• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV Mobile

Les commentaires de jjwaDal



  • vote
    jjwaDal 11 juillet 2021 19:44

    @yoananda2
    "que le gène arrive "par hasard et qu’on le sélectionne", ou bien qu’on "l’ajoute intentionnellement" ... au final, c’est le même gène, au final c’est la même plante.

    "
    Sûrement pas. Il n’y a aucune chance qu’un gène de cactus de scorpion ou de méduse arrive dans le génome du maïs naturellement par ex, donc le transgène est bien un exogène contrairement à un gène issu d’une plante apparentée par ex. Pire que ça, la transgenèse a été entièrement fondée sur un postulat datant de Watson & Crick disant qu’un gène code pour une protéine sans rétroaction. La science a complètement démenti depuis ce postulat simpliste et on sait par ex que dans notre propre génome , 70% de nos gènes codent pour au moins 4 protéines différentes sans parler des conséquences de l’épigénétique. Donc quand vous insérez le transgène ayant la fonction désirée vous faites un pari que les autres protéines ne seront soit pas produites soit seront anodines, la plupart du temps sans le savoir (trouver une nouvelle protéine parmi des centaines voire milliers dans un OGM n’étant pas une partie de plaisir).
    Moins gênant quand vous transformez une plante qui sera digérée, mais si vous vous attaquez à l’humain les expériences de thérapie génique ont déjà prouvées sur de petits échantillons maladies auto-immunes comme cancers (activation d’oncogènes). Un abyme entre l’évolution humaine naturelle et toute évolution qui serait issue de la transgenèse.
    En résumé nous ne savons toujours pas prédire toutes les conséquences de nos manipulations génétiques les plus anodines, alors se lancer dans une "amélioration" serait faire oeuvre d’apprenti-sorciers. Ce que nous sommes souvent d’ailleurs.



  • 4 votes
    jjwaDal 3 juillet 2021 21:23

    Il avait raison il y a plus de 15 ans sur les OGMs, même si on a eu de la chance jusqu’ici et il est bien possible qu’il ait raison ici aussi.En tout cas un chercheur intègre et dont les arguments ne sont pas à négliger.



  • 4 votes
    jjwaDal 2 juillet 2021 11:44

    Ce ne sont pas des journalistes, ce sont des propagandistes d’une cause qui est celle des laboratoires, ni la nôtre, ni celle de l’assurance maladie, ni même celle de la société dans son ensemble.
    L’immense majorité de ceux ayant eu la Covid-19 ont eu la forme modérée pour laquelle une étude récente parue dans "Nature" indique qu’elle a formé une immunité contre le SARS-Cov2 qui est durable et potentiellement conservée à vie. Or notre système immunitaire voit tout le virus (pas seulement la protéine "spike") et donc est plus polyvalent que les virus à ARNm, a priori plus efficace dans la protection.
    Par ailleurs une étude anglaise récente montre bien que dans la population non vaccinée "tout venant" le taux de létalité du variant delta (l’Indien) est de 0,08%, donc tout sauf un fléau. Il est probable que chez les enfants par ex il est bien plus bas encore.
    Pourquoi dans ces conditions vouloir vacciner tout le monde "sans exception" ? Les seuls à y trouver un intérêt sont les laboratoires, pas l’assurance-maladie, pas le citoyen.
    La courbe des contaminations en Inde est en chute libre. On peut très difficilement l’attribuer à la vaccination et encore moins à l’Ivermectine puisqu’officiellement c’est de la poudre de perlimpinpin. Donc...
    Je pense sincèrement que les laboratoires veulent emballer la vaccination pour faire du chiffre avec que des études un peu dérangeantes ne soient publiées et que des alternatives à la vaccination se soient visibles en pleine lumière. Ils ont manifestement beaucoup d’alliées dont les politiques et les "journalistes" de grands médias.



