Les allocations familiales risquent de devenir un impôt progressif
La politique familiale est une politique de natalité, ce n’est pas une politique de solidarité.
Pourtant il n’y a pas de déficit structurel de la politique familiale.
Par ce simulacre de justice sociale, le gouvernement est en train d’ébranler un pilier du modèle social pour rien.
Nicolas Doze :
Tags : Economie Politique Famille
4 réactions à cet article
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En tout cas moi ce que je sais, c’est qu’avec toutes les niches fiscales existantes, c’est l’impôt qui est devenu des allocations familiales pour les riches. Cela dit, je suis d’accord sur un point, le plafond de 63 000 euros pour un couple est trop bas. Un couple avec 3 enfants à 5000 euros par mois n’est certes pas à plaindre mais n’est pas non plus un couple fortuné surtout s’il faut payer un nounou pendant que Monsieur/Madame travaillent. Enfin bon Erwanet. Comme des gens comme vous pensent que le RSA (480 euros par mois pour une personne) c’est Byzance, vous allez pas venir nous chialer dans les pattes. Parce que vous, on vous a bien compris : les aides sociales pour les pauvres : NEIN ! Les aides sociales pour riches : DA !
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Les revenus de substitution des mères ça ne fait pas partie de la politique familiale ? Chronique bidon par un chroniqueur bidon ...
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Et il disait quoi lui avant 2008 ? il était encore dans sa bulle, dans sa béatitude économique ?
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merci je comprend mieux
donc : la branche familiale n est pas structrullement atteinte mais par soucis de "justice sociale" on va l ebranler
par contre meme si ca s apparente a un impot progressif encore heureux qu on ne fiscalise pas, marre de justifier le boulot des fonctionnaires des impots ! qui plutot que de chercher des poux aux classes moyennes et PME feraient mieux de regarder les comptes des puissants
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