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Les commentaires de Orwell



  • 2 votes
    Orwell Orwell 15 juin 2020 10:38

    @Laconicus

    La psikhouchka est systémique chez toi, lol. Nous mon camp antiraciste. Les fafs, nos ennemis. Le racisme systémique est indépendant des attitudes individuelles. RAF du droit, croire que l’égalité des droits produit une égalité réelle mékilécon , G pas l’temps d’instruire les idiots du village, va lire Tocqueville, pas particulièrement renommé pour être marxiste mais ki commence un tout petit peu à toucher du bout du petit doigt l’problème. Hasta siempre

    "Les maux immédiats produits par l’esclavage étaient à peu près les mêmes chez les anciens qu’ils le sont chez les modernes, mais les suites de ces maux étaient différentes. Chez les anciens, l’esclave appartenait à la même race que son maître, et souvent il lui était supérieur en éducation et en lumières. La liberté seule les séparait ; la liberté étant donnée, ils se confondaient aisément. Les anciens avaient donc un moyen bien simple de se délivrer de l’esclavage et de ses suites ; ce moyen était l’affranchissement, et dès qu’ils l’ont employé d’une manière générale, ils ont réussi. Il y a un préjugé naturel qui porte l’homme à mépriser celui qui a été son inférieur, longtemps encore après qu’il est devenu son égal ; à l’inégalité réelle que produit la fortune ou la loi, succède toujours une inégalité imaginaire qui a ses racines dans les mœurs  ; mais chez les anciens, cet effet secondaire de l’esclavage avait un terme. L’affranchi ressemblait si fort aux hommes d’origine libre, qu’il devenait bientôt impossible de le distinguer au milieu d’eux. Ce qu’il y avait de plus difficile chez les anciens était de modifier la loi ; chez les modernes, c’est de changer les mœurs, et, pour nous, la difficulté réelle commence où l’antiquité la voyait finir. Ceci vient de ce que chez les modernes le fait immatériel et fugitif de l’esclavage se combine de la manière la plus funeste avec le fait matériel et permanent de la différence de race. Le souvenir de l’esclavage déshonore la race, et la race perpétue le souvenir de l’esclavage. Ainsi, le nègre, avec l’existence, transmet à tous ses descendants le signe extérieur de son ignominie. La loi peut détruire la servitude ; mais il n’y a que Dieu seul qui puisse en faire disparaître la trace. L’esclave moderne ne diffère pas seulement du maître par la liberté, mais encore par l’origine. Vous pouvez rendre le nègre libre, mais vous ne sauriez faire qu’il ne soit pas vis-à-vis de l’Européen dans la position d’un étranger (...) Les modernes, après avoir aboli l’esclavage, ont donc encore à détruire trois préjugés bien plus insaisissables et plus tenaces que lui : le préjugé du maître, le préjugé de race, et enfin le préjugé du blanc (...)"




  • 1 vote
    Orwell Orwell 15 juin 2020 08:35

    @Laconicus

    Ooooh des millionnaires noirs ça existe comme c mimi, alors le racisme n’existe pas. Mdr. smiley

    https://www.youtube.com/watch?v=0vg4bqHfYRQ&t

    https://www.francetvinfo.fr/faits-divers/police/violences-policieres/tout-le-monde-le-sait-le-voit-et-le-subit-des-policiers-racontent-le-racisme-dans-leurs-rangs_4006021.html

    https://www.franceinter.fr/justice/ce-que-disent-les-etudes-parues-en-france-sur-les-controles-au-facies-et-les-violences-policieres

    Yep, laissez-nous Marx et la lutte des classes les fafs pcq en utilisant nos références vous déclenchez des "laughing out loud" irrépressibles

     



  • 2 votes
    Orwell Orwell 15 juin 2020 00:56

    @Et Hop !

    _____________________________________________________________
    Le gouvernement a organisé ce mouvement pour détourner la lutte des classes, c’est-à-dire de 90 % de la population contre eux, la classe dominante, en une prétendue lutte raciste/antiraciste entre white et coloured.

