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Les commentaires de Tuco



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    Tuco Tuco 22 août 2018 17:48

    @Tuco

    "répétables" et non "réparables" (Fichu correcteur orthographique)...



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    Tuco Tuco 22 août 2018 17:47

    @Yaduboulo

    Le "fruit des recherches" ?...

    1. Dans toute l’oeuvre de Sigmund Freud, il n’y a, strictement pas l’ombre du commencement de la moindre preuve valide. C’est-à-dire, d’une preuve extra-clinique et dont la procédure d’administration ait pu être contrôlée selon des conditions initiales de tests réparables de manière intersubjective par d’autres chercheurs. Vous pourrez compulser aussi longtemps que vous voudrez toute l’oeuvre de Freud ou de Lacan, vous ne trouverez, strictement (je souligne), pas l’ombre du commencement de la moindre preuve valide.

    2. La clinique, la méthode clinique, la "situation du divan" ne peuvent, en aucun cas, je souligne encore, constituer des situations épistémiquement valides d’administration d’aucune preuve valide de l’une quelconque des théories de la psychanalyse. A cela, il y a des arguments logiques et épistémologiques rigoureusement imparables, fondés sur l’épistémologie de Karl Popper, et contenus dans des ouvrages comme, "La logique de la découverte scientifique" ; "L’univers irrésolu. Plaidoyer pour l’indéterminisme" ; "La connaissance objective" ; "Le réalisme et la science".

    3. Des psychanalystes, tels Jean Laplanche, ont pourtant affirmé la chose suivante, laquelle n’est qu’une provocation parmi toutes les autres fournies par les psychanalystes en réponse à leurs critiques : "la psychanalyse est scientifique parce qu’elle est réfutable". "Elle est saturée d’énoncés réfutables", ou encore : "Freud fut un poppérien avant la lettre", ou "plus poppérien encore que Karl Popper" ! Ces affirmations signent, sans coup férir la connaissance tout à fait superficielle et partiale de la réfutabilié scientifique selon Popper, laquelle exige trois niveau : la réfutabilité logique ; la réfutabilité empirique ; la réfutabilité méthodologique. Or, il est clair que tout être humain, formule, sans arrêt des énoncés réfutables, cela fait-il de lui un scientifique ? Bien sûr que non. Les psychanlystes comme Jean Laplanche se sont arrêtés à la réfutabilité logique, et ont occulté les deux autres niveaux, absolument indispensables. Pour une revue de question résumée, voir un article, ici : 

    https://antipsyk.blogspot.com/2018/06/la-refutabilite-scientifique.html

    Pour une revue plus détaillée, voir article, ici, du même auteur : 

    https://antipsyk.blogspot.com/2017/08/luc-ferry-recalcitrant-eclaire-nous.html

    4. Le fait qu’il soit démontrable que la psychanalyse n’ait jamais été, n’est pas, et ne peut toujours pas être une science, à l’aide de l’épistémologie de Karl Popper, est très lourd de conséquences pour cette doctrine : l’on démontre avec d’autres arguments qui en sont logiquement inférés, qu’elle est vide, absolument vide, de tout pouvoir de description, d’explication, et à fortiori de prédiction sur des faits qu’elle prétend décrire, expliquer ou prédire, faute de tests valides ayant permis d’en apporter les preuves.

    5. Au jour d’aujourd’hui, personne n’est validement en droit de dire si la psychanalyse est "vraie" (proche de la vérité), ou "fausse", faute de tests qui soient constructibles. Et aucun test n’est en réalité constructible, parce que toute la psychanalyse se fonde sur un postulat ontologique intenable, le postulat d’un déterminisme psychique inconscient, mais prima faciae absolu, en ce qu’il exclut tout hasard et tout non-sens. "L’inconscient" se présente donc comme une "donnée" absolument certaine a priori. Un "socle dur" inébranlable et excluant toute imprécision possible dans ses propres calculs.. Cette théorie exclut donc toute faillibilité, et du même coup toute possibilité d’être testée. Tout test est inutile.

