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Les commentaires de Alexandre Berger



  • 9 votes
    Alexandre Berger 17 juillet 2021 21:57

    Comment parler aux complotistes ? C’est très simple, il suffit d’arrêter d’utiliser cet élément de langage ridicule gracieusement offert par les américains et de rester à la place sur le champ des faits concrets et des arguments. Qualifier quelqu’un de complotiste c’est jeter l’anathème, c’est détourner une conversation d’un sujet précis vers un concept abstrait et hors-sol, et c’est généralement l’argument de ceux qui n’en ont pas, bien évidemment.



  • 4 votes
    Alexandre Berger 29 avril 2021 00:39

    Des féministes anti-capitalistes ? La bonne blague. C’est le capitalisme qui a inventé, financé et promotionné le féministe de A à Z depuis 50 ans. Pensent-elles vraiment que c’est la morale où la seule bienveillance envers les femmes qui a porté toute cette évolution ? Tout cela permet d’engendrer des profits titanesques, c’est d’abord et avant tout cela le but de l’opération. Détruire la famille est un des buts stratégique du capitalisme, dans sa logique dégénérée, et le féminisme est pour cela un cheval de Troie.

    Mais bien sûr pour la bonne féministe lambda qui ne s’intéresse ni à l’histoire, ni à l’économie, ni aux mathématiques, ni à la biologie et encore moins aux stratèges sophistiqués des propagandistes modernes, et qui se complaît déjà du matin au soir dans le déni de réalité, je ne doute pas que certaines (ou certains) parviennent à se convaincre qu’une telle chose puisse raisonnablement exister.

    Un peu comme des pingouins anti-banquise. Un paradoxe complet. Où alors une bonne blague qu’ils se raconteraient vautrés sur leur confortable petit coin de glace. Je plaisante bien sûr, eux n’ont ni cette outrecuidance ridicule, ni un tel sens de l’auto-dérision...



  • vote
    Alexandre Berger 10 avril 2021 11:47

    @SERA

    Argh, de l’angélisme. On ne réinventera pas la nature des choses à coups de morale et d’idéologie.

    Qui se ressemble s’assemble. Les communautés humaines s’organisent naturellement ainsi depuis toujours : de façon « communautaire ». Il n’y a rien de mal à cela et on ne pourra de toutes façons jamais rien y changer. L’être humain à besoin d’appartenir à une communauté dans laquelle il se reconnaît pour bien se porter, et en interdisant cela, on sera bientôt tous bons pour l’hôpital psychiatrique.

    C’est pourtant formidable d’avoir toutes sortes de cultures et toutes sortes d’identités aux quatre coins du monde, non ? Alors pourquoi vouloir faire de cela une bouillie informe ?

    Cette pseudo « vertu » d’ouverture imposée à tous de façon démente est en fait un appât utile dans une immense machinerie de propagande. L’immigration est organisée, poussée et financée par les grands capitalistes pour des raisons stratégiques et économiques, et non pour un quelconque sens moral ou comme œuvre de bienfaisance. Et donc on fabrique en parallèle le consentement des masses avec des beaux discours et des beaux concepts, on appâte le bon peuple avec du pipeau magique.

    Arrêtons donc la pleurniche et les beaux discours et contentons-nous de nous rappelez que nous ne sommes que d’humbles mammifères soumis à l’ordre naturel des choses, ce sera déjà beaucoup plus constructif que de s’obstiner à croire à de dangereuses utopies.



  • 10 votes
    Alexandre Berger 4 mars 2021 11:14

    Quand quelqu’un me dit qu’une foutue grippe justifie le fait de basculer en dictature, de m’empêcher de vivre et de ne plus respecter les libertés fondamentales de chacun, dont le droit à consentir à tout traitement médical fait partie, je vois un foutu fasciste en puissance, point.

    Et même si tout ce baratin était justifié scientifiquement et médicalement, je ne serais toujours pas d’accord avec l’aspect obligatoire, chacun est libre de faire ce que bon lui semble, votre peur et votre terreur des maladies vous appartiennent à vous seul Mr Bricmont, faites donc pas suer les autres avec vos propres angoisses. Le pseudo « civisme » vaccinal est une foutue blague, et cela depuis toujours.

