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Les commentaires de rastapopulo



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    rastapopulo rastapopulo 2 novembre 2013 20:26

    C’est clair qu’imposer un modèle puis en changer parce que pas assez gaya en se foutant de l’avis des gens ne ressemble en rien à l’oligarchie des Lords Goldmsith, Al Gore et tout le toutim !!!! Tout comme confondre les industries productives et les autres ne sont pas un cadeau aux TBTF que les gens considère donc comme seul apte pour leur pension grâce à tes discours sans discernement !!! Je n’ai aucun sympathie pour le modèle breton mais ce sont des être humain avec leur forces et leur faiblesse tout comme toi et tu viens de le prouver.



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    rastapopulo rastapopulo 2 novembre 2013 19:33

    Évidement la City ne réunit pas les banques britanniques historiquement impérialistes (Cout’s, HSBC,...) et les sièges de trading des TBTF. De la même manière, l’empire britannique sous l’autorité de la reine ne s’est pas recyclé en réseaux off-shore avec des mafieux pour contourner le Bretton Woods dans le cas des Bahamas... On peut être toujours relativiser, mais rire de ceux qui dénonce que ce soit occulté me laisse toujours perplexe. Néanmoins tu ne les assimiles pas à des anti-anglais ou autres. C’est presque exceptionnelle vu la déferlante de haine qu’ils reçoivent pour simplement défendre les convictions qui avait cours à la Libération, le "plus jamais la finance folle et les dettes publiques".



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    rastapopulo rastapopulo 2 novembre 2013 19:05

    Sans vouloir rentrer dans le débat des bonnes et mauvaises austérité, pourquoi les libéraux n’adore pas les 30 glorieuses sans dette publiques (et décrochage immo-salaire) puisque c’est le VRAI problème ? L’idéologie, même libéral, sombre comme même souvent dans le new age incapable de recul, même de 50 ans.



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    rastapopulo rastapopulo 2 novembre 2013 18:48

    Si j’ai bien compris, la Bretagne était une région arriéré économiquement avant les 30 glorieuses et principalement des industries agroalimentaire s’y sont installé. Comme disait si bien le généticien qui sort actuellement son livre ("le marché et le bien commun" de tête) : "quand quelqu’un à la grippe, on ne prévoit pas une opération". Solidarité&Progrès me semble plus visionnaire dans leur programme qui propose une Bretagne productrice d’électricité avec des nouveaux types de transports rapide, mais rien n’exclue d’être compréhensif envers des acteurs économique qui se sont enfoncé dans des modèles à court terme. Eux au moins produisent du concret tandis que les TBTF se gargarise avec suffisance de ne produire aucun CO2 !!!!! L’écologie n’ayant pas attendu le CO2 pour être noyer sous une sauce malthusienne, rien d’étonnant dans ce slogans moderne contre l’industrie productive. 



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    rastapopulo rastapopulo 2 novembre 2013 18:34

    Affirmer la supériorité absolue du marché ou de l’état sur l’autre, c’est s’exposer à la contradiction. Comment dés lors ne pas te rappeler la réussite éclatant des 30 glorieuses sans dette publique et décrochage immo-salaire grâce aux plan Marshall (crédit productif sans intérêt), GlassSteagall (interdiction des TBTF et donc du mélange des genres si dérangeant pour les vrais libéraux) et Bretton Woods (interdiction de spéculer sur la monnaie) ???
     
    C’est comme défendre la finance d’un bloc alors que de Venise à la City, celle qui est internationale penche historiquement vers l’impérialisme. Cette finance déteste autant le contrepoids du marché (ersatz de free-trade esclavagiste anglosaxon, en réalité du dirigisme) que des états indépendants (s’opposant, en autres, au commerce de son opium donnant naissance de la HSBC). D’ailleurs Bertrand Buisson est un repenti de cette finance bien particulière alors que Solidarité&porgres n’est absolument pas contre les différents métiers des banques si ils sont clairement distingué dans leur responsabilités. Cela responsabiliser les banques d’investissement et interdit les TBTF mais des idéologue libéraux disent que c’est mal parce que c’est une mesure étatique, quel ironie !!!
     
