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Les commentaires de Guit’z



  • 1 vote
    Guit’z 14 mai 2014 23:12

    Leur blondeur, le seul argument des blondes.

     smiley



  • 6 votes
    Guit’z 13 mai 2014 17:05

    @ MaQiavel

    " Gouvernement mondial il y aura, que cela plaise ou non. "

    Vous savez, un simple petit pic pétrolier peut aussi bien faire voler en éclats vos belles certitudes organisationnelles, cher ami !
    Plus de pétrole, plus de mondialisme !

    Y a beaucoup de choses intéressantes sur ce fil ; je vais tâcher de repasser ce soir après le bureau.



  • 2 votes
    Guit’z 5 mai 2014 00:13

    Assez d’accord avec ce que dit Qaspard, quand il évoque l’ennui que suscitent à la longue ces orgies et ces tortures rituelles à n’en plus finir.

    Au fond, rien de plus cucul la praline, après quelques chapitres, que ce théâtre de la cruauté graduelle : ce sont les cercles de l’Enfer de Dante - mais sans l’intercession infiniment dissimulée du Malin. Dans le théâtre des Anciens, comme dans celui de Racine, le destin fatal est d’un seul tenant, le Mal est engrené depuis la nuit des temps, il ne se pense ni ne s’élabore au fil de la narration, les péripéties que traversent les personnage sont la substance de l’intrigue, non ses prétextes décoratifs. Au contraire, chez Sade, le Mal se théorise lui-même tandis qu’il s’accomplit, comme s’il s’expérimentait, s’éprouvait dans son propre commentaire. L’Enfer de Sade est celui que peint un philosophe ; son procédé est didactique, ce pourquoi il s’évente au fur et à mesure. C’est le vice d’un enfant qui découvre le vaste monde au cours de quelque voyage initiatique - c’est Candide à l’envers, aussi est-ce si surfait.

    Cela dit Sade est un poète et un moraliste. A mon avis, le moraliste est même un des plus grands.

    A lire : Sade, d’Annie Lebrun. D’ailleurs, tous les essais d’Annie Lebrun sont admirables...

     smiley



  • 5 votes
    Guit’z 4 mai 2014 23:44

    Sade est le point final des Lumières. En les poussant superbement jusqu’à leurs conséquences les plus ultimes - soit le libéralisme appliqué à la libido -, il les réfute ab absurdo.

    Que les enfantillages des Lumières - en comparaison de la noire lucidité des penseurs du Grand-Siècle - aient été pris au sérieux et le demeurent, cela en dit long sur la bourgeoisie à travers les âges, et révèle non seulement la perversité mais l’inintelligence des élites depuis deux siècles, pour qui Voltaire est un génie et presque un saint.

    " Les Lumières, ce siècle qui éclaire tout et ne voit rien " Julien Gracq



  • 3 votes
    Guit’z 4 mai 2014 19:18

    @ Darion ben Gourvid

    Tant qu’on est dans les compliments, bravo pour votre excellent Pseudo... Dans le même genre, quelqu’un sur AV s’est drôlement surnommé Josine Staleph je crois 

     smiley

    Quant à mon texte, vous m’encourragez à poursuivre... merci, ce genre d’oeuvrettes me prennent des jours et des jours, et comme il faut être salement motivé pour immortaliser tel ou con de notre atu maussade, j’abandonne mes pamphlets en cours de route !

    Cordialement,



  • 3 votes
    Guit’z 4 mai 2014 11:29

    Vous parlez de la Belkacem ?

    J’ai proposé ce petit texte sur AV, qui n’a malheureusement pas passé le contrôle éthique...

    Des fois que ça intéresserait quelques uns, je me permets de proposer le lien !

    Najat, le serpent à sornettes.



  • 60 votes
    Guit’z 3 mai 2014 17:58

    Ouh, la belle brochette de crétins bobos que voilà !

    "L’Europe c’est la paix", "Y a des trucs à faire", "L’Europe c’est pareil que les USA avec une autre langue", "L’enjeu c’est de recréer le lien de confiance", "Une part majeure de la culture est européenne" : dire que tous ces bourgeois tarés se prennent pour des humanistes de gôôôche...

