erQar : L’identité est définit autrement qu’uniquement socialement. Nous avons une base génétique à tout ce qui nous défini, après l’environnement vient, plus ou moins, stimuler ou inhiber nos prédispositions. Ça c’est la théorie qui a prévalu jusqu’à il y a peu.
Très récemment une chercheuse à mit en évidence que l’environnement pouvait modifier les gènes, ce qui est une bonne comme une mauvaise nouvelle - Attention cette études reste à être valider par des dizaines d’autres qui sont en cours - une bonne nouvelle car cela veut dire que si vous mettez un peuple qui n’a connu que l’esclavage durant des centaines de générations, dans un environnement de liberté et de responsabilité il pourra s’y adapter. Mais une mauvaise nouvelle car l’inverse est possible. Que ce soit avec la première et à fortiori avec la deuxième il est possible d’influencer le développement de la personnalité des enfants. Je préfère que l’on ne joue pas aux apprentis sorciers et que l’on ne crée pas une race d’humain déracinée, désincarnée de tout humanité naturel.
Hum hum, j’entend vos arguments, ils sont pertinents. Je ne l’ai pas écouté beaucoup de fois cette dame (peut-être 3 fois...), mais à chaque fois elle a fais référence à sa religion, ce qui est clivant et discréditent pour tout les athées, et ce sont bien eux qu’il faut convaincre non ? Toutes les personnes religieuses, croyante, sont contre c’est sûr, donc pour quoi, à par dans un but prosélyte, faire des références religieuses (sur houmaTV je peut comprend en effet), quand la critique de la théorie du genre et portée par des théoricien solide - sociologues, anthropologues, éthologues, ethnologues et quelques psychologues, et bien d’autre scientifiques - est contre productif.
Si j’ai mal comprit, ok je sort. Mais vis-à-vis de Mme Belgoul, je trouve ses divagations mystico-religieuses discréditantes et j’aurais du mal à la défendre dans un débat. Et justement elle appel tout le monde à croire en Satan... Faut arrêter elle délire, quoi... L’argument de l’ingénierie social est mille fois plus pertinent !! Faut laisser tomber ces arguments foireux ET CLIVANTS, le journaliste a raison.
Je ne sais pas ce que vous avez contre les athées... Je ne crois pas en dieu parce que je ne peut pas y croire. Déjà, je pense qu’il faut être sacrément crédule pour croire qu’un être supérieur contrôle tout... Mais, même si il existe, qui êtes vous pour parler de lui, vous, petits humains misérables, vous ne pouvez pas l’atteindre plus que moi, donc cessez de parler de lui et de prêcher pour vos gourous et j’arrêterais de critiquer. Vous êtes ridicule, à mon sens, de véhiculer des dogmes créés par des hommes, pour des hommes. Au moins créez-vous votre propre religion si vous avez besoin de croire en quelque chose de supérieur ; je sais la mort ça fait peur, je ne vous en veut pas...
Ps : Je suis athée et je milite contre la théorie du genre !
Je trouve que c’est quand même contradictoire. La critique de la théorie du genre nous dit que les femmes sont moins enclin à la violence, sont plus empathique et, bien évidemment, on moins de force.
Et j’ai trouvé ces chiffres qui proviennent également de l’ONDRP concernant l’origine des 267 décé "imputable aux violence au sein de couple" récencés en France en 2011, sur ce chiffre 146 ont été tué directement par leur conjoint(e) 122 était des femme 24 des hommes.
Au moins pour les chiffres des décès on est sûr y a pas de : "les hommes ne viennent pas se plaindre", car il y a surement beaucoup de femmes qui ne vont également pas se plaindre.
Je ne pense pas qu’il faille non plus minimiser une certaine réalité, prend les chiffre des violes en 2013 : sur 4983 viole 3742 ont été commis à l’encontre les femmes.
Enfin bon bref... j’avoue que la comparaison des souffrances, ça me soûle un peu... Personnellement je m’en tien à la critique du capitalisme qui empêche chaque personne d’exprimer sont individualité propre et veut nous enfermer dans un moule consumériste et compétitif.
Quelqu’un aurait les sources de ce qu’il raconte ? Notamment vis-à-vis du fait que les hommes serait autant battu que les femmes, j’ai beau chercher je ne trouve rien qui aille dans son sens...
Ps : Je ne remet pas en question la critique de la théorie du genre, tout à fait légitime à mon sens, mais j’aime bien avoir des infos fiables.
