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Les commentaires de Guit’z



  • 2 votes
    Guit’z 31 octobre 2013 18:47

    Teddy a raison de A à Z. Quant au merdeux socialo avec son blabla d’euro-technocrate... à mort, tous, et basta !

    De toutes façons, la soumission politique du peuple ("démos") - donc des peuples ("ethnos") - passe par l’extermination économique des classes moyennes et même, de plus en plus, des couches populaires, traditionnellement instrumentalisées par les nantis contre les précédentes. C’est une question de survie pour l’Oligarchie mondialiste, sommée par la crise, de lâcher du lest pour garder la main... soit ce compromis politique raisonnable, pour lequel, prise d’un incontrôlable délire de puissance financière et technologique, elle n’opte pas, au contraire... Sa folie est plus arrogante que jamais, et sa vraie nature plus flagrante.

    La crise est une fatalité techno-capitaliste (technique + financiarisation = chômage de masse) peu à peu devenue arme de guerre du Capital contre le travail. Le scénario en cours échappe certes à ses propres scénaristes... mais il a bel et bien été scénarisé.

    La violence du Pouvoir devient donc exponentielle... et d’aucuns se proposent d’en passer par des voies légales contre lui.

    En vérité, maintenant c’est eux ou nous : l’hyperclasse ou la masse...

    Faute de pouvoir en découdre dans les termes d’un contrat social quelconque, je ne vois pour nous, le Peuple, qu’une seule alternative :
    - la capitulation temporaire en rase campagne, sur le modèle de la base autonome durable
    - la lutte à mort, c’est-à-dire la guillotine pour les Zélites (milliardaires spoliateurs, politicards UMPS, journaleux bonimenteurs...)

    Pour ma part, j’hésite... C’est vrai que la violence ne résout rien... mais putain ce que ça soulage !



  • 4 votes
    Guit’z 19 septembre 2013 00:13

    Plutôt d’accord avec l’intervenant aussi...

    L’anti-JeanRobinisme est agaçant les gars. Il arrive à Jean Robin, comme à la plupart d’entre nous, de dire, en tous cas de rapporter des propos ou des infos plutôt intéressants... Et puis il a bien le droit de s’exprimer !

    Jean Robin a cela de respectable qu’il n’est pas un censeur... contrairement à d’autres.



  • 5 votes
    Guit’z 14 juillet 2013 15:42

    Bravo à Jacques pour son travail et son courage !

    L’honneur de la presse française.



  • 1 vote
    Guit’z 5 juillet 2013 14:51

    @ Eric Guéguen

    Figurez-vous que j’ai regardé avant-hier soir Le Président, que je n’avais jamais vu... Quelle merveille absolu. Gabin est l’homme le plus émouvant que je connaisse. La tirade au Parlement est un morceau de littérature prodigieux.

    Quant à Un Singe en hiver, c’est mon film préféré !

     smiley

     



  • vote
    Guit’z 5 juillet 2013 13:38

    @ Micnet

    J’ai lu Jacques Ellul en effet. Je vous dirais que j’ai surtout été impressionné par Bernanos, et son essai pamphlétaire capital, à mon avis l’un des plus grands livres du 20ème siècle : La France contre les robots.

    @ Eric Guéguen

    Saisir "l’essence conceptuelle" - comme me disait souvent Clouscard - de ma méga-machine : c’est un tout autre travail en effet que d’en faire la phénoménologie... 
    Pas mal de gens ont entrepris ce travail de longue haleine. Pour ma part, je crois qu’il me reste encore bien des choses à apprendre et à méditer avant de comprendre la nature exacte du processus en cours... Un peu comme chacun d’entre nous en fait !
    Cependant je vais tâcher de formuler la façon dont je ressens les choses... mais pas maintenant car je dois travailler !
    A plus tard, donc.



