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Les commentaires de Étirév



  • 10 votes
    Étirév 10 novembre 2022 14:21

    La seule chose un peu stable en France, durant ces 50 dernières années, c’est le « stage » préalable que les futurs Présidents de la République effectuent à la banque Rothschild.
    Rappelons qu’avant Emmanuel Macron, Georges Pompidou, à qui nous devons la loi du 3 janvier 1973 qui modifie les statuts de la Banque de France et donne le coup d’envoi d’une dette qui n’aura de cesse d’augmenter exponentiellement et, ainsi, de vampiriser toutes les richesses nationales produites, a été Directeur Général de la banque Rothschild.
    BLOG



  • 1 vote
    Étirév 10 novembre 2022 10:16

    Madame Rivasi qui, en tant que Député européen participe de la gabegie, à la fois de l’UE et des « Vers » qui sont dans le fruit pourrissant de la politique, est soit une grande naïve, soit totalement malhonnête en posant cette question démagogique.
    Naïve car, pour une politicienne professionnelle comme elle, ne pas savoir que les Commissaires européens sont nommés (non élus) à la Commission européenne par les chefs d’État ou de gouvernement des États membres, c’est-à-dire en réalité par les actionnaires des multinationales et les banquiers qui ont financé leurs campagnes, et sont donc sous le contrôle de l’oligarchie, dans leurs pays respectifs, c’est être à la limite de la bêtise.
    Malhonnête, si elle sait ce qui vient d’être écrit.
    BLOG



  • vote
    Étirév 9 novembre 2022 09:19

    « Hors de la foi point de salut », a-t-on dit. Nous répétons aujourd’hui : « Hors de la foi scientifique pas de salut ».
    Nous devons croire à la raison d’être des choses, pour les accepter. Sans cette condition première : la foi, rien ne peut entrer dans l’esprit des hommes.



  • 1 vote
    Étirév 8 novembre 2022 12:58

    Au commencement était la Forêt.
    Là où elle s’arrêtait, il y avait la mort.



  • 1 vote
    Étirév 4 novembre 2022 07:50

    Il règne parmi les hommes un formidable malentendu qui entretient la discorde entre eux et qui provient de ce que, aujourd’hui, la vérité a deux faces.
    Vue d’un côté elle est grande, simple, elle a la forme que la science moderne tend à lui rendre ; de l’autre elle est défigurée, altérée, méconnaissable : c’est la tradition.
    Ceux qui la voient sous la première face nient la seconde, ceux qui n’ont pas encore « découvert » la science et ne savent pas qu’elle est le chemin de toute vérité, refusent d’abandonner l’ancienne forme qu’ils donnent à leurs idées.
    Et, cependant, tous partent du même point de départ et vont vers le même but et la querelle qui les divise ne réside que dans les mots.
    DIEU ?



  • 7 votes
    Étirév 28 octobre 2022 16:24

    « Macron marionnette de Rothschild ? »
    Evidemment, mais il n’en a pas la primeur.
    En effet, Georges Pompidou, arrivé au pouvoir suprême en 1969, après la démission de Charles de Gaulle, était également un ex-employé de la banque Rothschild.
    On constate donc que le véritable pouvoir n’a guère évolué en 50 ans, ce qui, en définitive, est la seule chose réellement stable dans ce pays.
    Rappelons que c’est sous la présidence de G. Pompidou qu’a été pondue la loi du 3 janvier 1973, également appelée « loi Pompidou-Giscard » ou encore « loi Pompidou-Giscard-Rothschild » (reprise, systématisée et aggravée depuis par l’article 123 du TFUE ; Traité sur le Fonctionnement de l’Union Européenne), qui modifie les statuts de la Banque de France et donne le coup d’envoi d’une dette qui n’aura de cesse d’augmenter exponentiellement et, ainsi, de vampiriser toutes les richesses nationales produites.
    Aussi, depuis 1974, plus aucun budget de l’état n’a été à l’équilibre.
    Macron sous Hollande : Rappelons-nous l’hypocrisie des propos tenus par François Hollande en janvier 2012, à l’occasion du meeting du Bourget, lors du discours fondateur de sa campagne présidentielle : « Mon véritable adversaire, il n’a pas de nom, pas de visage, pas de parti, il ne présentera jamais sa candidature, il ne sera jamais élu et pourtant il gouverne. Cet adversaire, c’est le monde de la finance  ».
    Pendant que François Hollande terminait son discours, le jeune Emmanuel Macron, futur Secrétaire général adjoint du cabinet du Président Hollande, mais encore banquier d’affaires chez Rothschild & Cie à ce moment-là, était à la City de Londres pour confirmer à ce « monde de la finance » que les mots de Hollande n’avaient pour but que de « rassurer » les électeurs, et qu’il n’était évidemment pas sur une ligne « dure » contre la finance (ça semblait évident avec « Flamby »).
    Suite...