  • 1 vote
    jjwaDal 19 juin 2021 12:14

    @Ottokar Ier
    Je n’ai pas la vanité de penser maitriser le problème, mais je ne peux me contenter de dire que je suis en désaccord avec la politique suivie, parce que...
    Donc j’utilise les mots de la science, au mieux de ma connaissance du problème et qui a des arguments à m’opposer peut le faire avec des points d’appui, du style " en théorie mais en pratique ne peut se faire parce que ceci ou celà". Je vérifierai alors la substance de ce "ceci ou celà"...
    Je suis d’accord pour vacciner les plus de 75 ans (voir les + de 65 ans si c’est leur volonté éclairée) , car on s’est tranché les veines en misant tout sur le vaccin et le rapport bénéfice/risque semble être favorable pour eux.
    Mais en recoupant mes lectures un peu sérieuses, je vois bien que pour les enfants le problème est très différent. Soupçon de maladies auto immunes en cours d’investigation ici, rumeurs à vérifier d’atteinte à la fertilité, là... Il n’y a pas que les arguments exprimés par C. Vélot pour justifier de laisser les enfants en dehors de la vaccination.
    Le vaccin doit juste être un pare-feu pour ceux à risque potentiellement mortel. Le reste de la population doit pouvoir gérer avec son système immunitaire et bientôt les "anti viraux" et apparentés.
    On serait déjà plus à l’aise avec l’HCQ et l’ivermectine en options de traitement de cette maladie, mais d’autres bien plus chers arrivent.On va donc avoir des alternatives.



  • 5 votes
    jjwaDal 18 juin 2021 23:18

    Ce ne serait pas la première fois qu’on faire dire à la science ce qu’elle ne sait pas et ne peut savoir. Se souvenir par ex que le postulat fondateur de la transgenèse était : "Un gène code pour la fabrication d’une seule protéine" . Il suffisait donc de trouver le gène codant pour la protéine "utile" et de mettre au point le procédé pour le transfert inter espèces et l’insertion.
    Sauf qu’on ignorait alors les conséquences de l’épigénétique, que plus de 70% de nos propres gènes codent pour plus de 4 protéines et que forcément si on part du principe qu’une unique protéine est produite on vérifie sa présence et en l’absence de toxicité immédiate le végétal OGM est bon pour le plein champ... Une oeuvre d’apprentis-sorciers dans toute sa splendeur.
    Ici on a des vaccins torchés en un peu plus de six mois pour un nouveau pathogène et de surcroît utilisant une nouvelle technologie de fabrication de vaccins et on se passe de tout recul temporel capable d’identifier des effets qui ne relèvent pas des effets secondaires immédiatement visibles.
    L’argument du "fléau" (qui ne diminuera la population d’aucun pays d’un fragment de pourcent, élaguant la croissance de celle-ci ici et là) ne tient pas face à la prise de risque de vacciner massivement des populations.
    On nous dit avec certitude que ce xénoARNm ne peut en aucun cas être rétrotranscrit en ADN et s’intégrer à notre génome. Une certitude qu’on aimerait voir documentée, vu que nos cellules peuvent être infectées par un rétrovirus, disposent indubitablement de rétrotransposons et qu’on a découvert très récemment que la "polymérase théta" (que nous fabriquons) est aussi capable de faire de l’ADN à partir d’ARN... Trois filières connues pour faire de l’ADN dans notre corps à partir d’ARN et rien de fâcheux ne saurait se produire. Parce qu’on le mérite ?...
    Et si on fait une très mauvaise découverte après avoir vacciné plus d’un milliard de personnes ou tous nos gamins on fait quoi ?
    Pourquoi jouer à la roulette russe avec un virus qui a tué en un an bien moins de français que le cancer en visant sélectivement majoritairement la fraction la plus âgée et vulnérable, en créant un risque d’ampleur inconnu pour notre avenir collectif ?
    Ce qui est affolant est que nous allons le faire alors même que des traitements médicamenteux existent et d’autres sont en cours d’essais et que le système immunitaire de la majorité de la population mondiale est capable de tenir en échec ce virus.
    Comme d’habitude on a plutôt intérêt à avoir de la chance. Mais à trop faire les cons, tôt ou tard on aura une mauvaise surprise.



