Le coup de gueule d’Harrison Ford
L'acteur a pris la parole le 12 septembre 2018 au sommet pour le climat de San Francisco pour dénonçer les dangers de l'inaction face aux enjeux écologiques et les politiques inconscientes qui nient tout impact de l'homme sur les écosystèmes.
Une pique à peine voilée à la politique de Trump et tous ceux qui utilisent la négation des données scientifiques pour servir leurs propres intérêts : "Élisez des dirigeants qui croient en la science et qui comprennent l'importance de protéger la nature !, s'est-il emporté au micro. Arrêtez bon sang le dénigrement de la science ! Arrêtez de donner le pouvoir aux gens qui ne croient pas à la science, ou pire encore qui font semblant de ne pas croire en la science pour servir leurs propres intérêts"
Tags : Science et techno Changement climatique Climat Nature Donald Trump
8 réactions à cet article
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"Il est difficile de faire comprendre quelque chose a quelqu’un qui tire ses revenus du fait de ne pas le comprendre".Upton Sinclair-
Marrant..il roule en bagnole à essence et pilote un avion..comme anti pollution y a mieux non ?
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@bob14
En effet, le fait qu’il conduise une voiture ou un avion, c’est une très bonne raison pour ne pas se soucier d’écologie.
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C’est évident, mais faut-il encore pouvoir faire la distinction entre science et science, entre celle avancée par le cartel des lobbyistes dont on connaît le pouvoir et pour lesquels travaillent des centres de recherches gorgés de spécialistes véreux et l’autre science, celle dont on entend jamais parler !.... Je ne connais pas son engagement dans la lutte contre les salauds mais il me semble que lorsque l’on fait un discours viril pour une cause aussi élémentairement juste, on prend d’avantages de risques et on balance ses petits copains de golf....Je ne le vise pas lui particulièrement, mais bon, d’autres l’ont fait et rien a changé.
Merci pour le partage.
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@Le Celte :"faut-il encore pouvoir faire la distinction entre science et science, entre celle avancée par le cartel des lobbyistes dont on connaît le pouvoir et pour lesquels travaillent des centres de recherches gorgés de spécialistes véreux et l’autre science"
Aux USA ils ne sont plus dans ces subtilités, 80 millions d’électeurs pensent que la Terre à 6000 ans, que l’homme doit consommer tout le vivant pour achever le retour du Christ, du coup c’est compliqué pour Han Solo.. Cet électorat est le principal vivier de Trump et plus largement des néocons (qui eux savent parfaitement utiliser l’inconscience des masses endoctrinées pour leurs propres intérêts matériels), la fracture est béante chez eux..
Ce qui n’est pas "encore" le cas de la privilégiée Europe, et cela nous pousse inévitablement à prendre le leadership car ce n’est pas la Chine aux pieds d’argile qui le fera.. Désormais tout mouvement politique qui ne fera pas de l’écologie sa priorité absolue déterminant tous les autres enjeux ne peut être qu’une manipulation vulgaire une évidente tartufferie..
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@Ozi
La bêtise n’a malheureusement pas de frontière, tous les humains sont tombés dans la marmite de l’irrationnel, lui-même causé par un instinct de survie devenu complètement artificiel.
La Chine a l’avantage d’être une nouvelle nation industrielle, elle a en conséquence le pouvoir d’adapter les infrastructures qu’elle préfère écologiques...spiritualité s ?n jiào oblige. Les Américains quant à eux sont justes assis sur leurs gros culs dans un environnement de Disney-land, avançant ainsi l’âge de l’intelligence à 0 !
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La désertification vient essentiellement de la destruction des forêts et du bétonnage de la moindre parcelle verte. Tous le monde ressent la chute de la témpérature lorsqu’il pénètre dans une forêt. En fait çà vient de l’eau expiré par les plantes et les arbres. Un chêne relache près de 600 litres d’eau par jour dans l’atmosphère ...Mon rêve serait de reverdir une parcelle de désert au sud du Maroc et dans la région du Sahel ... Mais là aussi il faut faire attention, non pas aux terroristes mais aux promoteurs immobilier qui se comporte comme des prédateurs d’espace vert. Par exemple Yacouba Sawadogo, un homme qui a reverdi quelques hectares au Sahel, se fait embêter par des promoteurs immobiliers qui ont vu dans ce petit désert verdâtre, une opportunité de faire du fric et de bétonner !
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