  • 7 votes
    Étirév 28 octobre 2022 12:17

    Au risque de nous répéter, rappelons que, dans le contexte actuel d’assujettissement quasi total des États au « phénomène économique globaliste », les instances juridictionnelles, qu’elles soient internationales (Tribunal Pénal International), européennes (Parquet Européen), ou même nationales (Haute Cour de Justice de la République), sont, par nécessité, soumises à la dérive du phénomène politique étatique : ils rendent, en raison du déséquilibre des forces entre les États et les multinationales aidées de leurs marionnettes gouvernementales complices, des jugements forcément biaisés en faveur des seconds : les plus gros intérêts financiers y remportent systématiquement la mise.
    Donc, au lieu de sottement, voir hypocritement, faire croire au peuple (au « troupeau sauvage » comme disait Walter Lippman) qu’il existe encore une Justice digne de ce nom, il serait plus judicieux de lui faire remarquer que tout ce qui lui arrive est sa responsabilité puisque, en dernier instance, c’est son choix, son vote, par l’intermédiaire du suffrage universel, cet outil qui donne l’illusion de la démocratie, que ses élites corrompues arrivent au pouvoir.
    Sortir de l’ignorance est le premier pas à faire pour sortir de la cage dans laquelle une poignée de dégénérés et leurs complices tentent, par tous moyens, de vous enfermer ad vitam æternam.
    LIEN



  • vote
    Étirév 27 octobre 2022 07:32

    Giorgia Meloni en bon agent de l’oligarchie fait croire au naïfs et autres crédule qu’il y a encore une justice pour les gueux, pour la plèbe.
    Précisons que, dans le contexte actuel d’assujettissement quasi total des États au « phénomène économique globaliste », les instances juridictionnelles internationales, du type TPI (Tribunal Pénal International) et Parquet Européen, voire même les juridictions nationales, sont, par nécessité, soumises à la dérive du phénomène politique étatique : ils rendent, en raison du déséquilibre des forces entre États et multinationales, des jugements forcément biaisés en faveur des seconds : les plus gros intérêts financiers y remportent systématiquement la mise.
    NB : Giorgia Méloni est membre de l’« Aspen Institute » comme Silvio Berlusconi, comme l’ancien « Rockefeller » italien et patron de la multinationale FIAT, Gianni Agnelli, et comme l’étaient ou le sont Robert McNamara, Jacques Delors, Samuel Huntington, Zbigniew Brzezinski, Henry Kissinger ou Georgij A. Arbatov du cercle restreint des anciens conseillers de M. Gorbatchev.
    « L’Aspen Institute for Humanistic Studies », auquel appartiennent ou appartenaient aussi les Italiens Francesco Cossiga (Président de la République de 1985 à 1992), Romano Prodi (ex-Président de la Commission Européenne de 1999 à 2004), naquit en 1949 dans le Colorado, grâce à Robert M. Hutchins, haut dignitaire de la maçonnerie britannique, président de l’université Rockefeller de Chicago, directeur de la Fondation Ford dans les années cinquante, qui fut impliqué dans les années Soixante dans un trafic de drogue. En effet, Hutchins était en rapport avec Aldous Huxley avec lequel il collabora activement en entreprenant un programme pour l’étude des effets des drogues. Sous le prétexte d’« études humanistes » et sous la direction savante des initiés du R.I.I.A. et de la « Fabian Society », bastions des mondialistes, l’Aspen a réussi à coopter des personnalités du monde politique et industriel pour les orienter vers des analyses et des prospectives « globales », des lois mondialistes au sens technocratique, pour ensuite les faire insérer dans les programmes de gouvernement de leurs pays respectifs, réussissant ainsi à constituer un réseau qui relie à l’échelle internationale les classes dirigeantes des différents pays. Le chef de l’Aspen Institute a été longtemps Robert O. Anderson, ancien secrétaire au Trésor américain, l’un des directeurs du C.F.R., membre du Bilderberg et de la Trilatérale, et dirigeant de la multinationale du pétrole Atlantic Richfield Corporation (A.R.C.O.). Les thèmes obligés, jusqu’à il y a quelques années, étaient : l’Union Européenne, les financements pour les pays de l’Est et l’ex-Union Soviétique, propositions et solutions pour conférer un plus grand pouvoir aux Nations Unies et à ses organismes.
    LIEN



  • 9 votes
    Étirév 26 octobre 2022 07:51

    Est-il utile de rappeler que Le Président de la Commission Européenne, tout comme les autres Commissaires, sont nommés (non élus) à la Commission européenne par les chefs d’État ou de gouvernement des États membres, c’est-à-dire en réalité par les actionnaires des multinationales et les banquiers qui ont financé leurs campagnes, et sont donc sous le contrôle de l’oligarchie, dans leurs pays respectifs.
    C’est ainsi que, la « Commission » aux ordres oligarchiques peut rappeler à l’ordre (financier) les États qui auraient eu des velléités de déroger à leur propre sabordement. Ce sabordement est, notons-le, « librement » consenti par les États qui s’interdisent, par leur adhésion aux Traités constitutifs scélérats de l’Union Européenne, toute capacité de défendre et de protéger leurs propres ressortissants, personnes physiques ou morales.
    Donc, au lieu de, hypocritement ou sottement, appeler à la destitution d’Ursula Von der Leyen, il serait plus judicieux de s’apercevoir que c’est, à la base, le régime de l’élection au suffrage universel qui permet à toutes nos élites corrompues de se voir ouvrir les portes du pouvoir.
    C’est donc à cause des électeurs si de tels individus arrivent au pouvoir ; c’est en raison de leur ignorance, de leur incompréhension et aussi de leur bêtise que cette situation perdure et même s’aggrave au fil du temps.
    LIEN



  • 1 vote
    Étirév 14 octobre 2022 07:47

    Dieu existe-t-il ? OUI !
    Y a-t-il des preuves de son existence ? ET COMMENT !
    DIEU ?



