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L’ère du profit : la faillite de l’esprit - conférence de Jean-Paul Sauzet (11-2019)

Ex-professeur de philosophie, Jean-Paul Sauzet publie son nouvel essai sur le capitalisme, à la croisée de la philosophie, de l’anthropologie et de la théologie.

Tags : Economie Société Philosophie Capitalisme Psychanalyse




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5 réactions à cet article    


  • 1 vote
    JL 26 décembre 2019 10:14

    Je demande instamment aux administrateurs du site d’exiger qu’un minimum d’informations concernant la durée et éventuellement le contenu de la ou des vidéos soit indiquées en clair dans le chapeau.

     

     Celle-ci dure plus d’une heure.


    • vote
      Laconicus Laconicus 26 décembre 2019 13:56

      @JL

      La durée s’affiche dès qu’on clique sur la vidéo (en bas de l’écran). 


    • vote
      JL 27 décembre 2019 10:06

      @Laconicus
       
       ’’La durée s’affiche dès qu’on clique sur la vidéo (en bas de l’écran).’’
       
       Je demande cela pour éviter que l’on clique sur une vidéo que l’on ne visionnera pas parce que trop longue. Ces clics génèrent du trafic inutile et sont comptabilisés à tort.


    • vote
      yoananda2 27 décembre 2019 14:31

      pas assez d’infos pour que je puisse déterminer si ça vaut le coup de regarder.

      "prof de philo" avec des bras de fillette déjà ça veut dire un paquet de biais.

      je ne suis pas contre la critique du capitalisme, mais généralement, je préfère que ça soit fait par des capitalistes, des gens qui produisent quelque chose que par des gens qui ne font que le parasiter.


      • vote
        ffi 1er janvier 2020 19:30

        La thèse est assez classique et bien explicitée. Cela peut rappeler Dany-Robert Dufour. Je note un point :

        Le terme capitalisme est employé à la place du terme libéralisme.

        En effet, ce qui a incité les états à autoriser une accumulation sans limite de capital, c’est l’idéologie libérale. Le libéralisme, c’est cette licence donné à tous de pouvoir accumuler sans limite, laquelle, au final ne profite qu’à très peu. Le capitalisme, c’est le culte qui en découle, cette occupation compulsive des financiers d’amasser, permise par le libéralisme.

        Si le diagnostique est correct, le philosophe ne va pas aux conclusions. Il déplore l’absence d’interdit d’accumulation, mais n’arrive pas à comprendre que pour le rétablir, il faudrait un pouvoir, au minimum, autoritaire, qui n’hésite pas à croiser le fer avec les puissances financières.

        Cela aurait naturellement pour corolaire des tensions géopolitiques. Nul doute que les Puissances géopolitiques qui n’auraient pas la même approche défendraient les intérêts de leurs géants économiques. En premier lieu, les USA, par exemple.

        La réflexion doit donc continuer : comment parvenir à faire entendre la nécessité d’une limite ? Comment parvenir à mettre en place de telles limites ? A quel seuil fixer cette limite ? Faut-il la fixer en matière de revenu, en matière de capital ?



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