Les commentaires de ZEROTV

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Comme dit Woody Allen:Non seulement c’était pas bon mais en plus c’était pas copieux.

En Chine déjà, avant son installation définitive en France, puis dans le développement international de son travail, Huang Yong Ping, sans cesse, et de façon critique, a insisté sur l’ambiguïté de la fonction sociale de la culture. S’emparant avec profondeur des formes et des croyances de l’occident et de l’orient, il en montre le potentiel de fascination et de violence. Perturbateur néo-dadaïste radical au début des années 80 en Chine, il a entrepris depuis, avec une même détermination, une puissante remise en cause politique de nos certitudes. S’emparant cette fois-ci des grands récits qui fondèrent la civilisation occidentale, il en restaure l’efficacité symbolique. L’immémoriale notoriété de ces mythes qu’il revisite vient de ce que leur configuration permet aux hommes d’y projeter des réponses aux grandes énigmes du destin. Mais, que ce soit l’histoire de Noé qui est la source de Arche 2009, ou bien l’allégorie de la caverne d’après la République de Platon qui inspire l’oeuvre exposée en septembre à la galerie Kamel Mennour, ces mythes ne sont en aucun cas des prétextes pour parvenir à une sculpture. C’est la forme même du texte qui est explorée, triturée avec une obstination qui rappelle les célèbres installations réalisées à l’occasion de l’exposition « Magiciens de la terre » en 1989, ou encore en 1992 pour le Carnegie International de Pittsburgh. Des livres y étaient transformés, broyés jusqu’à devenir une pâte informe, replacés ainsi dans les rayons de la bibliothèque, selon la double nature de la culture, matière morte ou essence de vie contaminante.(...)

Depuis que les humoristes ne font plus rire en voulant faire de la politique, les hommes et les femmes politiques sont devenus les vrais comiques. De cette façon nous sommes persuadés que si Ségolène Royal montait sur les planches elle jouerait à guichet fermé. C’est bien vrai Ségolène ne change rien, tu es notre Jean-Claude Vandamme à nous français.

En effet l’équivalent de l’Atarax. La souris nous tombe des mainsl N’est même pas critiquable. Il s’auto-détruit de facto.

Pour "Overview" nous ne sommes pas sûrs que cela soit snob...C’est plutôt un terme qui nous semble sonner mieux que ce que l’on trouve dans la langue française pour exprimer ce que l’on veut dire. Vous avez sans doute raison mais pas entièrement car toutes les langues s’enrichissent de mots empruntés à d’autres idiomes...A voir...

"...Il les dégomme tous !" ...Nous croyons au contraire qu’il se dégomme lui-même. Affligeant. Soral au contraire est brillant et Bigard lui au moins sait persifler. Ce type par contre est nulle part.

Pitre Doherty.

Très drôle. Bravo Rémy. Rares sont les gens qui comme toi sont autant capables de se foutre de la gueule du monde et surtout d’eux-mêmes. Entre le happenning, la peformance d’art contemporain et la poésie situationniste. Quasiment l’invention d’un genre que n’aurait pas désavoué Alan Kaprow.

NORA NOUS ABERRA.

Au milieu du concert d’indignations de toutes sortes il est rafraîchissant d’entendre une voix discordante, extirpée comme par miracle de la parole convenue. It seems that the author of the advice is "mad of" him. Pourquoi pas après tout. Les héros à la face sombre ont le vent en poupe.

C’est vrai c’est pas beau de taper sur les minorités indigentes intellectuellement.

Très bien.On est pas contre mais tout contre (Sacha Guitry).

Nous préférons le Céline du temps de sa jeunesse, à l’époque ou il écrivait Semmelweis (que vous n’avez sans doute pas lu) et avant qu’il ne deviennent ce vieillard aigri et radoteur, à la voix mourante, marinant dans son jus(au sens propre comme figuré) et ressassant ses vieilles haines tellement banales,enrobées d’arguments spécieux.

