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Les commentaires de Étirév



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    Étirév 31 janvier 2023 09:48

    Toutes les races sont autochtones.
    La terre ne s’est pas peuplée par des émigrations, il n’y a pas eu d’homme primitif créé par la volonté d’un Dieu Créateur dans un endroit donné, l’humanité est sortie de la terre végétale, par voie d’évolution, dans tous les pays en même temps.
    La race blanche habitait l’hémisphère boréal parce que c’est là qu’elle était sortie de la végétation boréale qui avait été son état embryonnaire.
    Une race noire, plus ancienne, était sortie de la végétation tropicale d’Afrique et d’une partie de l’Asie. La race rouge, moins connue, s’était développée sur les hautes montagnes de l’Amérique du Nord. Cette race avait possédé l’hémisphère occidental, pendant que la race jaune possédait l’oriental.
    Donc il faut abandonner la théorie des émigrations de peuples. Mais si les hommes ne se sont pas déplacés en masse, ce qui a circulé, c’est l’idée, c’est la pensée créatrice qui a fait naître des religions et des civilisations.
    NOS RACINES, NOS VÉRITABLES ORIGINES



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    Étirév 31 janvier 2023 08:05

    La carence de la plupart des analyses géopolitiques vient du fait que le paradigme d’étude ne prend, le plus souvent, pas en compte la réalité des acteurs en présence. Les rapports de forces sont, la plupart du temps, considérés au regard des seuls États. Or, depuis plusieurs siècles, s’est développé, dans l’ombre, un acteur géopolitique nouveau, anonyme et de nature privé, que nous appelons du terme générique de « puissances d’argent ». D’un point de vue méthodologique, cet acteur, nouveau, est déroutant à plus d’un égard. Premièrement, il est anonyme, ce qui rend difficile son appréhension précise et la mesure de sa puissance, relative comme absolue, par rapport aux traditionnels États. Ensuite, cet acteur ne répond pas aux mêmes règles d’engagement, pour employer une terminologie militaire, que les États. D’une part, les « puissances d’argent » sont des acteurs privés, et non publics, qui répondent donc à des intérêts d’ordre strictement catégoriel, en aucun cas à un quelconque « intérêt général ». Mais, comme par essence ils sont anonymes, on a du mal à discerner leur présence autrement que par des déductions et recoupements d’informations. D’autre part, et peut-être surtout, ces acteurs, qui ne sont pas géographiquement délimités (pas de contraintes géographiques), ne fonctionnent fondamentalement pas selon la même logique que les États traditionnels. Alors que les États, quelle que soit leur taille, sont limités par des frontières et répondent à une logique d’ordre sédentaire, ces nouveaux acteurs politiques (que d’aucuns, tel que Peter Scott Dale, nomment « État profond ») répondent à une logique de type nomade.
    (...)
    Dans la plupart des pays du monde, l’État actuel est l’État profond, c’est-à-dire une réelle ploutocratie cachée derrière une démocratie coquille vide. Cette étape, qui a souvent pris le chemin indirect et sournois du contrôle bancaire, utilise, parfois, lorsque c’est nécessaire, des méthodes plus musclées. C’est ainsi que la prise du contrôle étatique par l’oligarchie n’a, historiquement, fait l’économie d’aucun coup d’État, permanent ou non. Citons les exemples récents du Vénézuela, de la procédure de destitution de Dilma Rousseff comme présidente du Brésil en 2016 ou encore la destitution du président ukrainien Viktor Ianoukovitch en 2014. La France n’a pas échappé à ce type d’expérience, qui fut rondement menée par l’oligarchie française contre Charles de Gaulle en 1969, sans même parler du soutien actif des USA dans le putsch d’Alger par l’OAS en 1961. Toutes les révolutions de couleur, de fleur ou autre nom jovial, sont une émanation de cette première tactique, consistant, pour les oligarchies (locales ou coalisées), à s’emparer des institutions étatiques des différents pays du monde. La seconde étape consistant en la collaboration des élites économiques des différents pays occidentaux.
    Franklin Delano Roosevelt, président américain durant la Seconde Guerre mondiale (discrètement au courant des manœuvres de « l’Etat Profond ») disait : « En politique rien n’arrive par hasard. Chaque fois que survient un événement, on peut être certains qu’il avait été prévu pour se dérouler de cette façon. ».
    LIEN



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    Étirév 20 janvier 2023 07:36

