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Manifestations historiques et décisives en Israël

"Coup d'Etat", "Bibius Caesar", les manifestants vont de la Droite à l'Extrême-Gauche. Les uns accusent Netanyahou d'exécuter un Coup d'Etat contre la Cour Suprême en en profitant pour contrôler le Service Spécial le plus stratégique du pays (le Shin Beth) les autres l'accusent d'avoir délibérément créé les tensions qui ont mené au 7 Octobre, en toute connaissance de cause - c'est-à-dire en sachant pertinemment que le sang coulerait - puis d'avoir activement ralenti voir empêché la libération des otages pour consolider son pouvoir personnel.

La technique de Netanyahou semble calquer point par point la sanglante "Stratégie de la Tension" dans l'Italie des années 70, par laquelle l'extrême-droite néofasciste avait organisé les attentats de Bologne pour les imputer aux communistes et justifier un coup d'état policier. Cette stratégie, le journaliste citoyen Meron Rapoport, correspondant pour +972 Mag, Mekomit et le Middle East Eye, l'a particulièrement bien étudiée...

Tags : Politique Israël Prospective et futur Liban Manifestation Gaza




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9 réactions à cet article    


  • 1 vote
    Étirév 26 mars 09:47

    Juifs, Israélite, Israéliens, Khazar, Ashkenazim, Sephardim ?
    Commençons par dire qu’il ne faut pas confondre les Juifs et les Israélites, comme sans doute le faisaient les Romains, et comme le font encore presque tous les historiens modernes. Les Sémites formaient deux partis en lutte. Les Israélites restèrent toujours séparés du monde juif, qui représentait pour eux l’usurpation du pouvoir religieux ; ils gardaient fidèlement leurs principes théogoniques et leur grande loi morale.
    La confusion qui s’établit entre les Juifs et les Israélites commence au premier siècle de notre ère. Les Juifs, qui sont partout méprisés, se font appeler « fils d’Israël », croyant par cette supercherie reconquérir l’estime perdue. Aussi, c’est à eux que Voltaire fait allusion lorsqu’il écrit : « Les juifs ne sont qu’un peuple ignorant et barbare qui allie depuis longtemps la plus répugnante avarice et la plus abominable superstition à une haine inextinguible pour tous les peuples qui les tolèrent et grâce auxquels ils s’enrichissent. »
    Le Judaïsme a remplacé l’Israélisme qui avait joui d’une extraordinaire faveur à cause de sa haute morale et de la simplicité grandiose de son dogme, résumés dans ces deux mots : la Femme ; le Bien.
    Tout cela est remplacé par le Talmud qui discrédite la « race » juive.
    Quasar : Astre d’apparence stellaire et de très grande luminosité, dont le spectre présente un fort décalage vers le rouge
    « Mille ans avant la naissance de l’actuel État d’Israël, un Royaume juif existait sur les marches orientales de l’Europe, à cheval sur les plaines baignées par le Don et la Volga … »
    Ainsi commence le célèbre ouvrage de l’auteur juif américain Kevin Alan Brook : « The Jews of Khazaria ».
    L’histoire des Khazars est demeurée à peu près inconnue jusqu’au début du VIIe siècle. On sait seulement qu’ils faisaient partie de l’empire Turc et qu’ils conquirent leur indépendance après que des guerres intestines eurent provoqué l’éclatement de cet empire.
    Après deux siècles de prospérité le royaume Khazar officiellement juif (au sens que ce mot a aujourd’hui) finit par dépérir à la suite de multiples affrontements avec des tribus Vikings, Arabes ou Varègues qui se déplaçaient le long des grands fleuves et de nombreuses autres tribus guerrières de la steppe. Il subsista encore quelques décennies entre 933 et 969, mais il est établi que l’empire des plaines n’existait plus au début du XIe siècle
    Les redoutables pillards « Rhuss » se convertiront au Christianisme byzantin, dit orthodoxe, par opposition au Christianisme Romain. Ils donneront naissance à une nouvelle nation, la « Rhuss de Kiev » (La « Rhuss de Kiev » est à la fois aux origines de la Russie, de la Biélorussie et de l’Ukraine actuels, autrement dit de l’ensemble du monde russe), soutenue par l’empire Romain d’Orient et berceau de la Russie moderne.
    Profitons-en pour rappeler que la ville de Kiev, dont le nom est Turc (de « KUI », la rive et « EV », l’emplacement), fut, dit-on, créée par les Khazars.
    Le mystérieux royaume Khazar a influencé notre monde moderne d’une manière dont nous n’avons pas toujours conscience. Les Khazars n’avaient longtemps intéressé que des spécialistes de l’histoire de l’Asie centrale, comme le révèle la bibliographie d’Alan Brook évoquée ci-dessus.
    Toujours est-il que la « question khazare » a opéré un débarquement tonitruant dans l’histoire contemporaine avec la polémique liée à la colonisation de la Palestine à partir de la fin du XIXe siècle. En effet, à partir de cette période, qui correspond à l’apogée de tous les mouvements colonisateurs européens, d’immenses cohortes de juifs dits « Ashkenazim », originaires des régions autrefois occupées par les tribus de l’empire Khazar tardivement converties au Judaïsme, ont déferlé sur une Palestine miraculeusement métamorphosée en « terre de leurs ancêtres ». Ils en revendiquaient la propriété au nom de la connaissance qu’ils possédaient par « ouï-dire » de l’existence d’un acte notarié dressé entre un « extra-terrestre » et d’hypothétiques ancêtres qui auraient été « méchamment » privés de leur héritage par de cruels centurions romains.
