D’où vient la mondialisation ?
La règle de la « mondialisation heureuse » chère à Alain Minc c’est la logique du dumping social ou le salaire est l’ennemi public numéro 1 ou il faut toujours défricher de nouvelles terres d’accueil pour trouver le paradis du rentier.
On nous dit que s’il en était autrement le consommateur devrait payer plus cher.
Mais a-t-on calculé ce que les délocalisations coûtent exactement aux pays abandonnés en termes d’emplois perdus, de rentrées sociales sacrifiées, de pertes fiscales accumulées, et de pollution aggravée, notamment avec l’augmentation du transport ?
Contrairement à ce que la propagande a asséné aux Français depuis des années, la « mondialisation inévitable » était parfaitement « évitable ».
Il ne s’est pas agi d’un phénomène extra-terrestre sur lequel nul n’avait prise.
Il s’est agi d’une série de décisions mûrement délibérées, qui ont été imposées conjointement par le gouvernement américain et la Commission européenne au tournant des années 1990-1994.
Tags : France Europe Economie Etats-Unis Histoire Entreprises International Mondialisation Oligarchie
33 réactions à cet article
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Bonjour,
Il semble que les dérégulations bancaires aient été magouillées à l’ OMC par le Directeur du Trésor US et les plus grandes banques...-
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La mondialisation est l’application des théories des économistes de l’ Ecole de Chicago. Pour arriver à leurs fins, à travers des Think Tank de Droite et de gauche, ils ont "converti" les leaders d’opinion, journalistes, économistes, universitaires, politiques, responsables de médias, chefs d’entreprises etc, que TINA était la seule solution.
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Depuis les années 80, l’ Etat est mis en accusation, il doit cesser de s’occuper de tout, de l’intérêt général.
Et les régulations doivent disparaître pour laisser faire la main auguste du "marché".-
claude michel,
T’as raison,"Les pauvres c’est fait pour être très pauvres, et les riches, très riches, voilà !" disait Louis de Funès dans "la Folie des grandeurs" -
Peu importe d’où elle vient du moment qu’elle y retourne...
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Romios,
Rêve !....On ne peut rien faire contre des faits quand on n’en connait pas les causes.
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le corolaire de la mondialisation c’est que cela ne peu fonctionner qu’avec l’ideologie utile au capitaliste, le LIBERALISME... celui ci naquis en angleterre debut 18eme vers Manchester, s’estompa fortement vers 1930 au USA et en europe apres la guerre de 39-45 puis dans fin années 70 réapparu au USA et en UK pour conquerir le monde ...
mais les gens ont gouté au gouverment sociabilisé et regulé et savent au fond d’eux que quelque chose cloche dans la pencarte plubicitaire du "liberalisme" profitant a tous... une escroqueri digne d’une pyramide de PONZI ou les plus riches font croire au plus pauvre qu’eux aussi peuvent devenir riche lol...-
La mondialisation ne tient que si on peut se permettre de gaspiller de l’énergie à faire massivement du transport inutile. Elle est donc appelée à s’éteindre d’elle même.
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D’ où vient le vent ?
Est-ce un bonne question que de savoir d’ où elle vient la mondialisation ? Cela suppose un complot.La planète étant de plus en plus petite à cause des moyens de transports, et le prix de l’ énergie étant si bas que des pommes de Nouvelle Zélande en France ont valu moins cher que les nôtres, tout cela fait que la mondialisation était inévitable.Après, c’ est plutôt une question de degré, de vitesse du phénomène, que l’ on accélère ou non par telle ou telle décision.-
gerfaut,
Vous devriez aller expliquer cela devant Pôle emploi...Nous ne sommes pas à la fin du pétrole..., s’il faut attendre encore 40 ans ou 50 ans, comme disait Keynes " A long terme, on sera tous morts !"
Visiblement, elle n’ a pas cette vélocité...