    Sex & Drugs & Rock... & Contre-Culture

    Est-il utile de rappeler que le Rock (issu du Blues et du Rythm and Blues noirs), apparu au début des années 1950, a permis l’intrusion, dans notre monde, d’influences négatives, sinistres, liées à la violence gratuite, à la drogue (notamment au LSD), au sexe (dans l’argot étatsunien, le terme « Rock and Roll » est un équivalent de « va-et-vient » ; certains doivent peut-être se souvenir de la première apparition TV d’Elvis en 1956, qui scandalisa l’Amérique puritaine avec son déhanchement « obscène »), aux pulsions les plus basses, et provoquant chez les êtres et par voie de conséquence dans nos sociétés, de graves effets pathologiques aux niveaux physiologique, psychologique et social.
    De plus, certains disques enregistrés par les Beatles, les Rolling Stones (notamment « Bridge to Babylon »), Led Zeppelin, Pink Floyd et autres groupes Rock, révèlent que ces enregistrements comportent des messages subliminaux destinés à être diffusé à l’insu du plus grand nombre. Ces messages, traités selon une technique appropriée (enregistrement à rebours camouflé : le message subliminal étant transmis par un « beat », ou un signal à fréquence ultra-sonique) atteignent, comme leur nom l’indique, un individu dans sa zone subconsciente, précisément là où ne s’exerce aucun contrôle rationnel. Par ce procédé, identique à celui qui est utilisé dans la publicité, s’effectue une véritable « persuasion clandestine », grâce à quoi le message anagrammatique est introduit, capté comme tel par le subconscient qui, dans un second temps, le décode et le reconstruit pour enfin le faire émerger au niveau du moi conscient qui, faute d’un discernement préalable, ne peut qu’adhérer, mais dans l’ignorance, au sens réel du dit message, dont le contenu est le suivant : perversion sexuelle, révolte contre tout ordre social, incitation au suicide, à la violence, etc.
    Un extrait d’un texte de John Todd est révélateur d’une connexion du Rock avec la basse sorcellerie : « de tout temps, dit-il, la sorcellerie a été pratiquée au son du Beat, qui est identique dans les cultes du Vaudou et dans la musique Rock. Impossible de pratiquer la sorcellerie sans cet accompagnement. ».
    Aussi, est-ce un hasard si la Loi sur la sorcellerie (Witchcraft Act 1735) fut abolie en Angleterre en 1951, au moment où naissait le Rock ?
    Dans le chapitre intitulé « Le déferlement du rock subliminal », extrait de son ouvrage « La Société Fabienne », Guy Boulianne écrit : « Les Beatles (bons garçons) et les Rolling Stones (méchants garçons) sont les deux faces d’une même pièce qui a été frappée par l’Institut Tavistock pour présenter à la jeune génération une nouvelle langue et une nouvelle éducation culturelle autour des prétendues libertés : la liberté de consommer de la drogue et la liberté de devenir une contre-culture. Tout ceci a été fabriqué. ». En effet, quand, par exemple, les Beatles arrivèrent aux États-Unis pour la première fois, en 1964, ils furent assaillis à l’aéroport par des centaines d’adolescentes hystériques. La presse nationale annonça aussitôt que la « Beatlemania » s’était emparée de l’Amérique. Mais en réalité, les jeunes filles avaient été transportées d’un collège du Bronx à New-York, et payées par les promoteurs des Beatles (Brian Epstein entre autres) pour leur séance de hurlements hystériques ; la même année, les Rolling Stones firent leur apparition en Amérique au « Ed Sullivan Show », comme les Beatles un peu plus tôt. Les téléspectateurs eurent cette fois droit au spectacle de la mise à sac du studio par les fans. Notons que le premier vrai succès des Stones fut, en fait, écrit par les Beatles, et ce fut le guitariste des Beatles, George Harrison, qui fit les arrangements pour leur premier contrat d’enregistrement.
    L’opposition entre les gentils Beatles et les méchants Rolling Stones fut la stratégie utilisée pour mettre la jeunesse dans un étau : l’habituel « diviser pour régner ». Les Beatles pénétraient des couches sociales et culturelles où les Rolling Stones étaient mal vus. Chacun pouvait choisir son camp. Lorsque les Beatles avançaient une nouveauté, les Rolling Stones s’en emparaient pour s’en moquer. Quand les Beatles vantent le voyage psychédélique au LSD, les Rolling Stones font l’apologie de l’héroïne. Quand les Beatles chantent « la paix et l’harmonie », les Rolling Stones proclament leur « foi satanique ». Cela devient si caricatural qu’on comprend que les deux attitudes étaient artificielles, comme un moyen pour semer la confusion dans l’esprit des jeunes. Moins d’un siècle auparavant, les jeunes étudiaient le violon ou le piano, mais la magie de la guitare électrique s’empara de l’espace sonore. On abandonna Bach, Mozart et Beethoven pour se lancer dans le Rock. Toutes ces mêmes sociétés d’enregistrement qui feront plus tard la promotion du hard Rock (Heavy Metal), ont dirigé des opérations secrètes pour détruire l’héritage musical des compositeurs classiques.
    EMI (Electrical & Mechanical Instruments) qui avait pris le contrôle des enregistrements de musique classique en faisant signer des dizaines de contrats concernant des interprètes de musique classique allemands, aura un rôle important dans la promotion des Beatles. Rappelons que EMI est à la base une des plus grosses entreprises de production d’électronique militaire, mais aussi un élément-clé de l’establishment du renseignement militaire britannique. Toutes ces curieuses « maisons de disques » (Capitol Records, EMI, etc.) dissimulaient des recherches militaires. La grande majorité des fans du Rock libertaire des années 60 ne se doute pas que les disques de ses idoles « révoltées et antimilitaristes » étaient produits par l’armée et les services secrets britanniques.
    La musique Rock est, et a toujours été, une entreprise conjointe avec les services de renseignements militaires britanniques et les réseaux satanistes. L’Angleterre a une vieille tradition de ces deux genres d’activité où se croisent les mêmes acteurs.
    Le « mantram » du Rock en langue anglaise (langue « magique » du blues) est une transe, un envoûtement. Cette opération de subversion de l’âme de la jeunesse, qui a été menée par les services secrets anglo-saxons, a orienté la culture sur une voie qui s’écarte de l’évolution régulière.
    Aujourd’hui, les résultats sont là : la culture Rock a attaché les âmes à des systèmes affectifs et comportementaux régressifs. La « Techno » n’a plus qu’à cueillir les jeunes pour les livrer à l’abrutissement final où les corps sont possédés par le rythme mécanique d’une bestialité robotique.

