N’ importe quoi Jean Robin, avant de parler on se renseigne et on lit les historiens spécialistes.
Le plus grand spécialiste de la question est Robert Muchembled qui confirme que ce sont des tribunaux laiques qui brûlaient les sorcières, on en a le plus brûlé à la Renaissance et pas au Moyen Age dans les marges entre pays catholiques et protestants. Ce sont les pays protestants qui en ont le plus brûlé, parce que le protestantisme est un rigorisme.
@Sentero C’ est bien ce que je pensais, tu ne réfléchis pas.
On n’ étudie dans l’ histoire des idées politiques QUE le socialisme, alors qu’ il y a d’ autres façon de voir, et toi tu n’ y vois rien à redire... Tout est très bien. Tu es le docteur Tant Mieux de Oui-Oui. Quand aux crises, elle permettent TOUTES d’ essayer de montrer la droite sous un mauvais jour et la gauche sous un bon. Il faut que je te fasse la liste ?
Il t’ est arrivé de te poser la question de savoir pourquoi on a sorti cette question là, le ravi de la crêche ?
Quand à la mondialisation, c’ est de la géo, on étudie ce qui se voit, ceux qui font les programmes sont à fond pour. Dire qu’ on étudie le libéralisme parce qu’ on étudie la mondialisation est d’ une rare mauvaise foi. Là on étudie que des effets.
Je rappelle que Sentero disait qu’ il n’ y avait rien à redire que tout était inventé... Quelle mauvaise foi !
Comme si le socialisme et les mouvements ouvriers étaient les seuls mouvements politiques à étudier ! Et puis il y média et opinion publique à travers les crises depuis l’ Affaire Dreyfus, autant de crises choisies (février 1934, putsch d’ Alger, Vichy, 13 mai 1958, mai 1968), qui permettent de tapper sur la droite et d’ encenser la gauche
Retour à ma première question. et tout le programme est comme ça.
@Sentero Absolument pas ! Il suffit de regarder un manuel pour se rendre compte des a priori idéologiques orientés que l’ on assène à nos collègiens/lycéens. Le programme de première est une honte par exemple : on fait l’ histoire des idées politiques et seul le socialisme est au programme. Il y a tellement de chose à dire !