    La vérité, c’est que tout le monde est devenu freak control à l’anglosaxonne et que personne n’accepte des contre-pouvoirs. Les libéraux on voulu niquer les socialo en annulant le GlassSteagall-crédit productif-Bretton Woods et vice et versa pour les socialo qui ont exigé en contrepartie que les banques achètent des obligations d’état. Les impérialistes qui insuffle leur propre freak control s’en délecte.



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    rastapopulo rastapopulo 31 octobre 2013 23:12

    Tu peux bien fabriquer une éolienne avec une bobine de récup mais essaye de fabriquer ta bobinne sans machine-outil demandant une énergie centralisé et abondante (donc des back up). En plus, les pseudorenouvelable avec plus de matière, énergie et surface sacrifié/Kwh en amont que le nucléaire pose aussi un souci logique chez nous. Enfin, je la ramènerais pas avec l’aspect propagande en plein retour du malthusianisme et la noyade de l’écologie française dans la sauce britannique des Lords et oligarques contre le développement.



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    rastapopulo rastapopulo 31 octobre 2013 22:58

    le CO2/Kwh ne ment pas sur les surfaces, l’énergie et les matières sacrifiées en amont. Les pseudorenouvelables ne seront jamais plus écologique que le nucléaire. Il y a mathématiquement dans l’air plus de radioactivité et d’autres joyeusetés plus grave avec les pseudorenouvelable à cause du charbon supplémentaire/Kwh, c’est comme ça.
     
    Reste le risque d’accident et qu’en remplacement de centrales au charbon, les pseudorenouvelables sont écolo cette fois ça. Mais venir avec sa morve en oubliant le calcul de la pollution en amont... C’est même pas manichéen, c’est idiot. C’est aussi très Ironique de ne pas calculer les becquerelles/m² photovoltahic pour après se prétendre antinuk ! 
     
    Dénigrer l’énergie la plus dense (donc avec le moins d’impact/Kwh) par dogme ? Même ramener les pollutions respectives aux Kwh produit est interdit dans l’esprit des donneurs de leçon, ça se sent tout de suite.



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    rastapopulo rastapopulo 25 octobre 2013 17:14

    Si ça s’applique à des gains, des pertes ou des risques dissimulés sur le dos des autres : manipulation du Libor, maquillage des comptes grecques, email rendus publiques/déclarations des dirigeants de Fortis à la même époque, les puppet de GS,... Le plus beau phonétiquement étant comme même la sortie des enregistrement de la grosse banque irlandaises relatant le choix des chiffres officiels des pertes de sa banque ("sortie de mon...") pour piégés les irlandais.
     
    Si ça s’applique à une politique dissimulée : Oblabla qui renomme Larry summers (déjà responsable des subprime et de la fin du GlassSteagall sous Clinton) comme conseiller en chef et voulait même le nommer à la tête de la FED alors que son slogan est Change, Hollande et son "la fifinance" mais qui sort un truc qui va séparer 0,1% des activités à risques et interdire d’aller en justice aux communes qui commençait à gagner des procès contre les produits dérivés à taux variable dissimulés,...
     
    Si ça s’applique à une volonté dissimulée de favoriser la finance off-shore...
     
    Si ça s’applique à des coup d’état humanitaire visant à étendre une influence géopolitique...
     
    Quand aux théories économiques, c’est pas comme si le Bretton Woods (interdiction de spéculer sur les monnaies), le GlassSteagall (interdiction des TBTF) et le crédit productif (priorité au long terme) avait offert les 30 glorieuses sans dettes publique et décrochage immo-salaire. Oui j’aime bien aussi relever les tabous !



