ASK : Anne Strauss-Kahn
Si je m’en sors ? Non je ne m’en sors pas… vous permettez… mais je suis émue…
Si je me laisse aller, je crois que je suis capable de noyer, la terre entière, juste avec quelques larmes…
Mais j’ai comme l’impression que je ne suis pas la seule à ressentir d’étranges secousses, comme les vibrations d’une comète qui s’apprête à exploser.
Et pourtant, je prétendais être à l’abri de toute superstition…
Et voilà que tout se met à vaciller...
Le père de mes enfants… avec les menottes aux poignets… l’image est gravée à tout jamais, dans toutes les mémoires parce qu’elle en dit long sur cette chienne de vie !
Rassurez-vous, j’avais déjà un vague pressentiment… je le sentais… je le présentais…. Entre la fortune et l’infortune, on peut à peine glisser une feuille de papier.
Les plus proches exerçaient sur nous, depuis quelques temps déjà, une sorte de pression sous prétexte qu’il y avait des échéances à respecter… Alors qu’il était écrit quelque part, que nous étions à deux pas de la pire des déchéances…
Non… je ne rêve pas, je n’ai pas rêvé… je n’ai jamais rêvé… d’une nation qui confond justice et religion…
Non, je ne m’incline pas devant l’Amérique, et je lui promets de débarrasser le plancher à tout jamais… en laissant cette putain aux puritains !
Je demande pardon à mes enfants d’avoir épousé l’homme le plus en vie et le plus envié…
On pourrait en effet tout lui ôter… Sauf sa majesté…
Un petit plus qu’aucun homme digne de ce nom, ne pourrait lui contester.
Je t’aime DSK et depuis qu’on t’a enlevé j’ai réalisé qu’il n’y aura pas de vie après toi…
Ils ne te relâcheront plus… mon amour… parce que tu es malade… et parce qu’ils sont encore plus malades… Je t’aime…
http://www.lejournaldepersonne.com/2011/05/ask-anne-strauss-kahn/
ASK : Anne Strauss-Kahn
Si je m’en sors ? Non je ne m’en sors pas… vous permettez… mais je suis émue…
Si je me laisse aller, je crois que je suis capable de noyer, la terre entière, juste avec quelques larmes…
Mais j’ai comme l’impression que je ne suis pas la seule à ressentir d’étranges secousses, comme les vibrations d’une comète qui s’apprête à exploser.
Et pourtant, je prétendais être à l’abri de toute superstition…
Et voilà que tout se met à vaciller...
Le père de mes enfants… avec les menottes aux poignets… l’image est gravée à tout jamais, dans toutes les mémoires parce qu’elle en dit long sur cette chienne de vie !
Rassurez-vous, j’avais déjà un vague pressentiment… je le sentais… je le présentais…. Entre la fortune et l’infortune, on peut à peine glisser une feuille de papier.
Les plus proches exerçaient sur nous, depuis quelques temps déjà, une sorte de pression sous prétexte qu’il y avait des échéances à respecter… Alors qu’il était écrit quelque part, que nous étions à deux pas de la pire des déchéances…
Non… je ne rêve pas, je n’ai pas rêvé… je n’ai jamais rêvé… d’une nation qui confond justice et religion…
Non, je ne m’incline pas devant l’Amérique, et je lui promets de débarrasser le plancher à tout jamais… en laissant cette putain aux puritains !
Je demande pardon à mes enfants d’avoir épousé l’homme le plus en vie et le plus envié…
On pourrait en effet tout lui ôter… Sauf sa majesté…
Un petit plus qu’aucun homme digne de ce nom, ne pourrait lui contester.
Je t’aime DSK et depuis qu’on t’a enlevé j’ai réalisé qu’il n’y aura pas de vie après toi…
Ils ne te relâcheront plus… mon amour… parce que tu es malade… et parce qu’ils sont encore plus malades… Je t’aime…
http://www.lejournaldepersonne.com/2011/05/ask-anne-strauss-kahn/
Histoire de Q
J’ai appris de bonne heure à distinguer entre comédie et tragédie.
