Les commentaires de C.la.Vie

On se demande si le débat politique n’a pas été sciemment "américanisé" depuis 2007-peopolisation des politiques, scandale sexuel, laïcité, identité national, parité homme/femme- Non ?

Il existe une contestation artistique contre l’islamisme extrémiste (notamment au Pakistan et en Inde), qui n’est pas à l’image et n’utilise pas les mêmes moyens stylistiques que notre propre culture artistique laïque anti-culte, pour la simple raison que selon les cultures nous nous exprimons différemment. De plus si pour nous autres il est légitime de critiquer les cultes, cela reste un fait rare à travers le monde. Dans la majorité des pays, le culte reste sacré, qu’il soit musulman, juif, bouddhiste ou animiste.

Lorsqu’on parle d’Arts, il est essentiel de prendre en compte l’environnement social, structurel et culturel de l’artiste. Lorsqu’on est un artiste il faut s’attendre a ne pas plaire a tous, mais faire des amalgames comme Costes le fait, ‘est franchement pas digne de l’empathie artistique.

L’art Musulman ne se limite pas au « décoratif », et ce n’est pas parce qu’il s’exprime différemment sur des thèmes divergents des nôtres qu’il est moins essentiel pour la société dans laquelle il nait et évolue.

Costes ne dis pas ce que vous dites, il dit vraiment ce que j’ai bien compris. Apres, si il n’a pas su exprimer correctement sa pensée, la c’est un autre problème. 

Il existe une contestation artistique contre l’islamisme extrémiste (notamment au Pakistan et en Inde), qui n’est pas à l’image et n’utilise pas les mêmes moyens stylistiques que notre propre culture artistique laïque anti-culte, pour la simple raison que selon les cultures nous nous exprimons différemment. De plus si pour nous autres il est légitime de critiquer les cultes, cela reste un fait rare à travers le monde. Dans la majorité des pays, le culte reste sacré pour la plus grabde partie de la population, qu’il soit musulman, juif, bouddhiste ou animiste. 

Lorsqu’on parle d’Arts, il est essentiel de prendre en compte l’environnement social, structurel et culturel de l’artiste. Lorsqu’on est un artiste il faut s’attendre a ne pas plaire a tous, mais faire des amalgames comme Costes le fait, n‘est franchement pas digne de l’empathie artistique universelle.

L’art Musulman ne se limite pas au « décoratif », et ce n’est pas parce qu’il s’exprime différemment sur des thèmes divergents des nôtres qu’il est moins essentiel pour la société dans laquelle il nait et évolue.

Costes ne dis pas ce que vous dites, il dit vraiment ce que j’ai bien compris. Apres, si il n’a pas su exprimer correctement sa pensée, la c’est un autre problème. 

Arf...J’aurai pas pu dire mieux !

C’est clair...j’voulais juste mettre en avant des artistes que j’apprécie, hommes et femmes de confession musulmane, qui eux prennent de véritables risques et se battent pour des causes, dénoncent, et militent... et vivent une expérience artistique au delà de l’expérience purement narcissique ...

Omar Kayyam a inspiré les plus grands artistes du monde, écrivains, poètes, peintres, etc....Costes, j’ai des doutes sur son influence, même post-mortem...

erreur  à  la relecture...A1One execute son art urbain en Iran (et non pas en Afganistan)

"Dans l’Islam il n’y a pas d’Arts.."...

Je n’adhère pas du tout à cette opposition binaire que vous citez. Bien au contraire. Je pense que donner la place à l’enfant seul serait une erreur de discipline dévastatrice, et une discréditation de la valeur apportée par l’adulte en tant que model et autorité.

 Cet instit faisait apparaitre la classe comme l’espace des enfants et de leurs enseignants qui nous apportaient l’autorité, la passion et l’écoute individuelle nécessaire a notre enseignement et notre développement personnel. On avait le droit de diverger, et son travail était de nous faire converger tout en écoutant nos divergences (rf : Funérailles donc pas de recréation) et, Il n’avait rien d’un hippy à la Cohn Bendit (soyons à jamais préservées de ses méthodes éducatives)

Je rajouterai que l’expérience citée dans l’animation ne tendait pas vers une définition de l’intelligence, mais d’un de ses outils dont nous héritons tous qui est  l’aptitude à la divergence, et qui, selon les résultats de son expérience,  est détruite par les méthodes d’enseignement qui rendraient l’enfant convergent pour qu’il adhère au système plutôt que de vouloir le changer.

L’auteur dit aussi clairement que cela n’est pas la « faute » des enseignants, mais de leur condition de travail (formation et environnement).

« Dans la démarche créative il y a en permanence une alternance entre : des phases de divergence (je m’éloigne de la réalité objective, je vais vers mon désir, mon imaginaire), et des phases de convergence (je prends appui sur mes rêves et

J’adapte mon imaginaire aux contraintes de la réalité).

La divergence est l’aptitude de l’esprit à reconstruire un monde différent de celui qui est proposé […]

La convergence est l’aptitude de l’esprit à s’insérer dans le monde tel qu’il est fait […] Cette alternance entre divergence et convergence n’est pas sans analogie avec les mécanismes que Piaget analyse quand il décrit le développement de l’intelligence chez l’enfant (mécanismes d’assimilation et d’accommodation) qui consistent alternativement à vouloir adapter le monde extérieur à soi ou à s’adapter au monde. 

La créativité n’est pas un domaine distinct de l’intelligence (Guildford). Elle ne résulte pas du développement d’une seule aptitude spécifique mais de la

Combinaison plus ou moins fluide de différentes aptitudes, de différents facteurs de personnalité dont il faut développer la synergie. »

source

 Pour ce qui est de mesurer l’intelligence et les tests de QI : je suis en complet accord avec vous !