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    rastapopulo rastapopulo 25 octobre 2013 00:54
    Historia défend Colbert !
    Couverture du magazine Historia de septembre 2013.

    La revue Historia de septembre a consacré un dossier très intéressant à cet homme exceptionnel. Doit-on y voir un tournant vers une remise en question des dogmes libéraux qui nous ont conduits à la perte de notre substance industrielle ?

    En tout cas, c’est bien la première fois depuis plusieurs décennies que ce grand ministre est mis à l’honneur, avec des contributions de cinq économistes, professeurs ou autres spécialistes. Les rares parutions au cours de ces années de libéralisme noir, à l’image de l’ouvrage de François d’Aubert paru en 2009, ont cherché à discréditer Colbert, le faisant passer pour aussi corrompu que le surintendant des Finances Nicolas Fouquet qu’il fit arrêter. On n’a pas vu cet homme politique user d’un stylet aussi tranchant pour dénoncer les turpitudes qui nous ont conduits à la crise de 2007…

    Les lecteurs assoiffés par la médiocrité du débat ambiant et avides de ces grands moments de l’histoire qui pourraient inspirer un changement de cap, apprécieront ce dossier. De rares phrases malheureuses se glissent ici ou là, comme celle de Joëlle Chevré, pour qui « cupidité et cynisme constituent la part obscure » de Colbert. Sa tentative de réduire à la défense d’intérêts claniques le patriotisme de celui dont la devise était : « Pour le roi souvent, pour la patrie toujours » , est tout aussi abusive. Colbert ne cessa de placer son action dans les pas de Charlemagne et de ces « grands » Richelieu, Louis XI et Henri IV, conscient de faire partie d’une lignée d’hommes dont le combat pour le développement de la nation France remonte très loin. Il y a aussi, ici ou là, une tentative par trop pragmatique de réduire Colbert à un « monétarisme » mercantiliste. Dire que la quête du « numéraire » via les exportations était le but ultime de la politique de Colbert, c’est oublier que nous sommes dans le pays de Jean Bodin, pour qui « il n’est de richesse que d’hommes » , et d’hommes éduqués et productifs.

    D’autres éléments qui étaient au centre des préoccupations de Colbert, et doivent être une source d’inspiration pour nous aujourd’hui, n’ont pas été assez soulignés.

     Lutte contre la finance

    D’abord, la préoccupation constante de Colbert de soutenir les peuples contre les financiers. « Les deux professions qui consomment cent mille de vos sujets inutilement (...) sont la finance et la justice [officiers de justice qui imposaient un joug tyrannique aux peuples] », écrivait-il à Louis XIV le 22 octobre 1664. C’était l’époque des « Grands Jours », où Colbert instaura un tribunal de justice à travers le pays pour entendre les peuples et condamner ces abus. Il déploya la même énergie à empêcher la saisie du bétail pour cause de dettes, créant les conditions pour un remboursement différé par les laboureurs.

    Ce choix n’est pas celui du gouvernement actuel : pas une seule sanction contre les pratiques spéculatives des banques, et comme l’illustre le cas de Dexia, l’Etat continue à renflouer les banques qui ont spéculé, au détriment des contribuables.

     Volontarisme et moteurs

    Pour réussir, le volontarisme doit aussi se traduire dans le domaine de la mécanique et de l’énergie. Lorsque Colbert arriva aux affaires en 1661, les savants des grandes nations s’afféraient à construire un moteur, afin de décupler la force de travail des hommes et les soulager du travail manuel. C’est fut une préoccupation centrale de l’Académie des Sciences fondée en 1666, véritable moteur du renouveau scientifique et technologique de la nation.

    Fig. 1 : Le moteur à explosion de Papin (1690) faisait appel à la vapeur et à la pression atmosphérique pour soulever un poids.