Votre raisonnement est plein de bon sens, mais dsl je n’ai pas le temps de reprendre point par point tout votre argumentaire. J’aimerais tout de même vous dire que je pense que ce sont les bonnes institutions politiques qui font le bon citoyen. Autrement dit il ne faut pas s’étonner de la médiocrité des actions du peuple au sein d’une oligarchie vielle de 200 ans.
L’école ne nous a pas appris à être un citoyen, mais nous a inculqué le comportement du bon électeur. L’école de la république est tous sauf démocratique. Elle est là pour nous apprendre la résignassions, l’obéissance, le respect des bien autrui, mais surtout l’espoir : "si tu travail bien tu sera heureux"... Cela ne vous rappel rien ? "Si tu est gentil et que tu prie tous les jours, tu ira au paradis" J’aimerais vous présenter en guise de source ce petit bout de conférence de Mr Henri Guillemin ; avancez à la 22ème minutes.
Cela pour vous dire qu’être citoyen n’est pas quelque chose d’inné, mais cela s’apprend ; et oui, ça risque de prendre plusieurs dizaines d’années, donc autant commencer maintenant. Mais si les gens cultivé comme vous ni crois pas... ça risque d’être difficile...
Pour la démocratie de Grigny, je n’étais pas au courant de ces chiffres. En effet c’est dommage. Mais 3,5% de citoyen c’est toujours mieux que 0,00001%. Je pense qu’avec les institutions adéquate et la dynamique propice nous pourrons facilement atteindre 10% de citoyen, c’est un minimum pour ce dire en démocratie. Je rappel qu’il y avait 10% de citoyen à Athènes. Et qu’un citoyen est celui qui vote les lois, ce n’est pas un électeur.
Je me suis trompé vous avez lu Rousseau et en avez fait votre interprétation. Je pense que l’on retient bien ce que l’on veut dans l’oeuvre de Rousseau. Il ne reste qu’un homme et a surement dit des bêtises, mais, indéniablement selon moi, il nous donne des clés d’émancipations. J’aimerais vous citer un passage du bouquin de Mr Jouary que je vous ai conseillé :
"C’est bien à nous, humains du XXIe siècle, que s’adresse Rousseau :
<< Sitôt que le service public cesse d’être
la principale affaire des citoyen, et qu’ils aiment mieux servir leur bourse
que leur personne, l’Etat est déjà près de sa ruine. Faut-il marcher au combat
? ils payent des troupes et restent chez eux ; faut-il aller au conseil ? ils
nomment des députés et restent chez eux. À force de paresse et d’argent ils ont
enfin des soldats pour asservir la patrie et des représentants pour la vendre.
[...] Donnez de l’argent, et bientôt vous aurez des
fers. Ce mot de finance est un mot d’esclave, il est inconnu dans la Cité. Dans
un Etat vraiment libre les citoyens font tout avec leurs bras et rien avec de
l’argent. Loin de payer pour s’exempter de leurs devoirs, ils payeront pour les
remplir eux-mêmes. >>
N’est-on pas là au cœur des enjeux de notre époque ?
Rousseau souligne comme une évidence qu’il ne saurait y avoir de souveraineté
et de liberté politique sans l’intervention consciente et active de l’ensemble
des citoyens. Cela suppose que la volonté d’un peuple ne puisse jamais être
représentée. Ce qui re-présente est supposé rendre présent ce qui ne l’est pas,
et rend donc possible toutes les distorsion, les dépossession, donc les pertes
de souveraineté et de liberté. Rousseau le dit pour la représentation
politique, et il le dit pour la représentation monétaire. La première peut se
retourner contre la volonté réelle du peuple, la seconde peut se retourner
contre sont économie réelle. Examinons ces deux questions qui sont intimement
liées dans sa pensée comme dans notre réalité présente.
Première idée : Le peuple ne peut être représenté.
Rousseau n’ignore pas qu’il y a différentes formes
de gouvernement comme la monarchie, l’aristocratie ou la démocratie. Mais il ni
voit pas la distinction essentielle de la politique. Résumons en quelques mots.