Mais là, il s’agit d’un genre nouveau, pour nous autres français
La « Cumédie » ou l’art d’embrouiller les simples d’esprit avec une petite histoire de cul… tic… tac…tic….
Les faits… et seulement les faits… comme on dit outre atlantique.
On peut mettre en effet toute interprétation de côté et écouter les paroles d’une fée…
qui a le goût et le sens du devoir vite fait bien fait…
Mon client DSK, a prémédité vraisemblablement son coup. A coup sûr !
SK : Anne Strauss-Kahn
Edgar Poe a inventé un mot : "hyperobstrusif".
On pourrait l’appliquer à l’Amérique.
Il signifie qu’il y a quelque chose « de trop » dans leur dispositif…
Tout y est chargé… surchargé... de fausses petites pudeurs...
toutes prêtes à trancher la tête d’un homme...
pour une caresse de trop…
http://www.lejournaldepersonne.com/2011/05/ask-anne-strauss-kahn/
ASK : Anne Strauss-Kahn
Edgar Poe a inventé un mot : "hyperobstrusif".
On pourrait l’appliquer à l’Amérique.
Il signifie qu’il y a quelque chose « de trop » dans leur dispositif…
Tout y est chargé… surchargé... de fausses petites pudeurs...
toutes prêtes à trancher la tête d’un homme...
pour une caresse de trop…
http://www.lejournaldepersonne.com/2011/05/ask-anne-strauss-kahn/
ASK : Anne Strauss-Kahn
Edgar Poe a inventé un mot : "hyperobstrusif".
On pourrait l’appliquer à l’Amérique.
Il signifie qu’il y a quelque chose « de trop » dans leur dispositif…
Tout y est chargé… surchargé... de fausses petites pudeurs...
toutes prêtes à trancher la tête d’un homme...
pour une caresse de trop…
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Histoire de Q
J’ai appris de bonne heure à distinguer entre comédie et tragédie.
Mais là, il s’agit d’un genre nouveau, pour nous autres français
La « Cumédie » ou l’art d’embrouiller les simples d’esprit avec une petite histoire de cul… tic… tac…tic….
Les faits… et seulement les faits… comme on dit outre atlantique.
On peut mettre en effet toute interprétation de côté et écouter les paroles d’une fée…
qui a le goût et le sens du devoir vite fait bien fait…
Mon client DSK, a prémédité vraisemblablement son coup. A coup sûr !
J’ai appris de bonne heure à distinguer entre comédie et tragédie.
Mais là, il s’agit d’un genre nouveau, pour nous autres français
La « Cumédie » ou l’art d’embrouiller les simples d’esprit avec une petite histoire de cul… tic… tac…tic….
Les faits… et seulement les faits… comme on dit outre atlantique. On peut mettre en effet toute interprétation de côté et écouter les paroles d’une fée… qui a le goût et le sens du devoir vite fait bien fait…
Mon client DSK, a prémédité vraisemblablement son coup. A coup sûr !
Puisqu’il a omis de mettre la petite pancarte sur la poignée de la porte : « do not disturb ». Il voulait être perturbé.
A 13 heures, chiffre porte bonheur, notre fée, sainte vierge avec un stérilet, ne prend même pas la peine de frapper à la porte, utilise son passe et pénètre sur les lieux pour un brin de remue-ménage.
Pendant ce temps, notre obsédé au quotient intellectuel surélevé l’attendait dans sa salle de bain, en retenant son souffle malgré les milliers de cigares que ses poumons ne lui pardonneront jamais. Et pendant que la fée du logis faisait son lit en fredonnant la marseillaise, le gros quotient se précipita sur elle dans la tenue d’Adam et la poussa dans le lit. Chute vertigineuse comme on peut se l’imaginer…
Et il s’est laissé tomber sur elle… et a effacé d’un trait tous nos péchés…en l’implorant : détruis-moi ! S’il te plaît ! Destroy-me please !
Mais elle l’a repoussé, s’est relevée et l’a regardé sans baisser les yeux… c’est là qu’il lui a glissé quelques bribes dont elle se souvient à peine : VA ET FAIS CE QUE TU AS A FAIRE… plus brièvement : just do it…
Elle s’envola ameuter les deux ou trois malins qui l’attendaient derrière la porte d’à côté.