    Outre sa découverte du calcul infinitésimal, suite à ses lectures de Pascal, Leibniz collabora avec Christian Huyghens, président de l’Académie, et avec Denis Papin, à la construction de la première machine à vapeur. Un mémorandum de Huyghens à Colbert, portant sur ces questions, dont chaque ligne est approuvée de sa main, atteste de l’importance que Colbert accordait à ces travaux. [2]

    Fig. 2 : Machine à vapeur de Papin de 1707. La vapeur transmise de la chaudière A via le tuyau B, fait pression sur le piston F qui repousse avec force l’eau qui arrive par H. Repoussée vers le réservoir au point M, l’eau est ensuite expulsée avec force en X sur les roues à aubes.

    A l’époque, on cherchait à utiliser la pression atmosphérique pour soulever un poids (Fig.1). Pour utiliser cette force, Papin et Huyghens ont d’abord testé le premier moteur à explosion. Au bas d’un piston, la poudre contenue dans une petite boîte était chauffée pour pousser le piston vers le haut et en chasser l’air (provoquant le vide). Par l’effet de la pression atmosphérique, le piston redescendait ensuite avec la force d’un kg par cm2, soulevant un poids qui lui était attaché. Cette expérience échoua, mais Papin décida d’utiliser la « violence » de la vapeur d’eau pour lever le piston à la place de la poudre. Ce fut la première machine à vapeur : deux tubes pesant 40 livres chacun ont pu soulever à 4 mètres un poids de 2000 livres !

    Entre juillet 1698 et 1707 cependant, fruit d’un dialogue épistolaire nourri, Papin et Leibniz découvrent qu’il est bien plus efficace d’utiliser la force élastique de la vapeur pour exercer un travail, plutôt que de passer par la pression atmosphérique. Conscient d’avoir découvert une force qui « peut augmenter les pouvoirs de l’homme à l’infini » et faire « qu’un homme puisse faire avec ces moyens ce que cent autres peuvent faire sans elle » , Papin créa le premier bateau à vapeur avec roues à aubes. Cent ans avant l’Angleterre, la machine à vapeur (Fig.2) était inventée en France !

    Revenons aux projets de la nouvelle France industrielle. En promouvant les « énergies renouvelables », on fait exactement la démarche inverse de celle de Colbert. A son époque, les renouvelables étaient déjà largement répandues. Elles permettaient l’existence, bien misérable à lire les récits de Vauban, de quelques 600 millions d’âmes dans le monde. De par leur faible densité, la capacité de travail des renouvelables est bien moins grande que celle de la machine à vapeur. Veut-on donc revenir à une humanité de 600 millions d’habitants, ou, au contraire, comme Colbert à son époque, inventer le feu nucléaire de demain pour le développement des générations futures ? C’est l’enjeu réel de notre avenir.



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    rastapopulo rastapopulo 23 octobre 2013 15:35

    Parce que tu crois que les banques n’ont pas présenter la chose d’une certaine manière et que l’absence des taux dans le contrat est légal monsieur le légaliste ?
     
    Pourtant, il est rappelé qu’une commune a gagné juridiquement et que le but explicite de la circulaire est d’empêcher le recours aux tribunaux des communes...
     
    L’idéologie, même de droite, affaibli le cerveau. Ton grand écart entre l’obligation du contrat (qui se trouve être illégal...) et le "vrai" bon sens qui appartiendrait à ton école rajoute à ta subjectivité.
     
    La vrai vie est paradoxale et ne s’énoncent pas idéologiquement. Par exemple, le GlassSteagall responsabilisait les banques en pouvant les laisser faire faillite sans emporter l’économie productive. Impossible à comprendre si on est orienté de manière monolithique.



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    rastapopulo rastapopulo 24 septembre 2013 17:24

    Charbon +1%/2ans. Lignite +10%/2ans. Nucléaire remplacé en amont des données par du charbon pour fabriquer des "renouvelables". L’écologie des mines de charbon oubliées.