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    Étirév 29 septembre 2022 13:10

    À propos de la guerre de Sécession, qui n’a réglé aucun des problèmes américains et surtout pas la question noire (on a pu encore s’en rendre compte récemment), nous aurions tort de réduire ce conflit Nord-Sud à une lutte simpliste, c’est-à-dire entre adversaires et partisans de l’esclavage, ainsi que les « vainqueurs » tentent, par tous les moyens de nous le faire croire depuis des années. Rappelons simplement que l’étendard de la Confédération, le Stars and Bars, comportait treize étoiles représentant chacun des douze états du Sud, la treizième correspondait à la nation indienne constituée par la totalité des tribus qui, en quelque sorte, étaient venues chercher refuge auprès des « affreux esclavagistes » du Sud, afin d’échapper au génocide des « généreux libérateurs » Nordistes.
    Les indiens d’Amérique, bien avant certains, avaient compris que les « Yankees » (les anglo-saxons) représentaient avant tout et par-dessus tout, une civilisation mercantile et cynique, basée sur le profit à n’importe quel prix : la civilisation « rapace » de l’aigle pygargue, devenu depuis l’emblème national des USA.
    « L’Amérique allait naître de ce conflit (la guerre de Sécession) dans lequel sombrerait une civilisation... Mais le Nord vainqueur demeure l’ennemi haï et défié, dans la mesure où il représente une civilisation mercantile, basée sur le profit, par opposition à la civilisation aristocratique du Sud, basée sur l’honneur. » (James Mc Pherson, La guerre de Sécession)
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    Étirév 29 septembre 2022 08:14

    Ceux qui croient toujours à la réalité de l’ancienne « guerre froide » entre l’Est et l’Ouest et autre multipolarité géopolitique actuelle vont être bien déçus dans quelques temps.
    La rivalité entre l’Est et l’Ouest fait partie des manipulations des globalistes passés « maître » dans la « gestion des contraires » propres aux organisations malfaisantes et secrètes de ce bas-monde.
    Est-il utile de rappeler que, d’un point de vue économique, le Capitalisme monopolistique et le Socialisme sont tous deux les ennemis de la libre concurrence, car la concurrence et les forces du marché, lorsqu’elles ne sont pas « concentrées » dans les mêmes mains, permettent à d’autres de prospérer et, surtout, d’être indépendants. Un gouvernement communiste peut organiser le contrôle social de manière à garantir et à protéger la concentration de la richesse ; le gouvernement communiste peut donner à des cartels le contrôle des matières premières et des marchés, et leur accorder de gros contrats et s’endetter à l’infini auprès d’eux. Chaque secteur de l’économie étant, in fine, contrôlé par une poigné de cartels.
    Rappelons également que l’OTAN (Organisation du Traité de l’Atlantique Nord) créée en 1949, sous commandement américain officiel, est en réalité une « force » qui a été créée sous l’impulsion des globalistes anglais (« Société Fabienne » en tête) sous la poussée d’une prétendue menace Soviétique.
    NB : Yann Moncomble nous fait remarquer « les étranges alliances entre le CFR (Council on Foreign Relations), la « Commission Trilatérale » et les dirigeants du Kremlin... mais, ajoute-t-il, le public doit ignorer cet état de fait. Il faut qu’il continue de croire à l’opposition farouche Communisme-Capitalisme. » (La Trilatérale et les secrets du mondialisme).
    À la fin des années 90, Zbigniew Brzezinski, ex-président et co-fondateur de la « Trilatérale » avec D. Rockefeller, déclarait à la revue Encounter : « un moment arrivera où il sera possible d’exercer une surveillance sur chacun des citoyens du monde entier » (Proximo Milenio, n°42, décembre 1996, pp. 56-60).
    Relevons en passant que la majorité des banques et firmes associées à l’URSS de 1919 à 1945, sont celles qu’on retrouve, sous des noms parfois modifiés, au sein de la « Commission Trilatérale ».
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  • 2 votes
    Étirév 28 septembre 2022 11:15

