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Jovanovic : le plus grand hold-up de tous les temps, prélude à une banqueroute universelle

Interview de Pierre Jovanovic par Media-Investigation, le 29 mars 2012, sur sa vision à court-moyen terme de la crise bancaire et financière ainsi que sur son livre BLYTHE MASTERS.


L’entretien avec Pierre Jovanovic :
Présentation, parcours et revue de presse internationale de Pierre Jovanovic

Dans une première partie :
Le livre BLYTHE MASTERS, la banquière de la JP Morgane à l’origine de la crise mondiale
Ce qu’elle a fait, ce qu’elle va faire...

 

Dans une seconde partie :
Un Monde ruiné, bourré d’artifices bancaires
« Le plus grand hold-up de tous les temps »
Nous sommes dans une période pré-révolutionnaire
La planche à billet
Le cas de l’Argentine et autres exemples
Wall street
"Il n’y a pas assez d’argent sur la planète pour payer les dettes : on va vers la Révolution"
"On vit dans le déni"
A quelques jours de la présidentielle, comment cela va-t-il évoluer ?
Quels conseils pratiques peut-on donner à ceux qui vous suivent ?

Tags : Economie Finances




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9 réactions à cet article    


  • 4 votes
    BA 3 avril 2012 18:39

    Mardi 3 avril 2012 :

     

    Espagne : la dette publique va bondir à 79,8 % du PIB en 2012.

     

    La dette publique de l’Espagne devrait bondir de plus de onze points en 2012, à 79,8 % du PIB, a annoncé mardi le gouvernement, contraint à un effort de rigueur sans précédent pour rétablir la confiance des marchés et de ses partenaires européens.

     

    La dette publique passera de 68,5 % du PIB à la fin 2011 à 79,8 % du PIB, un niveau qui reste inférieur au chiffre de 90,4 % qui sera la moyenne de la zone euro, a indiqué le ministère espagnol du Budget, en marge de la présentation au Parlement du budget 2012 du pays, marqué par des mesures de rigueur sans précédent.

     

    http://www.romandie.com/news/n/_Espagne_la_dette_publique_va_bondir_a_798_d u_PIB_en_2012_44030420121349.asp

     

    Espagne : le chômage atteint un nouveau record.

     

    L’Espagne compte 4,75 millions de chômeurs en mars, a annoncé le ministère de l’Emploi. Il s’agit du huitième mois consécutif de hausse du chiffre du chômage, ce qui le situe à un niveau record depuis la première diffusion de ces statistiques mensuelles en 1996, et a fortiori depuis le début de la crise en 2008.

     

    En mars, 38.769 chômeurs de plus ont été comptabilisés, soit une augmentation de + 0,8 % par rapport à février, et + 9,6 % sur l’année.

     

    Avec une économie atone, le pays souffre du taux de chômage le plus élevé parmi les pays de l’OCDE et de l’Union européenne : selon l’Institut national de la statistique (Ine), ce taux était de 22,85 % de la population active fin 2011.

     

    Pour l’office européen des statistiques, Eurostat, l’Espagne affichait même un taux de chômage de 23,6 % en février.

     

    http://www.lesechos.fr/economie-politique/monde/actu/0201989789921-espagne-le-chomage-atteint-un-nouveau-record-309046.php


    • 3 votes
      Echo Echo 4 avril 2012 01:48

      Si banqueroute universelle il y a, il faudra bien admettre que tout aura été fait pour nous y mener.

       


      Là où la Finance semble avancer à tâtons, nous pouvons parfaitement discerner une stratégie politique qui ne cesse d’avancer ses pions. La trame masquée du scénario politique est volontairement truffée de "gaffes" économiques qui lui donnent un air d’improvisation chaotique. Mais le dernier chapitre est écrit qui nous promet une parfaite mise en esclavage.

       

      Nous sommes plongés dans une crise qui ne doit rien au hasard ou à une imperfection cachée du système. Ce qui veut dire que rien n’évoluera dans le bon sens, parce qu’un système capable de générer des catastrophes financières propices au déploiement du libéralisme s’avère politiquement efficient.

       

      Les conséquences économiques et sociales du marasme financier sont à classer comme dommages collatéraux d’une entreprise politique visant à imposer une gouvernance mondiale.

