateurs ici, puisque nous autres aussi -à moins que ce ne soit que les cas de personnes célèbres, politiciens, polémistes, comiques ou que sais-je encore...- avons une pensée et une réflexion structurées par l’un ou l’autre paradigme ; pas le même pour tous, d’ailleurs.
     
    Vous prétendez remettre en cause nos propos ou ceux des personnes dans les vidéos ici -en arguant d’un paradigme propre à chacun qui annulerait (ou à tout le moins le fausserait grandement) nécessairement le jugement d’autrui à son égard, n’étant pas capable d’avoir une pensée et une expression structurées exactement comme lui- mais sans jamais expliciter et expliquer quoi que ce soit, sauf à dire : "c’est qu’il y a un problème non ?"
     
    Je m’arrête là en espérant pouvoir bénéficier de vos lumières un jour pour mieux entendre le monde et moins être bête...



  • 4 votes
    bebol bebol 10 décembre 2011 16:28

    Je n’ai rien spécialement pour Montebourg mais je ne peux qu’applaudir sa force et son courage pour -chose rare, il faut le dire- dénoncer nommément un être de premier plan (et on se demande bien pourquoi...) pour ses actes illégaux.
     
    Quant aux actes immoraux dont on l’accuse : s’ils s’avéraient vrais, il serait temps que la corde s’en vienne lui rompre la nuque. Comme elle devrait le faire et l’avoir déjà fait pour tant de ces personnages malsains.



  • 6 votes
    bebol bebol 7 décembre 2011 14:21

    Je trouve que cette proposition de pénaliser le client est une aubaine : il y en aura du rompu de l’anus politique, de la gorge abyssale télévisuelle et du large-du-croupion audiovisuel qui disparaîtront enfin de l’espace public et iront crever sans mot dire dans les prochains temps, alors ! Parce que de la pute qui vend son cul au plus offrant et ce, sans aucune dignité ni morale, il y en a un paquet chez ces gens-là.



  • 4 votes
    bebol bebol 5 décembre 2011 05:59

    Ce qui rejoint drôlement ces deux "philosophes", c’est que, justement, aucun de deux ne l’est. Car on peut très sérieusement se demander où est la philosophie dans les propos de ces deux personnages...



  • 6 votes
    bebol bebol 26 novembre 2011 07:07

    Si l’on part du principe que les élections n’ont pas de sens -gauche ou droite agissant de même, une fois au pouvoir- que les étrangers puissent voter aussi ne pourrait qu’en ajouter au mensonge d’une démocratie fictive, non ?
     
    Le propos de Bourre reflète, à mon sens, une peur que d’autres Français de souche ressentent. Il serait idiot de le nier et tout aussi idiot de prétendre que toutes ces personnes-là ne sont que des nazis en puissance. Au su de la violence économique dans laquelle baigne notre pays depuis "un certain nombre d’années" - violence allant toujours en s’intensifiant- je pense que nombreux sont ceux qui éprouvent un besoin impérieux de désigner un fauteur de troubles identifiable, et autre que ce concept évanescent d’économie sauvage, qui échappe à beaucoup tout simplement (pourtant la véritable instigatrice de nos maux et nos peurs). Aidés par les médias de masse dans leur quête du coupable, nombreux sont ceux qui ont vite fait de s’approprier cette idée de l’étranger comme la pire menace pour leur vie, de s’en accommoder et en faire un cheval de combat pour les plus valeureux.
     
    Je doute que cela soit une bonne chose. La classe dominante étant ce qu’elle est et nécessitant ce qu’elle nécessite sait très bien y faire pour faire se batailler entre eux les serfs et les esclaves dans le but de se laisser, à elle-même, un espace de sécurité (jusqu’au sens propre) dont elle a évidemment besoin pour persister dans la situation dans laquelle elle se trouve.
     