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    rastapopulo rastapopulo 23 septembre 2013 15:48

    Les empires privatisés sont un fait établi comme par exemple les Compagnies des Indes ou les marchands musulmans d’es-slaves sous certains califats. Pour autant "la propriété privé de moyens de production" n’est pas négative en soit. Avant la création du concept de souveraineté nationale (donc de la démocratie pour un peuple au niveau internationale) si chère à Henry IV on pouvait encore à la limite voir l’enrichissement comme automatiquement sur le dos d’autrui. Sauf que même avant la créativité humaine avait permit l’enrichissement mutuel et que c’est encore plus vrai depuis. Dans le même genre arler de la finance sans distinguer la situation actuelle avec celles des 30 glorieuses et ses taux de change fixe, son crédit productif sans intérêt et son GlassSteagall... Comment dire ? C’est plus que léger du point de vue historique mais très dans l’air du temps de ne pas s’attarder sur de menus détails ! Il est vrai que les 30 glorieuses sont aussi la réussite éclatante d’une économie mix privé-état et que c’est un peu trop élever l’esprit humain aux paradoxes que de le rappeler.



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    rastapopulo rastapopulo 23 septembre 2013 14:57

    Merci à SolidaritéEtProgrès pour avoir transposer la créativité humaine millénaire au jour d’aujourd’hui. C’est l’esprit d’un dynamisme continuelle qui aurait permis à quelqu’un en 1900 d’entrevoir la société tel qu’elle est aujourd’hui. Vous pouvez être contre (genre un cap unfranchissable est atteint= millénarisme) mais admettez que vous auriez été à la masse aujourd’hui avec une pensée statique à l’époque. Un peu de recul et de perspective en somme.



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    rastapopulo rastapopulo 23 septembre 2013 14:37

    Pic pétrolier que certain attendent avec impatience depuis 30 ans (tiens justement lors du grand retour de la finance folle et du malthusinisme dans l’indifférence généralisée). Toute cette focalisation sur les matières premières au détriment de la constante créativité humaine n’est qu’une vision statique de l’histoire, si encore c’est une vision. Il y a 5X l’équivalent de tout le pétrole jamais produit sous forme de "glace qui brûle", du thorium pour 200 ans le temps de parfaire la fusion et la lune est couverte d’hydrogène. Il y a 99% de chances que nous ne manquions jamais d’énergie (et donc les centrales les plus polluantes au charbon est une aberration)... Si une dictature malthusienne n’empêche pas notre dynamisme scientifique millénaire ! 
     
    Quand à la surpopulation, la solution est de la simple justice sociale. Mais comme c’est du développement économique la solution pour stabiliser les population, il faut sombrer dans le fatalisme malthusien pour pouvoir continuer à utiliser cette argument. Paradoxale ? Donc bien plus vrai qu’un accès direct à une vérité intemporelle. 



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    rastapopulo rastapopulo 23 septembre 2013 14:21

    Ils ont comme même été stupide pendant les 30 glorieuses (sans dette) avec leur esprit du "plus jamais ça" de la libération alors qu’évidement ce n’est pas l’abandon des taux de changes fixes, du crédit publique et du GlassSteagall qui a provoqué les 30 ruineuses qui ont suivies... Si jamais le CNR t’avais connu, t’imagines ? On aurait pas à se coltiner la classe moyenne issue du plus grand enrichissement de population sans dette publique de tous les temps pendant les 30 glorieuses. Le rêveeeeeeeeeeeeeeeeee  



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    rastapopulo rastapopulo 23 septembre 2013 14:13

    Au passage, les gens contre le partage de la technologie et l’élévation des niveaux de vie sont une minorité et c’est eux qui ont besoin d’une dictature (au minimum financière) pour l’empêcher ! Il faut vraiment ne jamais avoir vécu le dénuement pour penser que des populations seraient contre le développement !! C’est qui la secte, ceux qui pense que l’immigration de masse sont des petits voyages culturelles ou la majorité de la population mondiale pour le développement ? A la limite, il faut critiquer la dictature du plus grand nombre mais oser soutenir l’argument de la dictature avec des données contraire aussi banales... Franchement d’où vient une ineptie aussi énorme ?