    Depuis plusieurs millions d’années, l’humanité survit aux virus d’abord et avant tout grâce au système immunitaire, c’est ça notre véritable et principal rempart !

    Les mythes de l’industrie médicale occidentale moderne servent d’abord et avant tout à faire du pognon, et c’est bien dommage de confondre la qualité des authentiques progrès techniques et scientifiques humains avec les mensonges du lobby pharmaceutique.

    Et ce n’est pas seulement les vaccins le problème, c’est imaginer l’humanité comme devant dépendre des marchands de chimie pour survivre le vrai problème, le vrai mensonge. C’est une vision abjecte du monde et de la vie, et vouloir l’imposer à tous arbitrairement est une abomination, un crime sans nom.

    Ne confondons pas la Médecine et les productions de l’industrie pétro-chimique, ce sont deux choses très différentes : l’une est une science noble et vertueuse, l’autre brasse des milliards en organisant notre dépendance à des substances coûteuses, voir parfois même notre empoisonnement.

    La santé c’est d’abord l’hygiène, l’alimentation et la qualité de vie qui la porte, et certainement pas le fait de bombarder des bambins de vaccins dès le berceau, ce qui est tout simplement criminel en réalité, et tout ça au nom de mythes pré-fabriqués et de purs mensonges qui n’ont que trop duré !



  • 4 votes
    Alexandre Berger 3 janvier 2021 11:20

    @Étirév

    La plupart des féministes sont des ignares, mais vous, c’est différent, le délire fémino-centrique se veut cultivé, profond, étayé. D’où cette manie de faire les fonds de tiroirs et de broder avec de l’air, tentant ainsi régulièrement de nous faire accroire que nous, bougres de grossiers et violents sauvages, les hommes, n’avons rien compris à l’histoire et aux vieux mythes, et que la femme, « oh, la femme ! » a toujours été là se dressant seule au milieu du chaos, immaculée, la sagesse incarnée que personne n’a jamais pris la peine d’écouter... Quelle bonne blague. Sans les hommes et leurs qualités, très chère, nous habiterions encore dans des cavernes et n’aurions pas même connu l’invention de l’écriture. Et je vous fait pas un dessin pour l’informatique et l’internet qui vous permettent présentement de partager vos élucubrations. Et Satan, cet éternel ennemi de la femme, ça c’est carrément le pompon. Vous êtes prise en flagrant délit évident de forgerie là.



  • 1 vote
    Alexandre Berger 25 novembre 2020 00:12

    Carlos Marcello, le parrain des parrains aux Etats-Unis à l’époque, alla alors trouver les milliardaires Texans, dont un certain Haroldson Lafayette Hunt notamment, un partenaire d’affaire via le conseil d’administration d’une société nommée Permadex. Ceux-ci apporteront vraisemblablement un soutien logistique et stratégique à la mafia, voir quelques connexions utiles. Ces derniers récupéreront ensuite, après la disparition de Kennedy, une importante influence sur le plan politique, d’autant plus aisément que leur poulain n’était autre que Lyndon B. Johnson, actuel vice-Président de l’époque et futur Président des États-Unis, et dont le fief politique était donc justement le Texas. Un lieu où il était connu pour diriger un important réseaux de corruption. Robert Kennedy aurait d’ailleurs construit à l’époque de gros dossiers garnis contre Johnson au cours de sa croisade contre la corruption en tant que ministre de la Justice. Johnson et le clan Kennedy se haïssaient, mais c’est de l’ordre du compromis politique que de l’avoir choisit comme vice-Président, afin de s’assurer les votes du Texas, État stratégique pour l’élection, immense et très riche, et où il n’était lui-même que très peu populaire. D’ailleurs sans ce deal originel pour le Texas, JFK n’aurait probablement jamais été élu en première instance, au vu de combien les résultats de cette élection furent serrés.

    Comme il le déclara lors de son arrestation, Osvald ne fut vraissemblablement qu’un pazzi. Pazzi est un mot italien qui signifie fou, mais qu’on peut assimiler dans ce cas à pigeon, et c’était donc une spécialité Sicilienne à l’origine, et qui depuis s’est largement démocratisée, comme on le sait...