    "Haïssez-vous entre vous ! De le sorte, vous n’aurez pas le temps de nous haïr, nous, véritables destructeurs de vos vies !", semble-t-ils dire, ceux de tout là-haut.
     
    Il est en tout cas triste de constater que, malgré internet et sa foison d’informations à contre-courant de celle des médias de masse, les mêmes réflexes identitaires, les mêmes réactions primaires (au sens premier) passent toujours et encore outre l’analyse effective de notre situation à nous tous qui définit le véritable ennemi du peuple (blanc ou autre, de souche ou autre) comme étant uniquement l’élite de l’argent et celle de la politique veule et profiteuse* qui agit et institue des lois dans le seul sens de cette élite d’argent.
     
    *Nous nous souvenons des mots de Sarkozy, quelque temps après son élection en 2007, révélant son envie de "faire de l’argent". Opposons ces mots-là (et tout leur sens) aux mots de Chavez dans cette vidéo :
     
    http://www.agoravox.tv/actualites/international/article/chavez-c-est-le-fmi-qui-dirige-l-32597
     
    Pour finir, un petit mot à Jean-Paul Bourre : pensez-vous réellement que qui que ce soit dans ce pays puisse seulement oublier Noël vu le tapage médiatique par et pour les multiples industries qui en tirent profit ? Quant à son sens premier, on peut s’en poser la question...



  • 1 vote
    bebol bebol 19 novembre 2011 08:53

    Allez, puisque je ne sais trop suivre mes propres conseils d’abstinence, voilà encore une réponse pour vous, Requête :
     
    Ce que vous ne semblez pas comprendre est ma remarque sur la légitimité de ce questionnement concernant ce paradigme qui vous émeut tant chez Bedos (ou d’autres donc, bien sûr) : en quoi donc devrais-je me poser la question du pourquoi de ses dires, du pourquoi de ses pensées ou du pourquoi de ses idées ? Il dit ce qu’il dit et à moi d’analyser cela comme j’en ai envie, selon mes idées, mes goûts, mes penchants, etc... -mon paradigme à moi ?
     
    Plutôt que "baisser son froc", je ne le vois que prétendre à un courage qu’il n’a pas. Mais, il est vrai que, comme je n’ai pas sondé son parcours initiatique complet, que je n’ai pas cherché avant de m’exprimer quels étaient tous les tenants et aboutissants de sa pensée constituée jusqu’à lors, que je n’ai pas voulu m’interroger sur tous les types d’auditeurs visionnant cette intervention, que je ne suis pas allé interroger les journalistes et monteurs de l’émission pour savoir le pourquoi du comment d’un tel montage... je n’ai pas à exposer mon point de vue sur Bedos qui, nécessairement et indubitablement, ne peut être que faux. Je n’ai peut-être même pas à penser son intervention...
     
    Mais comme votre esprit est autrement plus fin et aux capacités critiques autrement plus profondes que le mien d’une grossièreté proprement ridicule, je vous laisse tout l’espace pour nous éduquer, moi et les co-copieurs ne pouvant jamais comprendre le fond du fond de l’âme paradigmatique de Bedos - et, partant, de tant d’autres, pour ne pas dire : tous les autres. Mais si vous pouviez néanmoins faire l’effort de vous relire, cela nous rendrait plus lumineuse encore votre analyse au laser de mes propos et ceux des autres dont l’expression paradigmatique n’aura pas eu l’heur de vous convenir.
     
    Ne lisez ici aucune morgue, juste de l’amusement. Puisque, dans ma ténébreuse réflexion, je ne puis qu’écrire quelque chose qui n’aura "rien à voir", autant rire de tout cela et m’en retourner à la conclusion de mes deux commentaires vous répondant : j’en reste à ce que je pense car cela me convient très bien.



