Jolie analyse, en effet. Se trame, tout au long de ce propos, un concept intense et joli qui malheureusement n’est pas dit clairement par H. Juvin : la morale. Elle bat derrière chaque mot qu’il emploie, mais il ne la dit pas. Pourtant, c’est bien de conduite morale qu’il s’agit : quand ces dirigeants, ces actionnaires se jouent de tout, se foutent de tout, agissent contre la planète et contre les hommes, ils sont dans l’immoralité la plus insane.
A moins de penser, évidemment, qu’il est de bonne morale de détruire beaucoup et souvent pour s’enrichir toujours un peu plus.