    D’après « Lecture Françaises » d’avril 2001, à partir de 1989, le bureau des Nations Unies du Haut-Commissariat pour les réfugiés a été la centrale qui a orchestré les migrations de masse des musulmans nord-africains en Europe et des slaves des pays de l’Est. Ainsi a-t-il été assigné à la France un quota de 24 millions d’émigrants qui en effaceront littéralement le visage et l’histoire. Les États ont même changé leurs lois pour accepter un afflux massif et rarement contrôlé d’extra-communautaires sur leurs territoires.
    On comprend que, afin de transformer le modèle d’assimilation culturelle et d’adoption totale de la culture française selon la République « Une et Indivisible », qui « assure l’égalité devant la loi de tous les citoyens sans distinction d’origine, de race ou de religion », par un multiculturalisme, libéral, forcé, diviseur et communautaire, selon le modèle anglo-saxon, et conduisant à toute une kyrielle de malheurs sociaux, culturels, économiques et politiques, individuels ou collectifs, l’action antiraciste est l’une des sphères d’action du mondialisme.
    NB : SOS Racisme », est une association créée en 1984, dont on trouve l’origine dans des cercles proches du Parti socialiste ; ses fondateurs et parrains sont (entre autres) Julien Dray, Bernard-Henri Lévy, Marek Halter et Harlem Désir. Le nom de l’organisation, en lui-même, est un paradoxe, presque une provocation : « SOS racisme ». Appelle-t-on le mal au secours ? Serge Malik, l’un des fondateurs du mouvement (qui en démissionnera), a écrit un livre intitulé « Histoire secrète de SOS Racisme » dans lequel il dénonce une instrumentalisation politique de l’antiracisme à travers « SOS Racisme ».
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    Étirév 27 septembre 2022 09:04

    « Je suis une femme et pourtant... je ne suis pas féministe »
    Il y a (peut-être) une explication à cela.
    Dans son ouvrage « Initiation féminine et initiations de métier, Études Traditionnelles », nous fait remarquer que dans la Franc-Maçonnerie moderne dite « Spéculative » datant du XVIIIème siècle (à ne pas confondre à la Maçonnerie ancienne dite « Opérative » bien plus ancienne), nous trouvons l’existence d’une « Maçonnerie mixte », ou « Co-Masonry », comme elle est appelée dans les pays de langue anglaise, qui représente tout simplement une tentative de transporter, dans le domaine initiatique, qui devrait encore plus que tout autre en être exempt, la conception « égalitaire », si chère au monde moderne et tellement indissociable de la démocratie, qui, se refusant à voir les différences de nature qui existent entre les êtres, en arrive à attribuer aux femmes un rôle proprement masculin, et qui est d’ailleurs manifestement à la racine de tout le pseudo « féminisme » contemporain.
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    Étirév 23 septembre 2022 08:21