Et le plus simple, c’ est d’en sortir par l’article 50. -
Je répondais à la question, ...ne pas tout mêlanger, analyse libérale et un phénomène comme la mondialisation, que certains veulent encourager, expliquer, mais qu’ ils n’ ont pas créé de toutes pièces.Ce n’ est pas le pétrole le pb, c’est le prix de celui-ci, nuance, quand le baril est à 100 dollars comme aujourd’ hui les pommes de Nouvelle Zelande, on ne les trouve plus facilement chez nous, sauf erreur de ma part. C’ est déjà ça...Je ne crois pas à une opposition du protectionnisme et du libéralisme pour nous en sortir, aujourd’ hui les pays qui s’ en sortent pratiquent les deux EN MEME TEMPS. Il faut faire les deux, ce que nous on fait beaucoup moins, car, n’ est-ce pas, pour les gauchistes, le nationalisme, c’ est pas bo.Les peuples qui ont l’ économie la plus florissante, exportent beaucoup, donc ils font marcher la mondialisation, ils veulent bien signer tous les traités d’ échanges mais dans les faits chez eux, ils ne les respectent pas lorsque cela compte vraiment. Si on a pas un nationalisme économique planqué derrière, en gros, si on ne veille pas mordicus à ses billes, on va se faire avoir. Là est vraiment la question !Donc il ne s’ agit pas de lutter contre tout ce qui entre, mais d’ agir là ou il y a les gros contrats.Par exemple, on a le droit de vendre des avions aux USA, mais dans les faits les Américains n’ achètent pas l’ A380, comme le Concorde, très peu de compagnies ont acheté des Airbus sauf celles qui sont sous chapitre 11, donc en faillite et auxquelles Airbus, pour avoir des commandes, procure aussi le financement (alors qu’ elles sont en faillite, donc c’ est plus risqué). les patrolns des compagnies aériennes pas l’ état, même s’il est d’ accord, font un protectionnisme pour défendre leur pays.Pareil, EADS a gagné l’ appel d’ offre de l’ armée de l’ air US pour le contrat géant des ravitailleurs, mais un jugement, comme par hasard, a annulé cette décision, on a refait un appel d’ offre qui a été gagné par Boeing avec pourtant un avion papier, jamais construit donc. Tant que Boeing n’ aurait pas gagné, on aurait recommencé les choses, on peut toujours trouver un prétexte pour annuler une décision.Autre exemple, on peut vendre en Chine, mais on se fait voler ses process et très vite un concurrent chinois apparait, casse les prix avec des produits identiques.Les Allemands défendent leurs industries et sont très liés entre eux à l’ étranger pour ce faire. Eux, leur niche, c’ est la qualité, ce qui ne se combat pas en trois minutes.Nous, nous sommes endettés, dépendants des prêts, donc on ne maitrise plus nos frontières. On ne peut pas avoir l’ état providence, continuer de s’ endetter, des salariés trops chers et invirables, et pouvoir beaucoup exporter. Il faut d’ abord gagner de l’ argent pour ensuite le dépenser.Vôtre histoire de prêts zéro, c’ est déjà le cas, mais les entreprises n’ empruntent pas sachant que l’ activité est proche de zéro.Il faut récupérer ce qui nous permet de faire agir nôtre nationalisme économique, donc la maitrise, oui, de ses frontières.Mais il ne faut pas être économiquement trop radical, car on ne peut pas vivre en autarcie, il faut pouvoir exporter aussi. Si on se ferme les autres se fermeront aussi. -
la mondialisation est lié aux décisions des multinationales, banques, médias, financiers et gouvernements... ça vient d’un complot.
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gerfaut,
Entre une Europe ouverte aux 4 vents, et l’autarcie de la Corée du nord, il y a près de 200 pays souverains dans le monde qui savent se servir des taxes aux frontières pour protéger leurs secteurs stratégiques. Y compris les USA.
C’est ainsi que nous avons perdu l’industrie textile par exemple. -
Allez donc expliquer à un Français habitué à s’ acheter son tee shirt 5-10 euros fabriqué en Chine qu’ il va devoir le payer le triple ou quadruple quand il sera fabriqué en france, c’ est aussi comme ça qu’ on gagne du pouvoir d’ achat, pour se payer des vacances
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gerfaut,
Il faudrait être idiot pour ne pas comprendre que la merdouille à 5 euros se jette au bout de quelques mois, et qu’un produit de qualité se garde des années.L’obsolescence programmée coûte bien plus cher sur 10 ans, dans tous les domaines. On peut faire aussi de la pub pour le durable, au lieu de la pub pour les merdouilles qui encombrent ensuite les déchetteries, qu’il faut payer aussi.
