Aux Belges et aux Européens qui ont encore un vestige de
lucidité
Salut,
Vos médias vous mentent. Ils ont tellement menti que votre vision du
monde en est complètement travestie.
Vous êtes passés, entre autres sur le SARS-CoV-2 et
l’Ukraine, si loin au large de la vérité que vous ne l’avez même pas
aperçue.
Vous devez donc, d’abord et surtout, vous méfier de vous-mêmes.
Ne soyez plus complices, car vous risquez maintenant l’effacement
nucléaire en vous racontant des salades.
Sans quoi, je devrai, face à l’infini de votre naïveté, admettre que
vous l’aurez bien cherché.
Sans quoi, Peuples soumis de la vieille Europe, personne ne vous
libérera.
Sans quoi, vous serez éternellement à genoux devant une paire de
bottes.
Qu’elle soit nazie, anglo-saxonne ou bientôt russe.
C’était un conseil de l’ami lointain qui a eu la chance de ne pas se
faire laver le cerveau.
Je sais, persiste et signe
Je m’appelle
Echo
Le virus qui rend fou et...le vaccin qui rend con !
Une dose,
deux doses,
trois doses,
quatre doses,
cinq doses, overdose, thrombose, fibrose, nécrose, névrose, sclérose...
Nos maîtres grandioses en élite virtuose
Nous aiguillonnent pauvres vermines
Nous les riens ou pas grand-chose
A cette heure ils nous exterminent
Il est un fait indiscutable que le variant omicron n’a pu envahir la planète que par des sujets vaccinés puisque les non-vaccinés ne peuvent embarquer sur un vol international. Alors, svp, cessez d’attaquer les non-vax qui ne sont en rien responsables de la vague mondiale omicron.
@Norman Bates
Trop aimable cher Norman.
Je vous remercie.
A tous - vaccinés ou pas - salut,
Ils l’admettent enfin : les vaccins n’empêchent en rien la
transmission du sars-cov2.
Mais, ils oublient de nous dire que ces simulacres de vaccins créent
les conditions (circulation, variation, sélection) idéales pour
générer des mutants de + en + résistants, proliférants et agressifs.
Cela pourrait finir par une hécatombe incontrôlable et qui pourrait
bien être le but poursuivi. Certains, aussitôt taxés de complotisme,
le proclament. Franchement, je n’en sais rien. Mais c’est une
hypothèse qu’il faut toujours garder à l’esprit car un trop plein de
théories de ce genre fera toujours moins de dégâts que le règne
d’une pensée unique, politiquement correcte et débordante d’un
angélisme niais.
L’Autriche vient d’imposer un confinement strict des non-vaccinés.
Si cette mesure échoue à enrayer la progression des contaminations,
il sera alors démontré que les vaccins n’apportent aucun progrès. Et
cette démonstration sera tellement indiscutable que je fais déjà
confiance à nos Diafoirus pour creuser encore un peu plus dans leur
inépuisable mauvaise foi afin de nous expliquer qu’il faut encore
plus de ce qui ne marche pas. Ce sera démentiel, mais je sens qu’on
y va à fond, en ligne droite et en klaxonnant.
Au sujet de l’Autriche, je me demande en plus à quoi sert de
confiner chez-eux des gens qui, déjà dépourvus de passe
sanitaire/vaccinal, ne pouvaient plus faire grand chose, comme aller
au cinéma, resto, stade, bar, salle de sport etc...
Il me semble, et c’est mon avis personnel, que la seule attitude
qu’il convient d’adopter face à ce délire est l’abstention fondée
sur un scepticisme raisonnable. En ne nous vaccinant pas, nous avons
une chance de conserver intacte notre immunité naturelle qui est la
seule capable d’évoluer en s’adaptant aux futures menaces.
L’immunité synthétique fournie par les vaccins n’est bénéfique que
si elle atteint sa cible. Dans le cas contraire, en s’y substituant
elle inhibe notre système immunitaire naturel en s’exprimant
piteusement à sa place.
Face au sars-cov2, je me résumerai par la boutade suivante :
"un mauvais vaccin est plus dangereux que pas de vaccin du tout". La
sacro-sainte évaluation bénéfices/risques penche ici clairement en
faveur du camp des réfractaires à ces vaccins-là. Je précise que je
ne suis pas anti-vaccin. Je fais mes rappels des vaccins conseillés
dans mon pays de résidence, même si les risques sont faibles.
Bien entendu, je n’ai aucune certitude absolue. Je peux me tromper et c’est d’ailleurs en cela que je me sens différent des guignols qui nous terrorisent. Le vrai soucis c’est l’absence de débat, alors qu’il s’agit de défendre nos libertés fondamentales. L’autre sujet concerne l’acharnement mis à nous vacciner avec des produits inefficaces : nous sommes quand-même en droit de nous demander si ces vaccins ne sont pas conçus pour avoir une action n’ayant aucun rapport avec le contrôle de l’épidémie.
La mascarade continue.
Cette triste mise en scène, n’a jamais été destinée à un public non US.
Et c’est un ami américain, un Texan qui vote républicain, qui me l’a avoué.
C’est clair qu’il faut vraiment être piégé au fond de la matrice pour y croire.
Même les procès staliniens étaient plus présentables.
Si banqueroute universelle il y a, il faudra bien admettre que tout aura été fait pour nous y mener.
Là où la Finance semble avancer à tâtons, nous pouvons parfaitement discerner
une stratégie politique qui ne cesse d’avancer ses pions. La trame masquée du
scénario politique est volontairement truffée de "gaffes" économiques
qui lui donnent un air d’improvisation chaotique. Mais le dernier chapitre est
écrit qui nous promet une parfaite mise en esclavage.