Rousseau prend ces trois mots au sens propre, et non au sens ou nous les
entendons trop souvent aujourd’hui. Monarchie signifie prédominance d’un seul
gouvernement (mono) et non pas la royauté. Ainsi l’actuelle Angleterre a-t-elle
une reine sans aucun pouvoir et un parlement qui peut renverser l’exécutif, le
premier ministre : il s’agit donc d’un régime parlementaire ; la France
actuelle n’a pas de rois mais sont président peut dissoudre l’Assemblée et même
supprimer les libertés publiques : il s’agit au sens propre d’une monarchie
élective. Rousseau évoque donc la monarchie comme un système où le peuple
confie le gouvernement à une personne qui se détache des autre dans sa
considération, qu’elle soit ou non élue au suffrage universel. Il évoque aussi
l’aristocratie, c’est à dire non pas le pouvoir de la noblesse mais, au sens
propre, le pouvoir des meilleurs. En ce sens l’Angleterre est ainsi, comme les
états unis ou l’Allemagne, une aristocratie élective puisque pour l’essentiel
les pouvoirs sont confiés à un groupe de personnes. Il évoque enfin la
démocratie au sens propre, c’est à dire le pouvoir exercé en totalité par
l’ensemble du peuple. Et en ce sens il n’existe aujourd’hui que très peu de
régimes démocratiques : ce fut le cas de la plupart des tribus qui palabraient
avant de décider, comme c’est le seul cas de la suisse parmi les pays
développés, puisque les élus y sont toujours soumis à la possibilité de
référendums (les fameuses votation) imposés par un groupe de citoyens. Rousseau,
ne n’oublions pas, était citoyen de Genève. En ce sens propre du mot démocratie
la France, par exemple, n’en est pas une, puisqu’il est courant d’entendre ses
gouvernants expliquer qu’ils ne veulent pas organiser de référendum auquel les
citoyens risqueraient de répondre "non".
Rousseau évoque ces trois systèmes, mais
l’essentiel se trouve pour lui ailleurs : la question décisive à ses yeux
concerne la possibilité pour le peuple de conserver ou non sa pleine
souveraineté. Écoutons ce qu’il disait du peu de suffrage qui existait alors de
l’autre coté de la Manche :
<<Le peuple anglais pense être libre il se
trompe fort ; il ne l’est que durant l’élection des membres du parlement :
sitôt qu’ils sont élus, il est esclave, il n’est rien.>>
Et Rousseau ajoute sobrement :
<<Dans les court moment de sa liberté,
l’usage qu’il en fait mérite bien qu’il la perde.>>
C’est que, pour lui, la liberté ne saurait
consister à confier par le suffrage tout le pouvoir à un ou plusieurs hommes.
Ce prétendu contrat est un marché de dupe car dans un contrat, commercial par
exemple, si la liberté de dénoncer le non-respect du contrat ne fait pas partie
de l’échange, tout les vols sont possibles. C’est pourquoi il est liberticide
d’élire des gouvernements de sorte qu’ils puissent après le vote considérer
qu’ils peuvent décider ce que bon leurs semble sans que le peuple puisse se
prononcer. Le "contrat social" de Rousseau n’est donc pas un contrat
entre le peuple et le pouvoir, auquel on déléguerait le droit de diriger. C’est
un contrat entre le peuple et lui même, une volonté qui émerge d’un débat
conduit collectivement et rationnellement, et au terme duquel le peuple confie
par suffrage à une ou plusieurs personnes non pas le droit de décider, mais le
devoir d’appliquer les décisions prises. Gouverner c’est tenir le gouvernail,
cela n’a rien à voir avec la définition du cap à suivre !
Pas de possibilité donc de re-présenter le peuple.
<< L’attiédissement de l’amour de la patrie,
l’activité de l’intérêt privé, l’immensité des Etats, les conquêtes, l’abus du
gouvernement ont fait imaginer la voie de députés ou représentant du peuple
dans les assemblés de la nation.C’est ce qu’en certains pays on ose appeler le
tiers état. ainsi l’intérêt particulier de deux ordre est mis au premier et au
second rang, l’intérêt public n’est qu’au troisième.
La souveraineté ne peut être représentée par la
même raison qu’elle ne peut être aliénée ; elle consiste essentiellement dans
la volonté générale, et la volonté ne se représente point, elle est la même ou
elle est autre ; il n’y a point de milieu. Les députés du peuple ne sont donc
ni ne peuvent être ses représentants, ils ne sont que ses commissaire ; ils ne
peuvent rein conclure définitivement. Toute loi que le peuple en personne n’a
pas ratifiée est nulle ; ce n’est point une loi. [...]
L’idée des représentants est moderne : elle nous
vient du gouvernement féodale, de cet inique et absurde gouvernement dans le
quel l’espèce humaine est dégradée, et où le nom d’homme est en déshonneur.
Dans les anciennes républiques et même dans les monarchies, jamais le peuple
n’eut de représentants ; on ne connaissait pas ce mot-là.>>
Ces paroles résonnent sans doute curieusement à nos
oreilles de démocrates habitués à chercher des bergers providentiels pour leurs
confier tous les pouvoirs. Mais Rousseau a lui les leçons de l’Antiquité et de
la Renaissance italienne, et aussi le jugement de Montesquieu :
<< À l’égard des élections du prince et des
magistrats, qui sont, comme je l’ai dit, des actes complexes, il y a deux voies
pour y procéder ; savoir, le choix et le sort. L’une et l’autre ont été
employées en diverses républiques, et l’on voit encore actuellement un mélange
très compliqué des deux dans l’élection du doge de Venise.