La souveraineté, c’est un autre mode de consommation aussi.
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Oui, achetez Chinois, c’ était acheter 4 fois, mais ce n’ est plus tout à fait le cas, j’ai rencontré un designeur italien qui fait fabriquer maintenant là-bas et plus en Chine, il m’ a dit qu’ ils ont beaucoup progressé, n’ oubliez pas, c’ est une civilisation millénaire.
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Que la technologie ait permis l’accélération des échanges grâce aux transports, personne ne le conteste, mais c’était déjà le cas avant les années 2000. Alors c’est quoi le rapport entre les dérégulations et internet ? Ce sont bien des hommes qui mettent les politiques en place pas les technologies.
Inutile de remonter au XVe siècle, au commerce triangulaire du XVIIIe siècle, ni à l’Empire romain pour parler de la « mondialisation ».
Quand on parle de « mondialisation » en 2014, on parle ben évidemment de la conception contemporaine qu’on se fait du mot aujourd’hui, vous savez cette fameuse « mondialisation heureuse » qu’on nous a vendu dans les années 2000 avec l’avènement d’internet. -
Depuis quelques années on remarque une progression fulgurante du nombre de commandes d’ avions commandés, regardez les commandes d’ Airbus et de Boeing, des porte conteneurs, etc, de toute la logistique mondiale.
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Avez-vous pris la peine de regarder la vidéo ? ( on se demande !)
En signant les accords de Marrakech, les pays membres du G.A.T.T (maintenant l’OMC) ont avalisé cette politique libérale qui consiste à tout déréguler. ( voir l’extrait dans la vidéo, voir aussi l’interview édifiante du lobbyiste, cynique à souhait) C’est bien la libre circulation des capitaux, des marchandises et des services qui permet aujourd’hui les délocalisations. C’est un fait !
La mondialisation « inévitable » était parfaitement « évitable », ce n’est nullement une catastrophe naturelle, mais une volonté politique. Jusqu’à preuve du contraire, ce sont bien les hommes qui font la politique pas les machines !D’ailleurs à votre avis, pourquoi n’entendait-on pas parler de délocalisation dans les années 70 ou 80 ? https://www.upr.fr/actualite/monde/le-vrai-bilan-de-lunion-europeenne-et-de-la-mondialisation-apparait-au-grand-jour
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Oui, les barrières tombent, mais encore une fois dans certains pays parmi les plus forts, un véritable nationalisme économique est là, ils signent tout mais font ce qu’ ils veulent. L’ espionnage industriel par exemple y est très développé.
Je vous ai donné des exemples qui montrent que ce ne sont pas simplement les services de l’ état qui sont à l’ oeuvre mais aussi les patrons qui pensent acheter US. Dans les avions c’ est flagrant.Autre exemple, le patron de Virgin a dû créer pour opérer en Amérique Virgin America, un compagnie séparée de la sienne et avec des capitaux aussi américains. Sinon, il ne pouvait pas. On vit toujours les USA comme le chantre du libéralisme, mais c’ est faux. Dans les faits, ils agissent autrement. -
attention la mondialisation (n’en déplaise aux gauchistes) c’est aussi la libre circulation des hommes pas uniquement celle des capitaux-services-marchandises...
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quoique les gauchistes sont pour la mondialisation en général, mélenchiotte n’a jamais rien proposé contre le libre échange, sujet tabou au fdg (hormis une taxe sur les réimportations mais pas sur les imports lol plus une taxounette écolo sur le kilométrage) : http://www.seuil.com/livre-9782021156461.htm
le npa est contre le protectionisme seule rempart face au libre échange : https://npa2009.org/content/ni-protectionnisme-ni-mondialisation-capitalisteet lo soutient ouvertement le libre échangela libre circulation de capitaux : 0 mesures concrètes de ces partis contre. -
Vichy,
Ce n’est pas faux, mais je ne vois pas la nécessité de les insulter.
Ils confondent l’internationalisme avec l’a- nationalisme.
Jacques Sapir, à mon avis, fait de cette confusion une bonne analyse :
" L’internationalisme est-il soluble dans la souveraineté ?."
