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Loki

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  • Premier article le 14/11/2012
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Derniers commentaires




  • 2 votes
    Loki LoQi 4 avril 2014 11:35

    Aimes et comprends ton prochain.
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    Ce serait bien, encore faudrait il qu’on nous en laisse le temps, or nos sociétés rythmées par l’immédiateté dans tous les domaines, performance, compétitivité, concurrence, exploitation débridée, stress permanent, pressions constantes, nous en laisse de moins en moins, le loisir de pouvoir aimer et comprendre, à moins de se faire quasi ermite, j’en sais quelque chose étant presque monial avec ma compagne dans ma campagne. Devenir un jésus c’est un job à plein temps, et puis il y a tant de choses pour divertir, pas le temps, la prochaine extension de world of warcraft c’est en septembre que diable, je deviendrais saint plus tard smiley



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    Loki LoQi 4 avril 2014 11:23

    que les temps d’adaptation naturels nécessaire à un développement serein et non contraint, ne seront pas respectés



  • 1 vote
    Loki LoQi 4 avril 2014 11:22

    Merci pour ce texte l’Argentin, je ne peux m’empêcher de me dire malgré tout, qu’il en a fallu du temps à ce monsieur Brousseau pour découvrir ce qui était pour beaucoup d’entre nous à l’époque déjà, 1992 pour la Suisse, j’avais voté non à l’adhésion de mon pays à cette europe qui puait la merde, une évidence : Le fait qu’au niveau humain, facteur dont les technocrates n’en ont cure, il était impossible de fondre les diverses cultures du sud comme du nord dans un agglomérat commun fabriqué à la va comme je te pousse et uniquement dans l’intérêt des ultra riches et des multinationales et que ça passe comme une lettre à la poste, balayant d’un revers de main des siècles de cultures et d’histoire propre à chacun des peuples sur un laps de temps si court.
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    Bref en un mot comme en cent, le profit passe avant le respect de la vie humaine, animale, végétale et environnementale, tant que ce sera ainsi, qu’on vivra au rythme des algorithmes qui font et défont les marchés, tant que la spéculation sera dominante sur l’économie réelle, tant que les multinationales tueront l’artisanat, que l’électronique prendra le pas sur le biologique, que les temps d’adaptation naturels nécessaire à un développement serein et non contraint, l’humanité se plaindra de ses maux encore pendant des siècles, tant que règnera la religion du profit, le veau d’or trônant en seul maître, alors point de salut et aucune politique n’y changera jamais rien. Le changement est d’abord individuel, la prise de conscience également, comme l’a fait monsieur Vincent Brousseau, malgré sa tardive perspicacité, qui peut se comprendre vu le contexte des années 80 et le culte du golden boy, cf Bernard Tapie, l’accélération et les dérives de cette idéologie du toujours plus haut toujours plus loin toujours plus fort dans les années 90-2000 jusqu’à aujourd’hui où les fissures deviennent fractures ouvertes entre les inégalités sociales, bref, ce système ne peut faire autrement que s’écrouler. La question c’est quand. Pas dans cent ans, c’est sûr.
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    Témoignage fort instructif, merci encore du partage. Quant à Mr. Asselineau, je rejoins ceux qui pensent que c’est un excellent orateur, qui maîtrise ses sujets, fort intéressant à écouter, mais zéro pointé en politique, car le changement ne viendra pas par les urnes.
     