    ______________________________________________________________

    Lol, l’obstination de tous ces braves gens à nous expliquer que le racisme est un épiphénomène. L’essentiel serait la lutte des classes et non la lutte contre le racisme, il serait ainsi scandaleux de se réclamer de la lutte des classes lorsqu’on participe au combat contre le racisme. Ils convoquent Marx et ils clignent des yeux. PTDR

    Marx a parfaitement vu le rapport entre discrimination raciale et oppression de classe, et qu’il a écrit des pages lumineuses sur la question sur l’engendrement du capitalisme moderne à partir du régime colonial et de l’esclavage de plantation et sur le colonialisme britannique aux Indes. Ce que montre Marx avec brio, c’est que le capital a institué le racisme systémique dès son origine, il a vu qu’il était indissociable de la genèse du mode de production capitaliste, il représentait la pointe extrême d’un système d’exploitation mondialisé qui transformerait bientôt les travailleurs, quelle que soit leur couleur, en simples marchandises vouées à l’accumulation du profit. Loin d’être indifférent au racisme, Marx qui savait fort bien que Lincoln défendait les intérêts de la bourgeoisie industrielle du Nord mais il a publiquement pris parti pour l’Union contre la Confédération durant la guerre civile, et ce simple fait invalide toute interprétation visant à minorer la question du racisme dans sa pensée. L’abolition de l’esclavage racial pratiqué dans le Sud était pour lui une priorité absolue : "Le travail des peaux blanches ne peut pas s’émanciper là où le travail des peaux noires demeure marqué d’infamie". Karl Marx, Le Capital

    Ce n’est pas parce que ce combat vous parait insignifiant qu’il l’est. Pour Marx, il ne l’était pas. La lutte des classes passe par le combat contre le racisme car son abolition est un préalable à la lutte des classes par définition inter-raciale.



  • 11 votes
    Orwell Orwell 13 juin 2020 19:50

    LOL 

    Un Jean-Foutre sur des milliers de manifestants a hurlé sale juif. Peut être payé par les fafs, who knows ? Et ces fafs qui affectionnent tant les juifs comme on le sait, toujours dans la pratique de l’inversion accusatoire de racisme, englobent tous les manifestants, comme elle est débile cette manipulation PTDR smiley 



  • 2 votes
    Orwell Orwell 13 juin 2020 16:18

    @ezechiel

    Chut. Pour le bien de tous, du tien aussi, tais-toi. Aie pitié de toi-même, et fais vœux de silence lol.



  • 2 votes
    Orwell Orwell 13 juin 2020 16:10

    @Super Cochon
    T trop con. Ftg



  • 3 votes
    Orwell Orwell 13 juin 2020 16:05

    @Norman Bates

    T plus cortiqué que les ramollis du bulbe que sont Super Cochon, ezechiel ou ged252, et ta jolie plume m’a motivé à faire l’effort d’une réponse argumenté, c rare mdr

    Sans rire, on peut vraiment parler de l’utilisation propagandiste de l’industrie du cinéma ? Thanks captain obvious, quelle n’est pas ma stupéfaction de découvrir que le cinéma est l’un des moyens les plus efficaces dont dispose un pouvoir pour diffuser son modèle et ses valeurs, j’dormirai moins con, lol. Le septième art est une forme culturelle capable de s’adresser à une population entière, on a entrevu très tôt après son invention le pouvoir quasi illimité des images pénétrant l’œil du spectateur de coloniser l’imaginaire. Il est donc fatal que cette industrie assume en partie l’endoctrinement des masses par la séduction et l’émerveillement, c encore plus vrai aux States qui n’ont pas de ministère de l’Éducation nationale, plus que partout ailleurs le cinéma a assumé là-bas les fonctions d’élaboration et de propagation d’un récit national. En ciblant les masses, Hollywood est aux dominés ce que le New York Times et le Washington Post sont aux dominants.