" Cette Gauche qui prend ses désirs pour des réalités." -
ils sont contre la colonisation juive et pour les nationalistes palestiniens, mais pour la colonisation globaliste de la france http://la-dissidence.org/2014/05/24/infographie-le-grand-remplacement/
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et contre les nationalistes fr. incohérence.
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Du cerveau satanisé d’un individu apatride qui aurait aimer imposer à toute l’humanité, son non enracinement intrinsèque !
De nos jours, l’un de ses descendants dirige plaNet finance ...
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Les prochains chinois feront du shopping le jour et travailleront la nuit avec un seul bol de riz comme toujours et un verre d’eau.
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Si tous les chinois cassent des noix et bien il n’y a plus de noix
si les chinois broient du noir et bien il n"y a plus que de la lumière et la on est ébloui mais pas le chinois parce que lui il a les yeux....-
LA MONDIALISATION ÉCONOMIQUE ET SES CAUSES
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La mondialisation économique est une réalité relativement récente puisqu’elle remonte aux années 80. Cependant, il nous faut expliciter ses caractéristiques et identifier les causes de son origine.
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La première caractéristique :
de la mondialisation est sans nul doute la forte ouverture que les économies nationales ont subit depuis le début des années 80 et l’apparition d’une « contrainte extérieure ». À titre d’exemple, la France passe d’un taux d’ouverture d’un peu plus de 10% à la fin des années 70 à un taux de près de 40% à la fin des années 90
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1. Cette ouverture n’a pas été aussi forte pour tous les pays, notamment les États-Unis et le Japon, mais elle a été aussi nettement plus forte pour d’autres, comme les Pays-Bas ou Singapour. On remarque aussi que cette ouverture s’accompagne d’une forte régionalisation des échanges commerciaux. Si l’on regarde l’ouverture de l’Union Européenne, on remarque que celle-ci est de 10%.
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Deuxième caractéristique :
cette ouverture économique s’est accompagnée d’une très forte intégration des marchés financiers, si bien que l’on parle aujourd’hui de mondialisation / globalisation financière comme facteur aggravant l’insécurité économique et les inégalités sociales. Elle diminue le choix des peuples et contourne souvent les institutions démocratiques et les États souverains en charge de l’intérêt général. Elle leur substitue des logiques purement et strictement spéculatives exprimant les seuls intérêts des entreprises transnationales et des marchés.
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À ce propos, on voit en effet apparaître, au milieu des années 80, un marché mondial des obligations, très vite relayé par un marché d’actions et de nouveaux instruments financiers (notamment les dérivés). Ces marchés mondialisés sont très larges, c’est-à-dire offrant une large gamme de produits, et très liquides, c’est-à-dire ayant de très importantes transactions quotidiennes.
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On estime à ce propos que plus de 1 000 milliards de dollars « font le tour de la Terre » tous les jours, soit une valeur supérieure au budget annuel de la France.
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Troisième caractéristique :
enfin, la mondialisation de l’économie découle des deux premières. On note, en effet, depuis le début des années 80, l’émergence de très grandes firmes
transnationales ayant des stratégies mondiales, et étant capables de faire jouer au maximum leurs avantages compétitifs. La CNUCED estimait leur nombre en 1997 à plus de 45,000, avec environ 300,000 filiales. Par rapport à 1980, c’est donc une multiplication de leur nombre par 6.
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Causes :
les causes de ce phénomène sont désormais biens connues. C’est d’abord la formidable baisse des coûts de transport et de télécommunication depuis le début des années 80. On estime, par exemple, que le coût d’une minute de téléphone entre Londres et New-York a été divisée par plus de deux depuis 1980. De même, le coût du transport maritime a fortement baissé avec la mise en place des containers. Cette baisse des coûts a été principalement due au progrès technique avec notamment, la mise en place de réseaux informatiques performants.
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Ensuite, on considère que la vague de libéralisation et de déréglementation des marchés, que les États ont "librement décidée" durant ces mêmes années, est le deuxième facteur explicatif de ce phénomène. Les barrières à l’entrées ayant baissé, de nombreuses firmes, ont pu, dès lors s’implanter à l’étranger. Enfin, un fait majeur est souvent occulté : la crise économique. Le besoin de déboucher pour les firmes et la course aux marchés, (que celle-ci se fasse par les exportations ou les flux d’investissements directs), constituent un facteur majeur de la mondialisation de l’économie. Cet aspect de la mondialisation est, selon Pierre VELTZ, trop souvent écarté.
