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Les commentaires de Chitine



  • 1 vote
    Chitine Chitine 3 avril 2014 14:39

    A un moment donné, par rapport à l’offre à ce temps donné, une offre additionnelle ne rencontrera pas de demande. 
    A ce moment là, il n’y a pas de demande suffisante pour cette offre.
    Il n’y a donc pas toujours de demande.
    Je parle donc bien de demande relative et non pas absolue. 

    De cette demande dont la variation par rapport à l’offre diminue ou augmente les capacités à produire de l’emploi.

    .

    Vous n’êtes pas obligé d’être méprisant, même si c’est pour essayer de me corriger sur un truc que vous n’aurez pas compris de la bonne manière.



  • 2 votes
    Chitine Chitine 3 avril 2014 13:26

    Oliderid.

    On peut être un entrepreneur considéré comme génial et avoir une mauvaise idée dans la mesure où l’on n’est pas que l’entrepreneur d’une seule idée.
    .
    Et non il n’y a pas toujours de la demande.
    .
    Arrêter donc d’affirmer des trucs que vous comprenez à moitié, lisez, informez-vous ! C’est ça le malheur de la France toujours croire tout savoir.
    Je vous le retourne.

    D’autant plus que je ne suis pas français.

    .

    Et sinon, à part cette reprise qui fait plouf , vous n’avez rien d’autre à redire ?



  • 2 votes
    Chitine Chitine 3 avril 2014 12:20

    "En plus de tous les emplois qu’il a créés, Bill Gates redistribue la moitié de sa fortune personnelle dans la philanthropie, la lutte contre la pauvreté et la maladie.
    Mais sans sa richesse, il ne serait pas l’un des hommes les plus généreux au monde :"

    .
    En plus de tous les emplois qu’il a créés
    Les entreprises ne "créent" pas l’emploi. L’emploi est une conséquence de la rencontre entre une offre et une demande. Si la conjoncture est en déficit d’offre, ou en déficit de demande, ou les deux, alors il n’y a pas de création d’emploi, que Bill Gates soit là ou pas.
    .
    Autrement dit : tu est un entrepreneur de génie, tu as un MBA d’Harvard, tu es un créatif hors-pair... si il n’y a pas de demande pour le produit que ton entreprise est destinée à produire, si personne ne l’achète, comment fais-tu pour "créer" de l’emploi ? Tu ne le peux pas.
    .
    L’entreprise, si elle est une condition nécessaire pour la création d’emploi, n’est donc pas à elle seule une condition suffisante. Pour la création d’emploi, elle devra compter avec la disponibilité de main d’œuvre et la conjoncture économique. Du coup, l’adage selon lequel c’est l’entreprise qui crée l’emploi (sous-entendu l’entreprise à elle seule) est faux et ne devrait plus servir à ce chantage dont se servent les fédé d’entreprises pour foutre la pression et se présenter comme les acteurs prépondérant lors des négociations.
    .
    Par ailleurs, Bill Gates n’a fait qu’occuper un marché forcément prometteur qui se serait développé avec ou sans lui. Non seulement il n’était pas du tout indispensable à l’essor du secteur et de tout l’emploi qui y a été généré, mais en plus sa politique commerciale de trust inter-entreprise et de placement obligatoire, sa stratégie monopolistique, a fortement contribué à empêcher l’émergence d’un modèle plus ouvert, plus dynamique, plus versatile, plus adaptable, plus enrichissant, à tout point de vue. 

    .

    Il a en plus par là complètement retourné le modèle qui lui a justement permis d’émerger, comme à toute cette génération de la Silicon Valley des 70-80, ce modèle bien plus véritablement libéral, ou n’importe quel équipe de deux pouvait démarrer de ses seules idées innovantes, ses capacités de coder...
    .
    Dans la mesure ou le secteur dans lequel il a développé son modèle pourri est absolument névralgique dans nos sociétés, cela fait de Bill Gates ni plus ni moins qu’un des architectes majeurs du modèle néolibéral qui nous met tous dans la merde aujourd’hui. Louer sa parole en des matières économiques est un aveu d’ignorance ou de cynisme.



  • 14 votes
    Chitine Chitine 2 avril 2014 15:07

    Bill Gates est le contraire d’un libéral, c’est un monopolitste qui a imposé son système par trust anticoncurrentiel.



  • 4 votes
    Chitine Chitine 2 avril 2014 10:35

    "Variante :

    Si les banques sont encouragées à penser que quelqu’un d’autre se charge des risques pour elles, on les infantilise.
    Si on donne plus de responsabilité aux banques, elles se comportent avec plus de responsabilité.
      ...  ...  ...
    C’est beau le libéralisme ..."
    .
    Bien vu.


