Les commentaires de Fantômette contre Jean Robin

@Le Glaude
 
Votre réalité mentale de bouffon virtuel hitlérophile inculte. Toujours les mêmes mots ("pleurniche"), les mêmes prétextes afin d’assouvir votre haine virtuelle infinie, votre culte là aussi virtuel de la virilité... vous n’existeriez même pas virtuellement sans un certain A. Soral... dans la vraie vie, vous n’existez pas, le bouffon virtuel que vous êtes ici n’existe pas.

@le bouffon hitlérophile

C’est ça, bien sûr, Hitler était un bon samaritain pacifiste et humaniste, il n’aurait jamais fait de mal à une mouche tandis que les Juifs ont déclenché la guerre et sont partout, grouillant de complots, tirant les ficelles de tous les gouvernements avec leur sale argent volé. Votre mentalité parano-complotiste est connue depuis belle lurette.

@Et Hop !

Vous avez un certain talent pour gauchir l’histoire et allonger les billevesées... les Américains étaient parfaitement isolationnistes en 1914 (et n’entrèrent dans la guerre qu’à la suite du coulage du paquebot Lusitania, 1917). La Grande-Bretagne n’entra en guerre que parce que les Allemands avaient violé la neutralité belge. Vous oubliez singulièrement Austro-Hongrois : empereur François-Joseph Ier, particulièrement belliciste et anti-serbe et Allemands : empereur pangermaniste Guillaume II dont le plan Schlieffen est prévu de longue date. Une fois les hostilités déclenchées au centre de l’Europe, les alliances jetèrent tout le monde dans la bataille et on pensait que la guerre serait courte...

Rebelote : vous oubliez singulièrement un certain chancelier du Reich allemand depuis 1933 dont la politique belliqueuse et vengeresse ne faisait plus de doute depuis certains accords de Munich de sept. 1938 : Chamberlain cède et fait céder Daladier devant Hitler ; disparition à terme de la Tchécoslovaquie. A nouveau les Américains étaient isolationnistes (plutôt germanophiles même, Joseph Kennedy par exemple) et n’entrèrent dans la guerre qu’après Pearl Harbor, déc. 1941. Ni Français ni Britiches ne voulaient de cette guerre ; les déclarations de sept. 1939 sont purement formelles, les Français ne font rien jusqu’au 10 mai 1940 pour se faire battre à plates coutures en six semaines. 

@Tolzan

"Le genre est une idéologie qui n’a strictement aucun fondement scientifique..." Rien de bien nouveau mais merci quand même. D’ailleurs, il n’avait qu’un fondement grammatical jusque-là en français et on parlait du sexe pour différencier hommes et femmes... Sinon, concernant le manque d’ambiguïté, les parents de tous les continents et depuis la nuit des temps se sont toujours contentés de jeter un coup d’oeil au sexe apparent de l’enfant précisément, constatation empirique qui a l’avantage de rejoindre la science stricte dans l’immense majorité des cas. La nature peut toujours se tromper mais en principe ne fait rien en vain...

Mais pour les chochotes anti-naturelles et Précieuses de notre temps, les apparences sont trompeuses ou comme le dit Onfray, "le réel n’a pas eu lieu"...

@Gaspard Delanuit

J’oubliais Jordan ou encore "Ugo". Il y a une tendance au cosmopolitisme un peu lourde chez ceux qui s’affirment haut et fort patriotes/nationalistes, assez étonnante... Leur affectivité semble contredire leurs affirmations théorico-politiques : sauras-tu retrouver le patriote/nationaliste/soldat du Christ derrière le pays de sa compagne : Japon (x2)/Roumanie/Algérie/Pays-Bas/Afrique noire (x2)... liste non exhaustive. Comparaison n’est pas raison... ces personnages sont-ils si importants que ça ? L’avenir le dira. Un seul a fait de la vraie politique politicienne toute sa vie, du reste. Les rois français développaient des stratégies matrimoniales ; nos nationalistes aventureux répondent simplement à l’appel des sens ou du coeur.