  • vote
    jjwaDal 13 juin 2021 15:03

    On veut capturer la complexité du monde dans des mots et souvent on échoue. Dans "A Universe from nothing" , le théoricien Lawrence Krauss soutient cette idée que notre univers a commencé à partir de "rien". Ni temps ni espace ni matière ni énergie correspond effectivement à une idée assez bonne que nous pouvons nous faire d’une certaine forme de "néant". Littéralement il n’y avait rien, pas un troquet, pas un cinéma, la zone ...(Coluche).
    Notre univers a pu naître sans que rien des attributs essentiels qui lui donnent son existence n’existent avant lui.
    Mais, bien sûr s’il n’y avait "rien" avant lui, ni extension spatiale ni temps par ex, quelque chose était et toute la question est de savoir si cette chose est contingente ou immanente. Pouvait-elle ne pas être ou ne peut-elle pas ne pas être.
    Quelque chose existe, hors espace, hors temps, hors matière, éventuellement hors énergie qui a généré notre univers et très probablement pas que lui, une infinité d’autres.
    Après la loi des grands nombres et la chimie autorisée dans le nôtre aboutit à la complexité et à l’ADN ici. Juste de la chimie complexe et sur des temps impensablement long et un grand nombre d’essais, tout devient inévitable.
    Statistiquement en ordre de grandeur il doit y avoir de l’ordre de 100 000 milliards de milliards de planètes en zone habitable de la sphère d’univers accessible à nos instruments, elle-même sous ensemble d’un univers beaucoup plus large.
    Potentiellement une infinité de planètes en zones habitables dans cet univers. Dans ce cas ne jamais parier contre l’infini...
    A noter que dans une hypothèse, nous sommes effectivement créés et la question de savoir ce qui existait avant notre univers n’a aucun sens pour la physique, vu que les lois de la physique sont des lois écrites par notre créateur pour sa simulation informatique d’évolution d’univers par ex.
    La question pourrait avoir des réponses très différentes selon notre origine.



  • 4 votes
    jjwaDal 4 juin 2021 19:38

    Enedis est propriétaire des compteurs et en obligeant le client captif (sauf à se couper du réseau) à changer son compteur qui marche par un autre modèle ne fait rien de plus que de la vente forcée. Quelqu’un doit payer les 5,7 milliards d’euros de l’opération et ce ne peut être que le consommateur.
    Le coût unitaire du Linky est réel et les économies d’énergie faites grâce à lui sont purement hypothétiques.
    A savoir que ceux qui se préoccupent de leur consommation l’ont déjà diminuée et ceux qui s’en moquent (coût marginal pour eux) maintiendrons leur consommation, Linky ou pas.
    Il était inévitable que les consommateurs d’électricité paient in fine le remplacement du parc de compteurs. Ce qui pouvait être débattu, c’était la possibilité pour chacun de diminuer sa consommation et de récupérer la dépense.
    L’unique intérêt réel du Linky est pour le distributeur qui va devoir gérer le surcoût des énergies aléatoires à travers un réseau relooké, un double parc de production et les fameux compteurs "intelligents".



  • 1 vote
    jjwaDal 1er juin 2021 16:08

    C’est la question qui se posera ici même d’ici 2050. Un peu de temps pour y répondre donc...



  • 1 vote
    jjwaDal 9 mai 2021 12:52

    Face à des maladies chroniques douloureuses (arthrose par ex) il est tentant de gérer avec des antalgiques au long cours. Le marché existait donc il a été satisfait. J’ai moi-même supprimé une rage de dent violente en 15 minutes avec une gélule de" lamaline" (aimablement fournie par quelqu’un gérant des douleurs chroniques). Pour l’anecdote j’ai vu un client en pharmacie en récupérer 6 boîtes devant moi, une dose probablement mortelle par sédation... Le "Tramadol" semble aussi prescrit assez facilement.

    On n’est pas au niveau des USA mais se méfier quand même.



  • vote
    jjwaDal 16 avril 2021 22:25

    @Tchakpoum
    Il faut pondérer cette asymétrie. La capitale de l’Etat d’Amazonas est... Manaus qui a vu apparaître selon toute vraisemblance un variant (le "P1") qui semble particulièrement préoccupant (plus contagieux, plus dangereux et fort soupçon de pouvoir esquiver l’immunité acquise après une première infection par le SARS-Cov2. La ville est sa banlieue faisant 2,6 millions d’habitants sur les 4 millions de l’Etat, l’explosion des cas à Manaus peut expliquer la différence avec l’autre Etat au moins autant que l’asymétrie des traitements prophylactique ou en début de maladie. Et si on ajoute à ça que le Para a le double de population bien évidemment le cas "Manaus" fait exploser en % le pic d’Amazonas par rapport à celui de Para. Le diable est donc encore une fois dans les détails.



  • 1 vote
    jjwaDal 15 avril 2021 21:36

    @BA
    90 variants ? Douteux. Ils doivent appeler "variants" des modifications mineures qui sont beaucoup plus fréquentes que les "variants" tels que nous les définissons.
    Sinon il faudra comprendre les conditions menant à cette diversité.



  • vote
    jjwaDal 4 avril 2021 20:39

    @Joe Callagan
    J’ai juste décrit les tendances visibles déjà à l’oeuvre. Ce n’est pas une prédiction sortie du chapeau.