    Osvald faisait partie à la fois des services secrets et de la mafia, et il était originaire de New Orleans. Jack Ruby était lui aussi citoyen de la Nouvelle Orléans, et figure bien connue de la pègre locale. Carlos Marcello était quant à lui justement le parrain de la Nouvelle-Orléans, et ce n’est donc pas tout à fait par hasard si Jim Garrison, procureur général de la Louisiane, s’était chargé de l’enquête à l’époque, car l’étincelle était partie de là-bas.

    Que faisait Osvald dans la bibliothèque de Dallas le jour J ? C’était son nouveau lieu travail depuis quelques courtes semaines, en fait une couverture fournie par son employeur, une cellule plus ou moins autonome des services secrets Américains, et attendait impatiemment de rejoindre une opération prévue sur Cuba. Osvald était sensé se faire descendre aussitôt après les faits. En effet, Kennedy voulait sa revanche sur Cuba, tout sa carrière en dépendait et il préparait en secret un nouveau coup là-bas avec la complicité du numéro 2 Cubain, Juan Almeida Bosque... Ce détail a son importance, car cela servit en partie au fait de justifier la loi du silence sur les circonstances de son assassinat, car révéler au grand jour que Kennedy préparait un nouveau coup d’État sur Cuba aurait provoquer un tension monstre avec la Russie, qui avait déclaré à l’époque par la voix de Kroutchev, « si vous attaquez à nouveau, on balance une bombe atomique »... Oui, la guerre froide était à moitié chaude en ce temps là...

    Robert Kennedy lui-même ne fit pas d’esclandre et s’en teint à la raison d’état, mais il comptait rendre un jour publiquement justice à son frère. On rappel qu’il se fera descendre à son tour en 67, par un pazzi lui aussi, alors qu’il s’apprêtait à entrer en lice pour la présidentielle. Il y a ici un bon article sur lui et sur ce sujet, où l’on apprend par exemple qu’avant Dallas, deux autres tentatives d’assassinat contre JFK ont été organisées... En réalité, il se savait traqué, non pas par un allumé nommé Osvald, mais par une foule d’ennemis plus dangereux les uns que les autres...



  • 2 votes
    Alexandre Berger 25 novembre 2020 00:05

    Dans les mois suivants ce discours, il mettra en tous cas à la porte la moitié des directeurs de la CIA, dont son chef emblématique de l’époque Allen Dulles, grand ami des Rockefeller au demeurant, et qu’on retrouvera d’ailleurs ensuite étonnamment, c’est pas une blague, en tant que membre de la commission Warren.

    Au moment de ce discours, Kennedy est à la Maison Blanche depuis quatre mois seulement, et il a donc vraisemblablement dû prendre le train en route sur le dossier Cubain. J’imagine qu’il doit avoir l’impression de s’être fait roulé par certains, et s’il doit assumer ses responsabilités en tant que président, il semble évident qu’il a des comptes à régler et qu’il entend le faire savoir. Bien sûr, il ne risque pas de balancer la sauce ouvertement en disant que la CIA est hors de contrôle et que certains cercles d’influence économiques (qui ont d’ailleurs contribué à son élection) sont des pourris dégénérés. Non, ça ferait désordre. Vu la gravité de l’épisode Cubain, on peut en fait éventuellement s’attendre à un discours contenant plusieurs degrés d’interprétation, et justement parce que le public sont les éditeurs, y voir un bémol sur la démagogie habituellement réservée aux foules anonymes.

    On peut donc supposer que derrière l’ambiguïté de ces propos, vu son public et le contexte, il énonce en réalité une mise en garde relativement explicite du danger que représente pour la nation les agissements irresponsables de certains, surtout en ces temps de guerre froide et vu la puissance Russe. Et ça, c’est parce qu’il y a déjà à l’époque un état profond très influent qui fait ce que bon lui semble. Les présidents passent, eux restent, et c’est bien à cela que fait face Kennedy, quatre mois seulement qu’il est président et il est déjà enlisé dans un monstrueux merdier politique avec lequel il n’a l’origine rien à voir. D’ailleurs à ce sujet, et comme mentionné plus haut, la teneur du discours de sortie de son prédécesseur est sans ambiguïté :


    Dwight D. Eisenhower, lors de ses adieux en tant que président, le 17 janvier 1961 :

    "Cette conjonction d’une immense institution militaire et d’une grande industrie de l’armement est nouvelle dans l’expérience américaine. Son influence totale, économique, politique, spirituelle même, est ressentie dans chaque ville, dans chaque parlement d’État, dans chaque bureau du gouvernement fédéral. Nous reconnaissons le besoin impératif de ce développement. Mais nous ne devons pas manquer de comprendre ses graves implications. Notre travail, nos ressources, nos moyens d’existence sont impliqués ; ainsi en va-t-il de la structure même de notre société."