    Hollywood fonctionne en environnement hautement capitaliste, l’industrie du cinéma est dirigée par une poignée de majors contrôlée en grande partie par de puissants juifs et pour cause : Hollywood a été créé par des Juifs. Les immigrants juifs tenaient l’artisanat cinématographique à Hollywood comme les immigrants chinois tenaient les blanchisseries de Californie, encore faut-il comprendre pourquoi et c à ça que sert le matérialisme historique. Dans les métiers du spectacle à la réputation plutôt douteuse, il n’existait pas de barrières sociales, on ne retrouvait aucune des entraves propres aux professions plus en vue, protégées par des barrières invisibles destinées à maintenir les juifs à l’écart. Forte d’une riche expérience dans ce secteur, une partie des juifs émigrés aux Etats-Unis investi logiquement sa force de travail dans cette industrie naissante qu’était le cinéma dans l’ambition de bâtir un futur sur un art que tant d’autres considéraient comme sans avenir car tourné avant tout vers une clientèle pauvre et immigrée. Tous viennent d’Europe centrale, tous également partagent une même rage de s’intégrer dans cette Amérique qui les accueillait avec une certaine méfiance, la plupart sinon tous, sont effroyablement pauvres et viennent de la confection ou du petit commerce, des activités qui leur ont appris à connaître le public, ses goûts et ses attentes, mais aussi l’art de vendre et de promouvoir un produit, tous ont commencé modestement dans les salles de spectacles de Broadway ou dans les petites bourgades de l’intérieur. Après de nombreux échecs, ils vont se diriger vers l’Ouest est pour découvrir un climat plus propice en Californie où ils trouvent ce qui n’existe pas ailleurs  : l’absence de barrières sociales, de préjugés et une liberté d’action qui fait défaut dans les grandes agglomérations de la côte Est où l’antisémitisme est la règle. Ils vont faire main basse sur les infrastructures artisanales du cinéma muet, leur dynamisme, leur sens du marketing, leur savoir-faire fera des merveilles à Hollywood où ils bâtiront des empires. Ce qui les unit c le rejet radical de leur origine qui se manifestait par l’abandon du judaïsme ou la non-ostentation religieuse, et l’absolu dévouement à leur nouveau pays, un attachement féroce, presque pathologique, à l’Amérique. En même temps qu’ils construisaient leur rêve, ils ont forgé leur propre conception du rêve américain : celui d’un pays plus accueillant et plus tolérant qu’il ne l’était vraiment de peur que leur pays d’adoption ne les rejette comme migrants illégitimes, c pourquoi c un bastion des idéaux de la gauche progressiste. C l’origine de la promotion véhémente du rêve américain véhiculée par leurs films, elle fut tellement forte qu’elle se diffusa dans la culture américaine, ils allaient façonner l’image de l’Amérique tout comme ils allaient se modeler eux-mêmes à l’image de l’Américain prospère, faut voir Hollywood comme une usine fordiste, fabriquant du rêve et des valeurs américaines standardisées pour le plus grand nombre de consommateurs.

    Est-ce à dire que les juifs et leurs héritiers contrôlent l’industrie du cinéma ? Ce serait oublier le soutien direct du complexe militaro-industriel, du Pentagone ou d’autres agences gouvernementales qui sont à dominantes WASP, qui mettent leurs ressources à disposition, et qui disposent d’un droit de regard sur façon dont les œuvres représentent les actions des states dans le monde, et qui déterminent fortement la nature des films qui voient le jour. Cette industrie revêt une importance capitale pour l’administration centrale qui en fait le vecteur principal de l’impérialisme culturel américain. Sans Hollywood les States n’auraient pas été aussi grands aux plans National et International. Ce serait également oublier l’influence des industriels du tabac, de l’automobile, agro-alimentaires et de nombreux bien de consommation qui ont énormément investi dans le placement de produits et les contrats publicitaires avec Hollywood. Idem pour l’influence de la mafia italo-américaine ou des lobbys communautaires des afro-américains comme la Blaxploitation ou des latinos qui s’appuient sur le dynamisme démographique de leur communauté pour lui donner une meilleure visibilité.