  • 1 vote
    Guit’z 5 juillet 2013 01:57

    @ Micnet

    Une dernière chose pour ce soir : je crois quand même que le plus intéressant dans l’œuvre de Tocqueville, consiste moins dans le scepticisme étonné que lui inspire l’Amérique, que dans le scepticisme hautain - nobiliaire - que lui inspire la démocratie. Comme si Tocqueville, esprit enthousiaste, aventurier, juvénile "for ever", pressentait dans l’égal enrôlement social de tous comme un dispositif politique idéal pour servir la méga-machine. Tocqueville a cette vision, d’un pouvoir politique englouti dans la technocratie. Vous connaissez cette citation fameuse : "je vois une foule innombrable d’hommes semblables et égaux qui tournent sans répit sur eux-même pour se procurer de petits et vulgaires plaisirs. Chacun d’eux, retiré à l’écart, est comme étranger à la destinée de tous les autres. Etc." L’auteur vise la démocratie et pourtant l’on sent bien qu’il parle de cette autre chose - que j’appelle la méga-machine. Je dirais que : l’homme démocrate est un rat qui tourne sans répit dans la roue de la fortune ; et quand il se repose il ne faut pas le déranger ni dans ses plaisirs ni dans son sommeil...
    Personnellement, c’est le Tocqueville aristocratique et méfiant quant aux vertus libérales que le marxiste que je suis préfère - par osmose tragique, si je puis dire... Celui qui, en décembre 1848, lorsque pour la première tous les Français furent appelés aux urnes, précède en carrosse sa domesticité tout ébahie...
    Vous pensez bien que mon amour de ce Tocqueville-là, réactionnaire osons le mot, ne plait à personne parmi les miens - les radicaux de la révolution -, tant il parle à mes délicieux camarades royalistes !



  • vote
    Guit’z 4 juillet 2013 23:58

    @ Micnet :

    Vous êtes québécois ?



  • 1 vote
    Guit’z 4 juillet 2013 23:58

    @ Micnet

    Nous ne sommes donc pas seuls au monde, ni vous ni moi. Quelques lectures et quelques intuitions communes sont des poignées de main dans le temps.
    Ayant pas mal blablaté aujourd’hui, je vais m’arrêter là...
    Et lisez le Traité de l’amour fou, de Clouscard : si vous n’êtes pas bluffé, je promets de vous rembourser !

     smiley



  • 1 vote
    Guit’z 4 juillet 2013 22:46

    @ Micnet

    Concernant le fond du débat sur le libéralisme, je suis bien d’accord : seul le gauchiste imbécile et/ou manipulateur ose assimiler le bourgeois puritain d’hier au bourgeois narcissique d’aujourd’hui. En effet, certains « bourgeois » (terme devenu flou) ont bien pris le coche de l’économisme global ; d’autres pas (je suis moi-même issu d’un tel milieu, aisé et catholique… mais intellectuel plutôt qu’hédoniste).

    Tout ce que vous dites est juste, mes quelques contributions sur ce fil vous convaincront de notre commune perception des choses, quels que soient nos prismes analytiques. Ce que vous appelez une « société individualiste et antilibérale à la fois », c’est ce que moi j’appelle une société (pré)fasciste : « le fascisme, c’est la fusion de l’Etat et des corporations », dit Mussolini, inventeur du concept et qu’il faut donc croire sur parole. Soit une société qui ne parle plus que d’argent, et où la classe au pouvoir garde la liberté pour elle. Pour y avoir un peu réfléchi, comme vous m’invitez à le faire, je dirais que c’est par le fascisme qu’est levé le paradoxe que vous pointez : le fascisme est la synthèse de l’enculisme comme science et de la médiocrité comme morale… En somme : les peuples moribonds font dans le petit caporal à slip cradingue… (L’historien allemand du nazisme Ernst Nolte insiste sur la « médiocrité morale » des Allemands dans les années 20/30 – et de façon autrement plus convaincante – sociologiquement étayée – qu’Annah Arrendt décrivant, sous les traits d’Eichmann à Jérusalem, la « banalité du mal »).

    Un petit commentaire perso : je suis chaque jour plus étonné de constater combien Michel Clouscard, depuis qu’il est mort, sort peu à peu d’un injuste anonymat eu égard à son génie prophétique. Tout le monde le cite chez les anti-systèmes, de Michéa à l’Action Française ! Figurez-vous que j’ai été très lié d’amitié avec lui (qui m’a été présenté par Alain Soral en 2003), presque jusqu’à sa mort survenue en août 2008 je crois. J’ai passionnément aimé cet homme remarquable, drôle et chaleureux, sorte de Socrate inconnu, de vieillard poétique inaltéré, que j’ai vu pleurer sur la tombe de « mon pauvre frère », dans un ravissant petit cimetière ensoleillé du Tarn. Quand j’allais chez lui, à Gaillac, rue Delga, je dormais dans la chambre de sa mère, avec le pape au-dessus de ma tête et Tristan et Iseult sur la table de nuit… Et j’éclatais de rire en songeant à l’actualité du péril rouge. Je ne peux que recommander cette œuvre dont j’ai tant appris, aujourd’hui rééditée par les Editions Delga de l’excellent Aymeric Monville – le seul héritier de Clouscard, n’en déplaise à Soral – et qui reste ouverte à tous les passants de bonne volonté…

