@ Rick
Impossible d’éditer un commentaire. Impossible également d’éditer un article. Il faut faire toutes les vérifications et relectures avant de poster.
Cordialement,
Morpheus
Soyons précis : il s’agit du GRAND DUCHÉ du Luxembourg ! Parce que figurez-vous que j’habite la PROVINCE du Luxembourg, province Belge, qui à part une frontière commune, ne bénéficie d’aucun des avantages du Grand Duché. Il y a donc deux sortes de "luxembourgeois" : ceux du Grand Duché et ceux de la province belge du Luxembourg.
Soyons sérieux : les femens, c’est pas du féminisme, c’est du crétinisme hystérique.
Il existe du matériel de captage d’image et de son discret à des sommes modiques (lunettes, stylos, montre, etc.) entre 50 et 150 euros. Ni vu ni connu.
Dans le monde des invertis, l’inversion est la règle.
Les journalistes (qui sont des citoyens - peu importe qu’ils aient une carte de presse ou non, le droit de presse est valable pour tout citoyen, étudiez la constitution et la charte du journalisme) agressés peuvent déposer
plainte (à la gendarmerie) contre la police pour non assistance à
personne en danger.
Je me demande même si la non intervention devant une
agression physique caractérisée ne constitue pas de facto une faute
professionnelle de la part de policier (quel que soient les "consignes"
et les ordres donnés).
A la place des journalistes d’info libre et des autres équipes de citoyens journalistes agressés, je consulterais un avocat et je me
constituerais partie civile, avec 1) plainte contre X (pour la LDJ) et 2) plainte
contre la police pour non assistance à personne en danger. ?
Josey Wales : « Je parle à Grand Bison ? »
Grand Bison : « Grand Bison te parle. »
J.W. : « Je suis Josey Wales. »
G.B. : « Je connais ton nom. Tu es le guerrier en gris. Tu as refusé la paix des tuniques bleues. Tu peux aller en paix. »
J.W. : « Je ne crois pas. Je ne sais pas où aller. »
G.B. : « Alors, tu mourras. »
J.W. : « C’est avec toi que je viens mourir. Ou que je viens vivre. Ce n’est rien de mourir, pour toi ou pour moi ; c’est vivre qui est dur quand tous ceux qu’on a aimé ont été violés et massacrés. Les gouvernements ne vivent pas ensemble, comme les hommes. Le gouvernement ne t’offre pas le pacte ou le combat régulier, et moi je viens pour t’offrir l’un ou l’autre, ou recevoir l’un ou l’autre de toi. Tel que tu me vois, tu sais que ma parole de mort est sincère et que ma parole de vie aussi est sincère. Le bison vit ici, le faucon, l’antilope, le comanche. Nous aussi, nous y vivons. Et nous ne chasserons que pour notre nourriture, comme le comanche. Et chaque printemps, quand l’herbe deviendra verte et que le comanche ira vers le nord, il pourra s’arrêter chez nous en paix et abattre quelques têtes de notre bétail et sécher la viande pour le voyage. Le signe du comanche sera placé sur notre logis. Ça c’est ma parole de vie. »
G.B. : « Et ta parole de mort ? »
J.W. : « Elle est là, dans mes revolvers et là, dans les fusils. Je viens pour l’une ou pour l’autre. »
G.B. : « Toutes ces richesses que tu nous offres, depuis toujours nous les avons. »
J.W. : « C’est exact. Je ne te promet aucune autre richesse. C’est seulement la vie que je t’offre et seulement la vie que je demande. Et je dis, moi, que les hommes peuvent vivre ensemble, sans se massacrer ou se haïr. »
G.B. : « Je sais que les gouvernements ont tous des chefs à la langue fourchue. Il y a du fer dans tes paroles de mort que les comanches entendent, alors il y a du fer aussi dans tes paroles de vie. Aucun papier ne peut contenir le fer. Le fer doit être dans l’homme. La parole de Grand Bison contient aussi le fer de la mort et de la vie. Il est juste que les guerrier que nous sommes se mesurent dans la lutte pour la vie - ou la mort. Nous sommes pour la vie !