    "Dans les prises de décision de l’État, nous devons donc nous garder de toute influence injustifiée, qu’elle ait ou non été sollicitée, exercée par le complexe militaro-industriel. Le risque potentiel d’une désastreuse ascension d’un pouvoir illégitime existe et persistera."


    L’épisode Cubain fut un tournant majeur pour la carrière de JFK, et à n’en pas douter un chapitre qui pèsera très lourd dans son assassinat ultérieur, et ce bien plus que le contenu de ce discours à mon avis, aussi éloquent puisse t-il être, car à partir de là, en parallèle de son extraordinaire popularité grandissante auprès du public, une extrême antipathie commencera à être cultivée à son endroit dans différents cercles d’influences, disons dans le deep et semi-deep state.

    A la fin de l’année 63, de par son action politique globale depuis son arrivée à la maison blanche, 2 ans et demi plus tôt, JFK s’était mis à dos beaucoup, beaucoup de monde :

     Les pétroliers Texans et l’industrie de l’armement, car ses choix stratégiques en termes de politique intérieure et extérieure, son « pacifisme » et son « gauchisme », étaient partis pour nuire énormément à leurs affaires et à leurs projets (peut être pas un hasard s’il s’est fait descendre à Dallas, Texas).

     Une bonne partie de l’armée et de ses généraux, qui depuis l’affaire Cubaine, bouillonnaient contre lui.

     On ajoutera les têtes pensantes de la CIA, qui bien que déchues, gardèrent une certaine influence du fait de leurs réseaux existants et de leurs fortunes personnelles, en particulier Allen Dulles, et avec lui une cohorte d’agents dissidents.

     Dans la même lignée, les exilés Cubains, bien-sûr, des hommes de main tout-trouvés pour une éventuelle embuscade, et pour la plupart convaincus de la traîtrise de Kennedy.

     Puis ensuite les grands banquiers de Wall Street, à qui il avait promis de démanteler la FED s’il était réélu. Oups !

     Et enfin, et c’est là le chapitre souvent manquant, bien que vraisemblablement celui qui fut le plus décisif dans son assassinat, celui de la mafia, celui de la pègre Sicilienne, à qui Robert Kennedy menait la vie dure depuis son arrivée au poste de ministre de la Justice, car lancé depuis dans une grande campagne contre la corruption et contre différentes de leurs affaires, ils ont donc alors organisé une riposte...



  • 10 votes
    Alexandre Berger 20 novembre 2020 20:02

    Chère madame, c’est très simple à comprendre, nous avons au pouvoir des fou-furieux qui se moquent éperdument de votre sort, qui sont dénués d’une quelconque loyauté envers le peuple et d’un quelconque professionnalisme, et qui à la place mettent simplement en œuvre la mission que ceux qui les ont placés là où il sont les ont chargés, c’est à dire démanteler ce pays, ainsi qu’appauvrir et terroriser sa population jusqu’à épuisement total.

    Quand l’ennemi se pointe en char d’assaut à vos frontières, il est facile à identifier, mais quand il s’est infiltré au cœur de votre système administratif et qu’il influence à sa guise vos médias et vos hommes d’États, alors c’est une guerre beaucoup plus complexe. Sur cela au moins n’a-t-il pas menti : « nous sommes en guerre ! »



  • 7 votes
    Alexandre Berger 3 novembre 2020 21:47

    @Les déQodeurs

    Un constat malheureusement assez justifié de medialter. Seuls ceux qui sont déjà réveillés apprécient de partager et d’en apprendre davantage. C’est parce que c’est un problème bien plus complexe que l’information elle-même, c’est tout le système de croyance et la façon dont la propagande envahit depuis des décennies les façons de penser le sujet. En cela Bernays avait tout résumé en disant qu’il est presque « impossible de faire changer d’avis à une seule personne, alors qu’il est aisé de faire changer d’avis à des millions de personnes à la fois ». Car le besoin d’appartenance au groupe et les instincts grégaires naturels sont complètement omnipotents chez 80/90% des gens. C’est pourquoi les médias et les leaders d’opinion ont un boulevard pour leurs diverses ingénieries sociales depuis tout ce temps, aussi surréaliste et absurdes soient les croyances suggérées.