    Cdlt





  • 2 votes
    Guit’z 4 juillet 2013 20:05

    @ JeanPiètre

    Vous vous abusez sur mon évocation de l’honnête homme libéral classique – pure fiction découlant de cette abstraction : l’homo œconomicus  que je citais à titre de paradigme repoussoir, d’hypothèse improbable... Je n’encense certainement pas le libéralisme et ne suis sûrement pas libéral. Pas plus que je ne suis communiste. (J’ai une culture marxiste (critique) assez solide, et ai lu avec un très vif intérêt les maitres libéraux, surtout les philosophes des Lumières (parmi lesquels Adam Smith, pour qui l’économie n’est certes pas une science mathématique mais une discipline morale, sur laquelle les prémisses de la révolution industrielle l’incitent à se pencher). Simplement le dépassement du libéralisme auquel j’aspire, implique son assimilation sérieuse.

    La Richesse des nations culmine dans une vigoureuse apologie des sentiments moraux : l’individu smithien a conscience de son intérêt, mais aussi de ses devoirs – les uns et les autres s’auto-engendrant réciproquement. Voilà pour la théorie ; que la pratique historique réfutera presque aussitôt : d’où la théorie socialiste, au fondement de cette histoire du prolétariat, contée par ses apôtres (presque tous clercs issus de la bourgeoisie), que fut le socialisme. Un socialisme historiquement caduque, puisque ayant sombré dans le totalitarisme soviétique – quand il ne capitulait pas face au capitalisme (social-démocratie puis fascisme hier et... demain ?) : d’où le merdier absolu de la globalization.

    De cette double caducité de l’individualisme et du collectivisme axiologiques, je crois que nous devons nous efforcer de tirer les modestes conséquences historiques, en nous gardant des théories sans jambes (socialisme scientifique) autant que des pratiques sans tête (anarcho-capitalisme). En l’occurrence, la propriété individuelle est aussi légitime que le service public est nécessaire : l’une est l’expression du désir, l’autre le reflet de la civilisation. Et toutes deux sont des manifestations de la conscience, au même titre que le droit qui les régit. Mais, encore une fois, le vice et la vertu de tout principe dépendent fondamentalement du contexte : je veux dire que les relations de la personne au groupe, guidées par d’identiques maximes, ne revêtiront pas la même forme dans une société de petite bourgeoisie provinciale encore un peu tradi, par exemple, que dans une mégalopole postindustrielle. Les principes en eux-mêmes ne sont que formules pieuses ; ce qui les matérialise, c’est précisément le contexte matériel – comme ce qui les humanise… c’est le contexte humain. Pour s’en faire une idée, il est capital de considérer l’emprise de l’appareil étatique et administratif d’un système de redistribution donné, comme il est fondamental de s’assurer que celui qui vous parle de liberté n’est pas lui-même prêt à faire bon marché de celle de son prochain... Implacabilité et laxisme corrompent l’esprit des lois ; tartufferie et fanatisme corrompent l’esprit des hommes (savoir lesquels, des lois ou des hommes, corrompent les autres – soit les thèses matérialiste et idéaliste – important moins que de comprendre que le fruit ne tombe jamais loin de l’arbre).

    Le progressisme des Lumières, au fil d’avatars tortueux, a accouché de la méga-machine. La méga-machine, d’ores et déjà en train de saccager l’environnement, s’apprête à reconfigurer l’être humain dans sa totalité. Libéralisme et communisme n’ont fait qu’accompagner ce processus : ils sont même l’émanation de la méga-machine, dont Descartes est l’ingénieur putatif.

    Alors finissons-en avec les Lumières – cette pensée bourgeoise en majesté, haut-fourneau de la technocratie darwinienne ! Cette maussaderie anglo-saxonne au scientisme superstitieux, né puritaine sinon cynique, et logiquement dégénérée en boboïtude libertaire !

     

    @ Mr Kout :

    Je ne suis pas un sophiste. Mais je me demande si vous-même n’êtes pas un gauchiste ou un étudiant (c’est pareil), et ne confondez pas les murs et les écluses ? smiley

     



  • 1 vote
    Guit’z 4 juillet 2013 16:50

    Tout à fait, tout à fait...
    L’impasse des Lumières est celle du relativisme, donc du cynisme. Il y a un cynisme d’en haut et un autre d’en bas...