Dans « Josey Wales hors-la-loi », 1976, film de et avec Clint Eastwood.
http://www.youtube.com/watch?v=Wc5JtgKlOH4
On note quand même, maQiavel1983, que les gens tirés au sort disent que s’il n’avaient pas été tiré au sort, jamais ils ne me seraient intéressés à ce genre de commission citoyenne, mais que ayant été désignés par le sort, ils se sont dit "ok, je vais m’y intéresser et y investir de mon temps", et que la pratique les a enthousiasmé (ou en tout cas, ne les a pas dégoûté.
On voit aussi qu’ils disent avoir beaucoup appris sur la façon dont une commune est gérée, et ça c’est également très positif et montre l’intérêt du tirage au sort et de la délibération participative.
Morpheus
Formidable ! merci pour ce sujet Awake
Rappelons qui est le maire de Grigny :
René Balme est maire de Grigny, fils de bûcheron, homme du peuple. Il est engagé à
la SNCF en 1968. Il adhère à la CGT en 1974. Il entre au Parti
Communiste en 1983 et y reste jusqu’en 1997 où il décide de quitter le
parti car il n’adhère pas au soutien du PC à la déclaration de guerre de
la France contre la Serbie.
Elu maire de Grigny en 1992, il est réélu
en 1995, 2001 et 2008. Il rejoint le Parti de Gauche à sa création en
2009. En 2012, il est victime d’une campagne de calomnie orchestrée par
la "journaliste" Ornella Guyet qui publie,
dix jours avant le premier tour de la campagne des présidentielles, un billet incendiaire
malhonnête sur le site "d’information" Rue89.
Cette diatribe, qui
l’accuse d’être la « tache rouge-brun » dans la campagne de Jean-Luc
Mélenchon, est reprise sans vérification (!) dans d’autres médias,
notamment par Le Monde et Le Figaro. Dans ce texte, il
est notamment accusé de « complotisme » (sic), d’« antisémitisme
obsessionnel », d’homophobie et de « faire l’éloge de dictatures ».
L’accusation d’antisémitisme, en particulier, scandalise René Balme, qui revendique sa lutte, toute sa vie, contre tous les racismes. Mais René Balme a visiblement (surtout ?) le tort d’être aussi
opposé à l’idéologie sioniste. Il n’est pas difficile de vérifier que
ces accusations sont mensongères et donc sans aucun fondement, mais qui
prend le temps de vérifier ? Pas la hiérarchie du Parti de Gauche, en
tout cas ! Au lieu de le défendre contre ces diffamations, la hiérarchie
du Front de Gauche baisse son froc devant les média-mensonges et laisse
lâchement tomber René Balme, qui décide naturellement, après la
campagne présidentielle, de le quitter.
Aujourd’hui, René Balme, authentique démocrate (il le prouve en instaurant dans sa commune des procédure démocratique et en mettant en pratique le tirage au sort) est considéré ouvertement comme personna non grata par le Parti de Gauche, cette nouvelle succursale de voleurs de pouvoir faussement de gauche et prétendument "à gauche de la gauche".
Morpheus
Le "ferme ta gueule" s’adressait à sa confrère, pour la prévenir que Jon arrivait derrière avec sa caméra non cachée.
Excellent travail de contre infiltration, Jon (et les spectateurs qui ont pris les journaleux sur le fait, bravo aussi bien sûr).
A commencer par leur ennemi... intérieur !
@ caracole
Relis ce que j’ai écris et tu verras que ta question trouve sa réponse
Morpheus
@ caracole
Par ce commentaire, vous êtes vous-mêmes dans le délire dénoncé, parce que primo, Dieudonné n’est pas dans l’obsession "des juifs", mais dans une démarche qui vise à révéler cette obsession et cette manipulation. Si vous connaissiez ces spectacles, vous sauriez qu’ils traitent de tout un tas de sujets autres que "les juifs". Mais vous ne connaissez pas et vous répétez ce que la meute médiatique martèle encore, encore et encore. Celma signifie que vous êtes vous-mêmes pris dans cette nasse psychotique dont parle machiavel1983 dans ce sujet.
Morpheus
@ tofperson
Le rire est justement un mécanisme psychique qui permet de surmonter le traumatisme. C’est un mécanisme de guérison psychique, un mécanisme naturel de survie psychique.