  • 3 votes
    Loki LoQi 29 mars 2014 12:08

    Qu’il y aie encore beaucoup de gens qui continuent malgré tout de voter s’explique parce qu’aujourd’hui, le simple fait de pouvoir réfléchir sereinement et de manière la moins faussée possible en dehors des dogmes imposés, religieux, philosophiques, scientifiques, sociétaux, moraux est quasiment devenu un luxe réservé à une minorité qui pour une raison ou une autre ne se reconnait pas ou plus dans les valeurs que suivent les masses des non encore "réveillés".
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    Cette minorité est composée d’humains qui, pour diverses raisons, se sont eux mêmes sortis en quelque sorte de "l’humanité normale contemporaine" de la norme en vigueur, du système dominant. Ce sont principalement des quarantenaires et plus, voire trentenaires, car il faut un certain recul et un vécu d’observateur qui a suivi l’évolution sociale depuis les années 60-70-80-90-2000-2010 pour arriver à prendre de la hauteur suite au choc culturel violent subi par les individus qui ont connus les valeurs de la "France de jadis" puis confrontés à une réalité inversée, dont les fondements ont été ébranlés à vitesse croissante dans nos contrées occidentales par divers courants politiques progressistes et des rapports de force entre "élites" dans le cas d’un rapport de force politique pour conserver ou prendre le pouvoir ainsi qu’à une volonté légitime et générationnelle d’émancipation collective, sur le modèle naturel de la génération qui vient doit faire mieux que celle qui précède, on en arrive à ce paysage multipolaire et inédit qui pour certains contemporains voient leurs valeurs éducatives et culturelles traditionnelles s’effondrer les unes après les autres à une vitesse trop grande pour être propice à une adaptation toute en douceur, qui engendre un rejet de ce "nouveau monde progressiste" chez eux et d’autres au contraire baignent d’aisance comme des poissons dans l’eau dans ce monde à la réalité non pas augmentée mais largement déformée par les lentilles du socialisme new age et n’ont par conséquent aucune nostalgie des valeurs d’antan ou de la France des terroirs, ne l’ayant pas connue, France ou Allemagne ou Suisse, bref... Les exclus du système, c’est à dire ceux qui ne parviennent pas à s’adapter à ce système quasi mécanique puisque géré par des machines qui régulent ou dérégulent les marchés, comme ce sont les marchés qui sont les principaux influents des décisions politiques en cours chacun règle son pas sur les pas du marché dans une société devenue toute marchande. L’humain quant à lui est réduit au rang de simple consommable, et ce sont les gens qui refusent cet état de fait qui ne veulent ni se vendre ou être acheté ou refusent de se soumettre au veau d’or, dotés de surcroit d’un esprit critique supérieur à la moyenne qui trouvent qu’il y a comme un bug dans la matrice et qui constituent le gros de la "dissidence" ou souhaitent tisser des réseaux alternatifs pour comme le dit très bien Drac, ne pas subir la connerie des autres et leur style de vie complètement contre nature, si la masse se plaît dans son erreur, qu’elle continue mais n’entraîne pas ceux qui refusent de foncer dans le précipice avec elle.
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    Aillons confiance à la jeunesse qui ne manque pas de "soldats" pour qui un retour aux sources et aux valeurs saines qui garantissent le bon développement de la vie par rapport à l’électronique est primordial et presque viscéral voire inné. N’étant pas encombrée de surcroit par le bagage culturel qui occupe le disque dur mémoriel des quarantenaires et plus, c’est avec une relative fraîcheur que j’ai pu constater chez des jeunes de 20 ans qui m’ont surpris par leur éveil et leur lucidité sur ce monde dans lequel il est de plus en plus difficile de trier le vrai du faux, sans revenir aux fondamentaux, sans une remise en question personnel et une sérieuse mise à jour de son propre logiciel.
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    Les réseaux de "BAD" c’est un peu comme les réseaux maçonnique mais d’un autre camp, les réseaux maçonniques ont déjà fait le nécessaire pour permettre à ses membres de survivre en cas d’effondrement économique ou de prise de conscience collective de la plèbe, peut on ainsi dire que les réseaux alternatifs sont une réaction à l’effet maçonnique ?
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    Quoiqu’il en soit, on va vers un affrontement quasi machine vs humains, ancien et nouveau monde au clash, maelstrom idéologique aggravé par la vitesse des échanges d’informations, de la violence des chocs culturels et dogmatiques tant que la plupart des habitants de cette planète penseront et agiront en termes de dualité plutôt que complémentarité, tant que dureront les inégalités sociales et matérielles, il sera pour ainsi dire impossible au genre humain de penser autrement que par rapport de force obligatoire, l’humain n’a même pas le temps pour des raisons pratique ou de survie d’accéder à l’élévation individuelle, qui est le pilier pour une élévation collective, d’autant plus certainement que nos "élites" au pouvoir ne font rien pour favoriser cette évolution positive puisqu’au contraire, elles jouent aux pompiers pyromanes, étant elles mêmes larguées dans ce brouhaha informe de suite d’évènements qui demande d’être réactifs dans l’immédiateté sans avoir le temps du recul nécessaire pour traiter correctement les affaires diverses et variées bien trop complexes pour en laisser la responsabilité à des bras cassés comme ceux qui squattent aujourd’hui l’Elysée et même leurs prédécesseurs, les évènements les dépassant plus que largement, on ne peut s’attendre qu’à une suite de bourdes, couacs, et erreurs monumentales de leur part, le bien être du peuple étant le cadet de leur souci, déjà qu’ils peinent à sauver leurs "propres" fesses, alors une nation, un pays, pensez donc.



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    Loki LoQi 26 mars 2014 23:49

    (Entre les mensonges qu’ils devaient colporter et les vérités qu’ils doivent taire... )
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    Effectivement il y’aurait de quoi rendre schizophrène plus d’une personne. J’avoue ne pas avoir d’avis tranché sur la question, quand je favorise mon scepticisme, c’est généralement dans des périodes où je me rééquilibre afin de ne pas me laisser aller à trop d’enthousiasme pour certains sujets, afin de ne pas décoller illico pour Pluton, étant ouvert d’esprit mais prudent, I want to believe but pas trop quand même, histoire de tenter de concilier les exigences et conserver la bonne entente entre mon pragmatisme et ma part de rêve ou de visualisation des possibles qui se partagent et se disputent, parfois les ondes de ma radio interne dans un dialogue ressemblant à celui que l’on peut visuellement observer, sur nos médias déformants entre un Finkielkraut survolté et un Tarik Ramadan sous amphétamines. smiley


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