    Pour une revue de ce questions essentielles sur le déterminisme en psychanalyse, voir ici : 

    https://antipsyk.blogspot.com/2015/01/freud-et-le-determinisme-psychique_20.html

    Ici : 

    https://antipsyk.blogspot.com/2015/01/developpements-sur-le-determinisme_20.html

    Et sur le problème du déterminisme et de la certitude, voir ici : 

    https://antipsyk.blogspot.com/2018/01/karl-popper-et-le-probleme-de-la.html

    Et ici : 

    https://antipsyk.blogspot.com/2018/02/liberte.html

    En conclusion : 

    Il est totalement impossible de prétendre avoir "testé" la psychanalyse. Parce que la psychanalyse, n’est pas la psychanalyse, sans ce postulat du déterminisme psychique inconscient, prima faciae absolu.

    En réponse à Saul Rosenzweig, Freud lui-même répondit ceci : "La richesse des observations fiables, relevées au cours de la cure analytique, la rend indépendante de toute mise à l’épreuve expérimentale".

    La recherche clinique ne prouve rien. Ce n’est pas parce je fais l’observation clinique de effets supposés d’une pathologie, ou des effets supposés d’une médication que cela prouve, de manière indépendante, le rôle causal da la pathologie, ou que cela dédouane la médication de l’accusation d’un effet placebo.



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    Tuco Tuco 17 août 2018 17:56

    Cette catastrophe est absolument inadmissible et est sans doute le reflet de l’état délétère dans lequel se trouvent les institutions italiennes, depuis des décennies. A qui la faute ?...


    Elle est sans doute l’indice probant d’un laxisme éhonté qui y règne et dont les italiens, je le pense, auront encore toutes les peines du monde à mettre fin. Souhaitons leur courage, et adressons leurs, toutes nos condoléances pour les malheureuses victimes de cette tragédie honteuse, il faut le dire.





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    Tuco Tuco 17 août 2018 17:54

    "Les peuples n’ont que les dirigeants qu’ils méritent". Dans des pays démocratiques, je suis entièrement d’accord. C’est aussi vrai, il me semble, dans les autres, mais osons dire que l’avis est plus difficile à assumer, et pourtant... je pense finalement que c’est vrai.




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    Tuco Tuco 10 août 2018 13:56

    @ubikand

    J’ai réalisé le diaporama en animant les oeuvres de Geddes, effectivement. Mais j’ai joué la musique. (Je ne suis évidement pas l’auteur des oeuvres picturales).



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    Tuco Tuco 9 août 2018 22:04

    @ubikand

    La musique seulement.



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    Tuco Tuco 8 août 2018 19:18

    La plus grande menace est et a toujours été le problème de l’approvisionnement et du contrôle des matières premières, pétrole en tête, bien sûr, mais maintenant aussi tout ce qui concerne les matières premières nécessaires à la fabrication des technologies relatives aux médias. Et dans ce "jeu", toutes les nations développées sont des problèmes, toutes, la France y compris, (Françafrique, etc., etc.).


    Cependant, et étant donné sa situation géopolitique tout à fait cruciale au Moyen-Orient, (si ce n’était que cela), Israël est aussi un problème. La Syrie également, évidemment, puisqu’elle occupe elle aussi une position géostratégique essentielle en ce qui concerne l’approvisionnement et le contrôle de sources d’énergie. Mais la Syrie, est un pays qui est victime de ses ressources et de ses projets. (Voir la "stratégie des quatre mers" de Bachar El Assad, voir son refus de se soumettre à la loi des USA et à la domination israélienne, sur laquelle Henry Kissinger disait à l’époque qu’Israël ne devait tolérer aucune concurrence au Moyen-Orient...), comme le fut la Lybie, terrassée pour un long moment, et l’Irak, pour ne citer qu’eux...

    En tout cas, tous les pays africains qui ont osé manifester leur refus de se soumettre à la politique des USA et/ou d’Israël ont été anéantis et leurs chefs assassinés : Saddam Hussein, Mouammar Khadafi, et pour Bachar El Assad, ce n’est plus qu’une question de temps, malgré le soutien de la Russie.