    La peur de l’ostracisme et du rejet par le groupe sont un important pilier de nos instincts de survie, et font que la personne normale nourrit activement et quotidiennement quantité de pensées pour aller dans la direction opposée, celle de l’appartenance, de l’acceptation et donc du conformisme à tout prix. C’est là un levier énorme, et c’est en partie cela qui donne tant de pouvoir aux médias. Et les preuves les plus évidentes dans ce cas, ne valent pas grand chose aux yeux du quidam moyen, ça fait longtemps qu’on a pu le constater.

    Pour régler le problème il faut du Pouvoir, point à la ligne.


    Il n’empêche que le boulot que vous faites est très louable, mais mieux vaut éviter de se faire trop d’illusions sur le « qui » consultera ces contenus. En ce sens, mieux vaux cesser de tenter de réveiller les zombies et plutôt se concentrer sur les moyens d’enrichir, de coordonner et de structurer une masse critique de personnes éveillées, et de viser le fait de peser d’une façon ou d’une autre à termes. Car des gens éveillés il y en a, tandis que c’est surtout l’absence totale de coordination et de représentation qui pêchent. Les recours en Justice sont à aussi privilégier, car là théoriquement c’est les faits et les preuves qui sont recherchés et qui sont sensés l’emporter.



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    Alexandre Berger 19 octobre 2020 12:58

    @beo111

    Mais l’État n’est pas la création du peuple, c’est celle d’une élite, et son essence première est donc d’être conçu pour régner sur le peuple. Ce qui ne veut d’ailleurs pas nécessairement dire qu’il n’aurait aucune qualité. Un État c’est un peu comme un revolver, un outil formidable et d’une grande utilité, mais tout dépend ensuite de qui le tient. D’où l’importance capitale, comme l’explique Chouard, d’encadrer l’exercice du pouvoir de façon précise et rigoureuse, et non de fantasmer sur des grands discours et sur des grands idéaux.



  • vote
    Alexandre Berger 18 octobre 2020 14:18

    Waw, on dit parfois de Chouard qu’il est un peu naïf et un peu utopiste sur les bords, mais là vous l’avez complètement surclassé dans cette présentation.

    L’État, c’est ainsi que s’appelle le plus froid des monstres froids et il ment froidement, et le mensonge que voici sort de sa bouche : «  Moi, l’État, je suis le peuple. » Friedrich Nietzsche



  • 3 votes
    Alexandre Berger 15 octobre 2020 20:54

    Des féministes qui détestent les hommes, on flirte là avec le pléonasme. Le féminisme est l’incarnation vivante de la féminité toxique, mais dans cette éternelle logique d’inversion accusatoire, c’est de la toxicité des hommes dont elles se plaignent. Derrière tout cela beaucoup de jalousie, de frustration, le besoin d’attirer l’attention et de jouer éternellement aux victimes. Souvent une double laideur chez ces « femmes ».

    Jamais ou presque vous ne trouverez d’hommes jalousant les femmes pour ce qu’elles sont. Les femmes en revanche, c’est prouvé, en sont beaucoup plus aisément capables. La jalousie serait-elle un truc de fille ?

    Une majorité de la population est aujourd’hui atteinte, à un degrés ou un autre, par le poison féministe, les hommes y compris, pour beaucoup mentalement féminisés de leur côté. C’est un drame dans les deux sens. Et il y a d’ailleurs là un parallèle évident avec la situation actuelle, car arrêtez-moi si je me trompe mais si les hommes étaient encore des hommes dans ce pays, tout ce totalitarisme sanitaire délirant, dangereux et complètement surréaliste ne pourrait être ainsi mis en œuvre !



  • 3 votes
    Alexandre Berger 24 septembre 2020 22:37

    Article 432-4 du code pénal

    "Le fait, par une personne dépositaire de l’autorité publique ou chargée d’une mission de service public, agissant dans l’exercice ou à l’occasion de l’exercice de ses fonctions ou de sa mission, d’ordonner ou d’accomplir arbitrairement un acte attentatoire à la liberté individuelle est puni de sept ans d’emprisonnement et de 100000 euros d’amende.

