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Accueil du site > Actualités > Economie > Pouvait-on prévoir la crise ?

Pouvait-on prévoir la crise ?

"Bien qu’il soit évident que les keynésiens avaient tous tort et que l’interventionnisme et la planification centralisée de l’économie ne fonctionnent pas, vers qui nous tournons-nous pour des conseils et nous sortir de cette pagaille ? Malheureusement, vers les keynésiens, les socialistes et les partisans de l’étatisme.

Qui sont ignorés ? les économistes autrichiens du marché libre - ceux-là même qui avaient prédit non seulement la Grande Dépression, mais le désastre auquel on fait face aujourd’hui" 


- Ron Paul, novembre 2008

Tags : Economie Société




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12 réactions à cet article    


  • 1 vote
    kalki kalki 14 juin 2011 19:26

    hé ho ron paul tient avec les oligarques mon gars ... réveille toi

    le marché est déjà débridé : la stratégie des salopard est d’inverser les valeurs, orwell n’a rien inventé

    " un marché dérugélé qui a mené a la crise " est un "marché ou l’état controle tout " en fait c’est les riches qui controles tout : y compris le marcher, y compris les crises


    • 4 votes
      RepublicainVox RepublicainVox 14 juin 2011 22:01

      Non seulement on l’avait prévu, mais on prévoit aussi la prochaine !



    • 3 votes
      News 14 juin 2011 23:07

      Non, c ’est juste. L’école libérale autrichienne revendique une indépendance totale de l’économie vis à vis des banques comme des Etats.
      Cette école s’est toujours opposée à la création monétaire ex nihilo par les banques. Ses partisans dispersés en occident sont rendus peu audibles par la puissance du lobby bancaIre. Pour ces spécialistes de la pensée économique, les banques devraient détenir 100% de réserve propre contre à peine 8% à l’heure actuelle. Si c’était le cas, il n’y aurait plus de crise financière, mais l’appât du gain est sans limite. Les banquiers jouent au monopolis avec notre épargne nous faisant courir des risques inconsidérés.

      L’économiste primé Maurice Allais, libéral sincère et convaincu était très clair à ce propos :
       « Par essence, la création monétaire ex nihilo que pratiquent les banques est semblable, je n’hésite pas à le dire pour que les gens comprennent bien ce qui est en jeu ici, à la fabrication de monnaie par des faux-monnayeurs, si justement réprimée par la loi. Concrètement elle aboutit aux mêmes résultats. La seule différence est que ceux qui en profitent sont différents. »


    • vote
      rastapopulo rastapopulo 14 juin 2011 23:48

      Et comment mettre en faillite organisé les banques sans séparer les dépôts du reste ?

      Bon j’arrête, je n’aurais jamais de réponse vu qu’il faut passer par une législation et que et que et que.

      Sinon il y a juste Bismarkt qui contredit cette rareté dans la "voix royale" vers le développement. 

      Et oui une nation peut offrir un juste rattrapage industriel comme chez nous pendant les 30 glorieuses. Fou la vie hein ?

      La question n’est pas de qui vient l’investissement mais la nature de celui-ci. Le court-termisme n’est réservé ni au publique, ni au privé. 

      Mai je me délecterais jamais assez des rattrapages industrielles"naturelles" quand c’est les états qui en sont la source et des crises "cycliques" quand c’est le privé qui en est la source.

      Le manichéisme puissance 10.


    • 5 votes
      Daniel Tourre 14 juin 2011 21:03

      Excellent !
      Si seulement les Français pouvaient s’intéresser au vrai libéralisme et à l’école autrichienne d’économie !


      • vote
        rastapopulo rastapopulo 14 juin 2011 21:46

        Comment mettre en faillite (la loi du marché pourtant non ?) des banques sans séparer les dépôts sans risques et les investissements par nature risqué ?

        Tant de mystère chez les anti-régulation primaire.

        Par contre créer soi-même sa contre-valeur (Keyne qui est un aristocrate pure jus puisqu’il veut sauver les banques par l’endettement des pays sans réformer) pour s’effarer soi-même, ça c’est pas trop douloureux pour ses certitudes. 


        • 1 vote
          LULUCRU LULUCRU 14 juin 2011 22:21

           La Grèce a-t-elle menti et ment-elle encore sur sa situation réelle ? 
          D’abord, le gouvernement grec, c’est entendu : il truque ses comptes publics depuis vingt ans. Tout le monde savait dans la communauté financière internationale, notamment les directeurs généraux du FMI. Et le gouvernement grec continue de « mentir  » puisqu’il n’a aucune intention de réduire les dépenses publiques au niveau nécessaire pour réduire les dettes. La preuve ? Il n’a pas engagé une politique de privatisations massives. Ce serait pourtant le moyen le plus efficace et socialement le plus juste pour rembourser la dette ou la ramener à un niveau tolérable. 
          L’Etat grec dispose en effet d’usines, de ports, d’aéroports, d’équipements sportifs, d’industries maritimes. Si cette politique de privatisation avait été menée, la note de la Grèce remonterait aux environs de B et pas CCC sur l’échelle deStandard & Poor’s. Or, le gouvernement, qui est socialiste, ne le fait pas car ce n’est pas sa pensée politique.

          Les banques françaises et allemandes ont prêté au gouvernement grec en sachant qu’il n’avait pas la possibilité de rembourser. Pourquoi ? Quand vous prêtez à un mauvais client, vous prêtez à un taux intéressant, plus élevé. Et donc vous gagnez plus d’argent. Et vous prêtez en vous disant : « Ce client a des garanties, il est de la zone euro. »
          Tout ceci contribue à un lent déclin de la zone euro : les Grecs ont imité les Français et les Allemands. C’est eux qui ont cessé de respecter les critères de bonne gestion budgétaire dès 2008 : ils sont passés de 3 % à 8 ou 9 % de déficit public.

          Les donneurs de leçon ont donc donné de mauvais exemples. Et les Grecs ont pu se dire : « Si eux l’ont fait, on peut le faire. » Nous sommes tous des Grecs. Exceptés la Finlande et l’Estonie, tous les Européens ont commis de grosses erreurs de gestion de leurs finances publiques.

          • 1 vote
            rastapopulo rastapopulo 14 juin 2011 22:53

            Notre rattrapage industriel n’est pas venu de la privatisation mais d’un équilibre privé/état ou l’état ne jouait pas le rôle d’absorbeur de choque au bénéfice du privé pour s’endetter avec une monnaie électronique.

            Ce qui est certain, c’est que nous trichons aussi avec le Grèce en ne leur proposant pas un plan type 30 glorieuses.

            Donc les nentilles élites privé pratiquent la vielle technique d’enlever l’échelle une fois monté.

            Rien de neuf.
            Je n’ai d’ailleurs des personnes qui tiennent votre discours aucun commentaire sur le rôle de Morgan dans la crise de 29... bizarre comme même pour des êtres qui se disent réalistes.


          • vote
            Elmapelki elmapelki 15 juin 2011 13:55

            Maintenant que la moitié de l’Europe renonce à l’atome, la nouvelle "Bulle" est bientôt en place ! Elle ce focalisera sur les énergies renouvelable ! Depuis plus de deux ans Goldman Satch si interesse !
            A vos marque !
            Prêt ?
            Partez ! 
            Elmapelki


            • vote
              FuckAllmyBrain 16 juin 2011 03:00
              A l’attention de FrenchDissent,
              Une question annexe : as-tu fait toi même la vidéo ? 
              J’aimerais connaitre les références de la musique de cette vidéo...
              Je te remercie d’avance de tes éventuels renseignements !


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