  • 2 votes
    jjwaDal 4 avril 2021 19:30

    @Joe Callagan
    Le terme "reset" est particulièrement approprié car il vient de l’informatique où il signifie relancer le même système d’exploitation (tiens... tiens...) mais avec d’autres paramètres que ceux qui ont coincé par ex, où après une grosse mise à jour (tiens... tiens... aussi).
    Ceux qui tirent de loin les plus gros bénéfices du système d’exploitation actuelle (des ressources et du salariat) savent que nous allons dans le mur et que faute d’infléchir la trajectoire, cela se terminera dans un bain de sang. Or historiquement tous les bains de sang récents ont abouti à une nouvelle redistribution des richesses après la destruction massive de patrimoines accumulés pendant les décennies précédentes. Le système d’exploitation doit donc subir une mise à jour critique pour continuer à traire et les ressources et les salariés au profit d’une infime minorité de la population humaine actuelle (ne parlons même pas des générations futures). On va continuer à aller dans le mur bien sûr mais un peu moins vite avec les "énergies renouvelables", le véhicule électrique, un peu moins de viande, un peu plus de pauvreté dans les pays riches, un peu moins dans les pays moins riches, des Etats plus autoritaires pour faire supporter le poids de ces changements au plus grand nombre (les moins riches bien sûr). Donc différentes modalités de mise en oeuvre du capitalisme, mais le même système d’exploitation au service essentiellement des mêmes.



  • 4 votes
    jjwaDal 4 avril 2021 17:35

    Entretien intéressant et qui brosse le tableau général de la perte de biodiversité. Comme on peut le voir dans les commentaires tout le monde s’en tape, mais il est toujours important de rappeler à la conscience qu’il y a d’autres sujet bien plus important que la covid-19 sur cette planète, sujet marginal même si il est en tête de gondole en ce moment.



  • 6 votes
    jjwaDal 4 avril 2021 10:11

    Un article ça ?... Passons vite sur l’amalgame grossier entre ceux qui pètent un câble à la vue d’une seringue et tous ceux qui ont des raisons légitimes de ne pas se précipiter pour servir de cobayes. Tous ces candidats vaccins ont grillé toutes les étapes nécessaires avant 2020 pour autoriser le déploiement d’un vaccin à grande échelle. On débat encore ce début avril sur l’efficacité réelle des vaccins, sur les effets secondaires à moyen et long terme, sur la non contagiosité des vaccinés et leur degré de protection contre les variants apparus depuis la fabrication de ceux-ci et leur mise en production industrielle.
    A tout le monde d’estimer le rapport bénéfice/risque pour soi-même à se faire vacciner avec ces candidats dont certains ( à ARNm) n’ont jamais été massivement utilisés sur l’être humain. Je pense me faire vacciner personelllement fin 2022 ou début 2023, quand vu la taille de la phase 3 (plusieurs centaines de millions de cobayes) on aura le recul sur l’efficacité et l’innocuité de ces vaccins.
    Moi antivax ? Pas plus que la plupart des gens. J’ai des victimes à vie de la vaccination autour de moi, cela ne m’empêche pas de faire la part des choses.



  • 4 votes
    jjwaDal 28 mars 2021 08:20

    @berry
    Je ne crois pas une seconde que les meilleurs théoriciens de la physique soient en 2021 suspendues aux résultats du LHC, de LIGO ou des meilleurs observations astronomiques pour découvrir une nouvelle physique et qu’on soit tombé par hasard en 1940 sur une nouvelle forme d’énergie cosmique et autres fadaises.
    On sait comment faire voler des engins ayant les caractéristiques de vol observés, mais cela implique de produire l’énergie d’un réacteur nucléaire commercial dans quelques m3 et quelques tonnes. Si on maîtrisait cette technologie il y aurait eu des applications militaires spatiales depuis belle lurette, ce qui n’est pas le cas. La supraconductivité à haute température est comparativement plus à portée de main.
    Imaginer que quelqu’un dans les années 1940 ait pu découvrir une nouvelle physique et que personne en 80 ans n’a pu la redécouvrir relève de la fantaisie.
    Ce qui est théoriquement possible par contre, vu que nous savons ce que nous ignorions en 1940, à savoir qu’un objet est sans masse intrinsèque, donc tout aéronef (c’est le champ de Higgs qui par interaction lui donne une masse) est la possibilité de contrer localement ce champ pour redonner une masse nulle à un objet volant pour le vol stationnaire ou faible en mode propulsion.
    Une autre hypothèse (si elle existe réellement) est de pouvoir imiter ce qu’on appelle "l’énergie noire" et produire un champ se comportant comme une forme d’antigravité.
    Je ne crois pas une seconde qu’un nouvel "Einstein" ait pu apparaître sans faire de publications et acquérir une forme de notoriété scientifique avant d’être capté par les militaires pour développer "sa nouvelle physique". Le monde ne fonctionne pas comme ça.