       

      La fin justifie les moyens, et cette fin nous achemine vers un "libéralisme totalitaire" qui n’a que faire de nos petites préoccupations populistes.

       

      Seul espoir : il faut que les Peuples prennent conscience que le capitalisme a suivi une évolution qui le rend incompatible avec la démocratie.

       

      Mais pour parvenir à cela, il est nécessaire de recréer un journalisme honnête et clairvoyant. Pour l’instant, cette profession n’est pas digne de nous informer.


      • 3 votes
        helios999 helios999 4 avril 2012 02:23

        des infos certes , mais aussi une analyse mediocre ( on ne lui aurait pas tout dit ?)

        par exemple lorsqu’il critique , à juste titre , hollande de son discourt de soumission aux banques , il argumente que sarko ne le fait pas ( ou ne l’a pas fait ?) , analyse mediocre donc ( ou parti pris ? ) sarko depuis longtemps se promene sans slip ( en tant que president ) mieux , il leur demande quoi faire à ses potes de 5 ans

        bref du bon et du mauvais


        • vote
          Zarmo66 4 avril 2012 03:41

          MMouais....
          J’espere que ces infos sont etudiees par d’autres plus "capables" d’analyser cette gabegie.
          A lire : le monde diplomatique.


          • 1 vote
            Zarmo66 4 avril 2012 03:44

            Je precise moncommentaire :
            Je suis d’accord avec l’auteur mais yatil qqun dans le coin pour relever le niveau de l’info ?
            On dirait moi em train d’essayer de convaincre mes potes...


            • 2 votes
              Zarmo66 4 avril 2012 03:53

              Desole m Jancovic car je suis d’accord mais ce sujet merite mieux.
              Un prof peut etre...


              • 2 votes
                samagora95 samagora95 4 avril 2012 14:22

                Jovanovic est malhonnête lorsqu’il reproche à François Hollande de discuter avec les financiers.


                Soyons sérieux deux secondes. 
                C’est la finance truquée et le capitalisme financier privilégiant la rente qui sont à jeter, et non pas la finance qui permet à l’économie de fonctionner. C’est à cette finance seine qu’était adressé le message rassurant d’Hollande.

                Même Mélenchon ne rayera pas de la carte le monde financier.

                Seul le vote Hollande permettra de corriger la trajectoire mortelle qu’a pris le monde financier, car mathématiquement parlant, seul Hollande à une chance de l’emporter face à Sarkozy. 

                Dans ce contexte le vote Mélenchon est pire que le vote LEPEN, non pas à cause des idées au du leader du FDG, que je soutiens à 100%, mais à cause du danger que représenterait une trop grande division des votes de gauche, qui aura pour conséquence la réélection de l’esclavagiste Nicolas Sarkozy.

                La priorité, des priorité, foutre le pilote malade qui dirige la France à la porte, le vote Hollande garantis ce résultat.

                Faite le au moins pour nous éviter de voir les têtes de Sarko, Morano, Copé, Bertran pendant encore 5 ans, c’est long 5 ans.




                • 1 vote
                  Kuota 4 avril 2012 22:02

                  Les informations et l’analyse qui est faite là correspond à ce que nous en faisons.

                  Les banques créé de l’argent dette à l’infine et la masse totale des dettes mondiale est supérieure à la masse monétaire mondiale.

                  La dette permet de conquérir le monde, de justifier toute les privatisations.

                  De nombreux livres et témoignage de personnes au coeur du système ont des analyse similaire :

                  • 1 vote
                    therasse 5 avril 2012 16:37

                    Y a-t’il assez d’argent sur la planète pour payer toutes les dettes ? Peut-être pas.


                    Mais est-ce la bonne question ? La bonne question ne serait-elle pas la suivante : Y a-t’il suffisamment de ressources sur la planète pour faire vivre tout le monde ?

                    Ensuite c’est une question de répartition, à moins que la solidarité globale soit une douce utopie ? Je suis convaincu que nombreux sont ceux qui me répondront cela. D’où la nécessité d’une guerre, ou plusieurs.

                    Mais de quelle guerre parlons-nous ? Les guerres classiques Internationnales ? Ou les guerres pauvres contre riches, afin de réduire les inégalités ? Guerres où des pauvres se battent contre d’autres pauvres. Ou révolutions sociales ? Ou un peu des deux. 


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