@pegase
Pour les relevés, on tient compte de l’effet des 3° mais
ce n’est pas la base, on le mesure, si on a une t° plus faible ou égale
en étant plus profond, l’influence vient de l’atmosphère. Je n’ai pas
plus de détails ou souvenirs et je suppose que l’on ne fait pas cela en
zone géothermique.
On a le profile du carottage donc la matière, donc on a la chaleur massique est la diffusivité.
Je n’ai pas retrouvé la thèse sur internet, un exemple de mesures pour un puit canadien, en poussant plus profond et un peu de transformées de Fourrier, ça doit se faire en tenant compte du déphasage. La limite ce doit être le bruit de fond et la sensibilité de la mesure.
Oui
un grotte "respire" avec les variations barométriques (P*V/T=
constante), mais quand on compare la chaleur massique de l’air
(1004J/kg.K) à celle de la roche (900J/kg.K) et que l’on prend le rapport
de densité 1,2/2500 au final c’est un rapport de 1/2000ème. l’influence
de l’air.
Pour la salle de la Verna qui a plusieurs accès pour
l’air, sans vent et sans soleil, la pression statique devrait être
équivalente, avec le soleil j’ai des doutes pour la pression statique,
vu le relief j’ai de gros doute coté pression dynamique.
Un
cheminée de 8m, il y a déjà un tirage naturel, le gouffre St Martin ce
n’est peut être pas la meilleure cheminée coté rugosité mais la
différence d’altitude de 1000m doit gommer pas mal de défauts.
On
veut empêcher l’accès a une grotte à un seul accès, une porte pleine ça
va, s’il y a plusieurs accès avec des pressions dynamiques différentes,
une grille c’est mieux.
Les bâtiments industriels que j’ai connu coté
Manche/mer du nord, les portes s’ouvraient coté mer, quand ça soufflait
c’était raide à ouvrir, dans l’autre sens on l’aurait pris dans la
figure.
C’est vrai qu’elle à l’air agréable et sympa la géologue, j’ai fait une partie de mes études en Belgique ça me rappel de bons souvenirs. J’ai rarement vu un étudiant qui n’ait pas lu l’intégrale de Gaston Lagaffe, ça forme l’esprit, vraiment sympa.