  • 1 vote
    Guit’z 4 juillet 2013 16:22

    Je pense que l’échelle humaine est le facteur permettant seul d’atténuer les inévitables rapports de production jusqu’à la disparition du salariat... laquelle disparition a pour condition fondamentale l’émergence d’un individu conscient de la nature collective du travail, et se sentant responsable de l’avenir de la société que désireux de transcender sa propre existence.

    Soit, finalement, l’archétype de l’honnête homme libéral selon les auteurs Classiques... aux antipodes de l’assisté socialo comme du prédateur capitaliste mêmement immatures !

    Donc, non : pas de contradiction en l’état actuel des choses, juste un moindre mal. smiley



  • 5 votes
    Guit’z 4 juillet 2013 15:03

    @ Jean Robin,

     

    Quand je parlais de militantisme borné...

     

    Pantareï, disaient les Grecs : Tout change... Comment vous faire comprendre que le libéralisme est un processus historique et non seulement une doctrine, comme toutes les doctrines, pertinente dans la mesure même de son abstraction ? Que la main invisible d’Adam Smith dispense indifféremment friandises et paires de gifles ? Que ses vertus comme ses défauts dépendent d’un contexte lui-même essentiellement déterminé par ce processus cumulatif qu’est la technique ? Et que, vu de Paris en 2013, le libéralisme n’est pas tant "mon" ennemi métaphysique qu’une menace historique, celle de la méga-machine dont il est devenu la superstructure ?

     

    D’abord, admettons que votre libéralisme à vous ne tue pas les fœtus... en revanche, c’est bien votre libéralisme qui, en Allemagne, se propose par exemple d’obliger certaines jeunes femmes à accepter un boulot d’hôtesse de charme sous peine de se voir supprimer leurs indemnités de chômage... Voilà pour l’éthique. S’agissant d’économie politique, vous raisonnez - et ce n’est pas indigne, au contraire - en patron de PME : soit aux antipodes du monde des multinationales et de la finance, avant-gardes de la technocratie et visage actuel du capitalisme libéral devenu totalitaire : ayant d’ores et déjà entrepris de reconfigurer les mentalités et se proposant même de reconfigurer la biologie humaine.

     

    Que je sache, ce sont bien des libéraux qui rackettent les peuples pour renflouer les banques ? Je pourrais vous citer moi-même une collection étourdissante, infinie, de faits quant aux ravages du libéralisme contemporain : mais contrairement à vous, je ne me navrerai pas de votre refus de les constater, sachant depuis toujours qu’un idéologue - se réclamât-il du pragmatisme - n’a cure de ce qui le réfute peu ou prou. Or vous n’êtes pas moins un idéologue que vos adversaires, et que toutes les sous-merdes gauchistes qui vous accablent de leurs pitoyables injures à chacune de vos publications.

     

    Jean, une société libre se compose de petits patrons et de petits propriétaires, c’est certain. Et les vertus de l’entrepreneur individuel, ainsi que son niveau de conscience, dépassent de loin celles du salarié bureaucrate irresponsable dont le petit fonctionnaire est souvent la caricature insupportable. Sur ce chapitre-là, inutile de vous mettre en peine : le marxiste cohérent, c’est-à-dire honnête et critique que je me targue d’être, pour avoir tiré les conséquences de la tragédie soviétique, est aussi convaincu que vous.

     

    Mais le tort des idéologues libéraux est de croire que la liberté (politique, économique, culturelle) nait avec le libéralisme, et s’arrête à ses déclarations d’intention, ses préceptes miraculeux. Il est certain que les 30 Glorieuses, par exemple, ont essentiellement profité aux masses populaires ; le Capital ayant dû lâcher du lest pour garder la main face au chant des sirènes de l’Est. L’Est qui, pour autant, n’offrait pas une alternative à l’Ouest, seulement un modèle rival dans la course à l’économisme technicien. Car l’idéologie cesse où commence la technique. La technique est le nerf de la guerre Est/Ouest et de la prospérité : le niveau de vie à l’est (abstraction faite de sa qualité, en partie subjective d’ailleurs) aura fortement bondi au 20ème siècle, tout comme à l’ouest. Rien ne ressemble tant à un capitalisme technicien libéral qu’un capitalisme technicien d’Etat, de même que rien ne ressemble plus à la vie d’un OS américain que celle d’un OS soviétique : la méga-machine s’accommode indifféremment de toutes les religions utilitaristes et productivistes.