    LE SAINT SUAIRE DE JÉSUS
    Le succès obtenu par la légende de Véronique et de l’image de Jésus, qui, depuis plus d’un siècle, était devenue populaire et avait passé par la crédulité publique pour Une vérité acquise, eut un résultat qui était à prévoir ; il suscita des imitateurs, et, comme toujours, les derniers venus allèrent plus loin que leurs devanciers. Ce ne fut plus seulement la face de Jésus qu’on prétendit avoir dans une empreinte ; on imagina de représenter son corps tout entier, imprimé sur un linceul, et on créa le Saint Suaire du Sauveur.
    On se préoccupait peu à ce moment de la vérité historique ; on n’avait même pas l’idée de consulter les Évangiles, et l’idée qu’on pouvait se mettre en opposition avec les textes ne pénétrait même pas dans les esprits.
    En effet, l’Évangile de saint Jean dit ceci :
    « Simon Pierre entra dans le sépulcre et vit les linceuls posés à terre et le suaire qui avait couvert la tête, séparé des linceuls et plié à part. »
    Si le suaire couvrait seulement la tête, comment porterait-il l’image du corps ?
    Mais les faussaires ne pensent pas à tout. Voici l’histoire de cette relique :
    Le 20 juin 1353, Geoffroy 1er de Charny, chevalier, seigneur de Savoisy et de Lirey, fonde et dote la collégiale de Lirey (Aube) et offre à l’église des présents où, parmi des vases précieux et autres reliques, se trouve une image ou représentation du suaire de Notre-Seigneur Jésus-Christ, dont l’ostension attire bientôt de tous côtés les pèlerins et les aumônes.
    Quelque temps après, nous voyons l’évêque de Troyes s’émouvoir de l’état de choses, qui commence à donner lieu à la légende. Et ici nous assistons à une lutte fort curieuse des chanoines de Lirey, en guerre contre leurs évêques, qui successivement interdisent l’exhibition pompeuse destinée à tromper la population sur la nature de l’image. Les théologiens réunis en conseil reconnaissent une peinture habile et font en outre cette observation : si le Sauveur avait réellement imprimé sa face et son corps sur le linge qui l’enveloppait, comment les évangélistes auraient-ils omis de mentionner un tel événement ?
    Cependant, le chapitre de Lirey ne se tient pas pour battu ; un messager envoyé à la cour d’Avignon rapporte l’autorisation donnée par Clément VII d’exposer publiquement le Saint Suaire malgré la défense de l’évêque.
    Pierre d’Arcis écrit alors au roi de France. Et bientôt le bailli de Troyes, au nom du Parlement de Paris, commande au doyen et à ses chanoines de livrer le drap. Ils refusent et font appel au pape. L’évêque en fait autant dans un mémoire très curieux où il établit la vérité. Tout ceci se passe en l’an 1389.
    Le pape répond par quatre bulles, dont la première est décisive, puisqu’elle ordonne à quiconque exposera le Suaire de proclamer à haute et intelligible voix que cette image ou représentation n’est pas le vrai suaire de N.-S. J.-C, mais seulement une peinture, un tableau qui le figure ou représente. Si la conviction de Clément VII n’était pas faite avant, il est certain que le mémoire de l’évêque suffit à l’éclairer. Ce mémoire atteste un fait très important : l’aveu du peintre lui-même. Dans la minute originale qui existe dans les manuscrits de la Bibliothèque Nationale (collection de Champagne), se trouve cette phrase :
    « Et enfin, à la suite d’un examen attentif et d’une enquête diligente, il a découvert la fraude et reconnu par quel procédé l’étoffe avait été peinte. L’aveu même de l’artiste, auteur de la peinture, confirma qu’elle avait été exécutée de main d’homme et non par l’effet d’un miracle. »
    Ce qui est certain, du reste, c’est que les chanoines de Lirey n’ont jamais, en aucune occasion, invoqué l’authenticité du suaire et de l’image. Ce qu’ils veulent, c’est le droit de la représentation solennelle ; et, pour le reste, ils se contentent de laisser croire le peuple.
    Après la bulle de Clément VII, l’éclat de la relique pâlit et s’éteint. Vingt-huit années se passent. Des bandes de pillards désolent alors le pays. Effrayés, les chanoines confient au comte Humbert, petit-fils du donateur, le trésor de leur église. Ils le réclament vingt-cinq ans plus tard par la voie légale, parce que, le comte étant mort dans l’intervalle, sa veuve Marguerite allègue que le reçu de son mari ne la concerne pas et refuse de le leur rendre. Elle est assignée devant le Parlement de Dôle. Pour éviter les frais, on transige : Marguerite rend les objets, sauf le suaire qu’on lui permet de garder trois ans en échange d’une rente annuelle de douze francs. Après trois ans, nouveau refus. Nouveau procès. Ils se multiplièrent du reste dans la vie de cette singulière et audacieuse Marguerite de Charny. Les procès se suivent. Chaque fois, C’est une demande nouvelle de sursis avec des promesses qu’elle ne tient pas. Avant l’expiration du dernier délai, nous la voyons promener sa relique en Hainaut et en tirer de belles sommes d’argent. C’est même à ce moment que deux professeurs en théologie envoyés par Jean de Heinsberg, évêque de Liège, ému du bruit causé par le linceul, obligent Marguerite de Charny à leur montrer les trois bulles de Clément VII qu’elle porte sur elle avec un induit de Pierre de Luna, témoignant que le suaire n’est qu’une représentation. Le terme d’octobre 1449 est écoulé. Marguerite ne revient pas, naturellement. L’affaire vient devant le prévôt de Troyes, et, cette fois, la dame de Lirey trouve le moyen d’obtenir un dernier sursis en faisant verser une somme annuelle aux chanoines par son frère. Puis nous la retrouvons en Savoie, où elle cède au duc Louis 1er et à sa femme Anne de Lusignan le suaire des chanoines. Disons tout de suite que, menacée et condamnée enfin par l’official de Besançon, Marguerite de Charny meurt sans se soumettre.
    Cent trente années s’écoulent. En 1578, saint Charles Borromée quitte Milan pour se rendre à pied jusqu’à Chambéry, devant l’image qui se trouve dans la Sainte Chapelle. Mais le duc et la duchesse (Emmanuel-Philibert et Marguerite de France), pour lui éviter la moitié du voyage, obtiennent de l’évêque de Maurienne, doyen de la Chapelle, d’envoyer à Turin, pour peu de temps, la relique ; ce qui a lieu. C’est en vain que le doyen la réclama ensuite ; jamais le duc ne voulut la faire reprendre, assurant qu’elle « ne serait pas en sûreté à Chambéry ». Et c’est ainsi que le suaire demeura à Turin jusqu’à nos jours.
    Le suaire apparaît pour la première fois en 1353. Et ceci déjà est significatif. Personne, jusqu’à présent, n’a pu en trouver trace avant cette date, pour le motif plausible qu’il fut fabriqué à cette époque. Il est difficile, en effet, à notre raison de comprendre comment, au moyen âge, un objet sacré d’une telle valeur pouvait avoir passé inaperçu, quand, au IVème siècle, nous trouvons un si grand nombre de « vraies » croix, et que sainte Hélène n’élève pas moins de trois chapelles pour célébrer celle qu’on découvrit pour elle à son arrivée à Jérusalem.
    Grâce aux intéressants travaux de deux savants chanoines, l’abbé Lanore et l’abbé Ulysse Chevalier, ce dernier, correspondant de l’Institut, ne consacra pas moins de trois ouvrages, lumineusement précis et documentés, à l’étude des dossiers du suaire de Turin, nous pouvons suivre les aventures de la relique depuis son apparition jusqu’à ce jour, et cela, chose rare, sans arrêt ni lacune.
    LIEN