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On peut donc affirmer que la mondialisation est avant tout celle du capital. Celle-ci touche désormais tous les secteurs d’activité, et ses conséquences posent de graves problèmes aux États, au-delà du nécessaire ajustement de leurs structures in ternes. Il semble en effet que ce phénomène pose le problème de la gouvernance à l’échelle nationale et de la nécessaire coordination de l’action des États. Il faut ajouter que la réflexion sur le rôle de l’État dans l’économie ne peut être séparée de la réflexion sur l’articulation entre démocratie et économie de marché. Si trop de marche tue la démocratie, trop d’État la tue aussi.
.REMISE EN QUESTION DU RÔLE DE L’ÉTAT (Nation)
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Depuis le début des années 1980, on assiste à une remise en question de l’État-providence et à la résurgence de l’idée tant combattu par Keynes du laissez-faire le marché ; il s’agit donc d’un néolibéralisme, entendu comme la forme contemporaine du libéralisme classique ; l’État est mis au service du marché et se trouve obligé de lui créer un environnement favorable en aplanissant les exigences et la rigidité du droit. Cette remise en question s’exprimait par l’inefficacité des services
publics, l’ingérence de l’appareil gouvernemental dans des domaines qui ne sont pas les siens, la crise des finances publiques, du déficit et de la dette publique.
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Ainsi, le néolibéralisme prône le désengagement des États car ils ne sont plus capables d’assurer leur rôle de redistribution des richesses et de régulateur économique et social. Cela sous-entend que le domaine politique doit être soumis aux impératifs du marché. La fonction publique est en train de céder le terrain au secteur privé par le biais des privatisations, de partenariats, de sous-traitances, de décentralisation et parfois d’abandon pur et simple d’activités pour répondre aux exigences du marché. De par cette situation, on assiste alors à un transfert volontaire des attributions de la prise de décision de la souveraineté nationale vers des organismes supranationaux tels que : le Fonds monétaire international (FMI), la Banque mondiale (BM), le Groupe des sept (G7) « G8 », Gatt et après l’Organisation mondiale du commerce (OMC),... Il s’ensuit une mise en commun de la souveraineté dans des alliances régionales et internationales en vue d’élaborer des politiques et de prendre des décisions dans le contexte de l’économie mondiale.
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Ce sont donc des domaines vitaux pour les citoyens qui commencent à être remis en cause par des réductions budgétaires publiques ; c’est le cas notamment de la santé, l’éducation, la protection de l’environnement et des ressources naturelles, la protection du consommateur, etc..
source et suite : http://www.er.uqam.ca/nobel/k36325/synthese.pdf.
En début de la vidéo de cet article (à partir de 0:43) on attend François Asselineau, le président de l’UPR dire à juste titre :
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"Qui à crée la modalisation ?
C’est une politique détermine qui à été pensé par les États-Unis en connivence avec la commission européenne de Bruxelles ..."
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Découvrez le programme de libération Nationale inspire par le programme du CNR et adapté à notre aire de temps. L’UPR est le partie politique qui se lève contre la politique néolibérale et impérialiste américaine.
http://www.upr.fr/wp-content/uploads/presidentielles/Programme-Liberation-Nationale.pdf
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Le Général Charles de Gaulle et celui qui à fait sortir la France de l’OTAN, N. Sarkozy celui qui à rejoint de nouveau l’OTAN.
L’UPR propose, comme Charles de Gaulle, également la sortie de l’OTAN pour rendre la souveraineté à la France, puis la sortie de l’Euro qui détruit l’économie française ainsi la sortie de l’Europe !
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Venez nous rejoindre à l’UPR pour stopper la démolition de notre pays et pour libérer la France !
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le problème de notre civilisation ce la civilisation AIPAC : AIPAC est wall Street, la fed dollar comme monnai de resserve mondial. le système militaire américain, NATO-OTAN, Hollywood, les medias dans le monde occidental 90% 10 des medias démocratique, pétrodollars, IMF-FMI. world bank la UN autre instrument de AIPAC. .
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