     

    C’est pourquoi le débat contemporain n’oppose pas tant libéralisme et anti-libéralisme, que technocratie et démocratie, ou, plus précisément, humanisme et post-humanisme. La mise hors jeu de l’économisme soviétique n’a fait que précipiter la suprématie de l’économisme libéral ; la méga-machine libérale n’est devenue folle en tant que libérale, mais en tant que méga-machine. (Même si, je vous le concède, l’agencement libéral s’est avéré plus efficace à servir la méga-machine que l’agencement rival ; l’oligarchie libérale étant manifestement plus habile que son homologue bolchévique.)

     

    Le capitalisme, parvenu à ce stade historique de suprématie globale, est sans conteste le plus grand péril pesant sur le monde, champ de bataille antidémocratique et bulldozer sans égards envers ses bocages traditionnels. C’est un péril objectif, qui s’accroit encore d’un péril politique : l’ultra-violence de l’Hyperclasse (comme dit l’aède Jacques Attali) maitresse du Capital, laquelle se montre profondément fasciste et même satanique. Façonnée par la méga-machine, allouée à la valorisation du seul Capital, l’Oligarchie est l’ennemi absolu du genre humain, prête à toutes les violences pour le soumettre, comme naguère le Parti – à ceci près qu’elle dispose d’un arsenal de moyens coercitifs dont aucun Pouvoir autrefois n’aurait seulement rêvé. La méga-machine a suscité l’hyperclasse qui la perfectionne pour son seul bénéfice.

     

    Sortir de la méga-machine implique donc de critiquer le libéralisme - certes falsifié par la l’Oligarchie - qui en constitue désormais l’armature politique exclusive.

     

    Pour finir, je sais que votre doctrine est faite, mais je crois sincèrement que vous gagneriez à lire Michéa, et particulièrement L’Empire du moindre mal.

     

    Bref, ni Internationale, ni globalization  !

     

    Cordialement,

     



  • 3 votes
    Guit’z 4 juillet 2013 12:37

    @ Jean Robin

    C’est dommage que vous soyez si inégal (à mon avis, ça vient de votre militantisme un peu borné qui vous rend souvent démago et plus souvent encore approximatif) parce qu’il vous arrive d’avoir de l’à-propos ! (Par exemple, bien que socialiste - et non "de gôôôche" -, je souscris totalement à votre discours sur le racket fiscal, l’étatisme mortifère et l’impossibilité faite en France à ceux qui veulent bosser d’entreprendre ou de recruter). Bref.

    Bref, excellente vidéo : je veux dire angoissante... La connerie de ces bonnes sœurs de la culture de mort, leur dévouement à la cause du nihilisme institutionnalisé, leur zèle d’idiotes utiles de l’eugénisme soft, leur haine de l’utérus et leur passion du nombril mêmement hystériques... Ces avorteuses humanistes sont les sentinelles du nouvel ordre libéral, celui du Moi-Je consumériste le plus irresponsable et délirant. Ce sont des têtes de linottes enragées. Un mélange d’Amazones candides, de mouche du coche philanthropique et d’agent d’ambiance de l’apocalypse.



  • vote
    Guit’z 4 juillet 2013 10:26

    @ ContreLaBienPensance

    Du coup, je suis allé le lire, votre papier : il est pas mal du tout, je reviendrai sur ce blog alors smiley



  • 1 vote
    Guit’z 4 juillet 2013 10:15

    @ Daniel

    @ Daniel

    Bonjour,

    Je souscris évidemment à ce que vous m’écrivez dans votre dernier post, sauf sur un point : le 11/9 n’est pas un épiphénomène. En ce sens au moins que lever le voile sur ce point aux yeux de l’opinion publique, c’est faire une lumière totale et définitive sur la vraie nature du NWO, et les dispositions morales de l’oligarchie. C’est administrer une telle gifle à l’honnête homme qu’il ne puisse plus dormir. Alors que tout le monde ne ressent pas également les effets de la crise, ni ne soupçonne l’ampleur de l’enculade économique, tout le monde est concerné par le fascisme global. Comprendre le mythe du terrorisme, c’est tout comprendre de notre monde, en sa complexité largement factice et essentiellement occulte. Le 11/9 septembre, inconcevable à la plupart, est pour cette raison même la clé de l’opposition au NWO.
    Enfin il me semble.