@juanyves

Ca se discute. L’affrontement Conservateurs/gens normaux/enracinés contre Démocrates/tarés communautaristes, anti-humanistes asexués/consommateurs mondialisés messianiques ressemble aux Etats-Unis à une bonne petite guerre civile comme ils en ont déjà connu et il n’est pas sûr que les premiers soient vaincus. L’issue de cette guerre déterminera certes la marche du monde "occidental" par la suite.

"Collapsologie" maintenant... ce milieu d’incultes "nationalistes" me sidère. Soit ils sont en ménage avec une étrangère, soit baragouinent le franglais apprécié des jeunes consommateurs asexués, soit encore portent carrément un prénom ricain (Mike, Christopher). Pour le français simple et correct (des alarmistes professionnels, des catastrophistes, des bonimenteurs et autres chamanistes), on repassera.

@rinbeau

Pipeau-rinbeau mal écrit qui enterre Jaurès... n’inverse pas les rôles, la gauchiasse, c’est toi et tes congénères déconstruits barbouillant des inepties. 

@zzz999

J’ai découvert ce type, en effet, très intéressant. Il est loin d’être le seul à lutter contre cette idéologie décadente mortifère qui peut s’apparenter à de la misogynie pure ; aucun foutu monstroplante mâle n’est capable de définir ce qu’est une femme simplement parce qu’eux sont femmes nominalement... ils répètent à l’envi qu’ils le sont et on leur répète sans cesse également ; c’est une forme de psychose sociale. Ils se répètent sans arrêt que deux et deux font cinq... et prennent le nom pour la chose. Mais par-dessous, il y a aussi une haine profonde du sexe féminin, déjà présente chez les homosexuels, plus ou moins. 

Ce délire total anti-réel concerne également certaines femmes obèses qui se croient non seulement attirantes mais aussi... anorexiques. Je fais le lien encore avec les réactions hystériques des militants démocrates en 2016 : le ciel leur tombait sur la tête à ces pauvres attardés. Nous vivons depuis quelque temps le triomphe des tarés non-élevés, non-instruits, hyper-susceptibles et hyper-idéalistes à la fois, enfants attardés super-gâtés n’ayant jamais connu la contrainte, ni en "famille" (père absent, faible ou remplacé) ni à l’école. Leur mentalité est pétrie de peurs enfantines imaginaires. 

Je précise que les Américains réagissent déjà à cet extrémisme anti-humaniste et anti-féminin ; plusieurs Etats ont banni l’accès des monstroplantes mâles aux compétitions sportives féminines : voir par exemple le cas du nageur Lia Thomas, nul parmi les hommes, toujours premier devant les nageuses. La Chambre des Représentants elle-même l’a fait ; de façon absolument sectaire et aveugle, tous les Démocrates ont voté contre mais ils sont désormais en minorité. Que le féminisme en cinquante ans soit passé du droit des femmes aux droits de monstroplantes mâles à venir annuler tout effort féminin dans leurs propres compétitions ou à écrabouiller une gonzesse sur un ring (Alana MacLaughlin, né homme), en dit long sur la capacité de la gauche à se trahir, à fondamentalement s’auto-détruire.

@nono le simplet

Le servage en France depuis longtemps n’existait plus ; la condition de serf n’est pas non plus comparable à celle de l’esclave antique. Les serfs pouvaient se marier, fonder une famille. Moyennant taxe, ils peuvent transmettre la terre (tenure) qu’ils ont reçue du seigneur. Les libres étaient moins imposés, avaient plus grande mobilité, et théoriquement pouvaient seuls ester. Mais l’essor des villes, de la bourgeoisie ainsi que la naissance d’une classe de paysans aisée entre le XIe et le XIIIe siècle bouleversèrent, en partie, l’ordre social. "Aux XI-XIIIe s., on recense par exemple une vingtaine de nouveaux marchés en Saintonge et une soixantaine en Toulousain..." 