  • vote
    bebol bebol 18 novembre 2011 21:47

    Dernier mot sur ce sujet :
     
    Je n’ai pas pour habitude de tutoyer les inconnus, ici ou dans la rue. C’est ainsi. Et j’avoue trouver très étonnante l’idée d’un rapport plus personnel dans le vouvoiement que dans le tutoiement. Ne voyez non plus d’irrespect dans mon vouvoiement, car il n’y en a pas.
     
    D’une certaine manière, vous semblez dire que, nous autres qui exposons des idées allant "légèrement à contre-courant" sur Internet, ne pouvons produire un commentaire de qualité et d’une justesse certaine simplement parce que nous nous cultiverions autrement que le lambda limité à Facebook et TF1 d’un côté (je caricature évidemment et je précise, s’il le faut, n’avoir ni téléviseur ni user de Facebook ou autre "outil" de promotion de soi du genre), et parce que nous n’aurions pas la même base de réflexion que le personnage jugé (en l’occurrence Bedos) de l’autre côté.
     
    Je trouve cela à tout le moins étrange : en quoi me faudrait-il justifier d’un quelconque droit à la parole justement ici, sur Internet, qui est le seul "lieu" où tout un chacun peut dire et se dire sans nécessiter la bénédiction de l’une ou l’autre entité médiatique, sociale ou morale, etc... ? Il n’y a pas de vérité absolue, à mon sens. Juste une ligne morale que chacun se construit comme il le veut et/ou le peut. Selon cette ligne que l’on cherche à suivre du mieux, on juge alors autrui. C’est ainsi. Et à chacun de considérer si ce jugement des choses est bon ou mauvais, valide ou invalide, etc... -ce que vous avez fait avec mon commentaire plus haut.
     
    Vous me semblez dire que, avant même de m’exprimer par écrit ici, il me faudrait cadrer ma pensée sur une structure représentative (ce fameux paradigme) qui n’aurait d’heur que seyant à la majorité connue et reconnue et/ou à une parole singulière (celle de Bedos, par exemple) reconnue comme valable. Si c’est cela, je préfère m’abstenir d’agir ainsi, quitte à passer pour un pinailleur toujours à côté de la plaque parce qu’il lui manquerait toujours un quelque chose pour que sa parole puisse valoir quelque chose.
     
    Je pense avoir fait rapidement le tour. Vous me permettrez de ne pas poursuivre plus avant.



  • 3 votes
    bebol bebol 18 novembre 2011 17:44

    Qui appelez-vous les co-copieurs ?
     
    Si vous supposez de ma part un attachement aveugle à la critique du "monde" par Soral, vous vous trompez. Il m’est arrivé plus d’une fois ici de montrer mon désagrément, pour ne pas dire mon agacement, concernant nombre de ses propos.
     
    Pour le reste : vous me permettrez de ne pas vous rejoindre et préférer en rester à mon avis.



  • 6 votes
    bebol bebol 18 novembre 2011 15:55

    Courage que ne semble prendre qu’à bout de pouce et auriculaire en douloureuse contortsion un Nicolas Bedos circonvoluant très très difficilement autour de ce sujet du sionisme lobbyiste et totalitaire ; lui qui, pourtant, sait se faire si volubile lorsqu’il s’agit de déverser son venin de tique dans le cou mou de l’une ou l’autre starlette politico-médiatique...
     
    Nous aurions pu applaudir avec plus d’entrain un Nicolas Bedos qui n’aurait pas eu besoin d’user de l’insulte envers Dieudonné, ni besoin de chercher par mille mots à s’en éloigner le plus possible -malgré l’étrange et pathétique panégyrique contrit ("...oui ... peut-être le meilleur...")- pour esquisser cette demi-critique à l’égard d’un pouvoir sioniste qu’il ne cite jamais comme tel mais sait pourtant (!) être l’instigateur de certains de ses propres ennuis.
     
    Notons enfin qu’il rappelle le pourquoi de sa force de résistance à l’antisémitisme qui -très étrangement là-aussi- n’a absolument rien à voir avec son ascendance... Rien du tout...