    Il existe à Hollywood des influences croisées qui agissent comme de puissantes forces de normalisation culturelle qui ne correspondent pas à l’image antisémite débile donnée par Super Cochon du juif cannibale qui domine tout et qui empoisonne les braves blancs, ptdr



  • 4 votes
    Orwell Orwell 12 juin 2020 13:23

    @Super Cochon

    Lol

    Comme vous croyez avoir assez donné dans la culpabilisation des français dans la collaboration, vs voulez culpabiliser les africains et les juifs dans l’esclavage, merci de l’aveu. C vous les fafs qui êtes des obsédés de la culpabilisation, vs n’avez que ce mot à la bouche, vs entendez des voix qui vous demandent de vs sentir coupables alors que personne ne demande votre avis

    C bon ftg le sous faf  !



  • 3 votes
    Orwell Orwell 12 juin 2020 13:00

    Comme à l’accoutumé, les racistes pratiquent l’inversion accusatoire. Impressionnante, cette quantité de gens qui disent qu’ils n’ont pas à s’excuser en affectant une résolution héroïque, alors que personne ne leur a rien demandé et qu’on se moque complètement de leur avis. Le plus drôle, c quand ils clament leur refus de s’agenouiller en croyant qu’on exige d’eux une soumission totalement imaginaire. Leur inculture est telle qu’ils ignorent la véritable origine de ce geste, repris en 2016 par le footballeur Colin Kaepernick : celui de Martin Luther King faisant la prière dans les rues de Selma, en Alabama, en 1965, à la suite de la violente répression qui s’était abattue sur les manifestants du Mouvement des Droits civiques sur le pont Edmond Pettus. Aux héros de l’anti-génuflexion, on rappellera aussi qu’à Selma, le 9 mars 1965, c’est un pasteur blanc, James Reed, qui est battu à mort par le Klu Klux Klan, et que le 25 mars, c’est une militante blanche, Viola Liuzzo, qui est tuée de deux balles dans la tête. Le geste inauguré par Martin Luther King, assassiné à son tour en 1968, leur rend également hommage.

    Pauvre Marion Maréchal-Le Pen qui a entend des voix lui demandant de se mettre à genou, et dont la protestation héroïque est relayée par les journaux, les chaînes de télé et les radios. Elle s’prend tellement pour Jeanne d’Arc qu’elle en entend des voix. 





  • 1 vote
    Orwell Orwell 11 juin 2020 17:22

    @NOUS SOMMES RÉVEILLÉS
    ftg



  • 2 votes
    Orwell Orwell 11 juin 2020 17:02

    Les Africains ne sont pas en reste à propos d’esclavagisme

    ------------------------------------------------------

    Et les Français n’étaient pas en reste pour aider les nazis à occuper la France. On a appelé ça la collaboration.

    Et les juifs n’étaient pas en reste pour aider les nazis à les exterminer dans les camps. On a appelé ça les Kapos.

    Etc.

    Ça change kekchose à la germanité du système nazi ?

    Psssssst



  • 2 votes
    Orwell Orwell 10 juin 2020 21:46

    Soutien aux éborgneurs, aux mutilateurs, aux gazeursqui nous déglinguent la bouche à coup de matraque et de LBD lorsqu’on manifeste pour notre sécurité sociale, pour nos retraites, pour nos hôpitaux, pour le RIC ou contre le racisme et les discriminations