    SUITE…



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    Étirév 11 janvier 2023 09:53

    « Notre société est dirigée par des fous pour des objectifs fous. Je pense que nous sommes dirigés par des maniaques à des fins maniaques et que je suis susceptible d’être jugé fou pour l’exprimer. C’est ce qui est fou à ce sujet. ». (John Lennon, artiste de plus en plus difficile à contrôler, se confiait lors d’une entrevue en juin 1968)
    John Lennon a été assassiné le 8 décembre 1980 par un certain Mark Samuel Chapman.

    BLOG



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    Étirév 5 janvier 2023 08:14

    « L’empire du mensonge est en train de s’écrouler  »
    Et cependant, il est encore des gens naïfs qui croient que l’histoire est le récit exact des faits du passé. Ils semblent ignorer que le monde est, depuis longtemps, régi par le mensonge et que le désordre de la société actuelle en est la conséquence.
    Cela dit, il faut remarquer que c’est toujours quand la Vérité est altérée, cachée, quand l’erreur triomphe, qu’on en impose l’étude à la jeunesse.
    La Vérité est simple. C’est l’erreur qui est compliquée.



  • 1 vote
    Étirév 4 janvier 2023 10:47

    La surpopulation comme tous les autres immenses problèmes actuels, ne sont que les conséquences du désordre et de la confusion d’un monde depuis longtemps régi par le mensonge.
    Nous sommes actuellement en pleine phase finale de ce que René Guénon appelle « Le Règne de la Quantité et les Signes des Temps ».
    Il faut savoir que dans une très haute antiquité, les rapports sexuels et donc les naissances étaient réglementés.

    En effet, les Agapes, qui étaient les réunions données le 7e jour, suivant l’ancienne Loi qui régnait aussi bien chez les Celtes que chez les Israélites, étaient un jour CON-SACRÉ, c’est-à-dire donné aux unions.
    Les agapes des Rose-Croix avaient lieu une fois par an, dans la nuit du Jeudi Saint au Vendredi Saint. C’était la fête de Pâques. On pourrait dire la fête de la fécondation, qui, dans les temps anciens, n’avait lieu qu’une fois par an pour assurer la reproduction.
    En hébreu, le mot « Pâque » veut dire passage. La fête du Pessa’h (de la Pâque) se célébrait à la première pleine lune de printemps. C’était le premier mois lunaire de l’année juive, le temps que la Nature assigne pour les fécondations. Les relations sexuelles étaient donc réglementées par la religion.
    Mais si une réglementation des relations sexuelles a été imposée par la Religion, ça n’était pas uniquement dans le but d’en règlementer les naissances…
    Suite



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    Étirév 21 décembre 2022 10:00

    Julius Évola disait qu’une des tactiques favorites de la « guerre occulte » est d’attirer « toute l’attention de l’adversaire sur des éléments qui ne sont que partiellement ou secondairement responsables » de la Subversion. « Toute la réaction se décharge alors sur ces éléments, devenus des boucs émissaires », ou, comme il l’écrit ailleurs, des « faux objectifs ».
    C’est notamment le rôle dévolu aux médias de masses et à un certain nombre de « marionnettes oligarchiques » et autres « expert » autorisés.
    LIEN



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    Étirév 20 décembre 2022 13:15

