Oui, il faut lire le coran pour se faire une idée juste de ce que l’islam prescrit à ses adeptes et dans les circonstances actuelles il est intéressant de voir comment il appréhende la violence :
"L’esclavage est la condition d’un individu privé de sa liberté, qui devient la propriété, exploitable et négociable comme un bien matériel, d’une autre personne."
J’crois que Cheminade est un vieux pervers, ça fait longtemps qu’il se masturbe l’esprit en rêvant à des sévices imaginaires exécutés par la reine d’Angleterre en personne.
Tsipras ou pas le résultat aurait été le même, il a juste tiré un peu plus sur l’élastique que les autres et quand ça a cassé ça lui est revenu un peu plus fort dans les doigts et dans ceux des grecs en général.
@jeanpiètre
Le coup de force, c’est Tsipras qui l’a tenté et la dictature ce serait de 10 millions d’électeurs grecs imposent leur volonté au reste de l’Europe : des sous, des sous, encore des sous pour que nous puissions continuer à consommer sans produire.
Demandez vous plutôt pourquoi ces si pauvres victimes des banquiers veulent rester dans l’Euro.
Si cette monnaie et les règles qui nécessairement vont avec est la cause de leurs malheurs, ne devraient-ils pas en sortir au plus vite..
@revolQé1
A mon avis, Groland est tout indiqué pour fédérer tout ça, z’ont un gland p’ésident forttapte à incarner cette nouvelle ésistance !
Tiens, c’est la même musique que Hollande avant d’être élu :
@Doume65
mais si, mais si, c’est juste que Poupou a voulu tester le produit avant tout le monde, c’est le chef, merdre !
@Mao-Tsé-Toung
Le référendum n’a plus de sens puisque l’Eurogroupe à l’unanimité, sauf la Grèce bien sur, a mis fin au plan d’aide financière.
Sauf coup de théâtre dans les 48 h, le défaut de la Grèce est assuré au lendemain du 30 juin.
Les grecs vont-ils voter sur une proposition qui est de fait obsolète ?
Tsipras pourrait transformer sa question en faisant voter sur le maintien de la Grèce dans l’Europe par exemple...
"Le plan d’aide financière à la Grèce va prendre fin mardi 30 juin, a annoncé samedi 27 le président de l’Eurogroupe, Jeroen Dijsselbloem, estimant que la Grèce a rompu les négociations."
@jeanpiètre
Aucun intérêt de discuter avec quelqu’un qui n’argumente pas mais se contente d’attaques ad hominen.
@Pierre Régnier
et veuillez excuser mon erreur de prénom, j’ai tapé trop vite et ne me suis pas relu
Oui, Yves régnier, je suis à peu prés sur la même ligne et si l’islam rentrait dans le rang comme l’ont fait les églises de France, cela serait déjà un grand progrés.
@Piloun
Non, Piloun, il évoque bien : "la partie belligène du patrimoine religieux – conforme à une vision du monde dépassée, propre à un temps éculé - qui n’a pas été dévitalisé. Des sermonnaires doctrinaires le profèrent pour « défendre » une religion qu’ils dénaturent et avilissent. Plus que sa caducité, il est temps de le déclarer antihumaniste."
Il dit aussi : " L’on n’aura plus à infantiliser des esprits ni à culpabiliser des consciences. Les chantiers sont titanesques : la laïcité, l’égalité foncière entre les êtres, la liberté d’expression, la garantie de pouvoir abjurer sa croyance, la désacralisation de la violence, sont des antidotes primordiaux exigés."
C’est un résumé de tous les reproches que nous pouvons faire à l’islam et si vous lisez les débats que nous avons tenu ici sur le sujet, vous me rendrez justice en reconnaissant que je les ai régulièrement soulignés.
L’islam,n’est pas organisé comme l’église catholique soit, mais là aussi faut faire avec, vous avez les moyens de changer ce fait ?
Pour ma part, de façon pragmatique, je préfère un Malek Chebel, un Ghaleb Bencheikh à un Hi-brame Hossei ou un Tarik Ramadan qui lui est un vrai manipulateur.
Je pense que les guerres intestines de l’islam sont le symptôme des difficultés de cette religion à s’adapter au monde moderne et que dans ces luttes, il est plus opportun de soutenir les musulmans "réformateurs" que de renvoyer les uns et les autres à une identité islamique unique qui est un déni de réalité.
@jeanpiètre
Les nationalisations n’ont jamais été une solution de progrès social, juste un cache misère provisoire. Elles n’empêchent pas les détournement de fonds au profit de ceux qui gouvernent mais sont le plus souvent un frein au développement, voir les diverses expériences communistes.
La réalité de la Grèce, c’est qu’elle ne produit pas assez de richesses pour assumer un train de vie un temps artificiellement gonflé par les facilités d’emprunt liées à l’appartenance à la zone euro.
L’Etat grec a emprunté sans mesure et injecté cet argent dans l’économie grecque via les emplois de fonctionnaire et les subventions sans favoriser les productions locales, la Grèce a longtemps affiché un déficit commercial abyssal, ce genre de déséquilibre structurel ne peut pas durer très longtemps.
Aujourd’hui, les créanciers échaudés ne veulent plus continuer à remplir le tonneaux des danaïdes et que ce soit dans la zone euro ou en dehors, les grecs vont devoir faire avec leurs ressources propres.
Ils ont le choix :
-pauvres et seuls responsables de leur devenir avec dans un premier temps un retour à leur niveau de vie d’avant l’euro,
-ou pauvres et assistés dans une Europe qui les aidera au compte goutte sur le chemin d’un développement qui mettra un certain temps à produire ses effets pour la population.
« Le problème ne s’appelle pas la Grèce, le problème s’appelle la zone euro. »
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