Sinon, cher "POPU" (sic),vous qui exaltez la virilité, nous nous demandons pourquoi nous n’avons pas eu vent de vos exploits qu’ils soient sportifs, militaires ou de pure rhétorique.Vous pourriez utiliser votre mâle conviction à restaurer le blason du communisme à l’ancienne ou de cette secte au signe ésotérique inversé et à éliminer physiquement les gens pour établir un monde parfaitement pur...Voilà une idée originale que je vous soumet et à laquelle personne n’a jamais pensé...

Pour rétablir un peu de paix et d’harmonie sur ce forum il n’est pas inutile de rappeler ce classique de la littérature :

Si tu peux voir détruit l’ouvrage de ta vie Et sans dire un seul mot te mettre à rebâtir, Ou perdre en un seul coup le gain de cent parties Sans un geste et sans un soupir, Si tu peux être amant sans être fou d’amour ; Si tu peux être fort sans cesser d’être tendre Et , te sentant haï, sans haïr à ton tour, Pourtant lutter et te défendre ; Si tu peux supporter d’entendre tes paroles Travesties par des gueux pour exciter des sots, Et d’entendre mentir sur toi leurs bouches folles, Sans mentir toi-même d’un mot ; Si tu peux rester digne en étant populaire, Si tu peux rester peuple en conseillant les Rois Et si tu peux aimer tous tes amis en frères, Sans qu’aucun d’eux soit tout pour toi ;

Si tu sais méditer, observer et connaître, Sans jamais devenir sceptique ou destructeur Rêver, sans laisser ton rêve être ton maître, Penser, sans n’être qu’un penseur ; Si tu peux être dur sans jamais être en rage, Si tu peux être brave et jamais imprudent, Si tu peux être bon, si tu sais être sage, Sans être moral ni pédant ;

Si tu peux rencontrer triomphe après défaite Et recevoir ces deux menteurs d’un même front, Si tu peux conserver ton courage et ta tête Quand tous les autres les perdront ; Alors les Rois, les Dieux, la Chance et la Victoire Seront à tout jamais tes esclaves soumis Et, ce qui vaut bien mieux que les Rois et la Gloire,

Tu seras un Homme, mon fils.

Rudyard KIPLING

Au nommé "Popu",

NEMO AUDITUR PROPRIAM TURPITUDIMEM ALLEGANS.

Cher Monsieur Popu,

Votre commentaire au lyrisme enflammé contient en sous main les germes d’une révolte et d’une frustration qui menace à chaque instant de tout faire péter. Vous me prenez comme bouc émissaire d’une rage qui doit sans coup férir couver depuis un moment déjà. Je suis certes une cible facile puisque je diffuse mes oeuvres audiovisuelles alors que vous êtes confortablement à l’abri derrière l’écran de votre ordinateur.Cependant avec vos jugements à l’emporte-pièce vous faites un sniper bien maladroit qui devrait retourner au club d’écriture pour apprendre le maniement de base des armes sémantiques. Car ce qui ressort de votre commentaire c’est un manque de jugement doublé d’une faiblesse rhétorique. A chaque détour de phrase vous vous contredisez, me traitant tantôt de viril et tantôt d’éfféminé puis assénant avec certitude que ma sudation serait comparable à celle de ces animaux desquels les ibériques tirent une viande succulente qui peut se négocier des fortunes dans les meilleurs épiceries fines. J’apprécie néanmoins le compliment, ne sachant du reste pas trop si je le mérite. Finalement vous êtes drôle malgré vous mais quand même très léger sur le fond et sur la forme. Revenez nous voir lorsque vous aurez terminé vos études littéraires et fourbie davantage votre épée dialectique ! Cordialement, La rédaction.

En effet Lola. Mais je n’ai guère eu l’heur de t’y croiser. Le hasard serait-il subjectif ?

Un commentateur qui cite Huysmans ! Fichtre !...Et après cela on dira que le net est un lieu de paresse intellectuelle et d’inculture...

Non en fait au départ il était serial-killer !