    Sacrés valeureux p’tits pubards du PS, radieux d’angélisme à baffer !

     :->



  • vote
    Guit’z 2 mai 2014 13:30

    Ouais c’est vrai, de toutes façons en effet y a plus important aujourd’hui.



  • 24 votes
    Guit’z 2 mai 2014 13:06

    @ MaQiavel1983

    Salut MaQ,

    Une fois n’est pas coutume, je suis plutôt en désaccord avec vous sur ce point.

    Les gauchistes devenus les "Antifas" sont, dans leurs méthodes, les pires salopes de l’après-guerre, prêtes à tous les coups précisément parce qu’elles sont convaincus d’incarner le Bien sans contredit, et pour qui la pureté des intentions justifie tous les assassinats politiques, tous les cassages de gueule et toutes les manipulations. 

    L’Antifa est le vrai petit faf de l’époque. Tout ce qui peut contribuer à démasquer cette saloperie doit être encouragé. Je me réjouis d’ailleurs de constater que les jeunes, de plus en plus, désertent les rangs gauchistes.

    Sinon, en effet, ce jeune militant de l’UPR n’est pas Le Pen... mais bon, tout le monde n’a pas fait l’Indochine. Surtout, vivent les doux, les aimants et les paisibles, car le royaume de la vérité est à eux !

     :->



  • 1 vote
    Guit’z 29 avril 2014 18:35

    Une autre réflexion que m’inspire l’idée - à mon avis très souhaitable - de "revenu universel".
    Une telle réforme n’est réalisable que dans le cadre d’un Etat-Nation restaurant ses frontières humaines - c’est une idée protectionniste par nature, impliquant une certaine fermeture physique au monde. Dans le cas contraire, les Albanais et les Roumains, peut-être même les Grecs et les Espagnols, voire les Anglais et les Allemands (pour citer le cas de notre Europe sans frontières fort peu homogène en termes de niveaux de vie) ; sans parler des Algériens, des Maliens, des Philippins, des intouchables Indiens, des Brésiliens des favelas, tous les damnés de la terre afflueraient en masse e compromettraient l’équilibre du Système.
    Autrement dit, une telle idée implique de renoncer à l’utopie d’un monde absolument "ouvert" si chère à nos gens de gauche sur ce point d’accord avec les capitalistes qu’ils prétendent combattre...
    Or il me suffit d’écouter Clémentine Autain - qui porte bien son nom en dépit de sa vue basse - et tous ses amis bobos citoyens du monde, pour comprendre que ça aussi c’est demain la veille !

     :->



  • 1 vote
    Guit’z 29 avril 2014 17:56

    Les thinks tanks ultralibéraux anglosaxons reconnaissent, assez cyniquement d’ailleurs, que d’ici 20 ans, seulement 20% de la population, au meilleur des cas, sera nécessaire à la production des biens et services. Que faire de l’écrasant surnuméraire des "hommes en trop" ?

    Les ultralibéraux anglosaxons, pour qui le Capital est l’alpha et l’oméga de l’existence, se proposent tout de mettre en oeuvre le programme de l’inénarrable Zbigniew Brzezinski : le "titytainment" ; contraction de "tit", nichon, et de "entertainment", loisirs. Soit la mise en place d’un Etat Marchand Big Mother (et Big Brother aussi), dispensant du pain low cost et des jeux télévisés - le "cinéma sentant d’Aldous Huxley est une synthèse de cet hédonisme purement virtuel et ventral - à une plèbe d’hilotes obèses et abrutis.

    Les partisans d’un revenu minimum, souvent décroissants, se proposent eux, de redéfinir les termes d’une lutte sociale totalement aliénée à l’économisme axiologique de nos décideurs et autres techno-gestionnaires ; et même d’anticiper l’effondrement inévitable et potentiellement catastrophique de cet économisme oligarchique intrinsèquement nihiliste qui gouverne nos vies depuis deux siècles et qui demeure l’aberration la plus colossale de l’Histoire humaine, loin devant la religion au moins créatrice de Sens !