  • 3 votes
    Étirév 22 septembre 2022 10:13

    « Si l’on permet le déclenchement de la Troisième Guerre Mondiale, la dévastation sera si considérable que les Internationalistes en arriveront à prétendre que seul un Gouvernement Mondial soutenu par une force de police internationale permettra de résoudre les différents problèmes nationaux et internationaux, rendant impossible de nouvelles guerres. Cet argument paraîtra logique à de nombreuses personnes qui oublient toutefois que les dirigeants communistes Orientaux et les dirigeants capitalistes Occidentaux ont l’intention de mettre à exécution en dernier lieu leurs idées de Dictature Athée-Totalitaire. » (W.G. Carr, « Des Pions sur l’Échiquier »)

    De manière générale, la stratégie des mondialistes consiste à créer un problème, afin d’apporter, ensuite, la solution préparée d’avance par leurs soins.
    Blog



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    Étirév 16 septembre 2022 14:30

    « L’Egypte est la terre classique de la Gynécocratie », dit Bachofen, « sa civilisation repose en principe sur la préférence d’Isis à Osiris ».
    Osiris est le Dieu de la mort, mais la mort qu’il symbolise est d’abord celle de l’âme, si bien expliquée dans la primitive religion égyptienne ; on en fait, plus tard, la mort du corps, et Osiris devient le Dieu des morts (1).
    Tout mort est appelé un Osiris.
    Ce Dieu est symbolisé par un taureau Apis (Hapi). C’est sous cette forme que sur de très anciens monuments on trouve Osiris représenté. Apis mort s’appelait Osor-Apis, nom dont les Grecs font Sérapis.
    C’est du reste cet animal qui symbolise le rôle mâle dans la génération.
    Strabon dit : « Apis est le même qu’Osiris ».
    Le Sérapeum était le nom de la tombe d’Apis.
    Le Sérapeum égyptien fut construit par Aménophis III, il avait contenu 64 taureaux.
    Les monuments représentent Apis-Osiris sous la forme d’un taureau, la tête surmontée du disque et de l’uraeus (aspic qui se dresse sur le front des Dieux et des Rois et qui représente le mauvais esprit) ; il a des taches noires sur le flanc, un triangle au front, et parfois une tache en forme de croissant sur le poitrail ; sur la housse frangée qui orne son dos est un vautour aux ailes déployées.
    (Le bœuf Apis. C’était le dieu principal de Memphis. D’après un stèle ou colonne du Sérapeum à Memphis, il est représenté portant entre les cornes l’image du soleil, avec le serpent Uraeus, signe de la divinité.)
    Pourquoi ce culte ?
    Quand arriva la réaction contre la religion Théogonique, on institua le culte d’Apis par fanfaronnade, pour narguer la Femme qui avait comparé l’homme fort au taureau ! Alors (2) un taureau vivant représentait le Dieu mâle. Lorsqu’il mourait, on l’enterrait magnifiquement et le pays était plongé dans le deuil jusqu’à l’apparition d’un autre taureau divin. Et des historiens modernes, pour expliquer ce culte, nous diront qu’Osiris apprit aux hommes à labourer et à soigner le bétail !
    M. Mariette a découvert, auprès de l’emplacement de Memphis une nécropole où furent successivement enterrés des Apis, « depuis la 18ème dynastie jusqu’à la fin de la domination grecque », dit-il. Sur les monuments qu’il a découverts, Apis est appelé « Nouvelle vie de Ptah ».
    Or Ptah, c’était la puissance cosmique, le rayonnement solaire personnifié par la Femme-Déesse, comparée au Soleil parce qu’elle possédait en Elle l’esprit qui éclaire ; on avait fait de cet Apis-Ptah le Dieu suprême de Memphis. Plus tard on lui donnera le corps d’un homme.
    Mais d’abord ce principe solaire est donné au taureau. Voilà donc un culte né d’une ironie. Mais ce n’est pas tout.
    C’est la Déesse, maintenant, qui va, à son tour, être représentée, sous la figure d’un taureau, par vengeance masculine. C’est encore un résultat du curieux phénomène psychique de la réflexion sexuelle, si fréquent à cette époque de l’histoire.
    A Héliopolis, c’est Râ, l’ancienne Déesse (Rhea anagramme de Héra), qui est représentée par le taureau Mnevis.
    Abydos est la nécropole la plus célèbre de l’Egypte. C’est là qu’un égyptologue français, M. Amélineau, a fait exécuter des fouilles pour retrouver les tombeaux des premiers rois d’Egypte et celui même d’Osiris, nous disent des savants modernes.
    C’est comme si on prétendait avoir trouvé les tombeaux de Jupiter ou d’Apollon.
    (1) Les savants modernes ont accepté consciemment ou inconsciemment le symbolisme des Prêtres. C’est pour cela que leur « Histoire » a si peu de valeur
    (2) Les Grecs et les Romains attestent que les Égyptiens étaient enclins à la satire et que leur esprit très mordant, très emporté, leur aurait fait sacrifier leur fortune au plaisir de lancer une épigramme. Certaines images inconvenantes du kiosque de Médinet-Habou, et les caricatures intraduisibles d’un papyrus de Turin continuent ces appréciations. Il existe un curieux passage de Flavius Vopiscus (Edit Peter, II, 208, cap. VII) où il compare ce peuple aux Gaulois.
    LIEN