    Lorsque l’acte attentatoire consiste en une détention ou une rétention d’une durée de plus de sept jours, la peine est portée à trente ans de réclusion criminelle et à 450000 euros d’amende."

    https://www.youtube.com/watch?v=gSNA9YKQ3vw



  • vote
    Alexandre Berger 19 juillet 2020 23:36

    @V_Parlier

    Notre époque n’en manque pas non plus, c’est certain, mais en français, on frôle en fait souvent l’abus de langage avec ce mot, surtout maintenant qu’il est si dévoyé et galvaudé, appelant automatiquement à une logique de caricature et de polémique. Il y en a beaucoup d’autres disponibles et on est pas obligé de s’en tenir au champ lexical imposé par les ingénieurs en communication et par le système. La première des propagandes passe toujours par les mots et c’est pourquoi la subversion étymologique est aujourd’hui si énorme en général, car la propagande est ainsi, bien que à peine perceptible, omniprésente.

    Vocabulaire alternatif :

    Manipulation, stratège, manigance, manœuvre, intrigue, stratagème, coterie, fourberie, escroquerie, trame, machination, magouille, entourloupe, ruse, fourberie, tromperie, mensonge, duplicité, collusion, mascarade, diversion, leurre, dissimulation, voir même un bon vieux coup d’État en bonne et due forme.

    Aussi un élément de fond important est que du fait de la logique des rapports de classe, il y a parfois une coalition naturelle vis à vis d’intérêts communs où la concertation explicite n’est même pas nécessaire, c’est alors simplement une alliance/connivence implicite.



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    Alexandre Berger 18 juillet 2020 11:49

    @tobor

    Au delà de la tournure d’esprit ironique, le mot stratagème serait sinon plus approprié en l’occurrence.



  • 3 votes
    Alexandre Berger 5 juillet 2020 21:23

    @medialter

    Remarquable contribution. Il y a du vrai c’est évident, mais c’est aussi complètement unilatéral et assez réducteur, voir même porté sur une victimisation exagérée des hommes. « L’honneur masculin, un système inventé par la femme », ça c’est simplement ridicule, à moins de placer à la base de façon inappropriée les femmes sur un piédestal céleste. Les hommes ont aussi leur responsabilité dans tout cela tant qu’ils se laissent pigeonner avec tant d’engouement et qu’ils demeurent si joyeusement dénués de toute forme de connaissance et de sagesse en la matière. Combien en redemandent ? On ne peut blâmer seulement les femmes de ce point de vue.

    Qu’elles se servent du pouvoir que leur vagin (et leur qualité reproductive) leur donne sur les hommes, et donc sur le monde, c’est logique et ça fait partie de la règle du jeu. C’est aussi aux hommes d’apprendre à manœuvrer intelligemment car il s’agit là d’un rapport de force incontournable. La Vie est aussi une impitoyable garce dans le fond, car sinon les choses n’avanceraient pas. La vie, le bon dieu, se moquent éperdument de nos petits ego individualistes et de nos idéaux en carton, car eux ne valent pas une cacahuète en termes de survie dans le temps.

    Le jour où les hommes retrouveront leurs couilles, leur tête et leur dignité, les femmes suivront naturellement le mouvement, c’est aussi simple que ça.



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    Alexandre Berger 5 juillet 2020 11:18

    @ZardoZ

    Bien sûr, mais ça vaut doublement pour les femmes ! 



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    Alexandre Berger 4 juillet 2020 11:12

    @PLACIDE2

    Autant se contenter d’une poupée gonflable dans ce cas, non ? Ils font des trucs très réalistes de nos jours. smiley



  • 2 votes
    Alexandre Berger 4 juillet 2020 11:10

    @louis

    Une règle d’or pour mieux les comprendre : s’en tenir à leurs actes, et non à leurs dires. smiley 



  • 1 vote
    Alexandre Berger 19 juin 2020 12:58

    @beo111

    Excellent, merci. D’une imperturbable lucidité. Et davantage d’actualité. Les combines de la gauche US sont vraiment grotesques.