     :->



  • 15 votes
    Guit’z 26 avril 2014 01:04

    Asselineau Président !

    Je crois que c’est la grande erreur de Soral, de sous-estimer Asselineau. Marine est à 20% ? C’est son plafond, fixé par les casseroles bien réelles du FN.

    Asselineau a le système contre lui, mais il a l’évidence avec lui : ce n’est pas le cas de Marine.

    Douée de l’éloquence, c’est même une arme de plus en plus forte, sa confidentialité ne peut pas durer, et le Net est déjà en train d’enterrer la télé - alors la Presse...

     



  • 1 vote
    Guit’z 22 avril 2014 09:59

    @ Mao

    Que les choses soient claires : je ne peux pas vous laisser revendiquer en ces lieux le monopole du dézinguage de ce crétinisme de pointe qu’est le blablabla universitaire - son jargon, sa naïveté, ses branleurs d’amphis et ses petits politiciens du concept.
    L’universitaire écrit blanc sur noir - l’écrivain, noir sur blanc. C’est tout à fait différent comme approche.
     ;)



  • 3 votes
    Guit’z 21 avril 2014 23:10

    Ben moi j’habite à Clichy, mais côté Saint-Ouen, y a que des Rebeus : avec un peu de bol elles viendront pas me faire chier de ce côté-ci de la ville...
    Je crois que je vais une milice défensive avec les locaux qui, comme moi, ne les trouvent pas drôles pour un sou ces demi-putes écervelées  :->



  • vote
    Guit’z 21 avril 2014 22:28

    @ Mao

    Ben oui l’ami, je suis bien de cet avis, comme mes autres posts sur ce fil vous en convaincront.



  • 2 votes
    Guit’z 21 avril 2014 20:29

    Un point sur l’intervention de l’astronome, établissant, en quelque sorte, une connivence épistémologique abusive entre Bronner et lui. L’astronomie est une science dure (mathématique), la sociologie des croyances, une science humaine (molle).
    Or, quand l’astronome, pour appuyer les dires du conférencier, explique qu’il a pu ridiculiser l’astrologue Elisabeth Tessier lors d’un débat télévisé entre astronomes et astrologues, entre savants et pseudoscientifiques selon les catégories épistémologiques en vigueur, il est dégitime pour critiquer l’astrologie. Mais il sort de la démarche scientifique, en assimilant sa démarche critique à celle du sociologue évoquant les croyances et, précisément, le complotisme (les sociologues d’Etat, comme les journalistes de Marché, ont terriblement à coeur de mettre à bas ce complotisme qui les accuse et peut-être les démasque ; ils l’ont à coeur par "rigueur" morale, donc, plutôt que scientifique).
    En effet, quand les sceptiques du 11/9 avancent qu’on a bien découvert de la thermute dans les vestiges des tours, c’est de la chimie, pas de l’opinion, des maths, pas de l’astrologie : ils sont dans la science, objectivement. C’est au chimiste qu’il revient de les contredire, pas au sociologue, qui joue-là le rôle de l’astrologue dézingué tout à l’heure par son pote astronome.
    A lui de prouver qu’il fait de la science et non pas de la pseudoscience, voire de l’idéologie. Et c’est parce que c’est perdu d’avance que les sociologues refusent généralement de faire la sociologie des sociologues...



  • 2 votes
    Guit’z 21 avril 2014 19:37

    J’arrive à la fin de la conférence... En fait, le dogmatisme, pour ce gugusse aimable, c’est de s’en tenir aux faits. Un scientifique qui s’en tient aux assertions que sa science lui impose (elle ne les lui permet pas, elle les lui impose, car on n’opine pas que deux plus deux égalent quatre) est un idéologue  ; un quidam qui s’en réfère aux sythèses des savants est un croyant. Monsieur Bronner, que son statut de sociologue autorise, est un scientifique : un incrédule qui ne fait pas de politique.
    Il en convient lui-même : les complotistes du 11/9 ont souvent davantage d’arguments que les ironistes à smileys qui n’ont pas de temps à perdre à réfuter leurs savantes analyses pluridisciplinaires.
    Les gens de bien ont souvent les rieurs avec eux ; et Monsieur Bronner nous apprend que la science cautionne cet état de fait.