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    Étirév 16 septembre 2022 08:34

    Pourquoi, en 2007, et à peine élu, Nicolas Sarkozy s’est assit royalement sur le sur le « NON » des français au référendum sur le Traité Constitutionnel de 2005, en validant directement lui-même (s’était plus vite fait) le Traité (scélérat) de Lisbonne, sa copie quasi-conforme ?
    Réponse : Dans le contexte du mandat représentatif, le véritable pouvoir échoit de façon opaque, anonyme, à ceux qui financent les partis politiques. En effet, le parti qui gagne les élections, et plus généralement « les partis dits de pouvoir » détiennent en réalité les rênes du pouvoir législatif et du pouvoir exécutif, le pouvoir de l’ordre judiciaire étant marginal car largement dépendant du pouvoir exécutif. Il en résulte que la séparation des pouvoirs est, structurellement, une apparence contraire à la réalité : alors que l’apparence prévoit des pouvoirs séparés, la réalité donne tous les pouvoirs, sans aucun contrepouvoir institutionnel, aux seuls « fournisseurs de capitaux », c’est-à-dire aux entités qui financent les partis politiques lors de perpétuelles élections.
    La séparation des pouvoirs telle qu’institutionnellement comprise, alliée au mandat représentatif est, en réalité, une stratégie utilisée par les « puissances d’argent » pour prendre le pouvoir politique à l’intérieur des pays. C’est cette prise de contrôle institutionnelle, à l’intérieur des États européens, qui a permis l’avènement de l’Union Européenne en tant qu’institution. Les institutions européennes ont été, historiquement, faites par et pour les multinationales ; non pour le commerce en général, mais plus précisément pour le commerce des multinationales.
    On comprendra donc un peu mieux comment l’inepte obligation que s’impose l’Etat (corrompu) d’acheter des "vaccins" jusqu’en 2023.
    Les Traités européens, tels les traités de Maastricht (1992) ou de Lisbonne (2007), qui ne sont que la formalisation politique de cette capture des règles d’organisation des peuples par des intérêts privés, s’opposent à toute possibilité de « patriotisme économique » de la part d’États qui ne doivent jamais privilégier leurs propres entreprises « nationales ». Cette interdiction est sanctionnée, institutionnellement et financièrement, par l’interdiction générale des « aides de l’État » ainsi que par les « recours en manquement » à disposition de la « Commission européenne » pour faire condamner les États réfractaires à appliquer les règles de l’Union. Rappelons que les Commissaires sont nommés (non élus) à la Commission européenne par les chefs d’État ou de gouvernement des États membres, c’est-à-dire en réalité par les actionnaires des multinationales et les banquiers qui ont financé leurs campagnes, et sont donc sous le contrôle de l’oligarchie, dans leurs pays respectifs. La « Commission » aux ordres oligarchiques peut ainsi rappeler à l’ordre (financier) les États qui auraient eu des velléités de déroger à leur propre sabordement. Ce sabordement est, notons-le, « librement » consenti par les États qui s’interdisent, par leur adhésion aux Traités constitutifs scélérats de l’Union Européenne, toute capacité de défendre et de protéger leurs propres ressortissants, personnes physiques ou morales.
    NB : Dans « Media Control : The Spectacular Achievements of Propaganda », Noam Chomsky explique que dans la société démocratique les citoyens sont divisés en deux grandes classes : l’étroite classe spécialisée, celle à qui revient la gestion des affaires générales, et les autres, c’est-à-dire la grande majorité de la population, que Walter Lippmann désignait par l’expression de « troupeau sauvage ». Noam Chomsky souligne que le « troupeau » n’est consulté qu’en période électorale pour entretenir chez les « moutons » l’impression de vivre en démocratie et non pas dans un état totalitaire. Une fois que la classe spécialisée est élue, le « troupeau » redevient spectateur, et même, il reste stupide, obéissant et passif, et on le traite à nouveau comme un gamin de trois ans, irresponsable par définition et incapable de connaître ce qui est bon pour lui.
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    Étirév 14 septembre 2022 08:11