  • vote
    Chitine Chitine 31 mars 2014 14:50

    StabilobOss,

    Merci beaucoup pour ta mise au point du 28 mars 17:37.
    Je pige pas que des gens qui se réfèrent systématiquement aux catégories de l’intelligence pour répliquer, stigmatisant "le con" au passage, ne comprennent pas qu’en opérant cette distinction comme argument ils expriment une limite dans leur capacité à raisonner au delà de leur domaine naturel ("expriment", pas "confirment").
    Ce qui du coup pousse les stigmatisés de la première heure à également positionner ces condescendants sur leur propre grille de qualification de l’intelligence.
    .
    L’absence de raillerie et d’insulte (même si parfois c’est marrant) permet à l’interlocuteur de ne pas être d’accord sans cesser de voir l’autre comme un interlocuteur. Les insultes et la raillerie ne conduit qu’à l’escalade des qualifications au grand-prix de la connerie.
    .
    Bon. Après cette énooorrme leçon de savoir vivre pas du tout condescendante, je m’en va lire les commentaires croustillants des polémistes trollesques XD



  • vote
    Chitine Chitine 31 mars 2014 14:12

    "On est plus concerné par la réalité dans le cauchemars que dans le doux rêve. Le cauchemars est un puissant stimulant intellectuel. C’est aussi cela que nous dit ses films."
    .
    Stimulant, c’est le mot.



  • vote
    Chitine Chitine 31 mars 2014 14:00

    ""Il invite Dieudonne qui ne représente personne, et refuse d’inviter M. Asselineau sous pretexte qu’il ne représente personne." Il invite dieudo en tant qu’artiste polémique ; il a pas besoin de représenter des gens, il invite Asselineau en tant que politique. Comparaison débile..."
    .
    C’est sûr que la comparaison que Asselineau fait entre lui et Besancenot est plus directe.
    Mais dire que celle d’avec Dieudonné est débile, faut pas exagérer.
    .
    Si Dieudonné est qualifié d’"artiste polémique" et qu’il est invité pour cette raison, alors c’est qu’il représente nécessairement des gens. Il n’est polémique que s’il représente un courant de pensée partagé par suffisament de gens que pour que ça fasse polémique.

    Le petit nazi qui fait des meeting de 2 personnes, ses propos sont sujets à polémiques mais ne feront pas polémique tant qu’il n’y aura pas une quantité de gens suffisamment grande pour que cela soit considéré comme un problème.
    C’est sur base de cet argument de la représentation que Dieudonné a été considéré comme un problème par les politiques et les médias. Selon eux, Dieudonné serait passé de "humoriste" à "idéologue engagé meneur de meeting" (politique, donc) parce qu’il exprimait et faisait partager des idées polémiques à un nombre conséquent de personnes lors de ses représentaitons, ce qui aurait apparenté celles-ci à des meeting politiques.
    .
    Donc l’argument qui disqualifie sous prétexte de la représentation ne tient effectivement pas.



  • 1 vote
    Chitine Chitine 31 mars 2014 13:30

    Heptistika,

    Que l’argent soit une dette est-il le problème ?
    Ne serait-il pas plutôt qui en est le créancier et à quoi cette dette est-elle adossée ?

    .

    Si je m’endette pour des travaux nécessaires, que ne pourrais payer cash, auprès d’une banque aux activités durables et éthiques (la petite banque normale, entreprise locale) et qu’il en relève de mon sens des responsabilité et de ma force de travail d’honorer cette dette, je ne vois pas où il est le problème. 

    .

    Si je dois passer par une banque d’affaire qui me propose une dette adossée à des titrisés incompréhensibles, avec intérêts à taux variables, pour le bénéfice d’actionnaires qui ont déjà des participations dans les institutions financières les plus parasites de la planète, là je vois où il est le problème.

    .
    Les problèmes que vous soulevez dans vos exemples sont plus liés à la nature-même du dollars et au dépossessions progressives des souverainetés monétaires des états-nations qu’au fonctionnement par la dette lui-même qui existait depuis des siècles avant 1913.
    .
    Ceci dit, il pourrait être possible de se passer du fonctionnement par dette mais il faudrait alors changer complètement la nature même de la monnaie classique, destinée autant à l’échange qu’à la thésaurisation, pour une monnaie de type fondante. Et là on ne toucherait pas seulement à la monnaie mais à ce qui constitue le fondement des différences qui structurent nos sociétés hiérarchisée, c’est à dire les différences de capitaux.
    Le paradoxe étant que, pour financer une telle révolution, il nous faudrait utiliser une quantité astronomique de monnaie-dette afin d’être politiquement aussi puissant que ceux qui auront tout intérêt à contrer le projet, des sommes qu’aucun capitaliste "sensé" ne nous prêterait puisqu’il saurait qu’il n’en reverrait jamais la couleur.
    .
    Avec toi je plaiderais au moins pour un retour à la souveraineté monétaire des nations souveraines. Ce serait déjà pas mal.



