Adieu, veaux, vaches, mouton Rothschild et homards...

Adieu, François, davantage regrettable que regretté...rumine en paix...

Le charismatique ex ministre d’Etat veut s’accrocher à la branche de son fief nantais où il s’attend peut-être à un accueil en héros injustement opprimé par un média scélérat...l’ovation espérée, je le crains pour lui, ne sera qu’un murmure indifférent où les grognements vindicatifs prendront vite le dessus...

Particule élémentaire du macronisme, patronyme désormais associé à une particule alimentaire, François à posé son endurant fion sur la pente savonneuse de l’opprobre qui mène tout droit aux oubliettes de l’Histoire où l’évocation de son nom produira un rictus de dégoût et l’embarras suscité par une flatulence dans un bus...

Que va t-il devenir, le malheureux.. ? pigiste au guide Michelin ou son "choix personnel" le guidera t-il vers une Bérégovoy.. ?

C’était perdu d’avance : encore Vert il avait déjà un balai dans le cul...c’est devenu une poutre lorsque le vent mauvais de l’ego l’a porté dans la sphère macroniste...l’ego est un puissant moteur qui permet d’avancer, sauf quand on transplante une mécanique d’Airbus dans une fragile caisse de Twingo, au premier virage c’est le drame assuré, l’arriviste qui se croyait arrivé arrive à une destination finale fatale, l’extrême-onction succède promptement aux tentatives de réanimation...

Adieu, François, pauvre nouille inconsistante, créature flasque qui ne tenait debout que par les artifices cosmétiques d’une valeur fictive que seul le théâtre politico-médiatique peut fournir aux opportunistes...il te reste un carnet d’adresses, tu y trouveras sans doute une bouée bienveillante pour rester au-dessus de la ligne de flottaison, tu pourras toujours entretenir ton complexe de supériorité sur le gueux lambda qui doit se serrer la ceinture pendant que toi et tes congénères se gavent...