    Donc, il faut se tourner vers les multinationales qui contrôlent la production, l’approvisionnement et le contrôle des matières premières, mais aussi les grandes banques, Rothschild, etc., etc., 

    Face à tous ces Lobbies, et les moyens de pression colossaux dont ils disposent, que peuvent faire les Etats, administration US comprise, bien entendu ? A mon avis, pas grand chose. Mais pour comprendre tout cela plus en détails, il faudrait sans doute demander aux Bilderbergs, à la CIA, etc., non ?...

    Bien cordialement.




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    Tuco Tuco 5 août 2018 18:54

    @Tuco

    Erratum : 

    Il n’y a, en toute logique, je souligne, strictement aucun moyen d’éviter d’interpréter comme on le désire ce genre de chose : les regards.



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    Tuco Tuco 5 août 2018 18:51

    Un "regard appuyé" est peut-être un regard insistant et qui dévisage, qui met mal à l’aise, parce qu’il contient aussi quelque chose d’énigmatique. Ce genre de regard a toujours suscité chez moi la répulsion et ensuite des sentiments violents contre celui qui insiste... J’ai toujours eu horreur que l’on me dévisage avec insistance, je trouve cela particulièrement gênant, indisposant, et, je le répète : répugnant. Je pèse mes mots. J’ai bien écrit : répugnant.


    Or, les hommes, (et je suis un homme), peuvent autant faire l’objet de ce type de "regards" que les femmes. Que ce soit de la part d’une femme, ou pire, d’un autre homme. Les deux me sont déjà arrivés plusieurs fois. Bien entendu, quand il s’agit d’une femme qui a pu me plaire, la chose n’était pas forcément désagréable, sauf quand j’ai pu comprendre de l’ironie ou quelque chose de rabaissant dans le regard. Mais, venant d’une femme, je n’ai jamais trouvé cela répugnant, (quand cela ne me plaisait pas), mais, à la limite, agaçant, voire irritant, c’est selon.

    Par contre, venant d’un autre homme (...) ma réaction fut et demeure toujours la même : j’éprouve instinctivement un vif sentiment de répulsion et ensuite je sens de la violence me venir à l’esprit.

    Cependant, j’aurais beau dire ou faire, l’on pourra toujours interpréter comme l’on voudra mes propres perceptions, et bien entendu, de manière tout à fait fallacieuse, afin de les retourner par exemple contre moi ! (Paranoïa, et que sais-je encore ?...). L’on pourra me rétorquer que je n’ai eu que des "impressions" tout à fait subjectives, etc.

    Que pourrais-je répondre ? Quelles preuves objectives feraient foi ? En toute logique : aucune.

    Voilà donc le principal problème de cette loi, (si jamais cela pouvait en être une) : il n’y a, en toute logique, je souligne, strictement aucun moyen d’interpréter comme on le désire ce genre de chose : les regards. Celui qui se livre à des "regards appuyés" pourra toujours prétexter que ses pensées et ses mobiles n’étaient nullement désobligeants ou déviants. Faire un procès sur un regard "appuyé" consiste donc à faire un procès d’intentions, et, qui plus est, sur la base de données essentiellement subjectives et toujours sujettes à l’interprétation subjective.

    Le problème n’est donc pas un problème moral inhérent à la loi elle-même, ou une prétendue chute des valeurs morales comme semble bien nous le dire notre commentateur, mais, c’est avant tout un problème de logique, je veux dire d’administration de la preuve (objective), laquelle pourrait avoir une valeur juridique valide. Rien d’autre.




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    Tuco Tuco 2 août 2018 19:05

    Spectacle lamentable. Spectacle minable et affligeant. Mais ce sont "les temps modernes". La violence érigée en modus vivendi, sans parler de la bêtise... Les guignols "d’Orange mécanique" de Stanley Kubrick ont donc pris corps, et ont une existence réelle. C’est donc l’histoire d’une société, qui sombre, qui sombre, qui chute, qui chute, un peu plus chaque jour, mais qui se dit : "jusqu’ici, tout va bien... jusqu’ici, tout va bien"... (L627).