  • 3 votes
    Guit’z 3 juillet 2013 20:42

    @ Daniel

    Je n’ai pas fait l’apologie de l’ignorance historique... mais la connaissance historique, du fait de son éloignement croissant, étant toujours plus relative, c’est-à-dire abstraite au plan du présent, en l’occurrence j’ai pointé l’urgente nécessité d’établir une certitude politique !
    On peut toujours tâcher d’expliquer la défaite de 1940 ; invoquer l’impréparation du Front Pop ou le complot synarchique : hors de l’amphi qu’importe !
    Alors je persiste et signe : il s’agit, pour déjouer le NWO (et déjouer au passage la miteuse accusation de conspirationnisme), d’examiner des faits récents, indubitables et pourtant mal traités, juste des faits, rien que des faits, des faits conditionnant comme jamais l’opinion et les politiques publiques, dont l’élucidation aurait pour effet immédiat d’inverser le cours catastrophique des choses... (Mais je reconnais qu’en dépit des Cassandre l’humanité loupe souvent le coche...)
     
    Pour votre gouverne, je suis "historien" de formation (et "philosophe").



  • 3 votes
    Guit’z 3 juillet 2013 17:30

    @ Daniel

    Vous avez le droit d’administrer le même traitement intellectuel aux deux événements, que celui-ci conclue ou non à la véracité de ce qu’en dit la parole d’évangile médiatique et toute la culture ambiante avec elle. Mais non, ces deux événements n’ont rien à voir, ne sont connexes en rien, et ne sont susceptibles d’aucune assimilation factuelle, aucune assimilation autre que spéculative, hypothétique. Prétendre le contraire, c’est proprement tout mélanger - or cet amalgame est la méthode même de nos ennemis. Libre à vous de croire - puisque tel semble être le fond de votre propos - que "les Juifs" sont derrière l’un et l’autre... c’est votre affaire ; ce devrait être votre droit et bien que ne partageant pas votre opinion, je souhaiterais que vous puissiez l’exprimer librement, ne serait-ce que pour pouvoir la réfuter (non, le négationnisme n’est pas un crime, mais une opinion : et nier la Shoah ne l’annule pas dans la RÉALITÉ, sauf aux yeux des superstitieux prenant les mots pour des choses et les opinions pour des actes. Le mot assassin ne tue pas. Le seul verbe nier ne nie rien).

    Le NWO, c’est une histoire ancienne, je veux dire qu’elle remonte à loin, conjonction historique de forces de forces malignes plus ou moins organisées et conscientes, lorsque la modernité eut le sentiment d’avoir définitivement triomphé. Le dénouement approche, cela me paraît palpable : le monde global n’est plus qu’hyper-violence infligée à chacun... Or, c’est à l’explicitation du scénario qu’il faut s’atteler pour le contrecarrer, plutôt qu’à sa généalogie complexe, équivoque et à maints égards hypothétique. Il s’agit à présent d’être journaliste davantage qu’historien - de dénuder les faits d’actualité, et non d’étayer telle ou telle gnose d’historien. C’est pourquoi je m’intéresse au 11-Septembre - événement capital, dont nous continuons de subir les conséquences, et même plus que jamais. Sous ce rapport, on peut certes questionner le rôle éventuel de l’État d’Israël dans cette tragédie... mais l’analogie avec la Shoah est hors-sujet, inutile et même contre-productive. Ce pourquoi, bien sûr, elle nous est imposé par les matons de l’orthodoxie.



  • 8 votes
    Guit’z 3 juillet 2013 14:44

    Comme l’auteur de la note a la prudence d’en avertir, faut vraiment avoir le cœur bien accroché pour mater cette empilage éhonté de mensonges, de raccourcis, d’enfumages par analogies furieuses et foireuses.

    L’analogie est l’argument des flics : la méthode des salopes. Récusez a priori le chantage à l’analogie, et assénez sans vous laisser intimider les faits. Aucune théorie ne résiste aux faits qui la contredisent.

    Sous ce rapport, la VO du 11/9 est un tissu de mensonges et la Shoah, un fait historique. Les deux sujets n’ont aucun rapport. Voilà l’évidence qui dérange ces escrocs, car une fois dézinguée cette mise en relation arbitraire - à l’élucidation de laquelle il faudrait appliquer la méthode psychopathologique et soupçonneuse des conspirologues à l’égard dudit conspirationnisme -, le reste du discours s’éparpille comme un pissenlit dans la tornade.

     



  • 5 votes
    Guit’z 30 juin 2013 13:09

    @ Jean Valjean

    L’un n’empêche pas l’autre camarade...
    De toutes façons, d’un point de vue révolutionnaire (de classes), c’est kief kief bourricot !