  • vote
    Chitine Chitine 31 mars 2014 12:12

    (ce n’étais pas en réaction à ton message, Union Latine, je me suis gourré ;
    mais finalement peu importe, j’adhère)



  • 1 vote
    Chitine Chitine 31 mars 2014 12:08

    Au Monde, pendant deux décénies, Plenel s’est comporté en VRP des institutions supranationales qui ont profondément inscrit le fonctionnement Néolibéral dans nos économies, le modèle le plus antidémocratique en dehors des dictatures franches.
    Maintenant c’est le roi de la montagne des démocrates révolutionnaires...

    .
    Lao tseu disait : "Mouille ton doigt, met le au vent, et tu connaîtras le sens de la pensée de Plenel".



  • vote
    Chitine Chitine 31 mars 2014 11:55

    Je ne sais pas si cet auteur est un fou à imbitable à éviter, comme le suggère attis, ou un génie, mais en ce qui me concerne, à chaque fois que j’entends le mot "dystopie", je pense "Jodorowsky" .
    Sa SF BD est une projection hyperbolique de notre monde d’overdose matérielle et de délabrement spirituel.
    Ces mondes qu’il dépeint sont comme des cauchemars dont on se sait toujours plus proche d’atteindre le seuil au fur et à mesure de notre chute dans leur noirceur, où les monstruosités ultra-sophistiquées rejoignent l’innocence des corps purs, où l’humain dans sa banale médiocrité devient le siège de puissances démiurgiques inouïes.
    Je n’ai jamais lu quelque chose d’aussi pessimiste et réjouissant à la fois.



  • 1 vote
    Chitine Chitine 28 mars 2014 22:48

    ""La cause première est politique" ???
    La cause première de quoi ?
    Il ne pose comme un axiome, ce n’est pas du tout démontré (du moins dans tout ce que j’ai vu de lui, faut-il rappeler encore que je ne connais pas l’intégralité de son oeuvre par coeur) ..."

    .
    C’est posé par la reconnaissance du fait que l’humain est un être social. Or ce qui donne forme à la configuration sociale d’un groupe est la politique.
    Et comme Il se fait que pour nos groupes sociaux les fondamentaux du fonctionnement politique sont inscrits dans la Constitutions, la cause des causes institutionnelles serait identifiée en elle.
    .
    Il me semble que ce qui tarabuste dans l’idée de Chouard de fixation de la cause des causes dans la constitution c’est qu’on a tous l’intuition que l’objet "constitution" n’a au fond que la valeur que les vainqueurs du rapport de force lui permette de se voir accordée, (comme l’évoque indirectement M. Bourguignon dans la vidéo quand il rappelle que les révolutions sont l’exeption et que quand elles ont lieu c’est pour le remplacement par l’autre dominant, le vainqueur, pas plus "démocratiseur" des rennes du pouvoir que le précédent).
    .
    Et que donc une fois résolu la question de la cause des causes institutionnelles, il reste toujours le rapport de force brute, celui qui s’officialise par la constitution : la "thermodynamique" sociale, pour reprendre le terme de Yoananda.



  • 1 vote
    Chitine Chitine 28 mars 2014 17:19

    (Oups, je n’avais pas vu les posts depuis 16h40...)



  • 3 votes
    Chitine Chitine 28 mars 2014 17:16

    "la nécessité de sauver la possibilité de production de nourriture précède la nécessité de gérer le système politique."
    .
    Je ne comprend pas la distinction, quelle que soit l’acception de "politique".
    .
    Si on parle de politique en tant qu’aménagement des rapports de forces, le sauvetage des possibilités de produire de la nourriture étant nécessairement un travail collectif, quelle que soit l’échelle, le sauvetage des possibilités de produire de la nourriture est nécessairement un fait politique.
    .
    Si on parle de politique en tant que système institutionnalisé du fonctionnement politique (parlement, sénat, partis pol., etc.), dans la mesure où l’échelle à laquelle doit se réaliser ce travail de préservation des possibilités de produire de la nourriture, pour être pertinent, est macro ou n’est pas (je ne vois personne pouvoir sauver les sols en ne préservant que son jardin), sa réalisation est dépendante des structures institutionnelle déjà existantes et à venir.
    .
    Les sols, c’est l’objet du problème ; la préservation méthode Bourguignon, c’est une solution ; la politique c’est une condition. Rien ne se distingue, tout est dans la même séquence, consubstantiellement. Du coup je ne comprend pas la raison de la question de la priorisation de ces éléments-là.