Il y a comme un lien de parenté entre la guerre en Irak et une déesse qui craque.
Non, ce n’est pas un complot… c’est une compote concoctée par des potes avec des fruits interdits. Et croyez-moi, c’est à la portée de n’importe qui…
J’ai appris de bonne heure à distinguer entre comédie et tragédie.
Mais là, il s’agit d’un genre nouveau, pour nous autres français
La « Cumédie » ou l’art d’embrouiller les simples d’esprit avec une petite histoire de cul… tic… tac…tic….
Les faits… et seulement les faits… comme on dit outre atlantique.
On peut mettre en effet toute interprétation de côté et écouter les paroles d’une fée…
qui a le goût et le sens du devoir vite fait bien fait…
Mon client DSK, a prémédité vraisemblablement son coup. A coup sûr !
Histoire de Q
J’ai appris de bonne heure à distinguer entre comédie et tragédie.
Mais là, il s’agit d’un genre nouveau, pour nous autres français
La « Cumédie » ou l’art d’embrouiller les simples d’esprit avec une petite histoire de cul… tic… tac…tic….
Les faits… et seulement les faits… comme on dit outre atlantique.
On peut mettre en effet toute interprétation de côté et écouter les paroles d’une fée…
qui a le goût et le sens du devoir vite fait bien fait…
Mon client DSK, a prémédité vraisemblablement son coup. A coup sûr !
Les bâtards
Tous les méchants sont entrain de rendre les âmes et les armes
Ce sera bientôt notre tour…
De cesser de faire du bien à tous ceux qui nous font du mal
Ménard, Collard et tous les bâtards…
Déesse A... répond à Wauquiez !
La journaliste :
Déesse A… mieux vaut tard que jamais… Le 10 mai n’est pas un jour comme un autre
A :
Oui…mais si vous voyez ce que je veux dire… aucun jour ne l’est… si chacun fait ce qui lui plaît !
La journaliste :
Et vous, dans la peau de la primadonna, vous vous y voyez déjà ?
A :
Ça dépend de quel opéra, si c’est du Mozart ou du Salieri que l’on s’apprête à jouer…
le modèle la copie ou la copie de la copie… tout dépend de la partition, en politique comme en musique.
La journaliste :
Et votre Don Juan, qu’est-ce qu’il devient ?
Obama : Le vieil homme à la mer
Obama nous dit que justice est faite, il ne nous dit pas ce qui est, ni ce qui doit être mais ce qui peut être dit… Pas le réel, mais l’imaginaire : celui qui nous laisse croire qu’il ne puisse y avoir de meilleur monde possible… peut-être : c’est toute la mesure de son pouvoir… il ne peut ni dire davantage… ni faire mieux que nous dire toutes les limites de son pouvoir.
Quelques vidéos pour nous exposer un vieil homme quelques heures avant de le jeter à la mer. Non… il n’y a pas anguilles sous roche, ni théorie de complot qui vaille la peine… mais seulement une lâcheté constitutionnelle :
Parce que l’Amérique, messieurs dames, est d’une vertu légendaire : elle n’exposera jamais le sang qu’elle était obligée de verser, ni la tête qu’elle a choisi d’exploser à bout portant…
Qui a dit que le pire des vices… c’est l’excès de vertu ?
Non ! Obama n’était pas dans son rôle mais dans le rôle de l’un de ses électeurs… un punisher qui éteint le feu allumé par son prédécesseur.
Justice est faite !
http://www.lejournaldepersonne.com/2011/05/le-vieil-homme-a-la-mer/
Obama : Le vieil homme à la mer
Obama nous dit que justice est faite, il ne nous dit pas ce qui est, ni ce qui doit être mais ce qui peut être dit… Pas le réel, mais l’imaginaire : celui qui nous laisse croire qu’il ne puisse y avoir de meilleur monde possible… peut-être : c’est toute la mesure de son pouvoir… il ne peut ni dire davantage… ni faire mieux que nous dire toutes les limites de son pouvoir.