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    rastapopulo rastapopulo 23 septembre 2013 13:44

    ...et/ou... auraient été plus adapté vu que les 2 grands reproches fait à SolidaritéEtProgrès ne sont pas forcément utiliser ensemble. Vive le malthusianisme et vive la finance folle !



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    rastapopulo rastapopulo 23 septembre 2013 13:35

    L’impact sur l’environnement est objectivable avec un calcul mathématique des énergies, surfaces et matière en amont des énergies finales. Toutes les centrales nucléaires et mines d’uranium réunies n’atteindront jamais en surface les mines à ciel ouvert pour le charbon qui fabriquer les pseudorenovelable produisant les mêmes Kwh. La radioactivité du charbon pour fabriquer les pseudorenouvelable étant relargué directement dans l’air, le minimum de correction serait d’en calculer les quantités avant de se proclamer antinucléaire tout en étant pro"renouvelable". Et oui, si l’amour de la nature est de la laisser vierge avec une quantité et une diversité maximum, il n’y a que le nucléaire de logique. Mais loin des yeux loin du cœur... D’où vient le charbon pour purifier le silicium dans des cuves de quartz à 1800° des photovoleurs franco-français ??? C’est risible d’oublier la pollution en amont pour se draper dans son émotivité faussement écolo. Les "renouvelables" ne sont un progrès écologique augmentant les Kwh/envirronement qu’en remplacement de centrale au charbon. Attaquez vous surtout bien au nucléaire avec tous le dogmatisme que cela implique !



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    rastapopulo rastapopulo 23 septembre 2013 13:22

    Traiter l’autre de secte, à fortiori quand celui-ci défend ni plus ni moins que l’esprit des 30 glorieuses sans dettes publiques issu du "plus jamais ça" de la libération, ça ne peut passer qu’en se gargarisant d’un concept antisocial de la nature et de la finance. 



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    rastapopulo rastapopulo 23 septembre 2013 13:19

    "LE PLUS MIEUX-MIEUX" naturel est un concept à géométrie hautement variable puisque l’homme n’a qu’un accès indirect à la vérité. Par contre pour l’impact sur l’environnement, c’est objectivable avec un calcul mathématique des énergies, surfaces et matière en amont des énergies finales. Toutes les centrales nucléaires n’atteindront jamais en surface les mines à ciel ouvert pour le charbon qui fabrique les pseudorenovelable. La radioactivité du charbon pour fabriquer les pseudorenouvelable étant relargué directement dans l’air, le minimum de correction serait d’en calculer les quantités avant de se proclamer antinucléaire tout en étant pro"renouvelable". Et oui, si l’amour de la nature est de la laisser vierge avec une quantité et une diversité maximum, l’optimalisation de la production humaine est impérative. La contradiction n’est pas dépassé par le fait d’apposer un isme après production. Au bout du raisonnement, il n’y a que 2 choix logiques : soit la décroissance (diminution de la classe moyenne au grand bonheur des oligarchies qui n’ont jamais aimé la pression sociale d’une population sans dette comme le prouve le malthusianisme adopté par l’empire britannique pour justifier le non-développement des colonies), soit l’optimalisation, y compris celle de la production.

    Je passe sur le fait que les populations se stabilisent (régressent sans immigration) avec élévation des niveaux de vie. J’en ai marre de le répéter tellement c’est évident mais que les masses sont formatées à le nier. Alors votre guéguerre culturelle contre l’industrie, c’est formidable pour séparer la production de la consommation comme du temps des Compagnies des Indes où en pleine famine les marchands croulaient sous l’opulence.