Le Franc CFA "une camisole économique pour l’Afrique Francophone"

Mis en place à la sortie de la guerre en 1945, par la France coloniale, le système monétaire du Franc CFA, enchasse et enferme les économies, les pays et les peuple des pays africains francophones, dans une dynamique de non développement.

Sujet Tabou par excellence, la Tvnet citoyenne en parle à l'ocassion du Festival LAFIBALA de Chambéry en juin 2015.

Intervenant : Thomas Noiraut de SURVIE france

Tags : Afrique Monnaie

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3 réactions à cet article

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QaviQeQuarQo 11 septembre 2015 18:31

"le franc CFA permet le verrouillage economique d un pays par la france"

ca fait bien longtemps que la france ne verrouille rien économiquement,
en laissant la souveraineté de sa monnaie a bruxelles et a francfort, la france leur a aussi laissé de facto la souveraineté des pays CFA.

Franc CFA, qui est une abération économique, il faut l avouer, et qui une des causes pour laquelle les pays d afrique francophone n ont jamais réussi a augmenter leur taux de croissance comme l ont fait a diverses périodes, le ghana, l angola, le nigeria, l afrique du sud ou certains pays d afrique du nord.

Petit message au gauchistes :
Une fois qu on a dit compris cela, pourquoi ne pas l appliquer pour l europe ?
Pourquoi conseiller au Mali de sortir de la monnaie et du controle economique etranger, mais pas la grece ou la france ?

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  maQiavel 11 septembre 2015 18:38
  
  Bien dit.
  
  Il y’ a aussi une question qu’on peut poser aux droitards : pourquoi s’exciter dès que l’on parle de franc CFA, comme si s’attaquer au franc CFA, c’est s’attaquer au peuple français ? Comment peut on se battre contre la zone euro, l’instrumentalisation qu’en fait les USA et l’Allemagne et ne pas comprendre que l’on puisse lutter contre la zone Cea et l’instrumentalisation qu’en fait la France ?
  
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  Avlula 12 septembre 2015 00:36
  
  @maQiavel
  C’est la différence entre le patriotisme (la patrie comme communauté humaine) et le nationalisme (la religion de la Nation, perversion compétitionniste fabriquée à une époque où nos dominants avides ne pouvaient pas être apatrides).
  
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