La faillite de SVB n’est pas le début de la fin mais la prolongation du pire
Guy de la Fortelle, éditeur financier, fondateur de la lettre d’investissement “L’investisseur sans costume”.
Tags : Prospective et futur Banques Crise financière Finance
4 réactions à cet article
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Ils se bouffent a tronche entre eux puisqu’ils ne peuvent pas bouffer la Russie.
La Russie a le PIB de l’Espagne, or ils ont souci dans la technologie hypersonique, donc normalement les USA achèteraient la boutique en Russie qui fabrique ces missiles seulement ça ne fonctionne pas comme les mondialistes le désireraient car Poutine est "un immonde dictateur vieux réac"... :)
Vous n’arrivez pas bien à comprendre avec l’exemple de la Russie donc on va prendre un autre exemple.
Dans leur monde idéal, le mondialiste séduit par votre femme pourrait acheter votre foyer avec un LBO. Vous travaillerez beaucoup plus pour rembourser le crédit du nouveau propriétaire de votre foyer qui baiserait votre femme puisque vous n’auriez plus temps pour les futilités que les femmes adorent... Vous voyez, c’est tout simple, le monde de l’argent est un enchantement magique si vous êtes du bon coté, bien entendu, seuls les "vieux réac" oseraient médire sur ce bonheur qu’on vous prévoit sur mesure...
Du coup, la côte-est des USA mange la cote-ouest des USA et ses magnifiques starlettes.... :)
Moi, je suis un vieux réac c’est pourquoi je suggère à la côte ouest de devenir indépendante de Old-York appelé faussement New-York...
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Bon en résumé, les crises ce sont les gros qui les déclenchent pour bouffer les moyens et devenir encore plus gros.
Leur technique pour créer des crises ? Facile, ils font varier les taux d’intérêts (FED ou BCE). Et les crises se produisent lors de l’augmentation des taux.
Donc ceux qui se sont donnés le pouvoir de manipuler ces taux (de collusion avec les oligarques) permettent aux oligarques de s’enrichir de plus en plus vite.
Tant qu’on ne fixera pas une limite au revenu et au patrimoine, nous aurons des crises et des guerres très régulièrement. Ce sont pendant ces phases que les gros mangent les petits et deviennent alors incontrôlables ("too big to fail", trop gros pour tomber car risque systémique). L’état s’endettera pour les sauver s’ils ont fait n’importe quoi : voir la crise de 2008 suivie par des attaques de ces mêmes banques contre les états européens qui les avaient sauvées : crise de la dette en zone euro à partir de 2009. On a strictement rien changé à ce système ... puisqu’il marche parfaitement pour ceux qui l’ont créé (les oligarques).
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Tant pis pour les arrivistes et les parvenus !
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Les USA ont perdu la guerre avec les britanniques et aussi les européens : c’est l’effondrement du système néo-libéral. Objectif non énoncé mais bien réel : plus la guerre USA-Russie dure et plus l’effondrement est visible et durable. Les chinois l’ont bien compris et savent où il faut se positionner de même que le reste du monde qui ne fait pas partie de la "Communauté Internationale".
Le discours ukrainien ou du moins celui de son régime est celui d’un groupe de mercenaires : on gagne, on va gagner, on tient, donnez nous des armes, donnez nous de l’argent (payez-nous), on se bat pour vous etc...
Wagner tient le même langage et l’EI également. Il n’y a pas photo : une bataille de mercenaire et gagne celui qui peut le mieux payer et fournir des armes à ses mercenaires. À ce jeu là celui qui sait jouer aux échecs, a mieux préparé son jeu (son industrie) et apparaît le plus fiable à la vue du monde (pas occidental) a plus de chance :Emmanuel Todd : « Les gens n’ont pas compris les enjeux en Ukraine »
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