"Cependant, les recherches récentes tendent à montrer que, dès le Xe siècle, d’une part la distinction entre serfs (servi) et libres (liberi) ne représente pas une césure fondamentale, et d’autre part que l’existence de fortes communautés de paysans libres et maîtres de leur terre semble limitée à quelques contextes très particuliers." Histoire de France, dir. Joël Cornette (tome : "Féodalités")

Il n’y avait pas recoupement des conditions et des statuts : des serfs par exemple exercent "une fonction ministériale (intendant, tonloyer, meunier) indispensable au fonctionnement de la seigneurie." — "une situation assez fréquente dans les seigneuries épiscopales et monastiques."

De quoi donner du grain à moudre aux neuneux nés un 14 juillet, boumeurs simplets et autres kikoules républicains analphabètes.

@shouitte

Mauvais signe : la disparition de l’orthographe, pour commencer !

"Bonjour tout le monde !" : c’est un peu prétentieux, non ?

@rinbeau

C’est bien, camarade. Mais les fortunes de l’Ancien régime n’atteignaient pas le quart du millième des fortunes financières d’aujourd’hui. On peut dire même, sans risque de pédanterie, que la fin de l’Ancien régime a libéré quelque chose dans l’ordre économique. Mais je te laisse réfléchir à tout ça à tête reposée.

@rinbeau

T’as trouvé ça au petit-déjeuner, en faisant le plein de calories ? Je ne veux pas te froisser mais je crois que M. Onfray l’a déjà dit.

Il va sûrement vous consulter, votre modestie dût-elle en souffrir.

Le fiasco montre déjà le bout du nez... ces bras cassés au ministère de l’Intérieur n’ont même pas prévu de neutraliser les actions en justice pour commencer, c’est-à-dire de virer au préalable les associatifs et avocaillons gauchistes qui ne respirent que pour gangréner un peu plus l’île. Les socialistes à l’époque algérienne n’étaient pas aussi calamiteux (et pourtant républicains) ! Paradoxe de cette île où les seuls Blancs sur place sont les pires ennemis d’une assimilation réussie.

@911 Pentagone ?

Par le moyen de l’avion tout bêtement, qui est le moyen de colonisation idoine aujourd’hui. Ou par n’importe quel autre moyen en remontant l’Afrique.
Si la France devait abandonner Mayotte, cela créerait un appel d’air pour les Comores qui mettraient évidemment la main sur cette petite île ; les Mahorais francophones fuieraient vers la France... même indépendante, Mayotte serait incapable de se défendre devant la volonté quasi affichée des Comores de s’emparer de l’île. Donc le départ de la France créerait de facto une crise humanitaire qu’elle serait seule à gérer. Je ne parle pas de la défaite morale devant les Comores, archipel musulman. Les nationalistes seraient enragés, les gauchos aussi : la République aurait manqué à son devoir.

Sur quoi la France s’appuierait-elle du reste pour partir, politiquement parlant ? Consultés, les Mahorais rejetteraient l’indépendance. 

"Famille-LGBT", c’est un peu comme "imam français". Il y a contresens.

@911 Pentagone ?

Partir la queue basse sans même avoir combattu ? Avec un afflux de 300 000 Mahorais d’un coup ? Où y’a t-il colonisation à Mayotte ? Il n’y a pratiquement pas un seul Blanc là-bas ! Seuls les gendarmes le sont, à la télé.

Ce serait une défaite politique sans pareille. Il y aurait même un afflux de Comoriens que la France, vaincue, ne saurait arrêter. Autant théoriquement, j’admets que Mayotte n’est pas française, autant s’en séparer serait politiquement un désastre.
Paradoxalement, la seule solution pour Mayotte serait d’être précisément colonisée par des Blancs, comme en Nouvelle-Calédonie : solution, inadmissible pour l’ensemble de la classe politique, les médias, les associations... ils se condamnent tous par avance à aggraver la situation, ce qui revient à "comoriser" l’île.

@zzz999

Les tantes et tantines n’ont rien à faire à l’école à moins d’avoir des compétences professorales et de ne pas parler de leur sexualité, de s’habiller correctement, de ne pas se peinturlurer les cheveux non plus. Ca fait beaucoup pour certains, élevés dans l’expression narcissique du (mauvais) genre.