"Le suffrage par le sort, dit Montesquieu, est
de la nature de la démocratie." J’en conviens, mais comment cela ? "Le
sort, continue-t-il, est une façon d’élire qui n’afflige personne ; il laisse à
chaque citoyen une espérance raisonnable de servir la patrie." Ce sont là
des raisons.
Si l’on fait attention que l’élection des chefs est
une fonction du gouvernement et non de la souveraineté, on verra pourquoi la
voie du sort est plus dans la nature de la démocratie, où l’administration est
d’autant meilleure que les actes en sont moins multipliés.
Dans toute véritable démocratie la magistrature
n’est pas un avantage, mais une charge onéreuse qu’on ne peut justement imposer
à un particulier plutôt qu’à un autre. La lois seule peut imposer cette charge
à celui sur qui le sort tombera. car alors la condition étant également pour
tous, et le chois ne dépendant d’aucune volonté humaine, il n’y a point
d’application particulière qui altère l’universalité de la lois. >>
La cause est entendue, le peuple ne peut être
représenté : dès que le peuple considère qu’un gouvernant le représente, il
cesse d’être gouverné pour être dirigé, dominé. C’est cette écart entre
représentant et représenté qui rend possible la servitude, et c’est pourquoi
dans la tradition démocratique, depuis l’antiquité, on s’est méfié de
l’élection des gouvernants au suffrage universel et on lui a préféré le système
du tirage au sort. Si je suis élu, j’aurais forcément tendance à considérer que
l’on m’a choisi pour mes qualité et idées personnelles, et non pour appliquer
les idées du peuple lui même. Au lieu de considérer la responsabilité de
gouverner comme un devoir, je finirais vite par la considérer comme un pouvoir.
Et le peuple des citoyens lui-même finira par considérer qu’il m’a choisi pour
le diriger, et non pour lui obéir. C’est pourquoi l’idée même de
re-présentation porte en elle le risque d’un transfert de pouvoir qui
transforme les gouvernants en maîtres : une fois re-présenté, le peuple
lui-même cesse d’être présent. La prétendue représentation du peuple a pour conséquence
l’absence politique du peuple, auquel se substitue le pouvoir de l’Etat."
...
Cette simple idée de la non représentativité du peuple fait s’écrouler la thèse : "Rousseau père du totalitarisme". J’aime à interpréter Rousseau comme le père de la démocratie à venir, sous peu je l’espère...
Erwanet : Dire "l’Etat" est une boite vide tu peut y mettre ce que tu veux dedans. Alors forcément si prend un exemple d’Etat oligo-ploutocratique prostitué des lobbys, ba forcément c’est une mauvaise chose ; et je d’accord avec toi il faut lutter contre cette forme de gouvernement.
Mais c’est pas pour ça qu’il faut que tu deviens allergique à la chose publique. Tu n’a jamais connu un vrais Etat démocratique - qui est également une boite vide, tout dépend de ce que le peuple décident de mettre dans sa constitution, c’est pour ça que les gens les plus à gauche ne sont pas démocrate - si tu est un vrai libéral ça devait te plaire, comme le salaire à vie d’ailleurs, c’est anti-capitaliste, mais il ni a pas plus libérale que le salaire à vie, tout le monde devient son propre maître et décident selon lui ce qui a de la valeur économique, avec ça on ne rate aucun génie qui sera innovant.
Pour être en démocratie il faut respecter le principe de subsidiarité, en gros tout ce qui peut être décidé au plus petit niveau doit l’être. Cela couplé, bien évidemment, aux assemblées populaires ; figurez-vous que ça existe déjà.
Pour le mariage pour tous, je pense tous simplement que l’on n’impose pas une idée à un peuple qui n’est pas prêt de l’accepter. C’est un choix de société, on fait un référendum et on voit... Votre question montre, il me semble, que vous n’avez pas lu Rousseau - mais je peut me tromper -, dans tous les cas, je vous conseil ce bouquin pour commencer et cette petite interview de l’auteur.
Vous avez raison, continuez à croire en vos maîtres... Vous êtes ridicule à critiquer quelqu’un qui croit en ce qu’il fait ; c’est toujours ce genre de personne qui font changer les choses et non les planqués. Derrière un pseudo c’est plus facile : prenez votre caméra et argumentez un peu, au lieu de cracher votre venin, qui n’a au final aucune porté constructive et est donc totalement inutile.