Quelques vidéos pour nous exposer un vieil homme quelques heures avant de le jeter à la mer. Non… il n’y a pas anguilles sous roche, ni théorie de complot qui vaille la peine… mais seulement une lâcheté constitutionnelle :
Parce que l’Amérique, messieurs dames, est d’une vertu légendaire : elle n’exposera jamais le sang qu’elle était obligée de verser, ni la tête qu’elle a choisi d’exploser à bout portant…
Qui a dit que le pire des vices… c’est l’excès de vertu ?
Non ! Obama n’était pas dans son rôle mais dans le rôle de l’un de ses électeurs… un punisher qui éteint le feu allumé par son prédécesseur.
Justice est faite !
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L’or en blanc
Laurent Blanc, mon petit Lolo… lol pour les plus grands.
Regarde-moi bien les yeux dans les yeux et dis-moi que tu ne vas pas toi aussi nous prendre pour des bleus.
Non… je ne te parlerai même pas de quottas, ni de statistiques à la noix... Non je ne vais pas te la jouer plus royaliste que les rois, ni plus réaliste que les rats de la DTN. On n’en est pas là… Laurent… tu le sais bien au fond qu’il n’y a pas lieu de distinguer, surtout quand on se veut joaillier entre l’or jaune, l’or blanc ou l’or noir…
Mais ce n’est pas de ça qu’il s’agit. Tu as dit clairement pour ceux qui aiment le même sport que toi, que ces blacks, que tu adores par ailleurs, ont une valeur athlétique supérieure à la notre. Comme dirait l’autre, ils courent plus vite, sautent plus haut et frappent plus fort.
Joli compliment ou triste constat ? That’s the question !
Non je ne te fais pas marcher, je marche, je cours et je vole à ton secours pour dire Non… ce n’est pas une estocade de la part du sélectionneur national, mais juste une boutade…
Un petit sourire de vestiaire… tu n’es pas R A C I S T E mais avec ce genre de dixit, tu incites nos petits poussins à le devenir. Racistes ! Et nos cadets à s’en souvenir…
Pour les blancs comme pour les noirs, c’est le tacle de trop, celui qui te vaut une suspension, quand on applique seulement les règles du jeu… ou que l’on se rappelle du premier principe : le respect de l’AUTRE.
Ce qui ne veut surtout pas dire carte blanche pour égratigner les siens… et c’est ce que tu as fait, mon grand Lolo, à l’insu de leur plein gré, tu as marché sur le pied de tes coéquipiers… ce sont les tiens que tu as offensé noir sur blanc : sous prétexte que les catalans t’ont attesté : qu’on peut escalader le Mont Blanc sans le concours d’un seul black.
Jadis, si je me souviens bien, le Real Madrid s’est dispensé pour des raisons financières, du géant Makélélé et depuis, ils n’ont plus jamais retrouvé leur suprématie.
Si j’étais toi, je n’hésiterai pas une seconde : je rendrais mon tablier pour donner la plus belle leçon de FAIR-PLAY… Liberté… que m’importe ton nom, si le ballon ne redevient pas rond pour tout le monde.
Kill Bin 3 : le trauma d’Obama
Regardez-le bien, il réfléchit…
Et pourtant il a tout fait pour en arriver là !
Mais on dirait qu’il hésite… on dirait qu’il doute…
On dirait qu’il redoute…
Quoi ? Qui ?
Obama a peur de Dieu … et ça crève les yeux…
Il n’a qu’un mot à dire, mais il ne le dira pas avant de réunir ses témoins de Jéhovah…
pour ne pas être le seul à le dire, pour ne pas être le seul… à prononcer la terrible sentence…
Le bourreau pèse soudain plus lourd que ses trois mille victimes.
Mais il sent bien que les faits ne sont pas interchangeables, ni les raisons comparables, ni les hommes semblables…
il veut l’achever parce qu’il a été élu pour assumer ce genre de guerre mais… il va hésiter encore…
un instant, parce que le Nobel de la paix vient de s’apercevoir qu’il n’a pas le droit de se substituer à Dieu !