    À ceux qui veulent combattre la Franc-Maçonnerie, sachez, tout d’abord, ne pas confondre Maçonnerie moderne dite « spéculative », issue de la rédaction des Constitutions de la Grande Loge d’Angleterre publiées en 1723, et Maçonnerie ancienne dite « opérative » qui trouve son origine dans les « Mystères ».
    La Franc-Maçonnerie est d’origine hébraïque (les Mystères de Jérusalem), tous les mots de passe sont des vocables hébreux, ses légendes sont tirées de l’histoire du peuple d’Israël. Cependant, Joseph de Maistre, dans « Mémoire au duc de Brunswick » (1782), précise ceci : « Tout annonce que la Franc-Maçonnerie vulgaire est une branche détachée et peut-être corrompue d’une tige ancienne et respectable. ».
    C’est bien ainsi qu’il faut envisager la question, car on a trop souvent le tort de ne penser qu’à la Maçonnerie moderne, sans réfléchir que celle-ci est simplement le produit d’une déviation, et d’une dégénérescence au sens d’un amoindrissement consistant dans la négligence et l’oubli de tout ce qui est « réalisation » du point de vue initiatique. Les premiers responsables de cette déchéance, à ce qu’il semble, ce sont les pasteurs protestants, Anderson (*) et Desaguliers, qui rédigèrent les Constitutions de la Grande Loge d’Angleterre, publiées en 1723, et qui firent disparaître tous les anciens documents de l’ancienne « Maçonnerie opérative » (Old Charges) sur lesquels ils purent mettre la main, pour qu’on ne s’aperçût pas des innovations qu’ils introduisaient, et aussi parce que ces documents contenaient des formules qu’ils estimaient fort gênante. Ce travail de déformation, les protestants l’avaient préparé en mettant à profit les quinze années qui s’écoulèrent entre la mort de Christophe Wren, dernier Grand-Maître de la Maçonnerie ancienne (1702), et la fondation de la nouvelle Grande Loge d’Angleterre (1717). Cependant, ils laissèrent subsister le symbolisme, sans se douter que celui-ci, pour quiconque le comprenait, témoignait contre eux aussi éloquemment que les textes écrits, qu’ils n’étaient d’ailleurs pas parvenus à détruire tous, puisqu’on connaît une centaine de manuscrits sur lesquels ils n’avaient pu mettre la main et qui ont échappé à la destruction.
    Voilà, très brièvement résumé, ce que devraient savoir tous ceux qui veulent combattre efficacement les tendances de la Maçonnerie actuelle, bien qu’il y a eu ultérieurement une autre déviation dans les pays latins, celle-ci dans un sens antireligieux, mais c’est sur la « protestantisation » de la Maçonnerie anglo-saxonne qu’il convient d’insister en premier lieu.
    De plus, dans la Franc-Maçonnerie moderne, nous trouvons l’existence d’une « Maçonnerie mixte », ou « Co-Masonry », comme elle est appelée dans les pays de langue anglaise, qui représente tout simplement une tentative de transporter, dans le domaine initiatique lui-même qui devrait encore plus que tout autre en être exempt, la conception « égalitaire », si chère au monde moderne, qui, se refusant à voir les différences de nature qui existent entre les êtres, en arrive à attribuer aux femmes un rôle proprement masculin, et qui est d’ailleurs manifestement à la racine de tout le « féminisme » contemporain.
    (*) Au sujet d’Anderson, un journal, en annonçant sa mort en 1739, le qualifia de « très facétieux compagnon », ce qui peut se justifier par le rôle suspect qu’il joua dans le schisme spéculatif et par la façon frauduleuse dont il présenta sa rédaction des nouvelles Constitutions comme conforme aux documents « extraits des anciennes archives » ; A. E, Waite a écrit de lui qu’« il était surtout très apte à gâter tout ce qu’il touchait » ; mais sait-on que, à la suite de ces événements, certaines Loges opératives allèrent jusqu’à prendre la décision de n’admettre désormais aucune personne portant le nom d’Anderson ?
    Quand on songe que c’est là l’homme dont tant de Maçons actuels se plaisent à invoquer constamment l’autorité, le considérant presque comme le véritable fondateur de la Maçonnerie, ou prenant tout au moins pour d’authentiques landmarks tous les articles de ses Constitutions, on ne peut s’empêcher de trouver que cela n’est pas dépourvu d’une certaine ironie…
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    Étirév 2 septembre 2022 09:29

    Il y a partout de nombreux croyants, des millions de personnes croient en Dieu et y trouvent leur consolation.
    Tout d’abord, pourquoi croyez-vous ? Vous croyez parce que cela vous donne du contentement, une consolation, un espoir, et cela donne aussi un sens à la vie. En fait, votre croyance n’a que très peu de valeur, parce que vous croyez en un Dieu universel et vous vous assassinez les uns les autres. Le riche, lui aussi, croit en Dieu ; il exploite cruellement, accumule de l’argent et bâtit ensuite un temple ou devient un philanthrope.
    Ceux qui ont lancé la bombe atomique sur Hiroshima disaient que Dieu était avec eux ; ceux qui s’envolaient d’Angleterre pour détruire l’Allemagne disaient que Dieu était leur copilote. Les dictateurs, les premiers ministres, les généraux, les présidents, tous parlent de Dieu ; ils ont une foi immense en Dieu. Sont-ils au service de l’humanité ?
    Ils disent qu’ils croient en Dieu et ils ont détruit la moitié du monde et la misère est partout.
    Cependant, voyons s’il existe pas réellement un principe tout-puissant qui soit à la fois l’origine et la cause de tous les phénomènes de la Nature.
    DIEU ?