    Le régime primitif en Egypte :
    En Egypte comme partout, le régime féminin a précédé le régime masculin et il a dû avoir une longue durée de prospérité et de paix, puisque, au moment où commence l’histoire, c’est-à-dire le règne de l’homme, le pays possède déjà une langue bien formée, l’écriture, et des institutions sociales qui serviront de base à l’organisation future des sociétés. Enfin une religion, un culte, une haute morale. Tout cela réalisé avant les temps historiques.
    C’est par le règne des Déesses que commence l’histoire de l’Egypte. Manéthon, qui cherche à effacer les traces du règne de la Femme, place sept dynasties de dieux (il masculinise les Déesses) au début, puis encore douze dynasties vagues auxquelles succèdent trente dynasties de demi-dieux. Veut-il dire par « vagues » des dynasties mixtes, composées de Femmes et d’hommes, de couples régnants ? Nous l’ignorons.
    Les Pharaons sont des magistrats sacerdotaux, toujours représentés en costumes de femmes.
    Dans le règne primitif, toutes les grandes dignités de l’Etat, les fonctions de juge, de médecin, étaient exclusivement réservées à la caste sacerdotale. Les hommes ne pouvaient pas y prétendre, ils étaient soumis au pouvoir des femmes appelées « des sages » (Soffet), qui leur faisaient faire un service régulier, un travail dont l’organisation avait été savamment établie. On les envoyait aussi en expéditions lointaines.
    Pour les récompenser, on leur donnait le droit de porter certains signes de distinction. On comprenait déjà que les honneurs accordés aux hommes n’ont de valeur que s’ils les tiennent de la Femme (3).
    La Femme gardait en dépôt les Livres de science et les cachait à tous les yeux avec des précautions infinies.
    La connaissance des lois de la Nature, que les Livres sacrés avaient enseignées, facilitait tous les travaux, qui ne sont en somme que les applications de ces lois à la vie, ou à l’industrie.
    Les lois de la physique (le Kosmos), de la chimie (l’art sacré des Temples), de la physiologie (imposées dans le Connais-toi du Temple de Delphes), étaient la base solide des travaux entrepris.
    On savait tout ce que la science des modernes explique si mal, on connaissait la cause réelle de tous les phénomènes, et l’on est surpris de voir avec quelle précision tout était expliqué.
    Ces connaissances qui étaient le fond de l’éducation religieuse donnée par les femmes (les Déesses qui écrivent, les Prêtresses qui enseignent) passaient dans les mœurs, dans les institutions, dans tout le milieu ambiant. Il n’y avait pas encore de place reconnue (officielle) pour l’erreur. Nous sommes, il est vrai, à l’aurore du mensonge, mais il n’a pas encore triomphé.
    SUITE...



  • 1 vote
    Étirév 16 décembre 2022 09:07

    La France est éternelle.
    Ce qui s’effondre, c’est la mentalité humaine, de plus en plus grossière et lourde qui, comme prévu, se dirige immanquablement vers « le point le plus bas ».
    Paradoxalement, c’est une bonne nouvelle !



  • 3 votes
    Étirév 14 décembre 2022 09:48

    Lorsque les élites décadentes, s’offrent un « Bal masqué » planétaire ritualisant Éros et Thanatos, il est du devoir des Esprits libres d’interrompre la « fête ».



  • 1 vote
    Étirév 9 décembre 2022 07:44

    « On arrive à la fin des mensonges », c’est vrai.
    Nous vivons actuellement sous le régime de l’universelle imposture ; le caractère qui domine tout, c’est le mensonge, la vaine apparence des choses, qui furent réellement grandes et saintes dans les temps passés, mais qui se terminent en comédies, en simulacres ; c’est l’achèvement de toutes les parodies.
    Mais au fait, quand le mensonge a t-il débuté ? À partir de quand l’erreur s’est-elle substituée à la Vérité ?
    L’aurore du mensonge : Il ne semble pas qu’on ait jamais remarqué comme convient l’impossibilité presque générale où se trouvent les historiens d’établir une chronologie certaine pour tout ce qui est antérieur au VIème siècle avant l’ère chrétienne.
    L’ère de destruction ou d’altération de tous les témoignages gênants et notamment les Grands Livres sacrés, s’ouvrit au VIIIème siècle. On précise même la date : cela commença en 747 avant notre ère, c’est-à-dire au moment où la classe sacerdotale se constitua.
    En effet, au VIème siècle avant l’ère chrétienne il se produisit, quelle qu’en ait été la cause, des changements considérables chez presque tous les peuples ; ces changements présentèrent d’ailleurs des caractères différents suivant les pays. Dans certains cas, ce fut une réadaptation de la tradition à des conditions autres que celles qui avaient existé antérieurement, réadaptation qui s’accomplit en un sens rigoureusement orthodoxe ; c’est ce qui eut lieu notamment en Egypte avec « HERMÈS », nom générique des prêtres égyptiens qui sont venus, dans le cours des siècles, jeter le voile du mystère sur toutes les antiques vérités, et en Chine, où la doctrine, primitivement constituée en un ensemble unique, fut alors divisée en deux parties nettement distinctes : le TAOÏSME, réservé à une élite, et comprenant la métaphysique pure et les sciences traditionnelles d’ordre proprement spéculatif ; le Confucianisme, commun à tous sans distinction, et ayant pour domaine les applications pratiques et principalement sociales.