  • vote
    Chitine Chitine 26 mars 2014 22:14

    Oui, j’avais déjà lu une de tes réactions à des critiques où tu expliquais cela.
    Et d’après ce que je comprend tu as aussi du faire face il y a quelques temps à une fermeture brutale d’un compte hébergeant quelques milliers de vidéos. Ta chaine, c’est du boulot, sans conteste.
    .
    Un truc que je ne comprend pas c’est : pourquoi prends-tu la peine de renseigner sur ton site les auteurs des vidéos que tu relayes (ce qui est quand même le minimum que tu leur dois) et ne le fais-tu pas dans tes articles sur ATV ?
    .
    Comprend que, comme tes articles sont autant une promo des vidéos que tu relayes qu’une promo de ton site, et qu’ajouté à cela tu places de la pub, le fait que tu ne cites pas tes sources contribue au sentiment que ta priorité est moins l’information que la valorisation de ton site - quand bien même ce ne serait pas vrai, et je suis prêt à le croire.

    .

    En renseignant les sources, tu cours il est vrai le risque que l’internaute cherche et trouve le document sans passer par ton site. Mais c’est, je pense, un risque à prendre, car tu y gagnerais en crédit.

    Bonne continuation.



  • vote
    Chitine Chitine 26 mars 2014 19:45

    ...ceci dit, merci quand même.



  • vote
    Chitine Chitine 26 mars 2014 19:24

    "vers un document", Blueman, je ne parle pas de pages web.

    Vidéos, pdf, musiques... 

    Mais oui, Blueman, fais comme bon te semble. Nous aussi...



  • vote
    Chitine Chitine 26 mars 2014 11:04

    Ta démarche est documentaire ? Et bien alors tu sources tes documents dans la présentation que tu en fais. C’est en soi cohérent et c’est une règle, Blueman, et que tu n’y vois pas d’intérêt n’y change rien. 

    .
    Mais puisque tu as l’air de fonctionner en mode "pragmatique" je vais te parler ce langage :
    je ne clique jamais sur un lien vers un document si je ne suis pas d’abord renseigné sur le sujet + auteur(s) et beaucoup de gens sont comme moi. A bon entendeur... 



  • vote
    Chitine Chitine 25 mars 2014 21:55

    ""La psyché collective de la société de consommation ferait en sorte de l’oublier, "


    Je ne réduirais pas cela à un antagonisme avec la société de consommation. Laborit décortique les comportements au niveau élémentaire et ses analysent valent aussi bien pour les "indignés" que pour les vendeurs de chemises. 
    Cela conduit à l’impossibilité de récupération de ses idées par les promoteurs d’idéologie de tous bords : ses analyses sont trop humiliantes (dans le sens de rendre humble) pour servir une idéologie. Que ce soit un syndicat, une association ou une multinationale, tous ont pour but primordial leur propre pérennité et se débattent dans un système de dominations. Ça ferait trop mal aux grands "humanistes" de le reconnaître."

    .
    Je suis d’accord, moi non plus je ne le réduirais pas à un antagonisme avec la société de consommation.
    Mais la société de consommation est notre modèle économique, qu’on soit indigné ou non, et ce modèle est basé sur une conception d’un humain uniquement individuel, dont la réalisation dépendrait de lui-même, de ses choix.
    Cette conception, nous la "vivons" tous car nous en avons hérité, et elle rencontre brutalement les résultats des études de Laborit, ce qui selon moi peut en partie expliquer son manque de succès populaire.
    .
    QUestion idéologie, non seulement les résultats des études de Laborit eux-mêmes - conduisant entre autres à la conception d’un humain symbiotique - mais les déclarations de l’auteur également sont positionnables sur un échiquier des valeurs "politisables", comme l’exprime notamment cette citation :
    .
    "Il faut propager au plus vite cette notion que l’homme "n’est" pas une force de travail mais une structure qui traite l’information et qui se trouve être également une source nouvelle d’information. Qu’une partie de celle-ci lui serve à transformer la matière et l’énergie et aboutisse à la création d’objets, que ceux-ci aient avant tout une valeur d’usage, avant d’avoir une valeur d’échange, cette dernière assurant d’abord le maintien de la dominance, est admissible. Mais que cette information que sécrète son cerveau imaginant lui serve exclusivement à produire des objets, des marchandises, c’est là qu’est l’erreur fondamentale qu’ont entretenu les idéologies socio-économiques contemporaines."
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    Il parle bien de "marchandise". La société consummériste est un société essentiellement productiviste.
    Et un des bouts que je comprend de sa réflexion sur l’"Eloge de la fuite" est que la société actuelle est déficiante en capacité d’aborder l’humain dans sa globalité et accentue par ce manque la violence des rapports de force qui, autrement, n’en serait pas moins existant, mais moins violents.

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    Tout chez Laborit conduit à une réflexion sur la société dans le sens d’un progrès social, qui - et c’est là que résiderait la puissance de ses idées - ne partirait plus de la façon dont l’homme se rêve idéalement mais de la façon dont il est capable de se comporter réellement.
    .
    C’est aussi en ce sens que je faisais le lien avec le spinozisme.