Les avancées technologiques sont une bonne chose, et y être réfractaire non, à mon sens. Par exemple, je suis "relativement" pour la robotisation. Car cela pourrait travailler dans le sens de l’émancipation des humains en les désengagent des tâches répétitives et/ou inhumaines. Mais "relativement" car on voit bien qu’aujourd’hui quelque chose ne tourne pas rond... En 100 ans nous avons fait X25 de gain de productivité, et cela augmente de façon exponentiel depuis les années 2000. Il y a un choix de société à faire, et il l’ont fait à notre place... Nous avons le choix soit de moins travailler, soit de produire plus... Je pense que je n’ai pas besoin de préciser lequel les oligarques ont choisis... Donc les avancées technologiques sont très bien, mais le problème c’est la propriété privée et intellectuelle LUCRATIVE, car comme a commencé à le dire l’auteur : " des matériaux bruts sortis de la Terre, et transformés par l’esprit de l’homme et son labeur acharné " toutes ces nouvelles technologie se basent sur les travaux de millions, ou plutôt de milliards d’être humains qui passés leur vie à faire avancer la science ; cela va de l’amélioration de la lance des premier humain aux bases de la relativité posées par Einstein, en passant par l’invention du premier roulement à bille... Comment un minuscule petit être humain qui n’est sur Terre que depuis quelques décennies peut se permettre de s’approprier l’ensemble de ce savoir ?! L’ensemble du Logos appartient à la société, le brevetage de connaissance est une immondice ! Que ce soit un scientifique, un mécène ou même un artiste il ne peuvent se rendre propriétaire de l’issu heureuse résultant de l’alchimie d’un environnement et de leur personne - également en majeur partie issu de l’environnement - car, prenons l’exemple de d’un pianiste qui compose une musique : si la société n’avait pas inventée le solfège ni même le piano, si la société - par la division du travail résultant des avancées technologique - n’avait pas pu lui libérer du temps pour se mette à pratiquer le piano, au final si l’humanité n’avait pas créée l’environnement nécessaire à la constitution de sa personne il n’aurait jamais composé cette musique. Par contre je suis pour la reconnaissance, si sa chanson est reconnu, son nom restera gravé dans l’histoire : quelle meilleur récompense ?
Tout ça pour dire que cette avions est une bonne chose le problème c’est qu’il appartient à des mafieux, qui s’approprie le logos de l’humanité ^^
Famine : " La plus grande partie de nos concitoyens est réduite par l’indigence à ce suprême degré d’abaissement où l’homme uniquement occupé de survivre, est incapable de réfléchir aux cause de sa misère et aux droits que la nature lui a donnés " ... Votre "critique" est légitime, mais pas très constructive... Je rajouterais qu’ils sont trop occupé à survivre ou à se divertir...
maQiavel : Vous n’êtes pas sans savoir que dans l’Athènes Antique il ni avait que 10% de citoyens et cela suffit à appeler ce régime une démocratie. Il n’en faut pas plus à mon avis ; il sera même très facile d’avoir 20% de citoyens (personne qui vote les lois aux-quelles il va consentir), ce qui est largement suffisant.
Aucune substance exogène n’est bonne en excès. Si vous buvez trop d’eau vous ferais de l’hyper-tension et vos reins travaillerons inutilement.
Cassia : Pourquoi dite vous ça.. ? Vraiment, je ne comprend pas, qu’est-ce-que ça vous apporte d’être aussi malhonnête intellectuellement... Quand on parle de politique nationale, l’important n’est pas d’avoir raison mais de ne pas se tromper. Votre entêtement et votre fanatisme me fait penser que vous n’êtes en réalité pas patriote du tout, vu que vous êtes prête à livrer aveuglément le pays à un parti qui ne vous donne strictement aucun garanties, uniquement des paroles, comme tous.
Machiavel 1983 : Vous n’allez pas me dire que Dieudonné ne peut pas citer le nom de Chouard dans une de ses vidéo en disant qu’il n’a rien avoir avec lui mais qu’il trouve l’idée intéressante, ça serait la plus grosse quenelle, comme il aime à le dire, qu’il pourrait mettre au système, à mon avis...
Arsene Icke sache qu’un bon politique de nos jour ça veut dire un bon maître. De plus cette femme est potentiellement emmanchée avec les puissances financières, elle ne sert que d’épouvantail et si par miracle elle se trouve à l’Elysée il y a 90% de chance qu’elle retourne sa veste et ne mette en place que des mesures écran de fumée, notamment en tapant sur les immigré.
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