Lorsque l’on rigole en visionnant La grande vadrouille, on rigole d’événements objectivement tragiques et très durs. Mon grand père, qui était dans le maquis avec la résistance, et qui a psychologiquement souffert de cette période (psychiquement et physiquement, puisqu’il a été fait prisonnier, torturé, s’est enfuit et caché dans les bois, et a finalement pris trois balles dans de mitraillettes dans le dos lors d’une bataille), je l’ai vu pleurer devant des film de guerre, et rire devant La grande vadrouille.
Rire ne signifie pas que l’on méprise la souffrance. Rire active une protection contre la souffrance, PARCE que nous sommes, globalement, des être empathiques (sans un minimum d’empathie, nous serions incapable de vivre ensemble, or nous avons besoin des autres).
Moi, non seulement je peux en rire, mais je veux pouvoir en rire, parce que sans ce rire, il ne me reste que des larmes, de la frustration, et de la colère.
Or, tous ces sionistes qui usent de "la mémoire" de leur souffrance comme d’un système de domination et de culpabilisation, eux sont dans cette colère devenue psychopathique, précisément parce qu’ils restent dans la perpétuation de la souffrance passée.
Nous refusons cette nouvelle tyrannie !
@ funambule
Oui, bien sûr, on peut leur dire qu’ils sont dans le délire, et même essayer de trouver les mots ad hoc. Mais je peux vous assurer que c’est peine perdue. Je parle d’expérience. Car au delà des symptômes paranoïdes que ces gens manifestent, on voit bien qu’il y en a d’autres, en particulier chez certains (Jackubowiz, Finkielkraut, Tesson, etc.) : la perversion narcissique, autrement appelée "psychopathie sans symptôme". Pour le dire autrement, ces personnes sont perverses (inversion du sens des valeurs, des mots, etc.), elles renvoient systématiquement leurs propres tares sur leurs victimes sacrificielles (le socialo à gauche de Bricmont qui dit qu’il est paranoïa, alors que clairement, c’est leur petite bande de fêlés qui est dans le délire paranoïaque), et ils s’acharnent (en bande qui plus est) sur un type isolé.
Mais personnellement, je ne peux pas en rire, parce que par expérience personnelle - et une connaissance de ces pathologies graves - j’en connait la portée. Or, dans le cas qui nous occupe, cette pathologie atteint un groupe nombreux de gens qui sont aux pouvoirs : pouvoir économique et financier, pouvoir culturel, pouvoir médiatique, pouvoir judiciaire et pouvoir législatif : bref, ils sont organisés en réseau et occupent toutes les sphères du pouvoir.
Comme en Allemagne lors de la montée d’Hitler, un autre délire collectif. Nous assistons en ce moment au même délire collectif, sauf qu’il est perpétré par les descendants des victimes de l’autre. De la même manière que certaines victimes de bourreau familial deviennent eux-mêmes, une fois adulte, le bourreau de leurs enfants, tous ces sionistes sont devenus comme ceux qui les ont tyrannisés.
On ne peut faire entendre raison à ces gens (c’est réellement très, très difficile, exceptionnel de voir un psychopathe reconnaître sa pathologie), et d’autant moins qu’ils agissent dans un délire collectif où leur psychose se renforce mutuellement.
Ces gens forment une secte extrêmement dangereuse.
On est réellement mal barré, les gens, je vous le dis.
Mais tu sais, les nazi aussi étaient persuadés qu’ils étaient dans le camp du bien. C’est la caractéristique de tous les psychopathes de se croire dans le camp du bien. C’est justement ça qui les rend dangereux.
Quelle différence entre un antisémite d’aujourd’hui et un antisémite d’il y a un siècle ?
Réponse :
Il y a un siècle, un antisémite était une personne qui n’aimait pas les juifs.
Aujourd’hui, un antisémite est une personne que les juifs n’aiment pas.
De toute façon, en ce qui me concerne, je peux pas le nier, je suis un singe (du moins, c’est ce que dit l’astrologie chinoise, faut voir)
Si on a le droit d’être antisémite au singulier (ne pas aimer un juif en particulier), alors là je suis antisémite, parce qu’il le vaut bien
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