Le bon boulot en Ukraine de "l’Empire Soros" raconté par George Soros
C'est toujours délicieux de recueillir les revendications formulées directement par les auteurs de mauvais coups. Des aveux, diront les langues perfides peu sensibles aux élans philanthropiques et à la bonhomie de George Soros, financier, spéculateur, investisseur, inventeur des célèbres hedge funds, lobbyiste. Son modique bas de laine se chiffre à plusieurs dizaines de milliards.
La vie de George est tout un roman, ici en version condensée par Wikipédia :
https://fr.wikipedia.org/wiki/George_Soros
Mais, quittons l'atmosphère interlope des paradis fiscaux et revenons à la casquette de philanthrope fièrement portée par Soros. Dans une entrevue accordée à CNN en mai 2014 il admet la "part importante" de sa fondation "dans les événements d'Euromaïdan".
En 2015 il va plus loin. Tel un délinquant repenti qui se met à table pour libérer sa conscience il n'est plus possible d'interrompre la longue litanie des aveux. Des revendications, pardon...
"L'Empire Soros a remplacé l'Union Soviétique."
Bigre !
"...mon engagement prioritaire en Ukraine."
Mince ! certains "complotistes" carabinés n'oseraient pas prononcer de tels propos.
Maintenant que le morceau a été craché sur "l'implication" de l'Open Society Foundations dans cette région du monde il serait intéressant d'entendre l'analyse du même George sur la situation actuelle qui, chacun le sait, emprunte la voie sinueuse et périlleuse de l'escalade belliqueuse depuis février 2022 et le débarquement russe en territoire ukrainien.
Bonne pioche ! le décidément très disert George s'est exprimé (le débit est un brin laborieux, bon courage lors du visionnage) à l'occasion du Forum Economique Mondial 2022 à Davos. Oh, Davos c'est une simple version suisse des réunions Tupperware où se rencontrent les 2500 plus grands argentiers et dirigeants (sans oublier les philanthropes, les VIP etc...) du monde pour de banales conversations informelles à la bonne franquette. Chez Klaus on ne vend pas d'emballages ni d'ustensiles ménagers, on y fabrique des agendas. Une activité innocente qui n'empêche pas certains de jaser...
Merci à François Cotard, auteur de cette vidéo :
"L'invasion de l'Ukraine n'est pas venue de nulle part" ose t-il.
Cette prise de parole est juste vertigineuse, édifiante aussi. S'il reste des naïfs qui veulent ériger une statue à la gloire de Soros qu'ils songent d'abord à trouver un emplacement dans un abri anti-atomique pour éviter qu'elle finisse vitrifiée. Ce serait trop dommage.
Tags : Etats-Unis Chine Désinformation Russie Guerre Nouvel Ordre Mondial Manipulation Ukraine Union européenne Psychiatrie
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