    Aussi, profitons-en pour rappeler que TOUS les premiers ministres du nouvel Etat surgi en terre palestinienne en 1948 sont originaires d’Europe orientale et des régions qui correspondent à l’ex-empire Khazar : David Ben Gourion (Pologne), Moshé Sharett (Ukraine), Levi Eshkol (Ukraine), Ygal Allon (famille roumaine), Golda Meir (Ukraine), Yitzhak Rabin (parents ukrainiens), Menahem Begin (Biélorussie), Yitzhak Shamir (Biélorussie), Shimon Peres (Biélorussie), Ehud Barak (parents lituaniens), Ariel Sharon (parents biélorusses), Ehud Olmert (père russe) et Benyamin Netanyahou (grand-père lituanien).
    À propos du terme « Ashkenaz », précisons que c’est autour du XIème siècle seulement qu’il est devenu la désignation officielle des Juifs établis en Allemagne et que s’est effectuée une migration sémantique des plaines de la Volga vers celles du Rhin. Aussi, la période à laquelle s’est effectuée cette migration du vocabulaire correspond à la migration des populations après la destruction de l’empire Juif Khazar et à la dispersion des communautés qui résidaient à l’intérieur de ses frontières.
    Rappelons également que le terme d’« Anglo-Saxon », qui n’a rien à voir avec une quelconque appartenance ethnique, ne désigne que ceux qui, vers la fin du XIème siècle, émigrèrent des territoires germaniques vers l’île de Bretagne.
    NB : Historiquement, il n’y avait aucun Juif en Angleterre de 1290, date à laquelle le roi Edouard Ier les expulsa, jusqu’au milieu du XVIIème siècle, lorsque Cromwell, qui devait des sommes énormes à leurs banquiers, les rappela.
    Cromwell se déclarera même comme « un homme appelé à faire de grandes choses en Israël », il désignera les Stuarts comme ayant « dérangé Israël pendant cinquante ans » et il parlera de l’Angleterre comme « notre Israël Britannique » notre « Sion Anglaise ». Il était sans doute juif (cela explique la suite de sa politique) et financé par la Communauté juive d’Amsterdam. C’est lui qui fit traduire en justice le roi Charles Ier et veilla à sa condamnation à mort par décapitation. Sa cruauté fanatique le porta en Irlande catholique où les massacres systématiques et les persécutions de la part de ses troupes (de même ensuite en Ecosse) expliquent la haine persistante de la nation irlandaise contre tout ce qui est anglais. Cromwell mourut dans l’impopularité générale.
    À l’époque d’Oliver Cromwell et au XVIIIème siècle, les espérances de la restauration d’Israël qui n’étaient encore que des vœux pieux, commenceront à se concrétiser au siècle suivant. Et là, il est intéressant de noter que le sionisme chrétien a anticipé de près d’un demi-siècle le sionisme juif. Avec les conquêtes du peuple anglo-saxon, la métaphore d’Israël et de la Nouvelle Jérusalem passe alors du statut de mythe de libération au mythe d’accomplissement. Se développe la doctrine protestante qu’on appelle l’« anglo-israélisme » (« British-Israël », « le peuple de l’Alliance ») : croyance répandue du temps d’Élisabeth 1ère d’Angleterre, que les Anglo-Saxons seraient les descendants des dix « tribus perdues » d’Israël, donc les véritables israélites (supercherie déjà tentée au Ier siècle de notre ère et rappelée succinctement ci-dessous). Il fallait donc restaurer l’Église « anglo-israélienne » en terre anglo-saxonne, avant la Parousie, et reconnaître en la reine d’Angleterre l’héritière légitime du « Roi David » (Le nom de David est la traduction du nom hébreu « Daud », nom féminin qui était celui de la dernière souveraine, Reine et Mère de Salomon, qui fut martyrisée à Jérusalem après y avoir régné 33 ans). La localisation de ces anciens peuples s’étendrait en fait à tout le monde anglo-saxon, en Grande-Bretagne, en Australie, en Nouvelle-Zélande, à ceux des descendants britanniques de l’Afrique du Sud, au Canada et aux Etats-Unis d’Amérique. Faisons remarquer que, suite au développement de la doctrine du « peuple de l’Alliance » en Angleterre, les Etats-Unis d’Amérique seront le lieu de la fondation en 1843, de l’association fraternelle juive « B’nai B’rith » qui signifie, en langue hébreu, « les fils de l’Alliance ». Les Etats-Unis furent dès le début fondés sur les principes du « fondamentalisme protestant » anglo-saxon, et furent vus par leurs fondateurs comme la « terre promise », où l’histoire doit se terminer par le triomphe planétaire des « dix tribus perdues ». Ce mythe est alors mis en parallèle avec l’hégémonie anglo-saxonne sur le monde, confirmée par les succès frappants de l’Angleterre « maîtresse des mers » et la superpuissance américaine, la seule du monde moderne. Les Anglo-Saxons deviennent la « nation élue », « La graine d’or du monde germano-romain, comme dit Alexandre Douguine (Le Paradigme de la Fin), qui doit établir à la fin des temps sa domination sur toutes les autres nations de la Terre. ». Cet Israël « spirituel » « fera carrière » dans le capitalisme et l’empire colonial pendant que le catholicisme « méditerranéen », lui, déclinera. Au XIXe siècle, avec les conceptions racialistes de la science, ce faux Israël spirituel montrera son vrai visage, et prendra progressivement une dimension proprement raciale.
    Suite