  • 2 votes
    jjwaDal 27 mars 2021 19:51

    @berry
    C’est une possibilité mais qui évacue le fait singulier que des observations similaires ont été rapportées il y a 50 ans déjà et la technologie envisageable pour donner les caractéristiques de vol observées étaient encore plus inaccessibles qu’elles ne le sont en 2021. Développer une telle technologie et ne jamais s’en servir est peu crédible. Ce sont les B2 et les F-117 qui furent déployés dans les "guerres récentes" et il n’y a aucun cas connu d’attaque aérienne massive consécutive à l’apparition d’ovnis par ex. A force de devoir empiler les hypothèses peu vraisemblables on s’éloigne d’une hypothèse bien plus simple.



  • 2 votes
    jjwaDal 27 mars 2021 18:52

    Le Pentagone doit rendre public un rapport le 1er juin sur le sujet. On connaît déjà les grandes lignes de son contenu s’il faut en croire deux officiels US qui sont John Ratcliffe et le sénateur Rubio, à savoir que les installations militaires US les plus sensibles sont survolées par des objets qui ne peuvent être interceptés, qui ont des caractéristiques de vol non conventionnelles, qui parfois ne pourrait être pilotés par un être vivant, etc...

    Il est très difficile d’imaginer que des engins furtifs US testent leurs propres installations avec des technologies avancées quand on voit que le programme de l’avion F35 va coûter au contribuable US plus de 1000 milliards de dollars. Il est difficile d’envisager un engin d’une armée étrangère (risque d’accident et de récupération de l’épave quand les satellites montrent des détails centimétriques).

    Dire qu’ "on ne sait pas ce que c’est" est une précaution oratoire. On a une bonne idée de ce que ça pourrait être...



  • 5 votes
    jjwaDal 20 mars 2021 10:51

    Face à une nouvelle maladie, l’unique façon de découvrir la meilleure stratégie pour y répondre est la diversité des réponses. En l’absence (au printemps 2020) de toute étude scientifique montrant un avantage à confiner ou à faire porter le masque en extérieur ou ne pas détecter et traiter de façon précoce , l’unique façon de savoir est de comparer. Il est facile de proclamer que faute de confinement ce sera l’apocalypse, si tout le monde le fait. La Suède ne l’a pas fait et déplore moins de morts au million d’habitants que nous, bien moins que les USA, la Grande-bretagne, l’Espagne, l’Italie. Pas un score très bon mais suffisamment révélateur pour pondérer l’effet "crucial" du confinement ou du masque en extérieur, des couvre-feux et autres mesures liberticides.
    On va refaire la même chose avec le vaccin et là on peut "remercier" les palestiniens de nous montrer que sans vaccin la courbe des décès de la covid chez eux suit la même pente que chez leur voisin sioniste qui a vacciné en masse...
    Nous avons fait globalement moins bien que la Suède tout en plombant à mort notre Sécu et en faisant gonfler notre dette souveraine de 20% pour des conneries improductives. Quand au coût social (faillites, suicides, morts collatérales de la gestion de l’épidémie) on saura bien trop tard pour influer sur les décisions actuelles.
    Tout le monde sait maintenant que le masque en extérieur protège surtout contre la police et marginalement contre la transmission du virus, mais on va continuer. Rarement le bon sens et la liberté d’expression auront été à ce point la cible des gouvernements. On comprend pourquoi.



  • 1 vote
    jjwaDal 24 février 2021 18:23

    @sls0
    Plutôt par les égouts. De mémoire la source était un vomi catastrophique dans un couloir d’hôtel qui a provoqué une contamination massive des clients de l’hôtel. Il est possible (comme ce fut démontré par une étude chinoise ultérieure pour le SARS-Cov2) que l’évacuation de ce vomi dans les toilettes ait envoyé le virus à 200m de là où une bouche d’égout... En fait on se sait pas mais il semble que la contamination via un client de l’hôtel ait été totalement exclue.