Nous sommes plongés dans une crise qui ne doit rien au hasard ou à une imperfection cachée du système. Ce qui veut dire que rien n’évoluera dans le bon sens, parce qu’un système capable de générer des catastrophes financières propices au déploiement du libéralisme s’avère politiquement efficient.
Les conséquences économiques et sociales du marasme financier sont à classer comme dommages collatéraux d’une entreprise politique visant à imposer une gouvernance mondiale.
La fin justifie les moyens, et cette fin nous achemine vers un "libéralisme totalitaire" qui n’a que faire de nos petites préoccupations populistes.
Seul espoir : il faut que les Peuples prennent conscience que le capitalisme a suivi une évolution qui le rend incompatible avec la démocratie.
Mais pour parvenir à cela, il est nécessaire de recréer un journalisme honnête et clairvoyant. Pour l’instant, cette profession n’est pas digne de nous informer.
Bravo Monsieur Jorion !
Vous faites un travail remarquable.
Continuez.
Cette banderole sera à sa vraie place lorsqu’elle sera étalée sur les ruines de Wall Street.
Mme Marine Le Pen veut que la France reprenne sa souveraineté monétaire... !??
Soit !
Et c’est sans doute dans ce but qu’elle a apporté un vote favorable à la création d’un grand marché transatlantique ?
Il me semble que la contradiction est flagrante et qu’elle mérite d’être dénoncée comme une véritable imposture.
Pour le vote de soutien, voir ici. Marine Le Pen est le N° 46 dans la liste.
Les Etats-Unis ont lancé une campagne d’attentats "clé en main".
Bien sûr, on s’en doutait déjà. Maintenant on en est sûr.
N’est-ce pas surréaliste ? Encore que si l’Etat fournissait tout le nécessaire pour faire sauter des banques, je pense qu’il y aurait des milliers de volontaires pour poser les charges.
Mais je pense que le mieux serait de recruter les volontaires dans les hôpitaux psychiatriques et leur fournir tout le matériel, ça irait plus vite.
Bravo à Alex Jones : sincérité, fiabilité et saine colère. Pourquoi est-il si seul ?
Nouvelle pièce au dossier.
Je n’interviens jamais dans ce genre de polémique, mais les commentaires ci-dessus et signés Sentero me semblent tellement absurdes que je tenais à lui en faire part.
Dites, vous n’avez pas honte, parfois ?
A ce train-là, si demain on retire le droit de vote aux chômeurs, il se trouvera encore de bonnes âmes médiatiques pour nous claironner que c’est une bonne idée.
La prochaine étape, sans doute !
Ce n’est pas parce que les esclaves étaient une charge financière, comme tout outil de production, qu’ils étaient bien traités. Ils étaient maintenus en état de produire, c’était le minimum.
Nous sommes bien d’accord, non ?
A l’heure actuelle, de plus en plus d’esclaves potentiels en sont réduits à l’état de mendicité, voire de SDF, tout simplement parce qu’ils n’appartiennent encore à personne.
Si vous pouvez saisir la terrible évolution qui se dessine, alors nous serons pleinement d’accord.
Si le travail devient gratuit, alors tout doit être gratuit.
Il faudrait peut-être rappeler aux dirigeants britanniques que, jadis, les esclaves n’étaient pas payés mais étaient logés, nourris et soignés aux frais de leurs propriétaires. Le bétail humain était un capital sur lequel il fallait veiller et ça coûtait la peau des fesses.
Ceux qui craignent le retour du fascisme sont en dessous de la vérité. C’est de barbarie pure et simple qu’il s’agit.
Avez-vous vraiment la naïveté de croire que le libéralisme
peut se maîtriser lui-même ?
Sérieusement... ?
Il est pourtant clair qu’il ne s’agit là que du dernier outil pondu par le
capitalisme mondialisé pour faire main basse sur les richesses des Nations. Le libéralisme
sera donc ce que les capitalistes en feront. Or, l’Histoire nous a appris que
de leur part il faut toujours craindre le pire.
Je vous laisse à votre rêverie tout en vous remerciant d’avoir répondu à mes
questions.
Le vrai danger du libéralisme, et que vous semblez minimiser,
c’est l’appétit insatiable de l’individualisme. Bien que régulé, il nous a déjà
donné le fameux "too big to fail", par lequel la possible
chute d’une entité financière démesurée en vient à menacer d’un désastre
l’humanité entière.
Pensez-vous qu’un État réduit à son strict rôle régalien soit en mesure
d’empêcher la création de ces monstruosités systémiques, ou, in fine, d’en imposer
le démantèlement, mais sans recours à la violence ?
Pourquoi tant de libéraux font-ils ouvertement campagne pour la création
d’une gouvernance mondiale ? Que devient leur credo sur l’autorégulation
des marchés ?
Mon sentiment est que le libéralisme est une fuite en avant vers l’abîme totalitaire au fond duquel vos belles libertés finiront par se soumettre au pouvoir absolu d’un seul.
Pour illustrer mon propos ci-dessus, j’ai deux questions à vous poser.
- Que pensez-vous de l’indemnisation par l’État de Monsieur Bernard Tapie ?
- Jugez-vous ce personnage conforme aux canons du libéralisme dont il se réclame ?
Le libéralisme est un système de pensée qui ne peut se
passer du filet de protection de l’État.
J’ai toujours cette image des trapézistes. Combien continueraient à
voltiger librement sans protection contre les chutes ? Et pour ceux que cela n’effraie
pas, lorsque l’accident survient, vers qui se tournent-ils pour suppléer à leur
handicap, si ce n’est vers la collectivité.
Alors, d’accord pour le libéralisme, même extrême. Mais ce sera dans un monde sans
gravitation.
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