    • 1 vote
      Gollum Gollum 26 mars 09:55

      @Étirév

      Tout cela est remplacé par le Talmud qui discrédite la « race » juive.
      Quasar : Astre d’apparence stellaire et de très grande luminosité, dont le spectre présente un fort décalage vers le rouge
      « Mille ans avant la naissance de l’actuel État d’Israël, un Royaume juif existait sur les marches orientales de l’Europe, à cheval sur les plaines baignées par le Don et la Volga … »
      Ainsi commence le célèbre ouvrage de l’auteur juif américain Kevin Alan Brook : « The Jews of Khazaria ».
      L’histoire des Khazars est demeurée à peu près inconnue jusqu’au début du VIIe siècle.

      Je rêve ou Etirev est en train d’amalgamer joyeusement les quasars de la cosmologie avec les Khazars ? smiley Pétard mais kek elle fume la bougresse ? smiley


    • vote
      yoananda2 26 mars 10:23

      @Gollum

      Je rêve ou Etirev est en train d’amalgamer joyeusement les quasars de la cosmologie avec les Khazars ? 

      C’est de la salade de mots, t’inquiète, c’est normal. C’est du langage des zoizo, tu peux pas comprendre, les messages codés de l’univers, toussa...


    • vote
      Gollum Gollum 26 mars 10:37

      @yoananda2

      C’est à se demander si elle n’utiliserait pas une IA pour pondre ses pavés indigestes.. Ou alors Etirev est elle même une IA.. Y a des bugs..


    • vote
      yoananda2 26 mars 10:51

      @Gollum
      non les IA n’ont pas ces biais la, ou alors il faudrait les prompter pour être plus bête qu’elles ne sont, elles n’auraient pas confondu qasar et khazar et pourquoi pas lézard et bizar, blizar tant qu’on y est...
      je me demande qui accroche a ces anêries, parce que bon, y a des trucs un peu gros quand même, même si on ignorant de tout

      on a des sacrés numéros sur ce site...


    • vote
      Gollum Gollum 26 mars 11:56

      @yoananda2

      Là où elle est particulièrement trompeuse c’est qu’elle mélange habilement des trucs qui peuvent s’entendre avec d’autres complètement délirants et même carrément faux.

      Son féminisme, entre autres, est délirant. Le coup des mâles égyptiens qui faisaient la vaisselle et s’occupaient de la couture, celle là fallait oser quand même.. smiley


    • vote
      yoananda2 26 mars 12:44

      @Gollum

      Son féminisme, entre autres, est délirant.

      ce n’est pas du féminisme. C’est de l’androphobie. ou du racisme anti-homme comme on dirait aujourd’hui... non, de l’antisémitisme pour homme ! encore plus mieux ! lol 

      de la lgbtophobie anti-homme, voilà

      le féminisme (défense de la féminité) c’est autre chose que le préchi-précha d’Etirev


    • vote
      eau_du eau_du 26 mars 20:15

      Attention images choquantes ! + 18 ans !!!!

      Une vrai boucherie commise par des sionistes !!!

      Une vrai boucherie commise par des sionistes ... et quand LFI dénonce les crimes contre l’humanité commise par l’état d’Israël, par Netanyahu, contre la population civile palestinienne on traite ce parti politique d’antisémite ! Les sionistes utilisent les judaïsme comme paravent pour pouvoir poursuivre en toute impunité des crimes barbares ! 

      Shulamit Aloni, ex-ministre israélienne explique la combine sioniste.




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