  • 4 votes
    Guit’z 21 avril 2014 18:38

    Ah, ces sociologues d’Etat ! Ils ont une capacité prodigieuse à s’asseoir sur les faits. Le 11/9, c’est les Arabes, circulez y a rien à voir… Haarp ? Un programme d’études climatiques des plus honnêtes. Kadhafi ? Coupable ! Les « complotistes » ? Des populistes Bac+5… Fort de ces redoutables prémisses, notre gugusse s’emploie à répertorier des objets de cognition pathologiques ; lesquels s’avèrent autant de repoussoirs de l’orthodoxie politique en vigueur, qu’en non-croyant sûr de son fait il appelle logiquement croyances.

    Ils sont comme les femmes les universitaires… toujours du côté du manche ! C’est ce qu’ils appellent – être objectifs. Quand même, les femmes sont plus futées – elles en ont généralement conscience, elles.



  • 4 votes
    Guit’z 16 avril 2014 23:29

    L’attitude persistante d’Eric Laurent me navre pour lui.

    Il ne croit pas à la VO, il est partisan de rouvrir l’enquête, il peut même formuler le fruit de ses doutes, quant à soutenir l’accusation suprême... Là s’arrête son scrupule : où il faut.

    Des procès intenté sous faux motif, on en a vu sans doute plus que des attentats commis sous faux drapeaux : leur vertu fut de clarifier l’équivoque qui les vit naitre. Ainsi le procès intenté par Garrison contre Clay Bertrand. Un procès Bush et company ferait du bien : objectivement...

    Laurent ne croit pas à la VO, il peut même enquêter sur les accusés présomptifs, mais il refuse catégoriquement de mettre en accusation les responsables  : ceux qui, par leurs faits et gestes laissèrent manifestement advenir l’évènement, en tous cas mériteraient de comparaitre pour faute professionnelle et même faute de goût s’il le faut ! Non, Mohamed Atta est un type louche, se dit pensivement notre Eric Laurent...

    Laurent - que personne ne vilipende : il se vante ; ses lecteurs comme moi admirent son travail - conçoit que les conclusions du procès soient fausses ; il refuse donc que les conclusions de l’absence de procès soit justes...

    Il le dit lui-même : "Je n’en démords pas." Mais sur quelles bases , en vérité ?

    Son propre livre largement daté, plus antipoétique que journalistique (prouver l’inexistence des grottes hi-tech ne fait que prouver l’existence d’un hi-tech caché, et si ce n’est pas par les Afghans, par qui est-ce ?) Ou sa présence aux audiences de la Commission "d’enquête" sur le 11/9 (dans ce merdier sa prestation fut aussi imposante que la mienne) ?

    En vérité, Laurent ne connait pas, n’a plus bien étudié le 11/9 depuis son livre paru en 2006 je crois - et sa réputation affichée de voyageur à dos de chameau de superman réputé du scoop de terrain n’y change rien.

    Ce type est passionnant dans tous les domaines qu’il aborde, mais sur le 11/9, c’est Claire Chazal, Harry Potter et Chantal Goya réunis.

    Laurent le désillusionné ne croit sûrement pas à Satan, mais il croit au Bon Dieu...

    OK on ne parlera plus du 11/9 ? Et si on l’oubliait, pour commencer...



  • vote
    Guit’z 16 avril 2014 09:25

    Bien de votre avis, Jean.

    Ce qui vaut pour le sordide Élie Wiesel, vaut pour nos lamentables sociales donneurs de leçons.

    Et puis c’est bien que les gens sachent à qui ils ont affaire, le degré d’engagement dans ses fonctions d’un pseudo-pacifistes, en l’occurrence d’une belle grosse merde gauchiste comme ce gouvernement en compte tant.