    #jesuislapolice





  • 2 votes
    Orwell Orwell 10 juin 2020 21:30

    Ceux qui disent d’arrêter de mettre de l’huile sur le feu avec l’anti-racisme ne voient pas que ben... si on peut mettre de l’huile dessus, c’est bien que ce feu existe et que donc il faut travailler à l’éteindre. Sauf qu’on ne travaille jamais à l’éteindre lorsqu’on tient des discours de la sorte du genre "Arrêtez de lutter contre le racisme, vous vous trompez..." et basta. C un discours typiquement hors-sol, loin des réalités sociales. On aimerait tous avoir le luxe de dépasser la question raciale mais pardon, la réalité nous rattrape. Et d’ailleurs cette réalité est aussi celle de certains Blancs qui vont se retrouver en minorité dans certains quartiers mais là les fafs deviennent plus bavards comme par enchantement, là l’anti-racisme n’est plus une arnaque étrangement

    C une arnaque sauf quand ça touche les Blancs, les fafs sont des tartufes smiley 




  • 1 vote
    Orwell Orwell 7 juin 2020 02:19

    Noam Anouar : « Il y a une déferlante de haine raciale sur des échanges entre les fonctionnaires de police »

    https://www.youtube.com/watch?v=dVTgq26NLkE




  • 1 vote
    Orwell Orwell 7 juin 2020 02:02

    @maQiavel

    Jamais bité pq tu parles à des rascards. Ils t’apportent quoi ? Toi tu leur apporte quoi ? ça se termine tjrs en queue de poisson. Ça sert à quoi ? Des débats et des débats, tout ça pq ? 



  • 3 votes
    Orwell Orwell 6 juin 2020 00:43

    Magouilles, nazisme et violence : un « policier repenti » se livre.

    "Nicolas a récemment quitté la police. Il venait de commencer sa carrière dans une unité de la gare du Nord, à Paris. Entre références à Hitler et ultravirilisme, il raconte un quotidien marqué par l’ennui, les magouilles et la violence. Et comment la sensation de devenir « agressif et raciste » l’a fait renoncer au métier. « Je suis tombé dans une brigade un peu spéciale, ambiance fasciste, qui prônait le nazisme. Quelques-uns avaient une allégeance à Hitler et les autres étaient complices, sans avoir les mêmes mots mais prenaient quand même bien plaisir à faire des insultes racistes. Ils votent tous Front national et leurs discussions quotidiennes évoluent dans un fourre-tout idéologique avec Marine et les étrangers en tête. Il y a un Guadeloupéen parmi eux. Ça amenait toujours des situations extrêmement gênantes et cependant, lui-même partageait des a priori extrêmement discriminants ». L’ancien policier a fini par comprendre que la culture policière ne s’accommode pas seulement des pratiques violentes et discriminatoires. Elle les légitime et les valorise."

    https://www.mediapart.fr/journal/france/211218/magouilles-nazisme-et-violence-un-policier-repenti-se-livre



  • 4 votes
    Orwell Orwell 6 juin 2020 00:39

    Des milliers de policiers s’échangent des messages racistes sur un groupe Facebook.

    Dans un groupe Facebook privé, réservé aux forces de l’ordre et qui compte plus de 8.000 membres, des policiers surtout et quelques gendarmes postent de nombreux montages, messages et commentaires racistes et sexistes.

    Pour intégrer le groupe, il faut indiquer aux administrateurs sa promotion à l’école de police ou de gendarmerie, son matricule et rédiger quelques phrases en jargon de « la boîte ». Un filtre qui semble efficace : plusieurs dizaines de profils pris au hasard ont été vérifié et il a été confirmé qu’ils sont bien membres des forces de l’ordre. À l’abri des regards, les condés se lâchent : dans des posts ou en commentaires, on peut lire des centaines de message racistes, sexistes ou homophobes, des appels au meurtre et l’apologie de morts violentes mettant en cause des policiers. Ponctuellement, des fonctionnaires tentent de calmer les ardeurs de leurs collègues mais ces nodocéphales les reprennent promptement "On n’a pas besoin de fragiles dans la boîte. "

    https://www.youtube.com/watch?v=G_aj-Y6cAaA



  • 5 votes
    Orwell Orwell 6 juin 2020 00:23

    Pour les demeurés qui "croivent" pas en l’existence du racisme chez les flics et qui qualifient d’antiblancs tous ceux qui le dénoncent, j’vais pas jacter statistiques et discrimination raciale systémique pratiquée par la police, z’etes trop cons pour capter d’façon, écoutez plutôt ceci en entier ici (29min) : https://www.arteradio.com/son/61664080/gardiens_de_la_paix