Je vais être un peu personnelle pour cette réponse.

Lorsque j’étais en CM1, mon instituteur, Mr Kerrouault (Big up, parce qu’il était exceptionnel) donnait toujours la parole aux enfants.

je n’irai pas dans le détail, mais un exemple… l’école étant une école communale dans un petit village, elle était rattachée a l’église du bourg, notre cours donnait sur le cimetière, et donc, nous étions parfois privés de recréation pour cause de funérailles… et cet instituteur nous laissait parler, exprimer nos idées sur la religion qui nous privait de recréation, il ne nous disait pas de nous taire, mais de respecter la parole de chacun, et une fois qu’il nous avait laissés le temps de nous exprimer, nous étions beaucoup plus attentif à ce que lui avait à nous dire…(ce débat pris place tant de fois, qu’il est le premier qui me vint à l’esprit, mais il y en a eu tant d’autres !)

Dans mon exemple, avec du recul je me suis rendue compte que mon intérêt pour l’histoire de Clovis, et l’avènement du catholicisme en France venait de nos discussions autour du droit à la recréation pendant les funérailles. En discutant avec nous, notre instituteur nous enseignait l’histoire, l’éducation civique, la spiritualité, la religion à travers les coutumes du monde)

Est-ce de l’éveil ? Oui, car c’est de l’expression et donc de l’écoute des besoins, et une reponse d’adulte permettait l’éveil.

Penser qu’un enfant est une boite à remplir qu’il faut rendre « prête à l’emploi » est très réductrice et destructrice des capacités de réflexion. Surtout quand les écoles deviennent de plus en plus compétitives en termes de taux de réussite, où l’emploi du temps est devenu synonyme de rendement.

Il ne s’agit pas de reformer les contenus (quoique je pense qu’il y a des choses à revoir, mais c’est un autre débat), mais de reformer les moyens et les techniques de passation des connaissances.

Alors, une idée, peut être, (je ne fais pas partie du corps enseignant, mais j’ai travaillé dans des structures d’accueil à l’enfance) c’est que le corps enseignant fasse le lien entre les sujets qu’il doit enseigner et les attentes, ou les préoccupations de l’enfant. (Et non les préoccupations des rectorats et des industries)

J’espère avoir répondu à votre question, même si je pense que, à moi-seule, je n’ai pas la solution...Mais cet instit nous encadrait, dans notre monde pour nous préparer à être des individus qui pensent et qui discutent, et qui se découvrent des centres d’intérêt, des vocations et qui surtout peuvent exprimer leur attentes sur tous les sujets.

Discuter d’un seul sujet permet d’éveiller à plusieurs autres sujets. 

Je comprends ce que tu veux dire ici.

Cependant, l’idée de cette intervention n’est pas d’avoir tout compris, mais d’envisager les cotes négatifs de l‘outil :

-  La main mise des états sur l’identité des activistes ou des individus qui simplement sont contre le système (il ne s‘agit pas la de « contrôle » mais de mise en place de listing)

-  Le lavage de cerveau par le divertissement digital

-  La propagation de la pornographie occidentale dans des pays non-occidentaux

-  Etc.

Il ne s’agit pas de réguler le Net donc, mais d’envisager les impacts réels sur les sociétés.

La p’tite femme de ménage malienne, illettrée, qui vit dans un immeuble pour sidaiques dans le fin fond du bronx...en fait c’est qu’une couverture tout ca, en vrai c’est Jacky brown... Welcome to Hollywood Baby, if you ain’t got the money, you ain’t got the luck...

(desolee pas d’accent, car clavier qwerty)

Formidable documentaire, qui presente de maniere assez conforme ce pti bouquin qui de l’exterieur n’a l’ait de rien, mais qui se revele etre un tresor en matiere de psycho solciale economique dans le milieu de l’entreprise...

A lire aussi, pour ceux qui s’interressent a ce milieu de la geante americaine qui s’exporte malheureusement, peut-etre- , il y a 2 autres bon bouquins "the mezzanine" par nicholson baker Qui est assez surprenant de par l’esprit meme de l’auteur, qui s’attache au detail tant et tellement que c’est la, la critique ironisee du tout pense, du tout reflechi, du plus rien de vraiment instinctif..si ce n’est la fuite dans la reflexion...

et sur un plan plus large de l’organisation du travail jusqu’a l’organisation de la vie en general, de l’impossibilite a etre heureux, tres drole et tres interressant " The Age of Absurdity" de Michael Foley

Merci de partager ce genre d’intervention !

Un homme interressant et courageux egalement, car c. toujours impopulaire de toucher a l’opium du peuple moderne, l’homme televisuel..
voici un article que je viens de publier,je pense que la video peut vous interresser si le sujet vous est cher :
un documentaire decrivant une experience en Psycho sociale sur la television et le concept de l’obeissance ( La tele tel un maitre, l’homme son esclave abruti)
http://www.agoravox.tv/actualites/societe/article/l-homme-televisuel-un-enjeu-pour-30699?debut_forums=0#forum12671399

Merci de rappeler le lien vers la participation recente de Michel Desmurget.
Ils sont si peu nombreux les scientifiques qui osent encore devoiler au public un etat des lieux realiste :)-

Merci !

un documentaire sur l’industrie pharmaceutique, un genocide humain par les psychotrope et un enjeu marketing hallucinant !!!

documentaire incroyable mais pas encore assez partage !!

faites passer !!

http://www.youtube.com/watch?v=UYRUi108UC4&feature=related