@gaijin
On ne peut composer des sociétés saines sans individu sain, sinon c’est le bordel, on a remplacé le rapport de force physique imposé par la nature par des tricheries contre nature, le pognon, ou disons le pouvoir que l’on donne à la monnaie, ou tout autres formes que puissent prendre les outils d’échange, des coquillages, des chameaux, des femmes, de l’or, des conneries conceptuelles, bref, peu importe, ce que l’on assiste depuis que l’homme est l’homme, c’est que les riches ont les moyens de se payer tout ce qu’ils veulent, la richesse des 1% vient de dépasser avec 1 an d’avance sur les prévisions, les avoir des 99% d’autres, tant qu’on donnera ce pouvoir à un outil, à savoir, pouvoir de vie et de mort sur son prochain, il en sera toujours ainsi, l’humanité si elle veut perdurer avec les meilleures chances génétiques, potentielles, de s’émanciper, de s’épanouir, devra revenir à un modèle plus social, c’est un fait.

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Cela ne semble pas être à l’ordre du jour car nous assistons aux conséquences du capitalisme poussées à leur paroxysme, tant les inégalités et les distributions de richesse sont devenues délirante par rapport au réel, au mérite de l’individu, nous avons affaire à des héritiers devieilles familles qui naissent et se retrouvent d’emblée à la pointe de la pyramide, les 1%, mais aussi de nouveaux riches qui ont su utiliser les possibilités du capitalisme pour devenir des gueux plus riches que les plus prétentieux monarques du moyen âge, ce qui constitue une nouvelle aristocratie faite de parvenus, mais n’exploite en rien le potentiel génétique humain au service de la nature dont nous sommes issus, jusqu’à nouvel ordre, nous sommes des animaux, une espèce comme les autres, au sommet de la chaîne alimentaire par adaptation, mais on a utilisé pour le faire des moyens détournés de la nature pour organiser nos sociétés, ce qui pouvait aller dans le sens diplomatique c’était qu’il y avait malgré tout une morale, à force de se foutre sur la gueule, et à force de constater que ça n’allait pas dans le bon sens, l’humanité a essayé d’user de diplomatie plutôt que de force pour tenter, de prospérer.

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Car au delà des ambitions personnelles, nationales, continentales, il y a quand même, merde quand même , la dimension naturelle et au service de la survie de l’espèce, ce qui ne semble plus être une priorité y compris pour les élites actuelles qui sont en pleine déliquescence, dépassées qu’elles sont par le jeu de l’embourgeoisement et de la déconnexion par rapport au réel, tout ce qui compte c’est le bénéfice immédiat et conserver un statut privilégié au détriment de plus en plus de monde, ce qui fait que nous arrivons à un fossé inégalé dans l’histoire connue de nos civilisations successives à ce ratio hallucinant de 1% plus puissant que 99%, c’est absolument délirant. 

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C0est tout le problème, la cause des causes, l’inégalité de la distribution des richesses alors que la faim dans le monde pourrait être réglée en 5 minutes, mais les lois du capitalisme, qui démontre ici ses limites, sont telles que l’on arrive à cette aberration biologique, des abrutis finis à la pisse de chacal du style BHL ont un pouvoir exorbitant en regard de leurs capacités personnelles juste parce que ce sont des héritiers, on baisse les chapeaux devant une top model juste parce qu’elle est née belle et pile poil dans les critères de beauté du moment, pas par méritocratie, pas par travail, juste parce que c’est une icône qui correspond aux fantasmes du couillon moyen, et on a des Nabilla mises en avant, bel exemple pour les jeunes. Le paraître plutôt que l’être, la connerie plutôt que le savoir, le mensonge plutôt que le réel, nous sommes les héritiers du mensonge dont nos parents, nos grands parents etc, ont été victime et ça ramène au concept du péché originel de la bible, l’humain nait coupable et endetté, d’entrée, puisque chié dans un système déjà mis en place par d’autres fumiers depuis des millénaires, nous tournerons en rond autant que ce système là survivra, qui est contre nature puisque obéissant à un outil artificiel, contre nature parce qu’il n’obéit plus aux exigences naturelles à savoir, de tenter au sens biologique et anthropologique d’élever un maximum d’individus aptes à devenir les serviteurs de la continuation de l’espèce (croissez et multipliez) dans des conditions optimales pour le plus grand nombre, le capital a inversé cette donnée naturelle, en interdisant au plus grand nombre de s’épanouir et de donner les meilleures chances au genre humain de servir la nature dont il est issu afin de développer ses capacités pour aller au bout de ses possibilités dont je pense que le but ultime est d’apporter la vie plus loin que cette planète mortelle. Là, nous n’avons qu’une minorité d’individus, qui restent en castes privilégiées et non légitimes, autant au sens génétique que de la méritocratie, se proclamer être l’élite du sommet des pyramides au détriment de potentiels humains hautement plus compétents que ces gens nés sans le demander avec des couilles en or et des couffins d’étoffes nobles, dans des milieux ultra minoritaires par rapport aux milliards qui crèvent sans même avoir eu le temps de savoir qu’ils existent pour servir ces fameuses élites au détriment de leurs capitaux vitaux.

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La nature quand elle veut qu’une plante pousse, ne regarde pas à la dépense côté spores dispersés aux 4 vents, c’est la même chose au niveau des spermatozoïdes, alors tant qu’une espèce sera dirigée et influencée par 1% de son potentiel plutôt que favoriser tout son potentiel, de surcroît qui se limite par des tricheries d’ordre économique, alors elle sera vouée à disparaître et à muter en une sorte d’Idiocratie à force de déliquescence de ses élites, qui tiendront à leurs privilèges éphémères comme à la prunelle de leurs yeux pendant que tout le potentiel génétique humain avec ses tares et ses qualités sera condamné à être esclave des riches qui font mumuse avec le vivant jusqu’à extinction totale.

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Et ce, que l’on soit croyant ou athée, nous ne sommes, jusqu’à preuve du contraire, juste des morceaux de barbaque qui se prenont pour les nombrils du monde.