@sls0 - Vous avez bien fait d’aborder le sujet de la schizophrénie...
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Extrait de Franc-Maçonnerie et Schizophrénie - Dr Jekyll & Mr Hyde... :
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La psychiatrie, et en particulier la schizophrénie, semble beaucoup intéresser les Fils de la Veuve…
En
1934, aux États-Unis, le Rite Écossais de la Franc-maçonnerie a rejoint
la Fondation Rockefeller dans le financement de la psychiatrie
génétique et inaugura un programme de recherche sur la schizophrénie.
Depuis la création de cette fondation de "bienfaisance" (Scottish Rite Schizophrenia Research Program - SRSRP),
le financement n’a cessé d’augmenter grâce aux contributions des
membres de la fraternité maçonnique. Depuis 1934, c’est plus de 15
millions de dollars qui ont été alloués à ce programme de recherche sur
la schizophrénie. Le but officiel du programme est de faire progresser
la compréhension de la nature et des causes de la schizophrénie… C’est à
l’hôpital St Elizabeth, Washington DC, qu’était basé à l’époque le
SRSRP ; sous la houlette du Dr. Winfred Overholser, un franc-maçon
membre important de l’Association américaine de psychiatrie et lié aux
expériences de manipulation mentale de l’armée américaine. L’hôpital St
Elizabeth étant connu pour avoir plus tard hébergé des expérimentations
sur le contrôle mental de la CIA (MK-Ultra).
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Les donations de la Franc-maçonnerie
pour l’étude de ces troubles psychiques sont attribuées pour des projets
clairement définis (orientation), plutôt que pour un soutien général
des laboratoires. Un de ces projets était de financer le psychiatre
eugéniste Franz J. Kallmann pour qu’il mène une étude sur 1000 cas de
schizophrénie, dans le but de mettre en avant le facteur héréditaire de
la schizophrénie. L’étude de Kallmann a été publiée simultanément aux
États-Unis et en Allemagne Nazie en 1938. De nos jours encore, certains
spécialistes publient des études affirmant que la schizophrénie est
d’origine génétique. Chose que réfute le Dr. Colin Ross en démontrant (dans cette conférence)
la malhonnêteté de ces études "scientifiques". Le fait d’affirmer que
la schizophrénie à une cause principalement génétique permet d’évincer
toute cause environnementale, notamment les traumatismes sévères de la
petite enfance (voir ce témoignage)…
Et comme nous allons le voir, la schizophrénie est aujourd’hui une
sorte de tiroir fourre-tout masquant la réalité du trouble dissociatif
de l’identité.
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Schizophrénie
et Trouble Dissociatif de l’Identité (TDI - http://mk-polis2.eklablog.com/le-trouble-dissociatif-de-l-identite-tdi-trouble-de-la-personnalite-mu-p634661 ) sont en effet intimement
liés. Au niveau phénoménologique, il existe un chevauchement important
entre les symptômes des troubles dissociatifs (particulièrement le
T.D.I.) et la schizophrénie. Une étude a montré qu’un groupe de patients
diagnostiqués avec une schizophrénie par un psychiatre ou un
psychologue, auquel vous faites passer un entretien standardisé lié aux
symptômes dissociatifs a montré que 35 à 40 % de ces patients, censés
être schizophrènes, en ressortiront avec le diagnostic de trouble
dissociatif de l’identité. Inversement, dans un groupe de patient
diagnostiqué avec un T.D.I. auquel vous faites passer un entretien lié
aux symptômes schizophréniques, les deux tiers ressortiront avec un
diagnostic de schizophrénie. Un groupe de 236 patients souffrant d’un
T.D.I. a montré que 40,8 % d’entre eux avaient reçu auparavant un
diagnostic de schizophrénie ("Multiple personality disorder patients with a prior diagnosis of schizophrenia" - Colin Ross, G. Ron Norton, Journal "Dissociation", Vol.1 N°2, 06/1988)
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