  • 3 votes
    Étirév 8 décembre 2022 11:07

    L’UE ne vit que grâce une succession de crises artificielles et donc prévues d’avance.
    Franklin Delano Roosevelt, président américain et au courant des manœuvres de « l’Etat Profond » c’est-à-dire de cette réelle ploutocratie cachée derrière la démocratie « coquille vide », disait : « En politique rien n’arrive par hasard. Chaque fois que survient un événement, on peut être certains qu’il avait été prévu pour se dérouler de cette façon. ».
    Les institutions européennes ont été, historiquement, faites par et pour les multinationales ; non pour le commerce en général, mais plus précisément pour le commerce des multinationales.
    La politique généreusement appliquée dans l’UE est « globaliste », elle fait, à ce titre, fort peu de cas des petites gens et des petites et moyennes entreprises pour, au contraire, laisser la part du lion aux multinationales et à leurs propriétaires anonymes.
    Le Dormeur doit se R.



  • 2 votes
    Étirév 6 décembre 2022 09:27

    Depuis plusieurs siècles, s’est développé, dans l’ombre, un acteur géopolitique nouveau, anonyme et de nature privé, que nous appelons du terme générique de « puissances d’argent ».
    Contrairement aux États traditionnels, limités par des frontières et répondant à une logique d’ordre sédentaire, ce nouvel acteur (que d’aucuns, tel que Peter Scott Dale, nomment « État profond ») répond à une logique de type nomade.
    Comprendre ce phénomène, nouveau dans son ampleur, car sa création remonte loin dans le temps, est pourtant fondamental car il permet de percevoir que ce nouvel acteur géopolitique a, in fine, un seul ennemi mortel : la présence d’États au sens politique du terme, c’est-à-dire d’États souverains. Ainsi, dans le contexte d’un rapport de force et de puissance, les États sont, par construction, les pires ennemis de ces « puissances d’argent » (banquiers et multinationales).
    La première puissance à avoir intégré la caste de ces « puissances d’argent » en tant que nouvel acteur politique est l’Angleterre. Le choix d’Oliver Cromwell (1599-1658) de développer l’Empire britannique en adossant la puissance des armes à celle des banques a créé un nouveau paradigme politique. Dire cela ne signifie pas que l’Angleterre porte l’acte de naissance de cet acteur géopolitique nouveau, anonyme, appelé par facilité de langage « puissances d’argent ». Sa naissance est plutôt à rechercher dans les Républiques commerçantes de Gênes, de Florence ou de Venise.
    Si l’Angleterre de Cromwell n’est pas, stricto sensu, à l’origine du développement de ses « puissances d’argent », elle est néanmoins à l’origine du paradigme consistant à adosser les velléités impériales à la puissance financière naissante des banquiers ; ce phénomène a, mécaniquement, généré l’avènement d’un nouveau modèle de référence dans lequel la puissance politique et militaire est intimement liée au développement de la banque. Dans les étapes ultérieures, les banquiers se sont internationalisés dans le même temps qu’ils ont commencé à se centraliser par l’instauration du système des banques centrales. Le cartel des banques centrales représente le monopole ultime. Il jouit d’un monopole sur le crédit des gouvernements, et son but est de convertir ce monopole en un monopole exclusif sur tout : la politique, la culture, l’économie, la religion etc.
    Ces institutions sont nées sous le signe de l’imposture : présentées comme des banques d’État, elles disposaient à ce titre de la garantie de l’État (c’est-à-dire des contribuables de l’État) alors que ses capitaux restaient dans des mains privées. L’appropriation par des intérêts privés est le vice initial du concept de banques centrales. C’est ainsi que la banque d’Angleterre (1694), la Banque de France (1800), la Réserve Fédérale américaine (FED, 1913), la Banque des Règlements Internationaux (BRI, 1930), le Système Européen de Banques Centrales (dit SEBC, décidé par le traité de Maastricht en 1992 et entré en vigueur en 1999) reflètent, toutes, un désengagement des instances politique de l’État dans la gestion centralisée des masses monétaires en circulation.
    Rappelons qu’en 1905, le tsar Nicolas II refusa d’accepter la création sur le sol Russe d’une Banque centrale, comme cela arrivera en 1913 avec la « Federal Reserve » aux USA, banque qui, au moyen du contrôle du crédit, aurait permis aux « puissance d’argent » de contrôler l’économie Russe. Le premier organisme bancaire central en Russie a été créé le 12 juin 1860 sous le nom de Banque d’État de l’Empire russe, qui a été formée sur la base de la Banque commerciale d’État par l’oukaze (décret ou édit) de l’empereur Alexandre II. Au début de 1917, la banque comptait onze succursales, 133 bureaux permanents et cinq bureaux temporaires et 42 agences. Au commencement de la « révolution d’Octobre », la Banque d’État Russe a été dissoute et remplacée par la Banque populaire de Russie ; on passera alors d’un Gouverneur de la banque nommé par Nicolas II, à un Président du Conseil d’Administration nommé par le Premier ministre de l’Union Soviétique, en l’occurrence Lénine (rappelons que la famille impériale a été massacrée en juillet 1918). La Banque populaire de Russie existera jusqu’à la création, en 1923, de la Gosbank (banque centrale de l’Union Soviétique) devenue depuis décembre 1991, la Banque centrale de la fédération de Russie.
    Ces banques centrales sont aujourd’hui l’élément pivot, fondamental, du système monétaire mondial. En prenant le contrôle des monnaies, ces « puissances d’argent » ont pris le contrôle des économies puisqu’elles étaient en mesure de décider, en toute autonomie et de façon discrétionnaire, de l’affectation des ressources monétaires.
    Pour ceux qui l’auraient oublié, cette vérité a été directement précisée par l’un des fondateurs de l’oligarchie financière : « Donnez-moi le contrôle de la monnaie d’une nation et je n’aurai pas à m’occuper de ceux qui font les lois ».
    SUITE...



