@éolienne
Si l’espéranto est ridicule, avec ses trois quarts de radicaux issus du latin, que dire du latino sine flexione, dont tous les mots sans exception viennent de ce berceau ! J’aime beaucoup l’arithmétique de Peano, mais force est de constater que niveau langue il n’était pas au niveau de Zamenhof, dont le père était un grammérien allemand, la mère juive dans un milieu imprégné de langues slaves.
Le problème de la langue de Peano, c’est qu’elle n’a pas vraiment survécu à Peano. Alors que l’espéranto, beaucoup plus facile à apprendre, et déjà doté d’une littérature significative, traverse les décenies dans le contexte difficile de la domination de l’anglo-américain et d’un rationalisme poussé à l’extrême.
Soyons sûrs que dans un contexte de montée des BRICS, l’espéranto va redevenir à la mode.