Mickaël
Harpon, le tueur de la préfecture, était noir, musulman et handicapé.
Attirer l’attention sur lui, le signaler comme potentiellement
terroriste, c’était risquer l’accusation de « racisme », d’«
islamophobie », voire d’« handicapophobie. De quoi, pour un
fonctionnaire qui l ’aurait dénoncé, ruiner sa réputation , voire être
poursuivi en justice.
Ce qui a permis le crime c ’est le politiquement correct.