  • 6 votes
    Étirév 2 décembre 2022 09:16

    « Les Français sont considérés comme des enfants de 4 ans »
    Rien de nouveau dans une société qui passe son temps à infantiliser les adultes qui, pour la plupart irresponsables et sans esprit d’initiative, en redemandent.
    Un des vices majeurs de notre époque est ce que Montherlant appelait « le jeunisme ». Dans la société moderne, tout est fait pour prolonger indéfiniment la jeunesse, alors que la jeunesse est un âge transitoire, qui doit être dépassé.
    Aujourd’hui, tout semble désormais programmé pour faire de tous des adolescents éternels, c’est-à-dire une société d’adultes infantiles. À l’instar de l’Île enchantée de Pinocchio, Île des plaisirs, en réalité un piège dans lequel les « enfants » finissent par devenir des esclaves, corvéables et taillables à merci, après s’être fait « abêtir ».
    Concrètement, voyons le but : Dans « Media Control : The Spectacular Achievements of Propaganda », Noam Chomsky explique que dans la société démocratique les citoyens sont divisés en deux grandes classes : l’étroite classe spécialisée (appelée Superclasse mondiale ou Hyperclasse), celle à qui revient la gestion des affaires générales, et les autres, c’est-à-dire la grande majorité de la population, que Walter Lippmann désignait par l’expression de « troupeau sauvage ». Noam Chomsky souligne que le « troupeau » n’est consulté qu’en période électorale pour entretenir chez les « moutons » l’impression de vivre en démocratie et non pas dans un état totalitaire. Une fois que la classe spécialisée est élue, le « troupeau » redevient spectateur, et même, il reste stupide, obéissant et passif, et on le traite à nouveau comme un gamin de trois ans, irresponsable par définition et incapable de connaître ce qui est bon pour lui.
    Si rien ne change, nous nous dirigeons vers une société dans laquelle, suivant une expression d’Henri Martin, les riches passeront leur temps à s’étourdir dans les orgies, pendant que les pauvres s’abrutiront dans la misère.
    Suite...



  • 2 votes
    Étirév 1er décembre 2022 09:05

    Détrôner Emmanuel Macron pour mettre qui ou quoi à la place ?

    Une fausse bonne idée.
    Ce ne sont pas les transformations extérieures qui produiront les véritables améliorations. C’est la mentalité humaine qu’on doit changer, c’est là qu’il faut faire la révolution.
    SUITE...



  • vote
    Étirév 25 novembre 2022 16:56

    Pourquoi la MAJORITÉ n’a jamais RAISON ?
    L’argument le plus décisif contre la « démocratie », c’est-à-dire la loi du nombre (une représentation de la Force), se résume en quelques mots :
    Le supérieur ne peut émaner de l’inférieur, parce que le « plus » ne peut pas sortir du « moins » ; cela est d’une rigueur mathématique absolue, contre laquelle rien ne saurait prévaloir.

    Suite...