    En bref un Schmit noir avec 20 piges de service dans la piaule a découvert et dénoncé des conversations privées de ses collègues. Son témoignage est à écouter ci-dessus, entrecoupé de messages audio échangés par ses collègues. Persuadés de l’imminence d’une guerre raciale pour laquelle ils affirmaient stocker des armes, ces condés accablaient d’injures tous les « ennemis de la race blanche » : les femmes (des « putes », même les policières), les Noirs (des « nègres »), les Arabes ( des « bougnoules »), les gens du voyage (des « putain de manouches »), les Juifs (des « fils de pute » qui « dirigent le pays » en compagnie des « gauchistes »), les homosexuels (des « pédés »). Ils s’autoqualifient parfois de "fascistes" ou de "gros fachos".

    Ces gens-là sont exactement à leur place. Penser qu’ils ne le sont pas, qu’ils n’ont rien à faire chez les Schmits, c’est faire la démonstration qu’on a rien bité au film. Le scénario il est simple : c’est l’histoire de la montée du fascisme qui prendra ouvertement le pouvoir quand l’effondrement aura commencé (ils le disent eux-mêmes et appellent ce moment de leurs vœux !). Et comme ce fut le cas par le passé, les premières cibles seront les anarchistes, les militants vraiment de gauche, les LGBT, les handicapés, les chômeurs, et tous ceux qui ne sont pas blancs. 



  • 3 votes
    Orwell Orwell 6 juin 2020 00:11

    Mais LOL dans cette bouillie insensée, je n’vais répondre qu’à la controverse des Schmitt noirs. J’vais éclairer vos lanternes de bélîtres en restant au niveau CM2, au-delà j’vous grille vos deux neurones (cumulés).

    Braquer les projecteurs sur le racisme des poulets blancs c rien tilter au film. Le personnage du policiers noir raciste envers sa propre communauté est familier aux states épakeu. Le poulet noir raciste a été conditionné par le système et obéit à certains réflexes : quand vous devenez agent de police, vous devenez l’un des leurs dans la flicaille, vous partagez leur état d’esprit et vous intériorisez une vision du monde. Bourdieu parle d’habitus. Vous devez jouer le même jeu pour gagner des points et faire carrière. Frantz Fanon évoquait un masque, celui qui satisfait le désir raciste de voir l’autre se fondre dans l’imaginaire racial, désirer devenir blanc, faire figure docile pour désamorcer la terreur blanche, sourire, acquiescer, jouer au Noir Banania. Et vous finissez avec la même mentalité mais en pire. Le condé noir est particulièrement violent envers les autres noirs, c pour se laver de tout soupçon et gagner la confiance de ses collègues & de la hiérarchie. Ces cinq dernières années, des policiers ont tué à travers le pays plus de 5 000 personnes, pour la plupart des hommes non blancs et pas armés. Les policiers qui ont tiré sont eux-mêmes souvent des Afro-Américains. On trouve ce schéma dans l’esclave domestique dénoncé par Malcom X comme "The house negro". Les manifestants qui hurlent du" vendu" aux condés noirs le font pour mieux souligner que c un phénomène institutionnel et systémique et pas juste une question de mauvais flics blancs qui dérapent. Mais les fachos bitent rien aux aux phénomènes structurels, vous lisez pas et vous n’observez que c’qu’il vous fait zizir, pouvez pas capter, mais ch’ui pas prof moi, G pas à instruire les fafs, encore moins gratuitement donc ciao