    Pour moi, la "racaille", n’a ni couleur, ni catégorie socio-professionnelle. La "racaille" peut être révélée chez tout le monde, dès que ce sont l’arrogance, la violence, la vanité, la bêtise, l’ignorance, et tout le reste qui sont érigées en modus vivendi.

    A chier. Tout ce spectacle est à chier. Qu’on en finisse avec tous ces cons. Et vite.




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    Tuco Tuco 31 juillet 2018 13:23
    Où donc peut bien aller une discussion fructueuse, si l’on ne trouve rien à contredire ce qui est proposé dans cette vidéo ? C’est, hélas, dans la situation dans laquelle je me trouve.

    Je ne saurais exprimer à quel point les femmes peuvent m’avoir déçu. Tout le temps en train de pleurnicher et de diaboliser la condition masculine ; dans l’incapacité, volontairement assumée, de surcroît, de reconnaître la moindre faute, sauf, bien entendu à en retourner les causes sur la gent masculine, etc., etc., etc... ad nauseam.

    Et pourtant ?... Que ferais-je sans elles ? Je ne peux absolument pas me passer d’en rêver tellement je suis seul. Chaque jour je les admire, je les regarde, et je les respecte. Chaque jour, depuis toujours. Mais je suis dans une situation d’ambivalence de représentations cognitives par rapport à elles : comment ne pas détester, sinon même mépriser au dernier degré cette faculté récurrente, carbonisée, à ne jamais reconnaître leurs torts, à être si indifférentes parfois, si inconséquentes, condescendantes et égoïstes ? Et puis : comment ne pas adorer leur présence, leur finesse d’esprit, leur courage, et tant d’autres qualités morales et intellectuelles, et bien sûr leur beauté, qui peut parfois nous bouleverser à un point tel, et nous rendre si heureux, comme si tout à coup, nous devenions vivants ?!

    Et puis le mensonge. Je suis parvenu à cette conclusion (...) que je crois fondée : si les femmes mentent tellement, c’est historiquement de notre faute, à nous, les hommes. Elles ont tant été recluses, et enfermées ; on les a tant obligées à se cantonner dans la sphère de l’intime et des intrigues de boudoir, tout en les humiliant de constamment les mettre à l’écart des affaires publiques en les croyant idiotes, qu’elles ont cultivé de telles compétences dans le mensonge, la dissimulation et la duplicité, qu’aucun homme n’est pas prêt de rejoindre avant longtemps.

    Bref, les femmes mentent, pour se protéger, d’une part, par Nature, laquelle ne les prédispose pas à prendre des coups, et d’autre part, selon des causes historico-sociales, je dirais. En somme, le mensonge est quelque chose de naturel, et de normal chez la femme, alors que chez l’homme, je le tiens, moi qui en suis un, pour quelque chose de pervers.

    Mais, qu’ont-elles fait, les femmes, de leur émancipation ? Sont-elles devenues plus fiables ? Hélas, je crains que non, mais ce n’est que mon jugement.

    Je m’arrête ici : non, la femme n’est pas l’avenir de l’homme, et l’homme non plus, sauf pour la procréation. Et ils sont donc égaux, aussi indispensables l’un à l’autre. Et la femme, comme créature supérieure moralement à l’homme, voilà une chose en laquelle je ne crois plus, et voilà encore une chose, qui au fond, n’a jamais existé. Ce ne fut encore qu’une de ces maudites "construction sociale", issue de l’idéologie constructionniste toujours à la mode..




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    Tuco Tuco 26 juillet 2018 09:59

    @gaijin

    Bon, écoutez : de toute évidence il s’agit d’un psychiatre qui pratique la psychanalyse, comme le font d’ailleurs beaucoup de psychiatres, notamment en France, où la majorité d’entre eux sont aussi formés à la psychanalyse... En plus, il est très clair qu’il s’agit d’une cure analytique. Et il n’est absolument pas incompatible d’être à la fois psychiatre et psychanalyste, comme vous le prétendez, renseignez-vous.

    Si vous pensez qu’il ne ressort rien de tel, (...) par rapport à ce que j’ai dit, soit vous êtes sourds, soit vous ne voulez pas entendre. Et je doute fort pour que vous soyez d’accord pour une critique de la psychanalyse, d’ailleurs....