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    Étirév 24 novembre 2022 09:17

    « La République est-elle l’ennemie de la France ? »
    Il faut plutôt aller chercher du côté « démocratie ».
    Pour résumer ; voici ce qu’est la démocratie :
    La démocratie avilit en abaissant les bons, c’est une tyrannie qui s’exerce par un mouvement de traction morale, de bas en haut ; elle fait descendre, elle empêche les meilleurs de s’élever, elle abat les têtes qui dépassent le niveau des médiocres, empêchant ainsi l’éclosion des types supérieurs, elle supprime le respect et rend les petits insolents. C’est pourquoi la démocratie est intimement liée à la conception « égalitaire » si chère à notre monde actuel, c’est-à-dire à la négation de toute hiérarchie : le fond même de l’idée démocratique c’est qu’un individu quelconque en vaut un autre, parce qu’ils sont égaux numériquement, et bien qu’ils ne puissent jamais l’être que numériquement. Ce n’est donc pas pour rien que « démocratie » s’oppose à « aristocratie », ce dernier mot désignant précisément, du moins lorsqu’il est pris dans son sens étymologique, le pouvoir de l’élite. Aussi, une élite véritable, qui ne peut être qu’intellectuelle, n’a rien de commun avec la « force numérique » sur laquelle repose la démocratie ; c’est pourquoi la démocratie ne peut s’instaurer que là où la pure intellectualité n’existe plus, ce qui est effectivement le cas du monde actuel.
    René Guénon va même plus loin et dit, et explique (dans « La crise du monde moderne »), que la « démocratie », que l’on définit comme le gouvernement du peuple par lui-même, est là une véritable impossibilité, une chose qui ne peut pas même avoir une simple existence de fait, pas plus à notre époque qu’à n’importe quelle autre, mais que la grande habileté des dirigeants, dans le monde moderne, est de faire croire au peuple qu’il se gouverne lui-même ; et le peuple se laisse persuader d’autant plus volontiers qu’il en est flatté et que d’ailleurs il est incapable de réfléchir assez pour voir ce qu’il y a là d’impossible. C’est pour créer cette illusion, dit-il, qu’on a inventé le « suffrage universel ».
    Le « suffrage universel », rappelons-le, c’est l’opinion de la majorité qui est supposée faire la loi ; mais ce dont on ne s’aperçoit pas, c’est que l’opinion, issue de cette « masse » éminemment « plastique », est quelque chose que l’on peut très facilement diriger et modifier ; on peut toujours, à l’aide d’une propagande, de suggestions appropriées (démagogie, sondages), mais aussi et surtout par la PEUR (crises économiques, chômage, violences, virus, guerres, terrorismes, attentats, pandémies, etc.) y provoquer des courants allant dans tel ou tel sens déterminé. C’est ce qu’on appelle la « fabrication du consentement ». Et les médias de masses : presse écrite, TV, radio, cinéma, jeux vidéo, publicité, affichage urbain, sites web, « Wiki », etc. (pour la plupart grassement « subventionnés »), aident grandement à la manœuvre en diffusant des mensonges et des hypocrisies à des doses tellement fortes et tellement fréquentes, que la majorité de la population n’est finalement plus à même de réagir, si ce n’est dans la direction voulue par ceux qui gèrent ses choix. C’est pour cela qu’on a pu dire que « l’opinion, c’est l’erreur du plus grand nombre ».
    On comprend, alors, pourquoi le pouvoir politique se fonde volontiers sur l’ignorance du peuple et s’accroît d’autant que les esprits sont faibles, les gens incultes.
    Voici, en France, quelques exemples concrets des conséquences pernicieuses liées au « suffrage universel », ayant eu lieu au cours des cinquante dernières années :
    G. Pompidou : Arrivé au pouvoir suprême en 1969, après la démission de Charles de Gaulle, Georges Pompidou, ex-employé de la banque Rothschild comme Emmanuel Macron (on constate que le véritable pouvoir n’a guère évolué en 50 ans, ce qui, en définitive, est la seule chose réellement stable dans ce pays), pond la loi du 3 janvier 1973, également appelée « loi Pompidou-Giscard » ou encore « loi Pompidou-Giscard-Rothschild », qui modifie les statuts de la Banque de France et donne le coup d’envoi d’une dette qui n’aura de cesse d’augmenter exponentiellement et, ainsi, de vampiriser toutes les richesses nationales produites. Aussi, depuis 1974, plus aucun budget de l’état n’a été à l’équilibre.
    F. Mitterrand : Deux ans après sa prise de fonction à l’Élysée en 1981, François Mitterrand trahit tout son programme en prenant le « tournant de la rigueur ».
    N. Sarkozy : En 2007, à peine élu, Nicolas Sarkozy « s’assoit » royalement sur le « NON » des français au référendum sur le Traité Constitutionnel de 2005, en validant directement lui-même (s’était plus vite fait) le Traité (scélérat) de Lisbonne, sa copie quasi-conforme.
    E. Macron : Élu à la Présidence de la République en 2017, nous résumerons son quinquennat avec cet extrait du livre de Valérie Bugault, « Les raisons cachées du désordre mondial » (2019), dans lequel, au chapitre « La France est-elle réellement un État socialiste ? », il est écrit : « Dans l’objectif de hâter sa prochaine disparition volontaire, les autorités politiques en charge de la France relaient avec zèle, voire même anticipent, l’agenda mondialiste consistant à appauvrir matériellement, physiquement et moralement la plus grande masse des gens peuplant la planète au profit de quelques usurpateurs, véritables escrocs économiques qui ont, aujourd’hui, pris l’ascendant sur les pouvoirs politiques des États. La politique généreusement appliquée sur le territoire français est « globaliste » ; elle fait, à ce titre, fort peu de cas des petites gens et des petites et moyennes entreprises pour, au contraire, laisser la part du lion aux multinationales et à leurs propriétaires anonymes. En conclusion, la France qui n’a aucune politique, et encore moins de politique socialiste, dans le sens « social » du terme, est en revanche l’un des principaux fers de lance de l’agenda globaliste, lequel prospère sur le développement de la misère humaine. ». Résultat : celui qui a osé dire : « il n’y a pas de Culture Française », et on sait ce que Michel Audiard, ce digne représentant de cette Culture niée, aurait pensé de celui qui « ose » ainsi, a été réélu en 2022 grâce au suffrage universel.
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  • 4 votes
    Étirév 22 novembre 2022 11:50