La justice a un sens… pas la vengeance…
Adieu Oussama… mais si Dieu existe… on peut se dire aussi : adieu Obama !
http://www.lejournaldepersonne.com/2011/05/kill-bin-3/
Kill Bin Laden
Oussama Ben Laden n’est plus…
Je voudrais envoyer aux plus proches du défunt un petit billet pour leur exprimer mes doléances plutôt que mes condoléances…
Mais je ne sais pas à qui les adresser.
A l’Amérique qui en a fait un guerrier puis un meurtrier et enfin un fou à lier qui croyait détenir le verbe sacré.
A Israël, qui n’a jamais feint de le craindre, mais qui a néanmoins subtilisé son anathème pour transformer ses élus en électeurs et ses ennemis en états unis.
Ou bien aux services secrets du monde entier qui ont fait semblant de le pourchasser ou fait exprès de l’épargner.
Mais tout compte fait, on ne dira jamais à qui ses crimes ont profité sous peine de se mettre à dos tous les réseaux de la désinformation.
Quant à l’Arabie, elle n’a désormais plus rien à se reprocher, elle peut se rapprocher de Dieu et cesser de lui cacher son jeu : en lui avouant enfin qu’à part l’or noir, tout le reste est blanc…
Ben Laden est mort… mais ses ombres navrantes sont toujours flottantes dans la mémoire de chaque homme, qui sait que la vérité n’est qu’un tissu de contre-vérités.
kill Bin 2
Le scénario qui sort de l’eau :
Quelques minutes avant l’irruption des américains dans l’intimité de l’ennemi public numéro 1…
Oussama écoutait pour la dernière fois sa profession de Foi… à la gloire d’Allah.
Kill Bin Laden
Oussama Ben Laden n’est plus…
Je voudrais envoyer aux plus proches du défunt un petit billet pour leur exprimer mes doléances plutôt que mes condoléances…
Mais je ne sais pas à qui les adresser.
A l’Amérique qui en a fait un guerrier puis un meurtrier et enfin un fou à lier qui croyait détenir le verbe sacré.
A Israël, qui n’a jamais feint de le craindre, mais qui a néanmoins subtilisé son anathème pour transformer ses élus en électeurs et ses ennemis en états unis.
Ou bien aux services secrets du monde entier qui ont fait semblant de le pourchasser ou fait exprès de l’épargner.
Mais tout compte fait, on ne dira jamais à qui ses crimes ont profité sous peine de se mettre à dos tous les réseaux de la désinformation.
Quant à l’Arabie, elle n’a désormais plus rien à se reprocher, elle peut se rapprocher de Dieu et cesser de lui cacher son jeu : en lui avouant enfin qu’à part l’or noir, tout le reste est blanc…
Ben Laden est mort… mais ses ombres navrantes sont toujours flottantes dans la mémoire de chaque homme, qui sait que la vérité n’est qu’un tissu de contre-vérités.
Kill Bin Laden
Oussama Ben Laden n’est plus…
Je voudrais envoyer aux plus proches du défunt un petit billet pour leur exprimer mes doléances plutôt que mes condoléances…
Mais je ne sais pas à qui les adresser.
A l’Amérique qui en a fait un guerrier puis un meurtrier et enfin un fou à lier qui croyait détenir le verbe sacré.
A Israël, qui n’a jamais feint de le craindre, mais qui a néanmoins subtilisé son anathème pour transformer ses élus en électeurs et ses ennemis en états unis.
Ou bien aux services secrets du monde entier qui ont fait semblant de le pourchasser ou fait exprès de l’épargner.
Mais tout compte fait, on ne dira jamais à qui ses crimes ont profité sous peine de se mettre à dos tous les réseaux de la désinformation.
Quant à l’Arabie, elle n’a désormais plus rien à se reprocher, elle peut se rapprocher de Dieu et cesser de lui cacher son jeu : en lui avouant enfin qu’à part l’or noir, tout le reste est blanc…
Ben Laden est mort… mais ses ombres navrantes sont toujours flottantes dans la mémoire de chaque homme, qui sait que la vérité n’est qu’un tissu de contre-vérités.
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