    "Le type est violent et incohérent" ? C’est incroyable de dire des choses pareilles, cher monsieur, mais c’est normal, cela trahit que vous êtes encore un de ces fanatiques inconditionnels de la psychanalyse. Le patient se heurte à la mauvaise foi et à l’irresponsabilité la plus crasse de son analyste. C’est évident. Ce dernier se vautre dans le ridicule le plus complet, lorsque, sans raison valable, il finit par hurler "au secouuurs", "au secouuurs" Il n’y a aucun échange de coups, aucun.

    Fin de la discussion.



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    Tuco Tuco 26 juillet 2018 01:03
    Cet enregistrement démontre ce qu’est le contexte réel de la cure analytique, et où elle peut mener ses victimes : un contexte où le charlatanisme le plus délirant et irresponsable est dénié à toutes forces par le charlatan lui-même, au mépris de toute raison et de toute humanité.




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    Tuco Tuco 26 juillet 2018 01:00

    @gaijin

    Mais le "contexte" est tout simplement le cadre de la cure analytique. Voilà le contexte.

    Le psychanalyste est mis en déroute par une procédure que tout psychanalyste redoute : la mise en place d’une quelconque procédure de preuve, et de la possibilité de témoigner de ce qui se passe vraiment au cours de ces cures, avec en prime, la parole du patient qui tente de mettre en demeure l’analyste de sortir de son propre carcan, véritable ceinture de chasteté : une mauvaise foi, et une stratégie de déni, les deux se trouvant à un niveau proprement inouï.

    L’on s’aperçoit aussi de quelque chose d’autre de particulièrement récurrent chez les psychanalystes : leur absence totale de scrupule, leur sens inné d’une irresponsabilité morale elle aussi totale vis-à-vis de leurs patients, et, pourquoi ne pas prononcer le mot : de la cruauté. Surtout si l’on songe que la malheureuse victime de cette analyste, a, de surcroit fait l’objet de internement de force à la suite de cette séance. On navigue alors dans les abysses les plus sombres et les plus scandaleuses de l’iniquité, car, si l’on en juge par le comportement tout à fait infantile du psychanalyste, c’est lui, qui aurait dû être interné et être mis, définitivement, hors d’état de nuire.



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    Tuco Tuco 23 juillet 2018 20:18

    Si par "spiritualité" vous permettez que l’on assimile le concept d’Esprit, lequel se rattache à la conscience dans les neurosciences, alors, le dialogue scientifique est non seulement possible, mais a déjà eu lieu. Par exemple, les travaux du Prix Nobel de médecine, John C. Eccles. Il a écrit un livre à ce sujet qui s’intitule : "Comment la conscience contrôle le cerveau" (Fayard). 


    Dans la tradition des neurosciences, le "corps", c’est le système nerveux central, et "l’esprit", c’est la conscience..

    Evidemment ces travaux sont maintenant jugés dépassés (à tort ou à raison), par ceux de Gérald Edelmann et Jean Pierre Changeux, eux aussi Prix Nobel, mais aussi par Lionel Naccache.





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    Tuco Tuco 21 juillet 2018 21:05

    Oui, et selon ce monsieur, la psychanalyse faisait aussi partie des outils a privilégier pour la propagande et d’aliénation des peuples.




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    Tuco Patrice Van den Reysen 19 juillet 2018 13:44

    François Asselineau, récalcitrant éclairé !



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    Tuco Patrice Van den Reysen 18 juillet 2018 00:53

    @Belenos

    Je vous remercie pour cet éclairage sur la méthode de Hegel. Quoique Karl Popper critique lui aussi sa méthode dialectique, en lui reprochant de justifier de ne pas éliminer les contradictions possibles entre le contenu d’une thèse, et celui d’une antithèse : Karl Popper démontre qu’ainsi la connaissance ne peut plus progresser, et en particulier la Science, puisque la méthode scientifique a pour méthode d’éliminer les erreurs.



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    Tuco Patrice Van den Reysen 17 juillet 2018 20:30

    @Patrice Van den Reysen

    Mieux encore, j’aurais dû dire "impérialisme français".