    L’île, cette espèce de continent défendu par des remparts d’eau était le grand objet des vœux de l’homme ; c’est de là que ces demeures isolées ont été la scène de tant de grands événements de l’antiquité. C’est dans une île que nous trouvons le palais de Circé ; c’est dans une île que Pluton exerce son empire. Le chef-lieu des Atlantes était une île. La République des Champs Elysées s’étendait sur plusieurs îles. Bailly en demande la raison à Voltaire.
    « N’êtes-vous pas étonné de voir que tout ce qu’il y a de plus intéressant dans l’antiquité se passe dans les îles ? »
    Les îles étaient tellement en vénération qu’on les appelle : Terres sacrées, pays de salut. Leur nom Eiland, ou, avec un H, ; Heiland est formé du mot Heil qui signifie salut et saint. Lieu de sûreté divine, as-île (asile contre la terreur). Et on appelle ex-il le bannissement des hommes injustes ou impies.
    À ce propos, il importe de se rappeler que, dans toutes les traditions, les lieux symbolisent, toujours, essentiellement, des états d’esprit particuliers.
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    Étirév 15 novembre 2022 09:07

    Avant de pouvoir dire : Voilà ce qu’il faut, il faut pouvoir dire : Voilà ce qui est.
    Il manque à l’histoire des religions un grand chapitre : celui qui doit être consacré à l’origine réelle du Christianisme.
    Cette science n’existe pas. Les vraies origines chrétiennes sont inconnues, et les Eglises diverses qui se rallient à ce titre ne désirent pas qu’on les connaisse.
    L’histoire réelle du Christianisme n’a rien de commun avec le récit qui nous a été donné sous le nom de Nouveau Testament.
    Derrière ce Livre, caché par lui, est l’histoire d’un mouvement de rénovation sociale, grandiose, extraordinaire, d’une haute portée, qui brilla sur le monde pendant deux ou trois siècles, mais qui fut renversé, dénaturé et caché par des faussaires qui en firent une caricature grotesque et voulurent avec cela dominer le monde.
    Dans ce vaste réseau d’intrigues, que nous allons démasquer, presque toutes les personnalités ont été dénaturées. Le mensonge a triomphé et la réalité a disparu sous l’amas d’absurdités qu’on lui a substituées.
    La science religieuse des falsificateurs n’a été qu’une collection de mystères, jamais expliqués clairement, mais remplis de sous-entendus et de malentendus, de paraboles obscures, de rapprochements de termes sans signification, de jeux de mots pour les foules avides d’erreurs.
    Il y a cependant, sous ce fatras, quelque chose de grand à étudier.
    C’est à cette étude que nous consacrons ce LIEN



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    Étirév 10 novembre 2022 14:21

    La seule chose un peu stable en France, durant ces 50 dernières années, c’est le « stage » préalable que les futurs Présidents de la République effectuent à la banque Rothschild.
    Rappelons qu’avant Emmanuel Macron, Georges Pompidou, à qui nous devons la loi du 3 janvier 1973 qui modifie les statuts de la Banque de France et donne le coup d’envoi d’une dette qui n’aura de cesse d’augmenter exponentiellement et, ainsi, de vampiriser toutes les richesses nationales produites, a été Directeur Général de la banque Rothschild.
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